Mon parrain

Chapitre 3

Le lendemain, je me réveille dans les bras de Richard, mon parrain. Et à ce moment-là, tout me revient. Richard et moi avons décidé de passer les vacances ensemble, comme tous les ans, dans sa maison au bord de la côte Atlantique, à Royan. Certes, je dois être bosser car j’ai mon mémoire à finir pour valider la fin de mes études mais je compte bien profiter de la mer pour me changer les idées. Richard est un beau mec. Il est en instance de divorce et il est très déprimé depuis le début du séjour. Il se branle beaucoup et un jour, je le surprends. Après nous être branlés ensemble, nous avons cédé à la tentation et nous avons fait l’amour. Et depuis, nous vivons des instants magiques. Je bosse, on va à la plage, on cuisine ensemble... et on baise souvent ! Je l’ai même baisé !

Je soupire de satisfaction et je me blottis contre son torse imberbe. Et tout de suite, j’ai envie de lui. Je fais lentement descendre les draps sur son beau corps et je finis par voir son corps complètement nu. Je caresse alors sa queue qui se met immédiatement à gonfler. J’admire alors mon parrain. C’est vraiment un beau mec : il a 45 ans, d’épais cheveux roux avec une barbe fournie. Il est de stature et de taille normale. Son torse est imberbe, son ventre est couvert de poils roux. Sa peau est très pâle. Son pubis et ses couilles sont aussi très poilues. Il a une belle bite de 19 cm avec un long prépuce qui laisse entrevoir un beau gland rose, bien gros.

Il se réveille et me sourit. Il me prend dans ses bras et me serre de toutes ses forces. Il m’embrasse dans le cou tendrement et pose sa tête contre la mienne. Il me caresse le torse de sa main gauche. Je me sens bien, je me laisse faire, j’apprécie sa présence, sa tendresse, sa chaleur. Puis je passe ma main autour de sa tête et je l’attire vers moi pour lui rouler une pelle. On s’embrasse tendrement, langoureusement pendant de longues minutes. Je vois qu’il bande toujours. Ma main quitte sa tête et frôle son superbe corps pour arriver à sa bite que j’empoigne. On se roule de grosses pelles et il me caresse toujours le corps. Puis je roule sur lui, mes lèvres ne quittant pas les siennes.

Soudain, il se lève et m’entraine sous la douche. Nos corps restent tout le temps collé l’un à l’autre, nos lèvres aussi. Il se met à me savonner tout en m’embrassant dans le cou. Ses mains douces passent sur mon corps, dans mon dos, sur mes fesses... Nos queues sont tendues au maximum. Je sens la sienne se frotter contre ma raie. Puis je me retourne et je me mets à le savonner. Mes mains parcourent son beau torse imberbe. Puis mes doigts passent entre ses poils roux sur le ventre et descendent vers sa queue. Je la savonne et je la branle un peu. Je le regarde alors et je lis la passion dans son regard. Ensuite, mes mains passent sur ses fesses rondes et fermes et elles les massent.

Il me retourne, il passe ses bras autour de moi. Puis ses mains parcourent sensuellement et doucement mon torse et glissent vers mon pubis pour savonner ma queue et mes couilles. Puis il malaxe mes fesses, les écarte et titille ma rosette. Son index entre en moi et me doigte un peu. Puis il colle son corps contre le mien et il m’embrasse passionnément. Les poils de son ventre me chatouillent. Son sexe se retrouve contre ma raie et très vite, son gland est collé à mon anus. Sa bite magnifique entre en moi naturellement, mon trou se déformant sur son passage pour l’engloutir. Je sens ses 19 cm prendre possession de moi. Arrivé au fond de mon cul, il commence immédiatement à me faire l’amour, fermement mais sans violence.

