Saison 1
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Saison 2 | Le restaurant
Chapitre 3
Il voulait en savoir un maximum sur moi. Certainement pour mieux préparer les termes du contrat que nous devions voir ensemble dans la soirée avec Stéphane. Je sentais sous ma main que son excitation était au summum et qu’il attendait de moi que je lui raconte par le menu mes expériences. De mon côté, je bandais tellement fort qu’une tache de precum apparut sur mon pantalon. Je vous rappelle que je n’avais pas de sous-vêtement. Trouvant que je prenais trop de temps à lui répondre, il réitéra sa question.
- Ne fais pas ta timide ! Raconte-moi tout.
- Cela pourrait être long.
- Fais court, si tu veux, mais dis-moi le plus de choses possibles
- Par où commencer ?...
- Arrête ton char, ma jolie ! Raconte !
- En fait d’expériences, j’en ai eu pas mal. Des bonnes et des moins bonnes.
- Voilà qui est intéressant.
- J’insisterai sur les meilleures.
- Si tu veux mais accouche.
En guise de meilleures, je lui racontai mon dépucelage avec Stéphane et mon initiation de salope, puis les expériences vécues avec Félix, un étudiant en droit rencontré sur les bans de la fac l’année précédente.
- Félix, Félix ? J’en ai connu un comme étudiant en droit, un beau mec noir de Côte d’Ivoire. Je l’ai même eu en stage chez moi. Son père m’avait contacté directement pour que je m’occupe de son rejeton, en tout bien tout honneur, cela s’entend.
- C’était lui, fis-je.
- Je ne savais pas qu’il était pédé sinon j’aurais tenté ma chance.
- Pédé actif à 2000% et quel étalon ! Un baiseur hors pair. Je ne pense pas que vous auriez pu le prendre dans vos filets Maître.
- Humm ! Il ne faut préjuger de rien. J’en ai connu des retors qui sont devenus des salopes hors du commun. Il y en a même quelques-unes dans ce restaurant en ce moment. Quoi qu’il en soit, il devait être bien monté le bougre car même si je n’ai rien fait avec lui, la bosse permanente qu’il arborait sous son jean laissait entrevoir des formes plus que généreuses.
- Oui Maître, un peu comme vous.
- Tu aimes donc les grosses bites et en plus, tu aimes les prendre bien à fond. J’ai pu déjà apprécier ce talent.
- Oui j’adore. J’en mouille rien que d’y penser.
- Tu mouilles. Vérifions cela, tout de suite.
Sa main était toujours dans mon dos mais cette fois-ci, il tenta une incursion plus intrusive.
Malgré le plug, il réussit à introduire son majeur et put sentir que je disais la vérité. J’avais la chatte dégoulinante de mouille.
- En effet, tu mouilles bien. Ça devrait faciliter beaucoup de choses. Et avec ton Félix, tu as fait plein de choses, je suppose.
- Oui Maître. Il aimait que je me fringue en femme.
- Humm génial ! J’adore l’idée.
- Il aimait quand j’arrivais habillé en pute. Cela devait lui donner bonne conscience. Lui aussi aimait me partager et en faire profiter ses potes ivoiriens et tout ça bien sûr avec l’accord de Stéphane qui m’accompagnait parfois pour me touzer.
- Je crois que l’on va bien s’entendre avec ton mac. Je constate que notre petite pédale est encore jeune mais que l’on n’a plus grand chose à lui apprendre.
- Il y a toujours plein de choses à apprendre et je suis prêt à tout pour connaître de nouvelles expériences.
- Prêt à tout vraiment ?
- Oui Maître.
- Alors, tu ne vas pas être déçu. D’autant moins que je viens d’avoir la confirmation que tu es une vraie chienne qui adore la bite.
