Il m’a téléphoné le jour de mes 19 ans. Et notre relation dure depuis ce jour, donc depuis près de deux ans.
Il était venu au salon quelques jours avant mon anniversaire. Dès qu’il est entré et qu’il a demandé à ma collègue s’il y avait de la disponibilité pour une coupe rapide maintenant, j’ai senti immédiatement quelque chose. Ma collègue a dit qu’elle était disponible mais il a vu que je ne faisais rien et il a demandé si moi, je pouvais lui faire sa coupe. Elle a répondu oui et il est venu dans ma direction et s’est installé sur ma chaise.
Voilà, j’allais avoir 19 ans dans les jours qui suivent. Je venais de terminer mon cours de coiffeur. D’aucuns diront que je suis vraiment cliché : twink gay, coiffeur, petit (je fais 1,67 mètre), mince (moins de 55 kilos), légèrement efféminé. Je suis blond naturel et je me coiffe toujours à la mode, parfois avec quelques mèches. J’ai des hanches fines et étroites et un cul bombé. J’aime m’habiller de jeans skinny et de t-shirts moulants ou de chemises ceintrées. Bref, quand on me voit, il n’y a pas de doute : je hurle l’homosexualité.
Lui, il avait alors 49 ans. Il pourrait être mon père. Il fait 1,84 mètre pour 90 kilos. Il est donc costaud par rapport à moi. Il est châtain clair et n’a presque pas de cheveux blancs. Il porte des lunettes.
Pendant que je lui coupais les cheveux, j’ai senti une certaine tension entre lui et moi. Nous avons échangé sur tout et rien mais il me fixait sans cesse dans le miroir. Au fil de la conversation, je lui ai dit que mon anniversaire approchait. En sortant, il m’a demandé mon numéro de téléphone afin qu’il m’appelle pour me faire ses vœux. Je lui ai donné sans croire qu’il m’appellerait.
Erreur. Le matin même de mon anniversaire, il m’a appelé. Il m’a demandé si j’étais libre pour le souper. J’ai baffouillé un oui incertain. J’avais une sortie prévue avec mes meilleures amies (toutes des filles!). J’ai tout annulé. Il est venu me chercher à 18h00 pour m’amener dans un des meilleurs restos de la ville. Je m’étais préparé : chemise rose flash très ceintrée, jeans noir hyper skinny, petits souliers italiens, quelques bijoux comme une chaîne au cou et quelques bracelets. Je porte toujours des boucles sur mes deux oreilles. Ce soir-là, c’était deux petits diamants très fins mais néanmoins visibles. J’avais mis du gel dans mes cheveux et je les avais peignés vers le haut. Je portais un petit boxer très moulant sous mon jeans.
Lui, il était en habit bleu foncé avec chemise blanche et une fine cravate bleue. Très chic.
Durant tout le repas, nous nous sommes regardés et j’ai senti sa jambe frôler la mienne sous la table à plusieurs reprises. À la fin du repas, il m’a proposé de venir terminer mon anniversaire chez lui en prenant un verre. J’ai accepté.
Il vit un peu en retrait de la ville dans un genre de chalet près d’une rivière. Dès l’arrivée, il n’a allumé que quelques lumières tamisées et il m’a servi un verre de vin. Nous nous sommes installés sur le sofa. Ce ne fut pas long avant que nos corps se rapprochent. Nous avons commencé par un baiser et des caresses. J’étais très nerveux. J’avais eu quelques expériences avant lui mais là, je sentais que les choses seraient différentes.
Il m’a attiré vers sa chambre à coucher. Près du lit, nous nous sommes encore embrassés, debout. Puis, j’ai senti qu’il me pressait sur les épaules pour que je m’agenouille devant lui. Je l’ai fait sans hésiter. J’avais le visage devant sa braguette. Je l’ai évidemment caressé, sentant les formes de son pénis sous ma main délicate. J’ai ouvert son pantalon et il l’a laissé tomber. Je me suis collé le visage sur son boxer noir déformé par sa queue. Je l’ai embrassé. Puis, il a lui-même baissé son boxer me dévoilant sa queue bien dure avec, mon Dieu, un gland énorme. Il mouillait terriblement.
Je l’ai alors sucé. C’était tellement bon. Il entrait sa queue entièrement dans ma bouche. Il voulait que je la mouille comme il faut. Il me le disait plusieurs fois. Puis, il s’est étendu sur le dos sur le lit. Il m’a demandé d’achever de le déshabiller. Je l’ai fait. Puis, il m’a demandé de me dévêtir devant lui. Lorsqu’il a vu mon boxer, je l’ai senti un peu déçu… Vous comprendrez plus loin. Mais c’était la première fois! Il m’a alors demandé de le garder et de m’approcher pour que je continue de le sucer. Je me suis installé sur le lit, sur le ventre, entre ses jambes, avec sa superbe queue devant moi. De sa position, il pouvait admirer mon cul bien enserré dans mon petit boxer. Je faisais exprès pour le dodeliner de gauche à droite pendant que je le suçais.
