Premier épisode | Épisode précédent
6| S'ENCULENT
- 10...9...
Et là le père de famille qui est derrière moi il n'en peut plus ! Il a carrément attrapé mes hanches et il fait des va-et-vient entre mes jambes, très lentement pour ne pas attirer l'attention. Sa bite est énorme, j'adore !... Je pense qu'elle est encore plus grosse que celle de mon père.
Je glisse ma main entre mes jambes et le bout de mes doigts touche son gland mouillé, il est tout rond et tout lisse, il glisse sous mes doigts... le mec tressaille ! Apparemment ça lui fait beaucoup d'effet !... Si ça continue il va me jouir dessus !
- 6... 5... 4...
Vincent est au bord de l'asphyxie. Je vois Côme appuyer sa longue queue dure sur le visage de Vincent et je l'entends dire à son partenaire immobilisé :
- ...ouvre la bouche et je te laisse respirer...
Vincent est cramoisi, la veine de son front semble vouloir éclater, il se débat de toutes ses forces. L'homme d'affaires ouvre et ferme les jambes sans pudeur, il se secoue, il se tort. Jambes écartées face au public, en appui sur ses pieds il soulève son bassin et secoue ses grosses couilles et sa grosse teub de façon totalement indécente, il expose toute son intimité dans toutes les positions imaginables.
- Oooooohh !
L'homme qui est derrière moi continue ses lents va-et-vient entre mes jambes. Je sens sa grosse bite dure se contracter lorsqu'il dit :
- Putain ces 2 petits papas, ils montrent vraiment tout ! C'est des vraies putes !!
- 2...
Et en effet, le grand Vincent, sans aucune pudeur, lance une jambe en arrière, chope la tête du petit Côme et rabat le blondinet contre lui !
- Magnifique prise de ciseaux vrillée de la part de Vincent... retournement... prise de grappin... Vincent n'hésite pas à tout nous montrer mesdames et messieurs... profiTEZ-EN !
Si bien que Vincent parvient à retourner son jeune adversaire, et le force à s'allonger sur lui. Tête bêche, les deux hommes se retrouvent en position de 69, chacun ayant la tête entre les jambes de l'autre.
Mais plus coriace que prévu, le blondinet sans pudeur plaque à nouveau l'intimité de son entrejambe sur la figure de Vincent pour le maintenir au sol.
- 10... 9...
Vincent maintient ses jambes refermées autour de la tête du blondinet et lui plaque lui aussi son énorme sexe mou sur la figure. Le gros sexe compressé paraît énorme... son gland sort de plus en plus. Vincent appuie encore plus le petit visage contre lui... et plop ! ça le fait complètement décalotter...
- OOooooh !
... sous les yeux de son jeune adversaire partagé entre la surprise et l'émerveillement.
- 7... 6... mesdames et messieurs c'est incroyable je n'ai jamais vu ÇA nos deux gladiateurs nous offrent une pose extrêmement seXUELLE notre petit Côme bande comme un petit pédé je dois dire et le grand Vincent vient juste de décaLOTTER c'est incroyable mesdames et messieurs c'est à un-véritable 69 que nous assistons... entre ces deux hommes nus... totalement hétérosexuels ou presque... mais euh... très excités quand même !...
Côme s'est mis à quatre pattes au-dessus de Vincent, fesses en l'air, mais il a le visage coincé contre l'énorme bazar de son très viril adversaire. Il ferme les yeux. Il sourit presque. J'ai l'impression qu'il profite de cet instant inespéré pour sentir l'odeur de la grosse bite du jeune papa !
De l'autre côté, jambes ouvertes au-dessus
de la tête de Vincent, il expose à tous sa rondelle blonde, il aime tellement la montrer ! Son grand sexe rigide et blond va et vient sur visage de son adversaire qui ouvre des yeux immenses pour s'imprégner du spectacle inoui de ce petit papa blond en érection. Et de là où je suis, je vois que Côme dépose sur le visage de Vincent quelques fils de liquide visqueux et transparent.
