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HISTOIRE

Initié par deux frères | 1

Cette histoire m’est arrivée il y a quelques années de cela. Si je la raconte aujourd’hui c’est que j’ai retrouvé il y a peu un des protagonistes de ce qui est resté à ce jour comme déterminant dans ma vie d’homme et dans ma sexualité d’adulte.

Il faut revenir des années en arrière. À l’époque j’avais environ 18 ans et j’étais en école de menuiserie dans la région parisienne. J’avais trouvé un stage dans une société située près de chez moi. Nous étions deux « arpètes » du même âge. J’avais peut-être une année de plus que Martin, d’origine sénégalaise, qui lui n’était qu’en première année dans le même établissement que moi.

Nos patrons étaient deux frères qui nous semblaient plutôt âgés pour les jeunes gens que nous étions. En réalité ils devaient avoir à peine la cinquantaine, voire moins.
C’était deux mecs assez trapus, l’un tout en muscle, le second – couvert de poils très foncés – ressemblait furieusement à un sanglier. Ils faisaient régner un climat de terreur dans l’atelier. Les ouvriers ne mouftaient pas. Aussi avons-nous été surpris, mon jeune collègue et moi, lorsqu’ils nous ont demandé de les accompagner pour trois jours sur un chantier situé près de Tours.

Mes parents m’avaient préparé un sac de voyage pour l’occasion avec des affaires de rechange et un nécessaire de toilette. Nous sommes montés à quatre à l’avant de la camionnette de l’entreprise contenant à l’arrière tout leur outillage. Le frère aîné Jean-Philippe (comme me l’a dernièrement rappelé l’autre apprenti Martin) conduisait le véhicule, son frère Bruno contre la portière passager. Martin et moi placés au milieu. Pas de ceinture pour nous deux, mais bon l’époque était différente.
Pas de clim’ non plus. On était mi-juin et il faisait une chaleur à crever dans le camion.

On est arrivé en fin de matinée et on a enquillé tout de suite sur le chantier. Chacun de notre côté. Moi avec Jean-Philippe l’ainé tout en poils et Martin avec le second franchement balèze.
Notre rôle était d’amener les outils et la visserie, de plier les cartons et de nettoyer au fur et à mesure de l’avancement du chantier. Très rapidement Jean-Philippe s’est mis torse nu. Il suait à grosses gouttes et inondait le bas de ses vêtements par une transpiration abondante. De son corps se dégageait une odeur forte assez désagréable. De l’autre côté de la pièce, je voyais son frère s’affairer avec la même énergie. Lui aussi avait retiré sa chemise. On voyait nettement d’où j’étais, ses muscles rouler sous sa peau brune. Je me marrais à moitié à voir courir Martin autour de lui. Mon patron me mit une claque sur la nuque, car il croyait que je me foutais de lui, mais je montrais du doigt Martin bondir autour de son frère. Il ne put cacher lui aussi un sourire.
Autant ils terrorisaient leurs salariés, autant ils avaient fait preuve pendant le trajet de beaucoup d’attention et de gentillesse à notre égard.

La journée touchant à sa fin nous avons regagné l’auberge qu’ils avaient réservée. Sans doute par souci d’économie les deux frères partageaient le même lit. Martin et moi étions cantonnés sur deux paillasses rudimentaires posées dans le coin de leur chambre.

Nous nous sommes rapidement lavé les mains avant de passer directement à table. Les deux hommes avaient remis leur vêtement sans se changer, car ils étaient affamés et le service se terminait tôt. Le repas fut frugal. Ils burent énormément et nous obligeâmes à trinquer une bière ou deux avec eux. Pour être honnête, j’avais la tête qui tournait à la fin de la première bière n’étant pas habitué à boire de l’alcool. La chaleur dans la salle devait contribuer à mon état général d’épuisement.

Finalement après qu’ils aient avalé un café, nous montèrent tous à l’étage. Bruno se précipita vers la salle de bains pour se doucher. Jean-Philippe moins pressé prit son temps pour retirer ses vêtements. Il garda son slip blanc largement échancré aux cuisses d’où dépassait une grosse paire de couilles.
Assis sur notre paillasse, Martin me donna un coup de coude en gloussant tout en montrant les attributs du frangin. Ce dernier, pas gêné par notre présence, retira finalement son slip en passant négligemment une main sur sa queue. Nous étions à ce moment, je l’avoue, totalement médusés par la situation. Nous le fûmes encore plus quand Bruno sortit à poil de la salle de bains pour s’allonger bruyamment sur son lit. 
- « Mettez-vous à l’aise les garçons, lança Bruno à notre attention. Entre hommes pas de chichis »
- « C’est vrai, renchérit Jean-Philippe depuis la salle de bains dont la porte était restée grande ouverte, Vous avez déjà vu des mecs à poils. On est entre nous, on ne va pas à se cacher dans une chambre comme la nôtre et avec la chaleur qui fait. »
J’entendais de ma couche l’eau de la douche qui coulait et je fus surpris de voir Martin se lever de sa paillasse pour se déshabiller à son tour en conservant pudiquement une serviette pour masquer son bas ventre.

