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3| L'ÉCOLE DES FANS
S'adressant à Côme comme à un enfant de "l'école des fans" :
- Mon petit Côme, viens vers moi, je ne vais pas te manger...
Côme est tout nu. Il a une érection qui lui remonte jusqu'au nombril. Il s'approche.
- Qu'est-ce qui t'arrive, mon petit Côme, dis-moi ? Tu bandes, c'est ça ?
- Oui...
- Et est-ce que ça te gêne de bander mon petit Côme ?
- Ça passe pas...
- Comme c'est mignon !... Mais dis-moi, ça te dérange tant que ça, de bander devant ta famille et devant tout le monde ?
- Euh... non...
Côme s'éloigne du micro puis revient :
- ... au contraire.
- Mais c'est formidable, ça, mon petit Côme
!... Mais dis-moi... ta femme est dans le public ?... Oui ?... Levez la main madame... Aaaaaah je la vois... mais elle est très jolie, dis-moi ! Bonjour Madame... Mais dis-moi, c'est ta femme qui te fait bander comme ça ?
- Dis... je peux encore montrer ma rondelle ?
- Ah non mon petit... non... c'est pas possible, ça... et puis on n'a pas le temps là, tu sais...
Côme semble trop déçu, au bord des larmes... ses lunettes s'embuent...
- Bon... ou alors si tu veux... juste pendant que j'explique aux gens la suite du programme...
Côme, le petit directeur ass, trop content, prend directement la pose : Il se retourne, écarte les jambes et les fesses. Il est juste au-dessus de moi. Je vois le moindre détail de son anus rose, je pourrais compter ses plis du cul et ses poils blonds, je vois ses couilles et son grand zizi tout dur... Je n'aurais jamais imaginé que sa petite verge blanche puisse s'allonger autant !
Son gland décalotté est tout brillant.
Il regarde la foule à l'envers entre ses jambes, lunettes de travers. Le public recommence à scander :
- Trou-duc !... Trou-duc !...
Et Côme kiffe trop : De là où je suis, je vois sa bite marquer des petites pulsations d'excitation et une perle de mouille se former au bout de son gland.
- Mesdames-et-messieurs,-dès-que Côme-notre-jeune-papaet-directeur-ass aura-fini-d'exhiber-son-petit trouducul-blond-tout-mignon...
- QU'ON L'ENCUUUUUUULE !
- Bon euh... C'est vrai, Côme s'il vous plaît, arrêtez, là... vous énervez tout le monde... c'est pas possible, ça... il va finir par vous arriver quelque chose, là... Écoutez, ça suffit là... Vous pourrez continuer à vous exhiber pendant l'épreuve si vous voulez... Côme... Monsieur Côme... CÔME bordel !!... .
Le jeune Directeur ass se redresse. Il trique toujours autant. Son gland mouillé touche presque son nombril.
- Merci mon petit Côme. Mesdames et messieurs comme je vous le disais je vais donc pouvoir donner le top départ de la première épreuve nue je parle évidemment de l'épreuve des châTEAUX !!!
- OUAAAAAAIIIIS !!!
CULS NUS, LES CHATEAUX DE SABLE !
La voix devient plus grave et s'accélère :
- Mesdames et messieurs l'épreuve se déroule sur la plage. Chacun des onze papas bite à l'air ici présents va devoir construire un château de sable devant vous mesdames et messieurs et VOUS pourrez voter... euh... messieurs...
- Mesdames, je suis profondément désolé, mais nous allons voter pour les châTEAUX et non pour les ZIZIS. Aussi de peur que vous ne
vous laissiez guider par vos hormones, la règle veut que le vote soit donc réservé aux zobs... euh... aux hommes, pardon.
Les femmes manifestent leur mécontentement :
- Oouuuuhhh !
- Je suis désolé mesdames, c'est la règle...
Et l'autre éméché :
- TOUS DES PÉDÉS, CES HÉTÉROS !!!
(Rires)
Les huées diminuent progressivement.
- Alors euh... en effet Monsieur n'a pas tort, c'est pourquoi Messieurs, vous qui allez voter, je vous demanderai également de ne pas vous laisser guider par vos émotions et par vos attirances sexuelles personnelles : on vote pour les châTEAUX, pas pour les ZIZIS ni pour les ANUS, messieurs si vous voyez ce que je veux dire ! Me suis-je bien fait... euh... compris ?
- HÉTÉROS MON CUL !
(Rires)
- HÉTÉROS COMME DES FOCS, OUI !
(Rires mêlés de Chuuttt...)
- Bon euh... Messieurs les jeunes papas, à présent je m'adresse à vous qui êtes bite à l'air, comme on dit, en érection ou pas. Messieurs tenez vous prêts car Messieurs à mon top départ Messieurs vous allez devoir courir jusqu'au bordde l'eau. Messieurs vous avez 30 MINUTES pas une de plus pas une de moins pour construire chacun votre châTEAU !
