Vacances en famille

Chapitre 3

Salut à tous,

J’aimerais vous raconter une histoire (en partie) réelle.

Moi, c’est Nico, 18 ans. Comme chaque année, je vais passer les vacances d’été chez mes grands-parents. Je dois malheureusement dormir dans le même lit que mon frère... ce qui m’empêche de me branler. Mais bon... les journées sont assez calmes sans trop l’être. Mes cousins, Rémi et Christophe, habitent à côté, ce qui rend le séjour moins ennuyeux. Surtout cette année, car Rémi et moi découvrons des plaisirs intimes. D’abord, on compare nos bites et de fil en aiguilles, on couche ensemble, moi étant fasciné par ses 22 cm. Durant mon séjour, on baise souvent tous les deux. Mais apparemment mon frère remarque notre petit manège. Un jour, il se fait passer pour mon cousin et il se glisse dans mes draps et il me baise.

Les vacances à la campagne sont finies...Je rentre à la maison avec mon frère. Je repense à ces moments de folie ! Je me suis fait baiser sans arrêt pendant ces vacances. Mon cousin a profité de mon cul la journée et chaque nuit, c’est mon frère qui s’est occupé de moi. Je me suis vite senti comme une pute... et j’ai adoré ça ! Je ne remercierai jamais assez mon cousin de m’avoir initié au sexe entre mecs.

Je me retrouve chez moi, dans mon lit, seul. J’ai retrouvé mes parents qui étaient contents de nous récupérer. Je les ai entendus tôt ce matin sortir pour aller au boulot. J’ai réussi à me rendormir et je fais la grasse mat’. Je me réveille plus tard. Je jette un coup d’œil sur mon réveil : il est 10h. Je ressens quelque chose. Je capte alors ce qui m’a tiré de mon sommeil. Thomas s’est faufilé dans ma chambre et il a fait glisser le drap fin qui me recouvrait, libérant mon corps à moitié nu. Par la chaleur, je dors seulement en caleçon. Il l’a fait lentement glisser pour libérer mes fesses. Je me doute qu’il les a caressé et tapoté comme il l’aime le faire. Il adore mon cul légèrement poilu et bombé. Quand il donne de petites tapes dessus, il les voit un peu onduler et ça lui fout la trique. Il adore faire ça, admirer mes fesses et les malaxer pendant de longues minutes.

Sans aucun doute, il a ensuite mis du gel dans mon trou, délicatement, il l’a bien préparé avant de placer son gland devant mon trou pour s’y enfoncer lentement. Il a marqué des pauses car il adore mater sa teub marron et épaisse dilater mon trou et faire partie intégrante de moi. Et c’est à ce moment-là que je me suis réveillé. Voilà ce que je sens au réveil : mon anus rempli. Je tourne alors la tête. Et voilà, je le vois en train de m’enfoncer sa grosse teub dans son cul. Je lui souris et il me lance :

- Salut, mon petit frère.
- Salut. Vas-y, continue, ça fait du bien.

Il ne faut pas lui dire deux fois. Il continue sa descente pendant que je l’admire :

Mon frère, Thomas, a 20 ans. Il est blond, comme moi, il a les yeux bleus. Il a les cheveux courts et il porte une barbe finement taillée. Il a un corps svelte et des jambes musclées par les courses à vélo. Son corps est recouvert de poils fins blonds ou plutôt châtains. Il a 24 cm entre les jambes. Sa queue est épaisse avec un gros gland. Il a de grosses boules. Les poils de son pubis sont bien entretenus et ses couilles sont rasées. Il a un gros cul bombé.

Ses 24 cm glissent entièrement en moi. Il marque une pause pour me laisser le temps de m’habituer à son monstre et pour mater sa queue dans mon cul, sans capote. Il malaxe mes fesses. Puis, il se met à entamer de lents va-et-vient. Je sens les poils de son pubis atterrir doucement contre mon fessier. Il accélère peu à peu le rythme. Il entame de grand allers-retours, faisant presque entièrement sortir sa bite de mon cul avant de s’y renfoncer à fond.

Il ralentit ensuite la cadence et il se couche dans mon dos. Je sens son corps collé contre le mien. Il donne de petits coups de reins tout en m’embrassant dans le cou. Parfois, il reste dans mon cul et il fait comme s’il me forer le trou en faisant tourner sa bite en moi. Puis, il se relève et il reprend ses mouvements rapides et amples. Ensuite, il se redresse et il plaque ses mains sur mes hanches. Je me retourne et je vois sa grosse queue me limer le cul. Elle l’ouvre en grand. C’est incroyable de voir une telle massue me pénétrer. Je vois aussi quelques poils fins et blonds de ma raie qui se colle à sa queue. J’admire aussi ses poils de pubis qui viennent se cogner contre mes fesses, tel un tapis fin. Il sort de sa torpeur et il se met à me baiser à fond. Je gémis fort.

