Chapitre 2
Martin m’avait retrouvé via les réseaux sociaux.
Il avait recherché mon profil sur Facebook et m’avait contacté par ce biais.
C’est là que m’était revenu notre aventure à Tours quand nous étions plus jeunes. Episode que j’ai raconté précédemment ndlr
Nous avons attendu d’être en MP pour en reparler de nouveau.
Le souvenir de ce moment restait assez incroyable pour nous deux.
Evidement la situation vécue à l’époque m’excitait encore lorsque j’y pensais.
Il semble qu’il en était de même pour lui m’avoua-t-il plus tard.
Martin avait désormais une bonne quarantaine, il était marié et père de deux grands ados.
Il avait quitté depuis longtemps le domaine de la menuiserie pour se lancer dans une carrière commerciale chez une grande enseigne de sport dont le siège est basé près de Lille.
De mon côté je n’étais guère resté éloigné de ma formation initiale en devenant antiquaire dans mon propre atelier aux portes de la capitale.
Mon métier m’obligeait à voyager régulièrement dans toute la France pour aller chercher des pièces rares. L’un de mes clients se trouvait en Belgique
Nous convînmes de nous revoir sur Lille lors d’un futur déplacement sur ce secteur.
Trois semaines après, nous nous retrouvions enfin autour d’un verre au bar de l’hôtel que j’occupais pour le week-end dans la périphérie Lilloise.
Martin n’avait pas beaucoup changé. Ces traits s’étaient épaissis ou plutôt affirmés avec l’âge.
La pratique quotidienne de sport dans son activité professionnelle faisait désormais de lui un solide gaillard. Je ne rivalisais pas avec lui et on plaisanta à ce sujet.
Il me passa bientôt la main sur le ventre pour mesurer mon léger embonpoint.
« Tu as bien pris, me dit-il en souriant.
« Je n’ai pris que de là, lui répondis-je avec humour.
« T’as pas aussi pris de la bite ? m’interrogea-t-il toujours avec le même sourire
« Non malheureusement pas, m’esclaffai-je en retour.
« Tu me diras, elle était bien épaisse, si mes souvenirs sont bons, murmura-t-il à mon oreille. Je l’ai senti passer »
Je ne savais pas quoi répondre à ça.
Sa main quitta brusquement mon ventre pour se porter à mon entre-jambe.
Il le fit le plus naturellement du monde avec beaucoup de discrétion pour ne pas être surpris par les clients assis non loin de nous. Il me proposa de monter dans ma chambre.
Je l’invitai bien volontiers à me suivre tout en cachant la bosse qui difformait mon pantalon.
Une fois seuls dans l’ascenseur il avança ses lèvres vers les miennes tout en me caressant les fesses. Sa langue fouilla ma bouche avec autorité.
Une fois entré dans la chambre, il se précipita en m’arrachant à moitié mes vêtements pour finalement me jeter sur le lit.
« J’ai une putain envie de te baiser, me dit-il dans un souffle
« T’es chaud dis-moi ! suis-je à peine capable de lui répondre
« En fait, j’y pense depuis que je t’ai recontacté. J’ai envie de te prendre. Rappelle-toi c’est ce qui était prévu. Toi d’abord et moi ensuite.
Il avait effectivement bonne mémoire.
Je l’avais bien pris le premier cette nuit-là mais il n’y avait pas eu réciprocité dans le sens où lui seul avait subi pendant les trois jours de ce déplacement les assauts répétés des deux frères.
Il avait eu le cul douloureux tout le mois qui avait suivi.
« Ils ne t’ont jamais enculé toi, répéta-il tout en se dessapant. En plus, si je me souviens bien, tu prenais du plaisir à mater ce qu’ils me faisaient.
Il se retrouva bientôt nu devant moi. Il s’avança pour que je prenne sa bite dans la bouche.
Son membre lourd et charnu était parcouru de veines gonflées depuis la base jusqu’au gland circoncis. J’ouvris mes lèvres pour le gober tout entier malgré sa taille bien supérieure à la mienne. Il poussa un râle de plaisir.
« Vas-y, bave bien dessus, me lança-t-il fiévreusement, Elle te plait ma queue Salope.
Je respirai bruyamment tout en acquiesçant
« Allonge toi, ordonna-t-il, on se place en 69, je veux pouvoir te sucer moi-aussi
Nous nous plaçâmes tête bêche. Je sentis immédiatement son souffle chaud sur ma queue.
Il empoigna mes couilles d’une main et avala mon sexe tendu.
Pendant que nous nous sucions mutuellement, je profitai maladroitement de cette étreinte pour oser glisser un doigt dans son cul. Il se contracta d’un seul coup ;
« Arrête, je vais jouir... dit-il dans un gémissement, C’est moi qui dois d’abord te prendre
Je le retournais et montais sur lui. Ma queue écrasait la sienne. Je le regardai avidement
« Sauf que, mon pote, ton cul a gardé la mémoire de ma bite. Et je pense qu’il a envie de le sentir une nouvelle fois dedans. Ouvre les cuisses que je te caresse la raie avec mon gland.