- Je compte sur vous Messieurs pour ne pas copier les uns sur les autres. Je vous rappelle Messieurs que les 2 vainqueurs auront L'IMMENSE privilège de s'affronter en corps à corps de gladiateurs HUILÉS !... pour le plaisir de tous, j'en suis sûr !
La voix ménage plusieurs longues secondes de suspense...
Les onze hommes forment un groupe solidaire, serrés les uns contre les autres. Ils se touchent presque, ils sont beaux. Seul
Côme bande. Ils ont l'air heureux, plus décontractés que tout à l'heure. Ils semblent même prendre plaisir à être regardés.
- Mesdames-et-messieurs-il reste 10 secondes avant le top départ...
- 5... 4... 3... 2... 1... TOP !!! Et-que-les-2-meilleurs-GAGNENT !!!
Et les candidats s'élancent vers le bord de plage, encouragés chacun par leur famille, femme et enfants en âge de regarder.
- Vas-y mon chéri !!!
- Papa !!!
Et c'est un défilé magnifique de culs blancs dont un noir qui s'élance vers l'eau sans pudeur, les mains chargées de seaux et de pelles en plastic, un défilé de petits zizis, dont un gros service 3 pièces, un braquemart et une longue tige blanche en érection maximale.
Les candidats, pris par l'ambiance du
concours ont abandonné toute pudeur et toute retenue : ils courent à toute jambe, oubliant les obligations sociales dues à leur rang, et offrant le spectacle se leurs bites et de leurs couilles balottées de droite et de gauche !
Une mention spéciale pour le petit Côme qui s'élance comme un dératé et dont la verge en érection adopte un mouvement totalement désordonné et extrêmement érotique...
- Vas-y Papa !
... et pour notre couillu Vincent dont les burnes taurines l'obligent à courir avec les jambes un peu écartées, offrant ainsi le spectacle magnifique de son service 3 pièces vu de derrière, balotté dans tous les sens !
Et enfin une mention évidemment pour Moha l'ex-champion de football américain dont le gigantesque sexe noir et rose décrit quand il court des grands cercles élastiques absolument fascinants !
Voix grave et posée, presque chuchottée (on
se croirait sur un cours de tennis) :
- Mesdames et messieurs àprésent les candidats ont pris place. Ils commencent déjà à creuser et à s'approvisionner en sable mouillé.
- Messieurs, vous qui allez voter, vous avez le droit de les approcher et de les observer de près... Ils sont NUS ils sont JEUNES ils sont PAPAS ils sont direcTEURS et ils vous montrent TOUT mesda... euh... messieurs ! N'hésitez pas à vous approcher. Vous avez le droit de regarder de près. N'hésitez pas à leur poser des questions.
- Messieurs vous avez le droit de regarder leurs SEXES et leurs orifices autant que vous voudrez... Alors messieurs n'hésitez pas à vous approcher d'eux et profitez en C'EST GRATUIT !!!
Et pendant que les femmes, déçues, s'éloignent en maugréant contre l'organisateur : "c'est pas ce qui était prévu...",
les hommes, dont je fais partie, s'orientent vers les concurrents en se tripotant vaguement le maillot de bain pour se la réajuster.
LES JEUNES PAPAS
Les jeunes papas, ils sont tous spécialistes en châteaux de sable ! Dès le jour où ils ont leur premier enfant, ils rétrogradent au stade légo ! Ils peuvent passer des heures à construire des tours, des murailles crénelées, des routes, des douves et des ponts levis ! En général ils mettent leurs petits slips de bains et lèvent leurs fesses osseuses pour creuser très profond avec leur bras. Ils ne réalisent même pas qu'ils montrent tout, tout ce qui en eux est de plus attirant : Ils montrent leur dessous de fesses, leurs petites couilles moulées... et parfois, grâce à la transparence de leurs petits slips mouillés, cul levé, ils laissent apercevoir la tâche sombre de leur
anus de jeune papa.
Mais aujourd'hui c'est encore mieux ! Ces petits papas ont les couilles à l'air ! Et on va tout leur voir !
... Bon, alors, comme pour les exhibitions, je vais pas tous les faire, vu qu'ils ont onze !
Je vais uniquement vous parler des châteaux de Nathan, de Vincent, du petit Côme et du grand Moha :
LE CHÂTEAU DE NATHAN... VU DE L'INTÉRIEUR
Nathan est un jeune papa architecte ne l'oublions pas. Son château est superbe, ingénieux, plein de trouvailles ! Nathan ne dit rien car il est timide mais par son chateau il exprime à la fois sa fantaisie et sa rationalité. Il y a des tours rondes et des tours carrées, des tours pointues et des tours crénelées,
des herses et des des ponts-levis qui marchent vraiment. Il est tellement absorbé par ce qu'il fait, à quatre patres, penché sur son ouvrage, qu'il ne se rend pas compte qu'on ne voit plus de lui que ses fesses ossueuses et la touffe de son anus.