- Oui Maître, une vraie chienne qui adore se faire bourrer à fond à gros coup de reins Sentir une grosse queue en moi me ramoner la cheminée me fait toujours monter au 7ème ciel. Et parfois, j’en jouis du cul avant d’en jouir de la queue. Mais doutiez-vous que j’en fus une ?
- Non pas vraiment mais je voulais en être certain. C’est chose faite. Tu me plais grave. En plus, tu es très mignon ce qui ne gâche rien. Continue à m’exciter et à me caresser la bite… tu aimes exciter hein ?... Tu adores te faire désirer, ce n’en est que meilleur pour ton petit cul de salope ?
- Oui, lui répondis-je en passant ma langue sur mes lèvres.
- Ah oui ! une vraie salope comme je les aime. Continue…
- Que dire de plus. Tout a été dit ou tout du moins l’essentiel. Je n’ai pas évoqué les séances de partouze à la campagne où je me fais niquer par une dizaine de mecs durant tout un week-end. Je suis à leur totale disposition du vendredi au dimanche soir. Dès que j’arrive, je suis mis à poil et là c’est une suite ininterrompue de queues qui me baisent dans tous les sens et par tous les trous à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit. En plus, comme j’adore les doubles ….
Juste à ce moment précis, le serveur arriva avec notre commande. Avait-il entendu la dernière partie de ma phrase ? Toujours est-il qu’un grand sourire illuminait son visage et qu’il se permit une audace que je trouvai déplacée en me demandant droit dans les yeux :
- Et pour la jeune demoiselle, c’est quoi déjà ? Une bonne double salade ?
Maître Thibaud éclata de rire en voyant mon air effarouché.
- Ne le prends pas mal, c’est moi qui lui ai demandé de te dire cela ? Enfin surtout la 1ère partie, la 2ème est totalement improvisée mais tombe à point.
- Et pourquoi ? Même si j’aime sexuellement me comporter en jeune demoiselle, je n’en suis pas moins un mec et fier des attributs dont la nature l’a doté.
- Je voulais juste voir ta réaction. C’est comme un bizutage, une farce de potache et j’ai eu ce que je voulais. J’adore les jeunes donzelles effarouchées ; en général, c’est du feu sous la glace et tu en fais partie. Ça me plaît…
Notre serveur avait suivi ce bref échange avec intérêt et comme pour en rajouter, nous dit qu’il adorait ça lui aussi en m’adressant un clin d’œil malicieux. Maître Thibaud l’ayant aperçu lui signifia que j’étais chasse gardée et le congédia aimablement avec une claque sur les fesses. Ce déjeuner prenait une tournure des plus grivoise. Une odeur de vice régnait dans l’air qui contrastait avec la « classiosité » des lieux. L’accumulation des phéromones mâles accentuait ce contraste et un frisson de désir irrépressible me traversa. J’avais une envie folle de me faire fourrer mais les lieux, pour l’instant, ne s’y prêtait guère. Instinctivement, je dirigeai ma main vers ma bite en feu pour la caresser quand soudain, il me prit le bras et d’un air autoritaire m’obligea à l’enlever.
- Que fais-tu ? C’est moi qui décide de ce que tu dois faire et n’oublie pas que ton seul souci, comme tu l’as dit, c’est de satisfaire ton mâle. Ton plaisir, tu l’auras après, quand je l’aurai décidé. Est-ce clair ? Alors, écoute-moi bien, petite salope, si tu tentes encore une fois de te branler sans mon accord, c’est le fouet et l’abstinence.
Ce dernier mot était si horrible à mes oreilles que j’en pris acte immédiatement. Maître Thibaud, passé maître en domination, savait parfaitement que seul le désir exacerbé du soumis peut le pousser aux extrémités et l’obliger à accepter de faire des choses qu’il ne ferait pas s’il n’y avait pas cet aiguillon permanent de l’inassouvissement. Cette fois encore, il venait de prendre l’ascendant sur moi. Sa domination était quasi constante et j’en ressentais intérieurement une certaine jouissance. Mon baromètre étant en la matière mon anus, je le sentis qui se contracta comme sous l’effet d’un immense frisson. Cette contraction anale, fort agréable, était la preuve de mon consentement physique, et secondairement intellectuel. Cette remarque faillit me faire rire, car elle prouvait que finalement l’expression « penser avec son cul » pouvait recéler quelques fonds de vérité.