- 3... 2...
Et de nouveau, au premier rang, on entend Côme dire :
- ... putain mais ouvre la bouche !
Et là...
Et là... un silence s'installe...
Bizarrement, tout semble ralentir... comme si le temps suspendait sa course... l'instant s'étire... une simple seconde qui semble durer une éternité... Vincent, nu, ressent le souffle frais de Côme sur son gland mouillé... il ferme les yeux... quelque chose de paisible
est en train de s'installer en lui... enfin !...
Tout son corps se détend... ses paupières s'alourdissent... ses couilles descendent et se détendent... une nostalgie douce semble s'emparer de lui... quelque chose de très profond qui remonte à l'enfance... il est pris d'émotion... il se demande presque s'il ne va pas se mettre à pleurer...
Et lorsqu'il rouvre les yeux, de là où je suis je perçois que son regard a changé, il a perdu toute agressivité... il semble étonné, il sourit presque...
- 1...
Alors, lentement, Vincent ouvre les lèvres...
Et il commence par lècher le liquide pré-séminal que son adversaire a déposé autour de sa bouche.
... Puis le jeune homme d'affaire burné, tout doucement, pose ses lèvres autour du gland rose du jeune directeur ass.
Un silence absolu s'installe... suivi de quelques murmures gênés... On entend :
- Oh putain...
Les deux hommes ne se regardent pas mais chacun sourit à la bite de l'autre. Et le sexe compressé de Vincent s'allonge de plus en plus contre le visage du jeune Côme. Vincent chuchote à son intention :
- Tu sais je suis pas pédé mais...
Mais Côme, tout à son plaisir :
- Chhhhtt !... Tais-toi et profite...
Alors chacun des deux hommes embouche son partenaire et ferme les yeux... Le public est suspendu. La grosse bite sous mes fesses se contracte fortement. Les têtes des deux combattants commencent des va-et-vient longs et langoureux... leurs nuques ondulent avec souplesse et ils roulent sur eux-mêmes de façon narurelle et coordonnée ! Comme si leurs corps étaient faits l'un pour l'autre, comme s'ils se connaissaient depuis toujours...
Les mouvements des deux jeunes pères de
famille, sont sûrs, leurs bouches expertes...
Et le public, silencieux et halluciné, se demande sincèrement si c'est vraiment leur première fois... Les deux papas se sucent et se doigtent mutuellement, ils roulent doucement sur eux-mêmes, offrant au public ébahi le spectacle total et complet de leur plaisir.
Judicieusement, l'organisateur choisit de fermer sa grande gueule.
Le papa derrière moi a carrément glissé sa main dans mon maillot et a trouvé mon petit trou. Au début je me laisse faire, c'est bon, mais je me dis ensuite que même si j'ai l'âge requis par les organisateurs du centre pour regarder ce magnifique combat huilé, je suis en revanche un peu trop jeune pour me faire sodomiser dans la présente histoire.
L'homme derrière moi est très beau, c'est un papa très gentil et souriant. Ses mouvements
sont doux. Ses doigts me carressent doucement l'anus. Alors je me contente de glisser mes deux mains derrière mon dos et de choper sa grosse bite d'hétéro bien chaude et ses grosses couilles douces et molles. Je commence à le caresser.
Au toucher, sa bite est aussi grosse que celle de mon père... par contre ses couilles sont beaucoup plus grosses, mais tout aussi douces. J'adore !
L'homme écarte les cuisses, il souffle, je sens qu'il aime...
- han...
Ça tombe bien, pour ces vacances je m'étais fixé de toucher un zizi de mec par jour... et là rien qu'aujourd'hui j'ai pu palper les zizis de 4 jeunes papas dont un avec la langue et dont plusieurs anus !! Putain elles sont trop bien, ces vacances !!
Et pendant ce temps, le combat huilé, qui s'est transformé en double fellation publique,
continue...