Et pendant que certains s'émerveillent sur son œuvre, d'autres, dont je fais partie, choisissent de scruter de près son intimité exhibée :
Les poils noirs de la raie du jeune architecte sont légèrement frisés, ils font de petites touffes harmonieuses, comme des herbes folles. Le vent les fait bouger légèrement, c'est très beau. Ils ne sont pas assez denses pour cacher son petit trou étoilé, tout rose et tout plissé.
- Monsieur... je peux toucher ?
Toujours à quatre pattes, il se retourne vers moi avec un grand sourire timide.
- Je préfère pas...
Mais il remarque ma déception, et comme il
voit que je suis jeune, son instinct paternel prend le dessus :
- Bon... alors... rien que pour toi, petit, j'organise une visite de l'intérieur du château !
Les autres hommes sourient, curieux.
Alors il reste à quatre pattes, mais il écarte grand les pattes arrière.
- Tu vois, entre mes pattes arrière, là, ça fait comme un pont...
- Oui... c'est trop beau, Monsieur !
- Et bien c'est l'entrée du château. Si tu veux, tu peux passer ta tête dessous, et si tu te retournes, tu verras mon zizi au plafond... un peu comme un lustre, si tu préfères...
- Ah ! Trop bien !
Alors toujours à quatre pattes, il écarte encore plus les pattes arrière pour que je puisse passer dessous. Je m'allonge sur le dos dans le sable et je glisse ma tête entre ses pattes... sous son joli zizi de papa... et là... merveille !!!
Et en effet :
/ L'arc de ses jambes forme comme une voûte au-dessus de mon visage,
/ Ses cuisses sont les piliers, fins et musclés,
/ Ses poils dessinent des fresques parcourant murs et plafond,
/ Et son sexe est un grand lustre pendentif 3 pièces, d'une beauté inouïe.
Moi qui suis jeune (mais attention j'ai l'âge requis) je n'avais jamais vu un sexe de papa d'aussi près ! Et ben en vrai c'est absolument magnifique ! Je vous conseille.
Les hétéros, autour de moi, s'amusent de la situation et de ma position. Je pense qu'ils regardent aussi mon maillot, les pédés !
De nouveau absorbé par son ouvrage, Nathan, lui, continue à s'activer, tandis que son zizi suspensu remue mollement au-dessus de mes yeux... Je vois tous ses détails intimes, ses poils qui bougent avec le
vent, tous les petits plis de ses couilles et de son prépuce qui n'est pas complètement fermé. Au-dessus de mon nez, j'entrevois son petit bout intime, brillant, un peu mouillé... avec ma langue je pourrais presque le toucher !
- Ça va, petit ? C'est joli ?
- Oh oui, Monsieur !!
(Rires des quelques hommes qui nous regardent)
- Tu profites bien ?
- Oh ça oui !! Merci Monsieur ! Qu'est-ce que c'est beau !!
- Mon fils aussi, il adore visiter le chateau... par contre interdit de toucher !
- Il a trop de la chance...
- Mais là il va falloir que tu ressortes, maintenant, tu sais...
Alors, je regarde tout bien une dernière fois, et je me retire... Mais n'y tenant plus, je profite de mon mouvement de sortie pour approcher furtivement ma langue de son
prépuce entrouvert... et sans prévenir... Hop ! Je pose la pointe de ma langue dans la petite ouverture de son zizi et je l'enlève aussitôt.
Personne n'a remarqué, mais Nathan a sursauté. Moi j'ai eu le temps de sentir avec ma langue le contact du petit bout mouillé... et ce goût salé, marin, un peu visqueux !
(Une fois j'ai goûté du caviar et il se trouve que ça avait exactement ce goût-là et moi je pense que c'est précisément ce qui fait son succès !)
Je ressors du château et je me relève de sous les pattes de Nathan. Il se tourne vers moi, exhibant toujours son anus. Il rigole.
- T'es drôlement culotté, toi, dis-donc...
Mais il continue à rigoler, et il m'envoie un clin d'œil. Seul lui et moi savons que j'ai passé ma langue sur le bout de son zizi entrouvert.
- J'espère au moins que tu voteras pour moi !
- Oh ça oui ! Monsieur ! Ton château est aussi
beau de l'extérieur que de l'intérieur ! Et merci pour la visite !!
Et sans cesser de sourire, il se caresse le sexe en me regardant tendrement.
Et moi je m'en vais voir le candidat suivant...