L'eau chaude continue de couler entre nous. Il me pénètre à un rythme lent, puis accélère la cadence après peu de temps. Au bout de quelques minutes, sa queue s’immobilise au fond de mon cul et il jouit en moi. Il ressort de mes entrailles et il me tire vers lui. Il m’embrasse dans le cou et il se met à me branler. Au bout de quelques minutes, je sens monter mon sperme et j’éjacule en plusieurs jets qui jaillissent et vont s’écraser contre la paroi vitrée de la douche. Il se précipite dessus et prend tout mon jus en bouche avec sa langue. Il revient vers moi, se place dans mon dos et il m’embrasse, me donnant mon propre sperme en bouche. Je sens alors que sa queue se redresse. Elle se déploie dans mon dos et d’un mouvement d’expert, son gland se retrouve contre ma rosette. Comme un réflexe, je m’enfonce sur son gland qui me pénètre, glissant bien grâce à sa semence. Je commence de lents allers et retours tout en m’enfonçant sur son chibre. Une fois en moi, il prend les commandes et il me baise une deuxième fois. Il me fait pencher en avant, il prend mes hanches et il me pilonne. Il y va de plus en plus fort. Malgré ma jouissance, j’éprouve du plaisir, surtout qu’il cogne ma prostate et je sens bizarrement le jus monter dans ma bite alors que je bande à peine. Il me tient par les hanches et il me baise sans marquer de pause. Il accélère toujours plus la cadence. Il se met à gémir et il finit par jouir et par me marquer une deuxième fois. Je ne jouis pas, mais je suis content qu’il m’est bien mis enceinte. Il me caresse le corps tendrement et sa bite reste un bon moment au fond de moi.

Il prend une serviette et me sèche puis nous allons prendre le petit-déjeuner. Il m’explique alors :

- Tu sais Nico, ça fait longtemps que je suis attiré par les hommes. Mais j’ai découvert le plaisir dans le bras de mecs il y a quelques années seulement. J’ai trompé ma femme. Puis j’ai remarqué que je n’éprouvais plus rien pour le corps d’une femme. J’ai dû alors m’avouer que j’étais gay. Et c’est pour ça que j’ai décidé de divorcer.

- Ah je comprends.

- Mais personne ne le sait donc garde-le pour toi. Ça pourrait d’ailleurs compromettre mon divorce si ça venait à se savoir.

- Je ne dirai rien, ne t’inquiète pas.

Une fois le petit-déjeuner fini, je continue de bosser à mon mémoire. Dans la matinée, il entre dans ma chambre. Il se penche sur moi et m’embrasse dans le cou. Je sens le désir s’éveiller en moi. Il continue de me toucher, de me déposer des baisers partout. Je me lève de ma chaise et il se met directement à me caresser le cul. Et dans l’instant d’après, je me retrouve avec mon short sur les chevilles tandis qu’il malaxe mon cul. Je sens sa queue se frotter contre ma raie. Et sans préliminaire, il m’enfonce son bâton dans les entrailles. Je ne dis pas que ça me déplait mais je suis surpris par cette action, lui qui est d’habitude si tendre. Une fois enfoncé en moi, il me maintient de son bras collé contre son corps et il me baise. Il donne d’abord de petits coups de bite puis il accélère et il me baise sauvagement. Je sens ses couilles bien me cogner le cul. Il m’attrape par les hanches et il me défonce maintenant. Je gémis de plaisir surtout quand son gland racle ma prostate. Il a un rythme endiablé et au bout de 10 minutes, il se plaque contre mon corps et je sens sa queue me lâcher sa purée. Il laisse sa queue en moi puis la retire après quelques secondes. Je sens alors son jus accompagner sa sortie et comme un tsunami gicler hors de mon trou, éclabousser sa bite, son ventre, mon cul et mes propres couilles. Il sort de la pièce, sans un mot ni un baiser. Je reste là, dégoulinant de sperme, un peu sonné par ce moment très bestial.

Je reprends mon travail et au repas de midi, il s’excuse de son comportement :

- Je suis désolé, je ne sais pas ce qui m’a pris... J’ai eu tellement envie de toi d’un coup... Envie de te sentir et de te donner ma semence... Je me sens un peu mal depuis.

- C’était génial, parrain. C’était certes inhabituel... mais jai aimé que tu me possèdes.

- Quand même... pour me faire pardonner, je t’invite au restaurant ce soir.

J’accepte avec joie. Après-midi travail. Le soir, il m’emmène dans un restaurant de fruits de mer. On mange bien et quand on rentre, on va se coucher directement. Pas pour dormir... car on s’est dévoré du regard toute la soirée, sans oser se toucher. On s’est fait du pied. Et dès qu’on arrive à la maison, on s’embrasse comme des amants qui ne se sont pas vus depuis des lustres.

