Etalon dans les douches

Salut à tous et merci pour les retours que j’ai eus, ça fait plaisir de voir que mes histoires vous plaisent.

Comme vous le savez, je vais deux fois par semaine à l’entrainement de rugby. J’ai quelques mecs qui m’ont séduit et baisé. Un rugbyman rebeu m’a même livré en pâture à 40 mecs lors d’une tournante (voir « Tournante de rebeus »).

Un jour, à la fin de l’entrainement, je passe aux toilettes avant de me doucher. Je me retrouve aux pissotières à côté de Gabriel. Gabriel est un mec qui impose le respect... il a entre 30 et 40 ans, c’est assez difficile à définir. Et il est mastoc. Quand je dis mastoc, je n’exagère pas. C’est une armoire à glace. Il a le crâne rasé et une barbe en collier très fournie. Il a une peau assez bronzée mais pareil je ne saurais dire si c’est un rebeu ou s’il va souvent sous les lampes à UV. Il est très large d’épaule. Pour dire, il prend la place de deux mecs aux pissotières. Ses bras sont énormes, je ne pourrais pas en faire le tour même avec mes deux mains jointes. Chaque muscle semble visible. Ses mains semblent gigantesques aussi. Il a des pectoraux de malade, tellement proéminents. Ses tétons sont marron sombres, presque noirs et très gros. Son ventre est assez gros, rebondi, un mélange de graisse et de muscles. Ses jambes sont hyper musclées, énormes. Pareil, chaque muscle semble visible. Il doit faire à vue de nez 1,90m pour 150 kg. Un vrai buffle.

Je l’ai déjà vu torse nu mais c’est tout. La curiosité l’emporte sur le respect que le mec impose. Et donc je risque alors un coup d’œil rapide sur ma droite... et ce que je vois me laisse bouche bée. Il a un morceau énorme... je dirais 15 cm ... et il ne bande même pas. Je dois trop longtemps fixer cette trompe car il me regarde méchamment et me demande si je suis PD. Je nie en bloc (ce que je ne fais pas normalement mais là je ne suis pas rassuré) mais il me pousse de son énorme main vers le mur et je vois d’un coup danser des chandelles autour de moi. J’ai dû me cogner la tête et être inconscient pendant quelques secondes car sa grosse paluche me met une baffe et me réveille. Il me dit de l’excuser, il ne voulait pas faire ça. Je marmonne un truc incompréhensible et lui, satisfait, se dirige vers la porte. Je reste sur le sol, encore assommé pendant un petit moment. Puis je me relève... j’ai la tête qui tourne. Je me relève et me dirige vers les vestiaires qui sont vides.

Je veux aller me doucher. Personne à l’horizon. J’entends seulement les douches couler et quand je m’y rends, je vois Gabriel dont le corps est couvert de mousse. Par précaution, je me mets loin de lui et je commence mon lavage. Je n’ose pas jeter un coup d’œil sur la magnifique teub du buffle.

- Eh, Nico, je suis désolé pour tout à l’heure.

Je me retourne pour lui répondre... mais je reste une nouvelle fois sans voix. Sa bite a commencé à gonfler. Il a une demi-molle. Elle doit bien mesurer 20 cm maintenant. Il est en train de se laver son corps. Il passe ses mains sur ses pectoraux d’acier, sur son gros ventre. Puis il se lave la teub et la branle un peu. Je reste sans voix.

- Tu sais, je suis pas homo... mais si tu as envie, tu peux venir me la sucer.

Tout en disant ça, il prend sa teub lentement dans sa main et commence à se branler.

- Viens, approche-toi, n’ai pas peur.

N’osant pas le contredire, je m’approche de lui et tends ma main pour toucher sa teub. Il se laisse faire. Je l’effleure puis je prends son monstre en main. Il ne bande pas encore complètement mais ma main n’arrive pas à faire le tour de sa bite. Je me mets à la branler. Elle grossit à vue d’œil. Il bande dur maintenant. J’ai bien 26 cm entre les mains. Sa teub est énorme, veinée, sombre, sans un poil. Je me mets à genoux devant lui et commence à le pomper. Son gland énorme remplit ma bouche. Je ne sais pas comment je vais faire pour m’occuper du reste. Mais il me le montre. Il enfonce petit à petit sa teub dans ma bouche puis dans ma gorge. Centimètre par centimètre, sa queue s’enfonce en moi. Je suis maintenant tellement excité que je sens à peine le reflexe vomitif. Les trois quarts doivent être dans ma gorge. Je prends la base de son pénis et me mets à le sucer tout en le branlant. Il gémit. Puis il se retourne et me met son cul sous le nez. Je comprends le message. J’enfonce délicatement ma langue dans son petit trou. Je joue avec ce trou dont je lèche les contours puis j’enfonce ma langue dedans.

Puis, il se retourne et me plante sa teub dans la bouche. Il met ses mains derrière sa tête et apprécie le traitement spécial que je lui procure. J’essaie de faire des gorges profondes mais c’est très dur. Il me prend alors la tête entre ses deux grosses paluches et il me démolit presque la mâchoire. Sa bite entre de plus en plus profondément dans mon gosier. J'ai de la bave qui coule abondement. Il accélère la cadence mais au bout d'un moment, je sens la panique m'envahir, j'ai l'impression que je vais vomir. Il souffle très fort, il pilonne ma gorge... au plus fort de la pénétration, j’ai le nez dans son pubis aux odeurs mâles, et de cigarette. Il s’enfonce de plus en plus loin. Je suis super nerveux, le visage rouge, les yeux pleins de larme, le visage fouetté en cadence par ses couilles de taureau. Il souffle de plus en plus fort, accélère. Puis d’un coup, il sort sa teub de ma gueule et il se branle. Au bout de quelques secondes, contre toute attente, Gabriel me prend les lèvres et il lâche tout son foutre dans ma bouche, une incroyable dose que j'avale au fur et à mesure car je sens ma bouche se remplir à chaque giclée, il gueule comme un mâle en rut. Je n’ai jamais vu autant de sperme de ma vie. C’est vraiment une des plus grosses quantités de foutre que j’ai reçue en une seule fois... il jouit comme un geyser avec une pression impressionnante. Ses jets viennent s'écraser dans ma gorge, sur mon visage, sur mon torse, sur mon bras, sur ma main. J’avale tout ce que ma bouche peut récupérer. Je n’en laisse pas une seule goutte s’échapper. Il me fait alors nettoyer sa bite. Je jouis sans me toucher, je déverse une quantité énorme de foutre. Là, il sort des douches et me dit :

- Tu es vraiment une trop bonne suceuse ! La prochaine fois, peut-être que je tenterai le pas avec toi et ton beau cul....

Me laissant rêveur, il va se rhabiller et sort des vestiaires. Je reste sur le sol des douches pendant un bon moment, dégoulinant de sperme. J’en ai partout : sur le corps, le visage, les jambes. Et je finis par remarquer que je baigne dans une mare de jus. Quand j’entends un bruit, je termine ma douche et sors sans demander mon reste.

J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des mails. (N’oubliez pas de préciser l’histoire).