Sans m’attendre et me souhaiter bon appétit, il commença à déguster son hors d’œuvre. Machinalement, je fis de même. J’étais affamé et la salade semblait fort appétissante.
- Arrête ! Tu mangeras quand je te le dirai. Continue à me raconter tes aventures et n’oublie pas ma queue au passage. Tu disais donc que parfois, tu passais des week-ends entiers à te faire baiser. Où ça ?
- Chez un ami de Stéphane dont les parents possèdent une maison dans les Landes au milieu de nulle part. La plupart des mecs présents étaient de l’équipe de hand dans laquelle joue Stéphane. Il y avait aussi une ou deux filles pour les satisfaire mais je reconnais qu’ils aimaient bien me baiser. Ils devaient y trouver un plaisir différent. Peut-être celui de la transgression et de la nouveauté.
- Un trou reste un trou et tant que les mecs ne se sentent pas atteint dans leur virilité, tout est bon à prendre, et en l’occurrence, à baiser. Intéressant et c’est arrivé souvent ?
- Au moins une fois par trimestre Maître.
- Humm ! Beau palmarès à ce que je vois et tu parlais de double sodo.
- Oui, ils m’aiment surtout pour ça et vous avez pu voir par vous-même que j’aimais ça.
- En effet et j’ai fort apprécié mais je suppose que deux queues de mâles bien virils, c’est mieux qu’une seule avec un gode.
- Oui Maître. Les sensations ne sont pas les mêmes.
- Je n’en doute pas. Si c’est le cas pour la salope qui se fait emmancher, c’est la même chose pour l’actif. Sentir une bonne queue frotter la sienne est une merveilleuse sensation.
- Vous seul pouvez en juger Maître. Moi, je ne l’ai jamais fait. J’ai toujours été passif, le demeure et le resterai.
- Et pourquoi cela ? Tu n’as jamais baisé un mec ou une meuf ?
- Si, cela m’est arrivé mais je préfère le contraire. Peut-être par goût de la soumission.
- Cela me va parfaitement.
Ayant terminé son hors d’œuvre, sa main reprit sa position derrière mon dos. Ses doigts fouillaient mon intimité malgré la présence du plug. De toute évidence, il aimait sentir la dilatation de ma rondelle, dilatation facilitée par la crème du plug et ma mouille.
- Je constate que tu es bien dilatée, ma chérie. Tu aimes ça ?
- Oui Maître.
- Et ma queue tu la sens bien sous mon fute ?
- Oh oui Maitre et j’en ai très envie.
- Ne t’inquiète pas. Tu vas l’avoir et deux fois plutôt qu’une.
Sous l’effet de ses doigts, je commençais à tomber en pâmoison émettant quelques geignements incongrus. Quelques têtes se retournèrent vers nous, mais Maître Thibaud n’en ayant que faire continua son travail de fouilles proctologiques. Mes gémissements, certes faibles, ainsi que les regards fixés sur nous semblaient au contraire l’exciter. En bonne salope, je m’empalais sur ses doigts cherchant à les faire aller le plus loin possible. Puis soudain, alors que j’aurais aimé que cette séance de prospection se poursuive, il retira sa main et dans un geste déplacé, la porta à ses narines. Ce geste n’échappa pas aux observateurs curieux qui nous espionnaient en douce. Maître Thibaud devait être connu pour cela, car dès que son regard appuyé par un mouvement de tête affirmatif se fit approbateur, les yeux se détournèrent de nous pour, certainement, commenter mon adoubement.
J’étais aux anges et la journée était loin d’être finie.
Luc