Vincent ouvre les yeux.
- Encule-moi, mon petit...
- Toi d'abord, mon grand...
- Bon d'accord
(Pas besoin d'insister)
Alors le petit Côme se met sur le dos et écarte grand ses petites cuisses blondes. Sa longue verge rose lui mouille le nombril.
Vincent se positionne au-dessus de lui, entre les petites cuisses. Ses grosses couilles balancent, son sexe est énorme... Et il appuie son gros gland sur le petit orifice.
Côme ferme les yeux...
Un murmure traverse la foule...
- Papa ?...
- Madame veuillez emmener votre fils, s'il vous plaît, il ne peut pas rester là.
- Mais c'est son père !
- Raison de plus, Madame... son père est en train de se faire enculer, là... alors euh...
- Papa ?...
Mais Côme ne semble rien entendre, il relève encore plus le bassin.
Et au moment où on entend Côme, allongé sur l'estrade, dire à son adversaire :
- Vas-y... appuie, bordel !!
... la grosse bite du papa derrière moi se crispe et se durcit... il ne cesse de répéter :
- ... des vraies putes !
Vincent appuie... je vois tout !... et plop ! Ça rentre. Vincent plaque brutalement son pubis contre les couilles de Côme, qui bascule la tête en arrière et pousse un cri rauque de soulagement.
- Rhhhaahhh...
Et là tout le public d'hétéros se dit : Qu'est-ce que ça a l'air bon de se faire enculer !...
Je refuse à nouveau mon petit trou au papa derrière moi, qui est de plus en plus insitant mais qui doit se contenter de va-et-vient entre
mes jambes. Il a baissé mon maillot et plaque son pubis poilu contre mes petites fesses. Je continue de lui caresser le sexe... Je sens qu'il n'en peut plus...
- han... han...
... comme mon père quand il va éjaculer.
À présent ses bras m'entourent, il est grand, je suis beaucoup plus petit que lui, il a glissé ses deux grosses mains de papa dans mon slip. Elles sont chaudes et rugueuses... qu'est-ce que c'est bon ! Il me malaxe le sexe sans douceur, maladroitement, brutalement, il est tellement excité ! Il me souffle dans le cou, il intensifie ses va-et-vient entre mes jambes en me pétrissant avec brutalité... il me traite comme une chose.
- han...
Puis il se crispe, il s'immobilise... sa bite se tend...
- hhhan...
Il me serre tellement le zizi que ça fait mal...
- hhhhhan...
... et son sexe énorme et dur entre mes jambes se contracte très fort... et se met à projeter de grandes saccades de sperme chaud...
- hhhhhan... han... han... putain c'est bon... han... des vraies putes, ces mecs... han...
Je sens tous les spasmes de son zob de papa... et ça se met à dégouliner lentement dans mon petit maillot et entre mes cuisses... ça dure longtemps... il jouit... il savoure... il ne cesse d'éjaculer... il me touche partout... il profite, le pédé !
Puis soulagé, il se décontracte et pose sa tête sur la mienne en forme de reconnaissance fraternelle. Je sens toujours ses poils contre mes fesses, et son gros sexe mouillé de père de famille qui commence à débander lentement entre mes cuisses... j'adore.
Puis il essuie sa grosse bite contre mes fesses et range son bazar, ensuite il me caresse une dernière fois le sexe, le pédé... et
me remonte le maillot, même s'il est tout visqueux. Et finalement il me gratifie d'un grand sourire et d'une tape sur l'épaule... puis s'éloigne.
Dégoulinant de son sperme, je me demande s'il n'a pas un peu profité de moi, quand même... mais non... il ne m'a même pas sodomisé... alors je me dis que c'est moi qui l'ai bien eu, le pédé... mais je ne suis pas très sûr...
Quand je relève la tête, je m'aperçois que les deux gladiateurs copulent à présent sans honte et s'exhibent en pleine sodomie devant ce public de voyeurs absorbé par ce spectacle magique : Quand même ! deux papas qui s'enculent !
