Je m’appelle Lucas et j’ai 20 ans. L’histoire que je vais vous raconter a été un tournant dans ma vie. Elle s’est déroulée il y a près de 1 mois. A l’époque j’étais en couple avec une fille depuis plus d’un an même si notre couple battait de l’aile.
Il faut savoir que je suis très sportif : je fais pas mal de tennis, au moins 3 fois par semaine et le reste du temps je cours. Je suis donc assez bien façonné, des muscles bien sculptés sans en avoir trop. En plus de ça, je suis viril : j’ai des poils des pieds à la tête. J’étais un cliché viril, d’autant plus qu’au sexe j’aimais être très dominant avec ma copine.
Ma vie a basculé à la d’un match de tennis que j’ai joué un dimanche. Je venais de finir mon match contre un homme dans la quarantaine. C’était surprenant qu’il ne soit pas dans la catégorie d’âge supérieure. Et pour cause, je l’ai humilié, le match a été gagné très facilement. Il était tard, il ne restait plus que mon adversaire et moi au club. Pendant le match, je voyais bien qu’il était énervé de se faire mener en bateau par un petit jeune comme moi. Mais à la fin, il est devenu plus amical, et m’a même proposé un verre avant de partir. J’ai accepté pour partager un moment sympa avec un autre joueur.
On s’installe à une table et me donne une bière. Il me dit :
« T’es super fort, je me suis vraiment fait balader ahah »
Un peu gêné, je lui réponds :
« Merci, merci, tu n’étais pas mal non plus »
On a continué à parler de banalités, c’était plutôt sympa. Au bout de 15 minutes, je ne me sentais pas très bien, j’avais des nausées et j’ai donc terminé en disant :
« Je suis fatigué, je vais rentrer, mais merci pour la bière ».
Puis le trou noir.
Je me réveille adossé à ma voiture, il faisait encore nuit et mais le matin commençait à arriver. J’étais un peu confus, je me demande ce qu’il s’est passé et comprend que j’ai dû faire un malaise toute la nuit. Bref, je rentre chez moi, je passe chez le médecin qui me dit que tout va bien, et le reste de ma semaine continue.
Vendredi je reçois un message d’un numéro inconnu : je me vois nu, à pattes dans un salon que je ne connais pas. Cette photo était accompagnée d’une adresse qui d’un message qui disait : « ce soir 20h ». J’étais affolé et désemparé, je ne savais pas quoi faire. Les heures passaient et je me suis dit que j’allais devoir payer pour cette photo dont j’ignorais l’existence.
Je me rends à l’adresse, il s’agissait d’une belle maison de banlieue avec un grand jardin. Je sonne et j’ai attendu quelques secondes qu’on m’ouvre. J’ai vu alors une homme mûr, très bien entretenu d’une quarantaine d’année. Il était super musclé, il devait aller 5 fois par semaine à la salle pour avoir un tel corps, et je sais de quoi je parle, étant moi-même plutôt bien foutu. Il avait une barbe très bien entretenu. J’ai pris quelques secondes puis j’ai réalisé que c’était le joueur de tennis que j’avais humilié la semaine dernière. Il m’a dit :
« Entre ! Et vient t’asseoir sur le canapé »
Je ne savais pas trop quoi faire donc je m’exécute. Quand j’entre dans le salon, je me rends compte que c’est là où a été pris la photo. Je commence à avoir peur mais je m’assois quand même.
« Bon, petite pute, t’es prêt pour un petit film ? »
Il allume alors la télé et lance une vidéo. Je me vois alors et en même temps que je voyais le fim, les souvenirs me revenaient.
Je rentre dans sa maison et j’ai l’air très fatigué. L’inconnu, à peine rentré dans la maison, me pousse par terre. Je tombe alors comme une plume malgré mon corps un minimum massif. Avant que je puisse me relever, il m’arrache mon t-shirt de tennis et commence à me dire :
« Tu vas regretter de m’avoir battu sac à merde. T’es ptet fort au tennis mais ici t’es ma pute, c’est compris ? »
Je ne pouvais pas bouger, et je n’ai pas répondu car j’étais trop intimidé. A peine une second était passé, et je me suis pris une énorme claque dans la gueule comme jamais. La douleur était intense mais j’y ai trouvé un certain plaisir. Alors, sans même le vouloir, j’ai répondu :
« Oui »
Et bam ! Une autre claque sur l’autre joue encore plus forte.