Bruno se releva sur son coude en gloussant. De ma paillasse je voyais son large corps étendu sur le lit. Il avait des cuisses énormes. Ses bras l’étaient tout autant. Quant à son sexe, je ne voyais que lui. On aurait dit un épais morceau de chair surmonté d’un gland foncé. J’étais impressionné d’autant que la mienne de queue me semblait dérisoire à côté de la sienne.

Jean-Philippe sortit de la salle de bains à son tour en me désignant à son frère.
– « T’as vu comment il te mate le jeune, lui lança-t-il. Il doit être impressionné par ton membre !
– “Et encore il n’a pas bien vu le tien, s’esclaffa Bruno, on n’est pas frangins pour rien.
Et pour démontrer ce qu’il disait, il se leva et prit son frère par le bras pour le tourner vers moi.
J’étais abasourdi par ce manque de pudeur et à la fois excité, je l’avoue, par cette situation totalement inédite pour moi. Il y avait une tension sexuelle évidente, voire palpable dans la pièce. Cette tension n’avait pas non plus échappé à mon jeune collègue, car on voyait nettement une protubérance poindre à travers la serviette nouée autour de ses reins.
Bruno s’approcha doucement de lui et posa une main sur son épaule et une autre sur la serviette qu’il dénoua facilement, laissant le tissu tomber à ses pieds. Martin tremblait un peu. Il semblait apeuré de ce qui pouvait se passer. Il était très jeune et inexpérimenté comme je l’étais moi-même par ces choses-là.

Bruno le souleva comme une feuille et le posa sur le lit. Jean-Philippe s’allongea à son tour et ils commencèrent à le caresser à tour de rôle. Bruno prit la main de Martin et le força à la poser sur la bite son frère qui avait pris une dimension plus imposante. Puis il se pencha sur la queue du garçon afin de la prendre dans sa bouche. Le corps du jeune Sénégalais s’arqua dans un feulement.
Hypnotisé, je m’approchai à mon tour, tout en me débarrassant de mes vêtements afin de me joindre à cette scène totalement surréaliste. Bruno me prit par les épaules en m’invitant à le remplacer en embouchant à mon tour le membre tendu du jeune noir. C’était une sensation étrange de sucer une queue. Mais j’essayai de m’appliquer en tournant plusieurs fois la langue autour du gland circoncis comme j’avais appris à embrasser une fille.
– ‘A notre tour, murmura Jean-Philippe dans un grognement. Les deux frères se redressèrent ensemble en nous obligeant à nous agenouiller devant eux.

Leurs queues étaient énormes et moi comme Martin – que j’observai du coin de l’œil – nous commençâmes maladroitement à lécher leurs glands. Un liquide suintait de celle de Bruno que j’essayai de prendre en bouche. Il m’ordonna de l’avaler plus avant. Aidé par ses encouragements et ceux de son frère nous faisions de notre mieux pour satisfaire leur désir.
Après quelques minutes de ce traitement, ils nous échangèrent l’un avec l’autre en nous traitant de tous les noms avec une certaine rudesse qui m’excitait beaucoup.
– ‘Je ne vais certainement pas me vider comme ça, dit Bruno à son frère. Faisons-les juter d’abord.
– ‘D’accord ! approuva son frère.

Ils portèrent de nouveau Martin sur le lit. Bruno partit chercher quelque chose dans la salle de bains et revint avec un pot de Nivea. Il s’allongea à son tour contre Martin. Son frère de l’autre côté.
Ils commencèrent à le branler à tour de rôle. Martin gémissait en s’agrippant aux draps. Puis Bruno prit une grosse noisette de crème et la posa sur l’anus de Martin qui semblait vouloir se débattre.
– ‘Écoute, lui expliqua Jean-Philippe, comme tu es plus jeune que ton pote, c’est à toi de te laisser faire. Ensuite ce sera ton tour. Toi, dit-il en me regardant, mets de la crème au bout de ta queue… Tu as déjà couché avec une fille ?
Je secouais la tête avec dénégation. J’étais bien évidemment puceau. La situation devait exciter passablement les deux frères. Ils agrippèrent ensemble les cuisses de Martin afin de les relever m’offrant à la vue son trou badigeonné de crème. Bruno m’ordonna de m’avancer et prit ma queue dans sa main afin de la présenter devant l’anus de mon pote.