Puis, il se couche à nouveau dans mon dos, il passe ses bras autour de mon torse. Il me lèche les oreilles ou il m’embrasse dans le cou et il se met à me pilonner à fond. Je sens son gros gland me perforer et ses grosses couilles me fouetter le cul. Il me fait tourner la tête, il me roule une grosse pelle et j’entends sa respiration s’accélérer. Je sens son gland gonfler et soudain, sa bite me mitraille le fond du cul. Ce sont 8 rasades qui me remplissent. Il reste un moment dans mon cul à m’embrasser puis il ressort et un geyser de sperme s’échappe de mon anus. Il se pose à côté de moi pour reprendre son souffle. Je vais me loger dans ses bras dont les aisselles sentent fortes... ce qui m’excite grave ! Je prends ma bite et je me branle. Je jute 4 giclées sur mon ventre.

On reste ainsi pendant quelques minutes et on va se doucher. Durant la matinée, on est chacun sur sa console à jouer à des jeux. Mais vers midi, Thomas revient vers moi, le regard dur. Il me tire par le poignet. J’ai à peine le temps de sauvegarder ma partie que je me retrouve sur mon lit. Thomas se jette sur moi et il m’embrasse goulument.

- Putain ! Je suis encore bien chaud, là. Rien que de repenser à ton petit cul, je bande !

Pour me prouver ses dires, il plaque ma main sur son paquet. Et en effet, il bande à fond. La fougue de ses baisers redouble et nos mains se caressent le corps. On se relève, nos vêtements volent et Thomas se penche sur mes tétons pour les lécher. Puis, il plaque mon nez sous ses aisselles.

- J’ai pas mis de déo rien que pour toi. J’ai cru remarquer que mon odeur de mâle te plaisait !
- Oui, j’avoue...

Je me mets à humer son odeur et je me sens monter au septième ciel. Quel mâle ! Et sa bite qui est de nouveau dressée ! Elle est si énorme. Sans réfléchir, ma langue passe dans les poils de ses aisselles odorantes et je m’enivre de ce nectar. Puis, je remonte vers sa bouche que j’embrasse tendrement. Je passe ensuite à ses tétons puis à sa bite que j’enfonce dans ma bouche. Elle ouvre ma mâchoire au maximum. Il me caresse la tête pendant que je me donne à fond pour le sucer.

Puis, il se pose sur le lit et je grimpe sur son ventre pour continuer de l’embrasser. Nos mains caressent la tête et le corps de l’autre. C’est magique. Je sens sa longue bite me titiller le trou et à l’aide de mouvements habiles de mon cul, je me retrouve avec son gland coincé dans mon anus. Surpris, il me demande :

- Tu veux pas utiliser de gel ?
- Tu m’as déjà bien lubrifié tout à l’heure !
- Tu as gardé mon jus ?
- Oui !

Il me roule alors une grosse pelle tandis que je m’enfonce lentement sur sa grosse queue. Elle descend dans mes entrailles. Je m’y reprends à plusieurs fois avant de me retrouver assis entièrement sur son morceau, ses couilles coincées contre mon cul. Sans me laisser le temps de le chevaucher, Thomas me saisit mon cul entre ses mains, le faisant relever un peu et il se met à donner des coups de bite. Il monte et descend dans mon anus. Son gland m’écarte bien les sphincters, je gémis fort. Je saisis ses jambes pour sentir ses muscles travailler. Quel bel étalon !

Après 5 minutes, il me met mettre à quatre pattes. Il enfonce rapidement sa queue en moi et il entame une puissante baise, ses mains placées sur mes hanches. Il donne des coups profonds de bite. Je sens ses cuisses qui cognent et font onduler mon cul. Trop bon !

Il sort de mon cul, il me place sur le dos, au bord du lit. Il se penche sur mon anus dont il a tassé le jus qui coule un peu en dehors. Il se penche, caresse et écarte mes fesses et il y plonge sa langue. Il me bouffe le cul tout en s’abreuvant de son propre sperme. Puis, il se redresse et il m’embroche sur sa bite. Il entame une baise sauvage et rapide. Il me défonce, il me pilonne, je gémis hyper fort. Je sens sa bite me ramoner, je sens ses couilles me frapper. Je me branle en même temps et malgré la jouissance de tout à l’heure, je pourrais jouir rapidement. Thomas doit le remarquer car il saisit ma queue à un moment et il la branle tout en continuant de me baiser. Je finis par lui dire :

- Stop, sinon je vais jouir !