À présent Côme et Vincent sont tous les deux sur le dos. Côme est au-dessus, appuyé sur ses bras en arrière, et son cul monte et descend le long des "vincentimètres" de son adversaire.
Jambes écartées, le petit directeur ass semble prendre un plaisir inouï à se faire enculer devant sa propre famille et devant tous ces pédés d'hétéros, ces branleurs qui ne rêvent tous que d'être à la place de Vincent... voire même à celle de Côme !
Le petit Côme écarte, son anus monte et descend le long de l'énorme hampe, et sa longue verge rose dressée vers le ciel décrit des mouvements désordonnés et totalement indécents. Il éprouve un plaisir fou, il ne tient plus sa tête, par moment son regard se révulse complètement. Il ahane, il pousse des cris de tapette, il sait qu'il se montre à tous dans la pose la plus humiliante qui soit... mais il aime... il se sent bien.
Les énormes couilles de Vincent sont secouées dans tous les sens comme deux vulgaires sacoches, elles ont l'air tellement pleines ! Vincent pousse des cris rauques. Les deux hommes kiffent, ils s'enculent en s'insultant mutuellement :
- gros pédé !
- petite pute !
- t'aimes çà, hein ?
- je t'encule !
- ... encore...
Et d'un seul coup, les deux grosses baloches remontent. Vincent se crispe. Il attrape le petit Côme par les hanches et le plaque le plus profondément possible contre lui. Côme ouvre des yeux immenses et pousse un cri...
Putain, ils vont pas jouir devant tout le monde, quand même ?!
Mais c'est déjà trop tard, les hommes ont tous les deux franchi le point de non retour. Ils vont jouir, les pédés ! Jouir devant leurs amis, éjaculer devant leur famille, éprouver en public ce plaisir homosexuel que tous les hétéros nous envient secrètement !
Ils se feront traiter de pédés, on se moquera... mais c'est trop tard, ils ne peuvent plus
reculer. Ils savent tous les deux que l'orgasme approche. Ça leur brûle les couilles et jusque dans leur cul. Ils ouvrent grand la bouche, ils respirent fort. Leur tête part en arrière...
Et d'un seul coup, le petit Côme envoie une immense giclée vers le ciel...
- Ooooooh !!!
... puis une autre, tout aussi haute...
- Ooooooh !!!
... puis une troisième...
Et au même moment la pompe de Vincent démarre : ses grosses couilles remontées dévoilent cette zone intime, sous les burnes, qui se contracte intensément à chaque spasme, ça monte et ça descend... putain, qu'est-ce qu'il envoie !! Les contractions sont énormes, régulières... on voit qu'il éjecte dans le cul de son adversaire des quantités colossales de purée !
Les deux hommes jouissent, comme deux homosexuels qu'ils sont... des pédés pour de
vrai... enfin !
Et plus Côme se vide... et plus il se remplit !
- Papa ?
- Madame je pensais avoir été clair...
Tiens, on ne l'entendait plus celui-là...
- Désolé mesdames et messieurs je vais devoir vous laisser parce que... ben... là j'ai éjaculé dans mon slip à cause de ces deux péd... et... bref là ça coule, alors...
L'homme raccroche le micro puis le reprend :
- Je déclare Côme et Vincent vainqueurs ex aequo aucun n'a démérité ils nous ont offert un spectacle inespéré ils ont tout donné mesdames et messieurs on applaudit nos gladiateurs !!!
- OUAAAAAAIIIS !!!
- Je suis désolé je dois vraiment vous quitter c'est le bordel dans mon slip !
Et il raccroche enfin. Bon débarras.
Les deux combattants restent sur scène, ils se décontractent enfin. Ils sourient. Le petit Côme est recouvert de son propre foutre. Les hommes se relâchent. Leurs couilles molles se détendent. Ils continuent de s'insulter mais avec tendresse...