« Oui maitre, respecte moi sale merde »
« Oui maitre, désolé »
J’étais dos au sol, déboussolé par les claques avec ce joueur de 100 kilos assis sur mon torse, m’enfermant entre ces cuisses musclés et poilus. Il s’est alors relevé et a regardé ma bite. Il a fait un petit sourire et a dit :
« Mais en plus, c’est que t’aime ça salope »
C’est vrai que je bandais comme je n’avais jamais bandé. Je ne comprenais pas ce qui m’arrivait. Le joueur finit alors de me déshabiller. Il me dit :
« A 4 pattes grosse merde ! »
Même s’il y avait une certaine excitation, il était hors de question que je me laisse traiter de cette façon, je me suis relevé et j’ai essayé de fuir. Il m’a attrapé par le bras, m’a fait une clé de bras qui me la presque brisé et il a commencé à m’étrangler et dit :
« T’as vraiment cru que t’avais le choix ? »
J’ai compris qu’il n’était plus d’humeur à rigoler. Il m’a remis au sol alors que je criais pour qu’il me laisse partir. Il a alors enlevé ces chaussures, il a pris ses chaussettes dégoulinantes de sueurs et me les a mises en bouche pour que je crie plus. Elles étaient très odorantes, et j’ai surpris ma langue à apprécier les lécher en long, en large en travers. J’aimais cette odeur de mâle alpha qui se dégageait des chaussettes. L’odeur était si forte mais je l’aimais tellement. Et alors, comme par magie, je me suis à 4 pattes. Il a recommencé à rigoler :
« ahahah c’est plus simple que prévu »
Il s’est totalement déshabillé et j’étais surpris : il ne bandait pas mais son paquet mesurait déjà bien 15 cm. Comme s’il avait lu dans mes pensées, il me dit :
« Tu crois que t’es ma première salope ? Il va en falloir plus pour me satisfaire »
Il a alors commencé à me donner des ordres. Je devais me pavaner devant lui, cambrer mon cul comme une chienne, lécher ses pieds et ses aisselles remplies de la sueur du match. Je ne peux pas dire que c’était dégoutant. Objectivement ça l’était, l’odeur était très intense et il avait beaucoup de sueurs et de poils. Mais j’adorais ça, je ne m’en lassais pas. La seule chose qui a été dure avait été de sortir les chaussettes de ma bouche. Puis il me dit de fermer les yeux, ce que j’ai fait immédiatement. J’ai alors senti sa main forte m’ouvrir la bouche, et en moins de 5 secondes, il avait enfoncé sa large bite qui bandait maintenant et faisait au moins 20 cm dans la bouche. J’ai réouvert immédiatement les yeux en essayant de me débattre : je n’avais encore jamais sucé. Mais il avait pris mes mains avec les siennes, je ne pouvais pas bouger. Il commença alors des va et vient dans ma bouche à un rythme qui était dur à encaisser. Puis il commença à me mettre toute sa bite dans la gorge. J’étais en train d’étouffer puis enfin il est sorti de ma bouche. En deux secondes à peine j’ai vomi toutes mes tripes tellement sa bite était grosse. Il a alors crié :
« Sale merde, tu vas me le payer, t’inquiète pas tu auras l’occasion de te rattraper en nettoyant plus tard… »
Je n’ai pas compris ces paroles tout de suite. Puis il remit sa bite dans ma bouche, et j’ai alors senti un liquide chaud couler au fond de ma gorge. Je n’y croyais pas… j’avais du sperm dans la bouche… moi qui ce matin était encore un domi bien monté… Et encore plus surprenant… j’adorerai le gout très salé de ce liquide, à tel point que j’en avais sur les lèvres et que j’ai léché mes babines pour n’en laisser aucune goutte.
Le film s’arrêtait là. Il me regarde alors et dit :
« J’imagine que tu ne veux pas que ça soit diffusé sur internet et envoyé à tes potes et à ta famille ? »
« Non, évidemment… »
« Tu vas devenir ma petite pute alors, ça devrait pas être si difficile, tu avais l’air d’aimer ça »
« Tu sais très bien que tu m’as drogué, je n’aurai jamais obéi sinon, bâtard… »
Et bam, encore une claque, encore plus intense que les autres sans les effets de la drague.
« Tait-toi sale merde et respecte moi… je crois que t’as bien compris la situation. Je m’en fous que tu kiff ou pas, c’est clair ? Donc si tu veux que j’efface ces vidéos, il faudra un deuxième round où tu te dépasses, ok ?
Je ne savais pas quoi répondre, j’étais humilié, souillé, et je ne pouvais pas perdre ma réputation auprès de mes proches et j’ai répondu dégoûter :
« Oui… »
Et encore une baffe… et sans même qu’il me corrige j’ai redit :
« Oui maitre »
Et voilà pour la première partie, n’hésiter à me le dire si vous voulais la suite !
LucFer