On se couche sur le lit et on s’embrasse, on se touche, on se caresse, on se lèche dans le cou. Petit à petit, nos vêtements se retrouvent par terre et on est nus. Très vite, je descends vers sa teub que je suce avec plaisir. Puis je remonte vers lui pour l’embrasser. Je me couche sur son corps et on se roule de grosses pelles tandis qu’il me caresse les fesses. Puis ses doigts jouent avec mon trou. Ensuite, il me fait basculer sur le dos et c’est à son tour de me sucer. Puis je me remets à le sucer. On joue ainsi l’un avec l’autre pendant bien une heure. Nos sexes sont gonflés à bloc.

Il me met en position de levrette et il se met à me faire l’amour lentement, avec des mouvements amples et sensuels. Je sens bien sa queue me pénétrer et me défoncer, bien sûr sans capote. Il me prend dans ses bras, il me dépose des baisers dans le cou. Il prend ma tête vers lui et il m’embrasse, faisant rouler sa langue autour de la mienne. Puis il me fait pencher en avant, collant son corps contre le mien, me serrant dans ses bras puissants, tout en mordillant l’oreille et en me donnant de grands coups de rein. Je ressens sa virilité mélangée à une tendresse infinie. Il me baise comme un dieu. Je sens sa bite m’ouvrir et ses couilles me frapper le cul.

Puis on bascule sur le lit et je le chevauche. Il mène la cadence tandis que je prends sa tête dans mes mains et lui roule de grosses pelles. Je me relève de temps en temps pour caresser son ventre velu ou pour jouer avec ses tétons. Ensuite, je quitte sa queue, je me mets entre ses jambes et je reprends sa queue en bouche. Pendant ce temps, mes mains passent sur son corps et le caressent. Je gobe aussi ses couilles et je lui fais des gorges profondes.

Je me mets ensuite sur le dos, je relève les jambes et je lui présente mon trou en écartant bien mes fesses. Il ne se fait pas prier et il encastre sa queue directement dans mon trou. Il fait des allers et retours lents, puis plus puissants. De temps en temps, il sort sa queue de mon anus, il joue avec ma rosette à l’aide de son index ou de son gland et se replante en moi. Il accélère le mouvement tout en se penchant sur moi, collant son corps contre le mien. Il m’embrasse à pleine bouche. Puis il passe ses bras autour de moi, il me plaque contre son torse et il enfouit sa tête dans mon cou. Il me lèche, m’embrasse tendrement tout en me baisant avec force. Et c’est comme ça qu’il jouit. Je sens ses jets de sperme exploser dans mon cul et tapisser mes entrailles. Il quitte mon anus qui dégouline de son jus, il me suce et je mets peu de temps avant d’exploser dans sa bouche. Il avale tout mon nectar.

Nous nous posons dans le lit, toujours en s’embrassant et en se câlinant. Nous nous endormons ainsi, mon cul dégoulinant toujours de sperme. Je commence à aimer cette sensation de jus qui coule, ce sperme bien chaud me rassure, me rend confiant.

Cette nuit-là, nous ne baiserons plus. Nous apprécierons tout simplement le fait d’être dans les bras l’un de l’autre et de se sentir.

Le lendemain, nous prenons notre petit-déjeuner. Je suis sur chez genoux, nous nous embrassons. Je sens ma queue durcir. Je me dis que j’ai peut-être envie de lui avant de continuer de bosser sur mon mémoire.

Mais tout d’un coup, une clé dans la serrure de la porte d’entrée se fait entendre. Richard sursaute, je me lève et nous nous regardons, très surpris. Je mets vite un t-shirt, Richard reboutonne son short qu’il avait commencé à ouvrir. Et dans un grand vacarme, la porte s’ouvre et deux jeunes hommes rentrent : ce sont Romain et Jonathan, les fils de Richard. Je les regarde surpris. Richard m’avait dit qu’ils ne devaient pas arriver avant la semaine prochaine. Ils nous regardent, souriant, et disent :

- Surprise !

En effet, nous sommes surpris. Et vu la situation de mon parrain (il ne veut que personne ne sache qu’il est homo... pour le moment du moins), je me dis que l’idylle que Richard et moi vivons depuis quelques jours touche à sa fin.

A suivre...

J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire réelle. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).