Il me disait :
- Allez ma petite suceuse, gâte-toi.
J’aimais beaucoup l’entendre me dire des choses comme ça. Après « suceuse », il m’a traité de « petite salope », de « fif » et de « tapette ». À chaque fois, je suçais encore plus goulûment et il le sentait.
Après un moment, il m’a pris par les épaules pour me ramener vers lui. Il m’a fait pivoter pour que mon cul soit face à lui. Il a alors descendu mon boxer et j’ai manœuvré pour qu’il le retire complètement. J’ai été étonné de voir qu’il s’en est saisi et l’a lancé directement dans une poubelle près du lit. Ensuite, il a écarté mes fesses et a dirigé mon bassin vers le bas pour qu’il puisse me lècher l’anus. Je sentais sa langue fouiller le plus loin possible en moi et humecter mon trou. Pendant ce temps, je le suçais encore. Ce 69 a duré plusieurs minutes.
J’ai alors senti qu’il m’a fait pivoter encore pour que je sois face à lui et il m’a dirigé au-dessus de sa queue. Je me suis mis en position accroupi et j’ai descendu mon cul lentement sur sa queue qu’il venait de lubrifier avec le gel qui trainait dans sa table de chevet. Nous nous regardions dans les yeux. Sans le dire ouvertement, il avait compris qu’il avait le consentement pour me pénétrer sans condom. J’y suis allé lentement et j’ai senti son gros gland mouillé forcer ma petite chatte. Au début, c’était douloureux mais une fois le gland passé, le reste de sa hampe a suivi. J’ai moi-même entamé les mouvements de va et vient. Sentir sa queue glisser en moi était un véritable bonheur. J’avais déjà été pénétré une fois par un collègue du cours de coiffure mais cela n’avait pas été une superbe expérience. Cette fois-ci, c’était naturel. On aurait dit que la queue de mon mâle était faite pour ma chatte. J’ai alors accéléré le mouvement de haut en bas.
Il s’est alors redressé et sans que sa bite quitte ma chatte, il m’a retourné en position du missionnaire. Il a alors accéléré la cadence. Nous nous embrassions en même temps. Je le sentais en moi et je sentais qu’il allait éclater bientôt.
Sans qu’il m’avertisse, j’ai senti son gland exploser dans mes entrailles. C’était la première fois que je sentais cela. C’était chaud et je sentais que son sperme envahissait mes tripes.
Il est resté ainsi quelques secondes puis il s’est retiré. Il s’est mis sur le côté et il m’a entouré de ses bras forts. En baissant les jambes, j’ai senti un peu de sperme sortir de ma chatte. Il l’a récupéré avec son doigt pour me le faire goûter tendrement. Avec ce goût de sperme en bouche, j’ai commencé à toucher ma queue pour me masturber. C’est alors que mon amant s’est levé du lit pour aller à la salle de bain.
Je suis resté un peu surpris qu’il me laisse ainsi. J’ai terminé seul de me masturber.
Lorsqu’il est revenu de la salle de bains, il m’a demandé si je voulais dormir chez lui. J’ai accepté tout de suite. Nous nous sommes collés en cuiller durant la nuit et au matin, je me suis réveillé en sentant sa queue pousser près de mon anus. Avec mes mains, j’ai écarté mes fesses pour lui faire comprendre que j’acceptais d’être pris de nouveau. Encore une fois, il m’a ensemencé au bout de quelques minutes.
Depuis ce jour, nous ne nous sommes jamais quittés. Je l’ai retrouvé le soir même et peu à peu, je me suis installé chez lui.
Il m’a rapidement fait comprendre la place que j’occupe auprès de lui. Je suis en quelque sorte « sa femme » au sens traditionnel du terme. Quelques jours à peine après notre première rencontre, il m’a signifié qu’il ne veut plus me voir porter des boxers. Désormais, seuls des strings ou des jocks seront acceptés. Nous avons donc jeté à la poubelle tous mes sous-vêtements. Nous avons magasiné ensemble en ligne et il a choisi plusieurs sous-vêtements. Je compte aujourd’hui une bonne cinquantaine de strings dans mon tiroir et quelques jocks. Je ne porte que ça, autant à la maison qu’au travail ou en sortie.