- petite pute, va...
- toi-même gros pédé...
- tapette...
- attends ton tour...
- chiche ?...
Et d'un seul coup, la grosse queue ramollie de Vincent, s'échappe du trou de son amoureux hétéro et une énorme quantité de liquide visqueux s'échappe de la petite rondelle.
- Oooooohhh !
Côme semble n'en éprouver aucune honte. Il aime tellement exposer son anus ! Alors il ouvre grand pour bien montrer à tous son orifice endolori et dégoulinant.
Mais ce qui me fait le plus d'effet, c'est son
sourire ! Ce petit directeur, ce jeune père de famille, ce petit enculé d'hétéro, il vient de se faire sodomiser profond profond et il sourit !! Il semble tellement épanoui !
Il expose à tous son anus qui dégueule et son pénis qui débande... et il parait tellement heureux !
À présent tous les hommes du public ont la main dans le maillot de bain. Ils se branlent, tout simplement. On voit des bouts de pénis qui dépassent !... putain mais c'est tous des pédés là ou quoi ?!
Au milieu d'eux se trouve mon père, je le vois de loin. Il a 36 ans il aurait bien voulu participer. Lui il a carrément laissé tomber son maillot aux chevilles, ça ne m'étonne pas, il a toujours aimé ça, les hétéros qui s'enculent. Il a le sexe en avant, il se branle... j'aime bien quand il fait ça... il va sûrement éjaculer devant les autres papas... comme quand son ami Zebbi vient à la maison et que maman n'est pas là. (Voir "l'habitat papa"
saison 4)
Moi qui suis au premier rang, je suis en face de Côme, pas un détail de son intimité ne m'échappe :
Il débande doucement, son prépuce entrouvert libère un reste de sperme, son cul continue de dégueuler, ses poils des fesses sont tout collés, il sourit, ses couilles roses, toutes mignonnes et toutes plissées sont toutes détendues...
... putain qu'est-ce qu'il a pris !... et qu'est-ce qu'il a joui !
Et là, heureux et exposé, jambes ecartées face à moi, il pose sur moi son regard... comme pour me faire ressentir l'intensité de son plaisir.
Il me regarde droit dans les yeux et il saisit son sexe, il ouvre encore plus les jambes et s'adresse à moi, paternel :
- t'aimes ça, hein, petit ?
Je suis pétrifié, fasciné par autant d'impudeur ! Mon regard va de son visage à son sexe et
de son anus à son regard intense.
Je lui regarde tout : les yeux le sexe l'anus le sexe les yeux le sexe l'anus le sexe l'anus les yeux le sourire l'anus...
Et il se laisse regarder, le pédé. Je profite de cet homme en exhibition totale, offert sans limite, qui me sourit... heureux.
Je bande tellement !... Alors je décide de me tripoter un peu le zizi dans mon petit slip, comme tout le monde... mais c'est trempé là-dedans, mon slip de bain est encore tout dégoulinant du sperme de cet autre papa qui m'a éjaculé abondamment entre les jambes. Mes mains et mon zizi en sont recouverts, c'est tout visqueux... trop coule...
Mais déjà une chaleur brûlante m'envahit et me dépasse... je sens que je vais jouir à mon tour... Putain trop bien, je vais jouir en public comme un pédé !!
Et Côme qui a compris me sourit et ne me lâche pas du regard. Paternel, il garde ses
jambes grandes ouvertes face à moi.
- Vas-y, petit, lâche tout...
Il se touche le sexe... Je n'en peux plus, je baisse mon slip... et je décalotte... tant pis si les papas du public me regardent...
De loin j'entends mon père qui jouit, je reconnais son cri de pédale.
Mes couilles me brûlent, ça va gicler d'une seconde à l'autre. Je sens qu'on me regarde... c'est bon !
Côme me sourit en exhibant son corps de jeune papa et d'enculé :
- Mate, petit, mate, tout ça c'est pour toi...
Jam
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