« Tu ne rentres pas, m’implora-t-il, j’suis un bonhomme moi, j’ai une femme !
N’écoutant pas ses suppliques, je pris un oreiller et le glissai sous son bassin. Je pointais ma queue à l’entrée de son trou faisant mine de vouloir l’introduire. Je fis couler un long filet de bave sur mon gland. Je caressais son œillet tout en jouant avec mon membre en exerçant une légère pression pour le faire rentrer.
Martin ouvrit les cuisses plus largement et posa ses mains autour de ses fesses pour bien les écarter.
« Vas-y, murmura-t-il dans un souffle. C’est vrai que je meurs d’envie de t’avoir en moi. Je crachais de nouveau sur ma queue et l’enfonça d’un coup dans ses entrailles ;
Il gueula en soulevant son bassin me permettant d’aller plus loin encore.
Mes couilles tapèrent contre son cul.
Je commençais alors à faire de profonds allers-retours, ressortant mon sexe presque entièrement à chaque coup de boutoir. Il glissa une main sur ma queue presque étonné de la sentir plantée en lui.
« Je veux que tu te vides dans ma bouche, me dit-il dans un souffle.
« Tu ne préfères pas que je t’engrosse d’abord comme quand tu baises ta femme ?
« Non, répondit-il, je veux ta semence dans ma bouche.
« Alors prends-là, lui dis-je en me retirant de son ventre et en présentant ma queue à ses lèvres.
Il ouvrit la bouche pour recevoir les trois-quatre jets de sperme que je lui balançais sur sa langue en grognant.
Il prit ma bite tout entière avec délectation tout en se nourrissant de ma semence d’homme.
Il bandait comme un taureau. Je lui roulais une pelle afin de recracher sur sa belle queue noire un doux mélange de salive et de foutre. Comme j’étais sur lui. J’écartais les cuisses à mon tour afin de m’empaler sur sa tige que je tenais fermement d’une main. Là encore, Martin grimaça de plaisir en sentant sa queue progresser délicieusement dans mon rectum.
Il m’empoigna le bassin pour me faire monter et descendre sur son membre. Je sentais son outil me fouiller, c’était vraiment bon. Il profita de sa position pour accompagner sa bite d’un de ses doigts. Je me tordais pour m’échapper à cette double intrusion. Il sourit semblant satisfait de ce qu’il voyait. « Tu aimes la bite, t’es devenu un vrai pédé me dit-il méchamment
« Attends, ajouta-t-il presque aussitôt, je sens que ça vient, je vais te féconder comme tu ne l’as jamais été.... Tiens prend tout ... Ahhh !
Il poussa un cri tout en s’arquant sous moi. Je sentis un flot de foutre se déverser dans mes entrailles. Après les derniers soubresauts de sa queue, il me jeta sur le côté en m’invitant à nettoyer son membre enduit de notre étreinte.
Je passais une langue le long de sa tige et l’avalais tout entier avec un plaisir non dissimulé.
Martin me passa une main dans les cheveux, il semblait pensif.
« Tu sais, me dit-il, t’es là jusqu’à quand ?
« Je repars lundi, dans deux jours, pourquoi ?
« J’ai vu que tu prenais facilement ma queue et mon doigt dans ton cul
« Et alors, n’osais-je lui demander.
« J’aimerai amener mes garçons afin qu’ils s’initient avec toi à l’amour entre hommes.
« ???
« Ils sont furieusement hétéros, mais je souhaite en tant que père à parfaire leur éducation. Je pense très sincèrement que tu serais le mec idéal pour leur enseigner cet art.
J’étais interdit ne sachant pas trop quoi répondre, tant la proposition était aussi soudaine qu’inattendue.
« Mais comment vois-tu les choses, dis-je en bredouillant, qu’est-ce que tu vas leur dire
exactement ? Ils ont quels âges tes mômes ?
« C’est des grands, t’inquiètes ! dit-il en riant, ils ont l’âge requis, ils ne sont pas les puceaux que nous étions quand on s’est retrouvé à poil sur notre paillasse à Tours.
J’avoue que je ne savais pas quoi répondre à cette offre qui, pour tout avouer, commençait quelque peu à m’exciter. Martin ricana en regardant ma queue se tendre de nouveau.
« Je vois que cette perspective te séduit ! observa-t-il en riant. Ne t’inquiète pas me répéta-il de nouveau, tu ne seras pas tout seul, je serais là pour t’aider moi aussi à les former. Tu ne seras pas le seul demain à te vider les couilles... »
Ajarn
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