Il sourit sans rien répondre et il continue. Je pousse alors un gémissement et je jouis dans sa main... ainsi que sur mon ventre et mon torse. 5 rasades sortent de ma bite et elles m’éclaboussent. Thomas sort sa queue de mon cul, il utilise mon sperme comme lubrifiant, il en badigeonne sa grosse teub et il se renfonce en moi. Je crois que le contact de mon sperme lui plait car j’ai l’impression que son gland a pris du volume. Il me déboîte pendant quelques minutes encore avant de me remplir bien comme il faut. Je crois me rendre compte qu’il jute une bonne dizaine de jets... encore plus que ce matin ! Mon frère est vraiment un étalon endurant !

Il ressort. Mon trou complètement éclaté laisse échapper une tonne de sperme. Sa bite dégouline encore de sperme. Je me précipite dessus pour la nettoyer. Il me donne ensuite une tape sur le cul et il disparait de ma chambre, me laissant nu, dégoulinant de sperme.

Une heure plus tard, on se fait réchauffer un plat que ma mère nous a laissé au frigo. Pendant le repas, il me demande :

- Tu veux pas aller en ville cet aprèm ? Je dois aller à « La boutique du CD-ROM ».
- Ah super, je vais voir s’ils ont de nouveau jeux.

On sort, il est 15h. il fait chaud, le centre-ville est désert... mais les terrasses des cafés sont bondées !

On va faire nos petites emplettes, on trouve tous les deux notre bonheur. Quand on sort, Thomas prend un autre chemin que tout à l’heure. Je lui demande :

- Tu vas où ?
- Suis-moi.

Je le suis, comme demandé. On passe derrière le magasin et on se retrouve dans une ruelle sombre. Il se retourne et il semble chercher quelque chose. Soudain, il me plaque contre le mur et je me retrouve avec son visage à quelques centimètres du mien. Il saisit ma main et il la pose sur son entre-jambe.

- Tu sens comme j’ai envie de toi ?
- Oui !

En effet, il bande bien. Ses 24 cm déforment son pantalon. Il me fait alors me retourner, sans rien me demander et il baisse mon pantalon, découvrant mon cul. Il ouvre sa braguette et il met de la salive sur ses doigts. Il me doigte un peu et il s’étonne :

- Tu as encore mon jus dans ton cul ?
- Oui !
- Cochonne !

Sans hésiter, il plante sa teub lentement dans mon trou, il me prend dans ses bras, il se plaque contre moi et il entame des va-et-vient rapides, tel un animal en rut qui baise sa femelle. Il ne cesse de répéter : « J’ai trop envie de ton cul ! » Ses cuisses frappent rapidement mon cul, ses boules me fouettent, sa queue me pilonne. C’est un moment bestial et brut de sexe. Il accélère toujours plus ses mouvements qui sont amples et sauvages. Dans un râle silencieux, il bloque sa bite au fond de mes entrailles et je la sens se contracter pour déverser son jus qui me fouette l’intérieur de mon cul. Il ressort rapidement et un torrent de sperme jaillit hors de mon anus et tombe sur le bitume. Il remet son pantalon, je remonte le mien et on quitte la ruelle comme si de rien n’était, le regard brillant.

On rentre à la maison et on joue à nos nouveau jeux vidéo. Nos parents rentrent vers 18h, on mange ensemble puis on se mate un film dans le salon. Je vais dans ma chambre vers 22h et je continue de jouer à mon jeu. Je vais me coucher vers 1h. Mais je ne dors pas tout de suite. Je prends un livre, je lis quelques minutes... quand je vois ma porte s’ouvrir doucement. Thomas se faufile dans ma chambre et il vient sous mes draps, dans mon lit en disant :

- C’est bon, les parents dorment profondément.

Il saisit alors ma bite et il me regarde droit dans les yeux. Je me jette alors sur ses lèvres et on se retrouve immédiatement nus. Je passe mes jambes et mes bras autour de lui et on se roule une grosse pelle pendant une dizaine de minutes. On n’arrive plus à décrocher nos lèvres l’un de l’autre.