Excité comme j’étais, je pointai malgré tout ma queue sur sa rondelle et m’avança pour la faire rentrer. Martin se tendit mais il était solidement maintenu dans cette position par les deux frères. Je rentrai plus avant en faisant fi des grimaces de Martin. Je sentais la paroi étroite du boyau du jeune garçon épouser délicieusement ma bite.
Jean-Philippe posa ses doigts sur mon membre pour sentir la progression dans le ventre de son apprenti. Puis il passa la main par-dessous pour me caresser les couilles.
– ‘Elles sont bien pleines ces couilles, me dit-il dans un souffle, alors comme ça, tu ne t’es jamais vidé dans une femme et bien tu vas d’abord le faire dans un mec. Vas-y bouge ta queue maintenant qu’elle est bien au bout. Fais des aller-retour, regarde comme ton pote aime ça !
– ‘AHHH PUTAIN !!!, gueulait le jeune noir que j’enculai désormais avec force. Mais très vite, comme une décharge électrique, mon corps fut pris de soubresauts et je sentis me répandre dans le cul que j’avais largement défloré.

Bruno m’écarta en me tirant en arrière et ordonna à son frère de nettoyer ma queue souillée de sperme. Jean-Philippe ne se fit pas prier et je sentis sa barbe puis sa bouche autour de ma bite. Il me la nettoya consciencieusement en aspirant le fruit de mon étreinte avec le jeune stagiaire. J’envoyai même une seconde décharge qu’il avala goulument.
Quant à Martin, dans un sursaut qui m’avait échappé, il s’était vidé lui aussi au moment où je déculais. Bruno prit cette semence et la glissa dans l’anus afin de l’ajouter à la mienne. Il cracha ensuite sur sa bite et se positionna entre les cuisses largement ouvertes du garçon.

– ‘Maintenant que tu es bien préparé, tu vas recevoir la queue d’un vrai mâle. Ne t’inquiète pas, je vais y aller doucement, mais je vais t’initier comme Jean-Philippe et moi l’avons été à ton âge. Aide-moi Jean-Philippe, ajouta-t-il à l’adresse de son frère
Jean-Philippe empoigna les épaules et les bras de Martin. Mais ce dernier semblait encore totalement assommé, voire anesthésié par mon assaut précédent et la jouissance qui avait suivi.

Le sexe de Bruno était large et épais comme lui. Je n’imaginais pas que cet engin puisse rentrer sans faire de dégâts. Bruno cracha de nouveau sur son membre et fit disparaitre son gland violacé dans l’œillet du garçon. Il se retira aussitôt et un filet de sperme glissa sur les draps.
– ‘Il est bien plein, mais je vais de nouveau le remplir de mon foutre grogna-t-il, puis en me regardant, il me lança, regarde comment on engrosse une femme.
Et sans préavis il enfonça sa bite tendue dans le ventre du jeune homme qui arracha une plainte sonore. Il commença à faire des aller-retour de plus en plus puissants laissant mon pauvre compagnon comme une poupée désarticulée. Puis il se retourna afin de le placer sur lui.

D’où j’étais, je voyais nettement la queue monstrueuse glisser dans le cul désormais béant du jeune black. Jean-Philippe encourageait son frère en se branlant avec frénésie. Il s’approcha de son frère et éjacula dans la bouche ouverte de Martin. Puis Bruno se souleva une dernière fois et gueula en envoyant à son tour sa semence dans le ventre du garçon.

Nous étions tous repus. Il y avait une forte odeur de sueur, mais aussi de sperme dans la chambre. Pourtant, vu la température caniculaire, la fenêtre était restée ouverte et je craignais que nous ayons été entendus. Visiblement les deux frères s’en foutaient complètement. Ils se dirigèrent ensemble vers la douche qu’ils partagèrent en se caressant mutuellement. Plus tard, j’y allais à mon tour accompagné de Martin que je soutenais un peu. Nous nous sommes lavés en nous attardant un peu. Dans la chambre les deux hommes dormaient déjà chacun de leur côté.
Martin et moi nous nous sommes allongés l’un contre l’autre sur nos paillasses en songeant à la journée du lendemain et à la nuit prochaine qui allait suivre.

Ajarn

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