LE CHÂTEAU DE VINCENTIMÈTRES
Vincent aussi a envie de gagner.
Il a un gros bazar. Il n'est pas architecte c'est un homme d'affaires très ambitieux, il ne donne pas dans la finesse, mais il s'est lancé dans un château absolument gigantesque. Il abat un travail de malade. Son château possède 16 tours dont 8 doubles et 4 triples, il multiple les douves et les murailles... tout un village fortifié !
Ce jeune papa est aussi tennisman, il est grand, musclé et burné. Il s'active comme un fou en s'agitant les boules : Il se lève, il s'assoit dans le sable, il s'accroupit, se relève
et se rassoit... pendant que ses attributs taurins ondulent et valsent sous lui.
Et sans s'en rendre compte, à chaque fois qu'il s'assoit, il imprime sur le sable mouillé la marque de ses burnes et de sa raie tout autour de son château. Ça fait comme une campagne vallonnée. À certains endroits, ça fait comme des petits volcans et je comprends que c'est la marque de son anus. Il ne le fait pas exprès mais c'est très joli.
Évidemment, Vincent se met souvent à quatre pattes, il expose son cul ouvert et plein de sable, son orifice légèrement ourlé et ses boules par derrière. Elles sont très lourdes, très basses... des "corrones" !
C'est un homme, un vrai ! Un mâle reproducteur avec un gros zizi de père de famille. Il n'est pas très poilu mais il a le regard dur. Son pénis est toujours à moitié décalotté. Parfois il tire sur son prépuce, mais à chaque fois son gros gland ressort tout seul. Il émane de lui une forte virilité. Il a
la voix très grave. Un grand pli de peau vertical relie directement son anus à ses burnes suspendues. C'est une chance inouïe de pouvoir observer de près un organe aussi viril ! Alors je m'approche...
- Je peux toucher ?...
- Mon château ??!
- Euh non... vos fesses et tout...
Et là il me jette un regard de tueur.
- Je ferais pas ça à ta place, petit...
Mais il reste à quatre pattes. Alors je me contente de regarder.
- Et... euh... pardon mais il paraît qu'on a le droit de vous poser des questions...
- Et ?...
- Ben... je voulais savoir... pourquoi votre femme elle a dit que votre zizi il est gros mais il marche pas très bien ?
Et là, il s'énerve franchement. Il se redresse et saisit son sexe de façon menaçante :
- Tu veux vérifier, petit enculé ?
Mais les autres hommes présents
interviennent :
- Calmez-vous, Monsieur... il est jeune...
Alors Vincent me regarde et tout en tirant sur son prépuce :
- Désolé, petit...
Et le gros gland du jeune papa, petit à petit, repasse la tête par la fenêtre.
- Dommage que je puisse pas... juste soupeser vos testicules, là...
Il hésite... puis finalement se rapproche de moi et ouvre les jambes.
- Bon... vas-y mais dépêche !
Alors, trop heureux, je passe mes deux mains sous ses "corrones" de jeune père de famille et je les referme doucement.
Elles sont si chaudes.. si douces... comme celles de mon père quand il dort... sauf que là, chaque couille me remplit une main.
Vincent a planté son regard noir dans le mien. Il a l'air menaçant. Mais il se laisse toucher. Je lui caresse doucement les burnes. Et là, je sens que je me mets à
bander dans mon petit maillot, parce que le grand mâle, il est à moi : Je le tiens par les couilles !
Alors j'ose glisser ma main plus loin. Il ne dit rien. Je remonte le repli de peau arrière qui mène à son anus. Son visage reste impassible, mais il ouvre légèrement les jambes, et je m'aperçois que son pénis a grossi. Le gland est presque complètement sorti. Et tout doucement je pose un doigt sur sa rondelle. Un instant sa bouche s'ouvre et ses yeux vrillent...
Mais il se reprend aussitôt, et retrouve son air menaçant :
- Allez, ouste ! File, maintenant !
Il fait vraiment peur.
- Tout de suite ?...
- Oui... et lâche-moi les couilles, veux-tu ?
- Ah oui... euh... dommage...
- Et putain arrête de me toucher l'anus !!!
- Oh pardon !
Un peu effrayé, j'enlève mon doigt et je lâche
ses grosses couilles, qui se mettent à se balancer. Et je commence à partir, mais je me retourne et je croise à nouveau son regard. Il bande toujours à motié.
Alors il pose ses yeux sur mon petit maillot. Il voit forcément que moi aussi je bande... Et sans se défaire de son regard sévère, il m'adresse un demi-sourire d'un seul côté de la bouche (un clin de bouche en somme) en tirant sur son prépuce.
Et petit à petit, sans qu'il cesse de me mater, son gros gland inpudique redécalotte.
Jam
Ne pas copier - histoire protégée
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