Nous avons aussi rapidement établi une routine qui me convient parfaitement. Tous les matins, je me lève une trentaine de minutes avant lui. Je me prépare dans la salle de bains, je fais mes lavements discrètement puis j’enfile un petit string aiguichant ou parfois un jock. Je porte aussi une camisole ou un crop top très gay. Je prépare le café de mon mâle puis je retourne dans la chambre à coucher. Je dépose la tasse sur la table de chevet puis je me glisse sous les couvertures. Je le réveille en suçant doucement. Il prend son café et lit ses nouvelles sur sa tablette pendant que je déguste sa queue. Quand il range sa tablette et sa tasse sur la table, je comprends le message : je remonte vers lui, j’écarte le fil de mon string et je l’enfourche comme une vraie femelle. Parfois, il me renverse sur le dos pour reprendre la position du missionnaire. Parfois il me met sur le ventre pour finir en levrette. D’autres fois encore, il se retire de ma chatte pour m’asperger mon petit visage de fif de son délicieux sperme.
C’est comme ça depuis bientôt deux ans. J’ai 21 ans et lui 51. Quand je pars au salon pour faire ma journée, je garde mon string du matin ou j’en mets un autre s’il est trop taché. J’enfile un jeans skinny ou parfois un legging. Mon patron a accepté de me faire terminer mes journées plus tôt afin que je puisse rentrer à la maison avant mon mâle. Je peux donc me préparer à le recevoir dignement. Parfois, je reste habillé comme au salon. D’autres fois, je l’accueille seulement vêtu d’un petit string ou d’un jock. Dès qu’il arrive, nous nous dirigeons dans la chambre pour que je le déshabille et que je l’embrasse sans cesse. Il a toujours des grosses journées et je l’écoute me raconter ce qu’il a vécu avec ses collègues. Je le déshabille doucement et dès que j’arrive à la braguette, je le suce immanquablement. C’est plus fort que moi. Après quelques minutes, je me précipite dans la salle de bains pour lui faire couler une douche ou un bon bain chaud. C’est moi qui le savonne, tout en le complimentant sur son corps parfait.
Je le sèche dans une serviette préalablement chauffée dans la sécheuse. Pendant qu’il se met à son aise dans des vêtements d’intérieur, je prépare le repas du soir. Nous prenons un verre de vin et je ne cesse de l’admirer en le caressant et lui disant combien il est beau.
Après le souper, il lit souvent. Je suis alors lové contre lui, lui caressant les mamelons ou le torse. Parfois, je descens entre ses jambes pour le sucer un peu. Bref, je ne le lâche jamais et il aime ça.
Vers 22h30 ou 23h00, nous nous dirigeons dans la chambre et nous allons au lit. Je retire alors mon petit string et il me pénètre, la plupart du temps en position du missionnaire. Nous nous embrassons et il vient en moi. Nous nous endormons collés jusqu’au matin suivant où le manège reprend. Depuis deux ans, il est venu en moi deux fois par jour presqu’à chaque jour. Je m’efforce de toujours lui plaire en variant mes habillements. C’est très important de maintenir l’intérêt de son homme.
Quand le matin il choisit de m’asperger le visage plutôt que de m’ensemencer les entrailles, il insiste pour que je laisse sécher son sperme sur ma peau. Je vais au salon de coiffure comme ça. Je sais que du sperme séché ne paraît pas trop à la longue mais moi, je sens cette masse visqueuse collée sur mes joues et je passe de très belles journées. Sinon, je sais que sa semence est en moi, dans ma chatte, dans mes entrailles, et cela me rend fier.
Quand nous sortons parfois le week-end ou que nous faisons quelques courses ou que nous voyons des amis, il insiste pour que je porte un butt plug. Au début, je trouvais cela un peu inconfortable mais maintenant, je me suis habitué et je le mets moi-même sans que mon mâle ait besoin de me le dire. J’en ai quelques modèles dont les bouts sont comme des bijoux. Mon mâle aime beaucoup savoir que ce petit diamant rose, vert ou violet sort de ma chatte. J’enfile alors un string par-dessus puis un jeans skinny et nous sortons ainsi. Personne ne le sait, mais c’est une façon pour mon mâle de me signifier que je lui appartiens dans nos sorties publiques de couple. De retour à la maison, lorsqu’il est temps de faire l’amour, c’est lui qui me retire le plug, parfois avec les dents. Ma chatte est alors toute prête à être de nouveau remplie par la semence de mon mâle.
Je ne me vois pas vivre sans lui. Je suis prêt à poursuivre ce rythme encore longtemps. Je ne peux m’imaginer passer une journée sans être rempli de son jus ou que mon visage sente son sperme séché sur ma peau.
Je suis une tapette. Je suis un fif. Je suis une femelle toute dédiée à son mâle. C’est ma vie et j’aime ça.
Thibaut