Il me fait descendre ensuite à sa bite que je suce. Thomas me caresse tendrement la tête. Je déguste sa grosse queue. Elle est bien dure et je la suce tout en la branlant. Je le regarde droit dans les yeux. Quel mâle ! Il finit par prendre ma tête dans ses grosses mains... et par me faire venir vers lui. Il me roule alors une grosse pelle. Je frotte mon corps contre son ventre et contre sa bite.

- A moi maintenant !

Il se penche sur ma queue et il l’enfonce dans sa bouche. Elle est bien dure. Il commence à me tailler une bonne pipe. Il prend aussi ma queue en main et il la branle tout en me suçant. Il fait aussi des gorges profondes. Puis, il fait sortir ma bite de sa bouche et il se met lécher et à embrasser ma queue et mes couilles. Il fait ça tendrement, avec passion. Il reprend mon gland dans sa bouche et il me suce tout en me regardant droit dans les yeux. Puis, il la sort et il me dit :

- J’ai envie de toi en moi !
- Tu veux que je te baise ?
- Oui ! Comme tu as baisé Rémi ! (notre cousin, voir chapitre 1)

Je le fais alors remonter et je le fais mettre sur le dos. Il relève ses jambes et j’ai une magnifique vue sur son cul musclé et sur sa raie un peu poilue. Son anus rose semble serré. Mes mains caressent son cul tandis que je me penche au-dessus. Ma langue se met à titiller sa rosette. Je la lape délicatement. Puis, j’aspire son petit trou où ma langue finit par rentrer, elle entre et sort de son anus, elle y tournoie... avant de commencer à lui bouffer le cul. Il gémit doucement. Je déguste son magnifique fessier. Ensuite, je me redresse et je prends du gel. J’y mets un doigt, puis deux. Je le doigte, je masse sa prostate. Il me regarde avec envie.

Après 5 minutes, je me relève, je lui roule une grosse pelle puis je place mon gland sur son trou offert. Je descends en lui mais il me fait en ressortir. Il a mal. J’y vais alors plus doucement. Je caresse son cul, je masse son trou, je l’embrasse dans le cou pour le détendre et ma queue, après une très lente descente, finit par se retrouver au fond de lui. Je commence à coulisser lentement dans son trou. Il semble encore un peu crispé. Mais petit à petit, il se détend et il semble prendre du plaisir. J’accélère alors ma baise. J’admire aussi ma queue qui le pénètre. Elle ouvre bien son trou serré, elle est magnifique, elle est collée à ses petits poils de cul. J’ai une belle vue sur sa grosse queue bandée et sur ses couilles marron qui bougent au rythme de mes coups de reins.

Puis, je le mets en levrette et je m’enfonce rapidement en lui. Je m’empare de ses hanches et je commence à le baiser à fond. Je gémis de plaisir, son trou serré est vraiment génial. Je fais des mouvements amples, mes cuisses rebondissent sur son cul musclé, mes couilles fouettent son périnée. Pendant ce temps, Thomas se branle. Après quelques minutes, je monte sur le lit et je me mets accroupi au-dessus de son cul. J’enfonce ma bite dans son trou tout prenant appui sur lui et j’entame une baise rapide et puissante. Je lui démonte le fion comme un enragé. Je me fais plaisir dans son cul. Mes couilles rebondissent sur ses fesses... magnifique ! Mais je ne peux pas résister longtemps... il est trop serré :

- Je vais t’ensemencer, mon grand frère adoré !
- Oui, vas-y ! Remplis-moi !

J’accélère le mouvement et quelques secondes plus tard, je le remplis. Je sens la violence de mes jets qui vont lui fouetter le fond de ses entrailles. Il gueule aussi car il se branle et il gicle des gros jets puissants sur mes draps. Je reste en lui puis je me retire et je m’allonge. Il vient se loger dans mes bras et on reste ainsi pendant quelques minutes. Puis, il ressort de ma chambre en catimini mais je vois son cul dégouliner par terre de mon sperme...

Quelle magnifique journée ! Et le reste des vacances se passera ainsi. Beaucoup de baise entre frérots !

Mon frère est devenu par la suite mon amant régulier. J’ai pu être actif et passif avec lui. Une fois qu’il a rencontré ma belle-sœur, c’en a été fini de nos petites aventures sexuelles qui ont duré 2 ans. J’ai profité pendant bien 2 ans encore de me faire baiser par des tas de mecs. Puis, à 22 ans, je me suis rangé. Je me suis marié et j’ai eu des enfants. Mais mon envie pour les mecs était toujours là. À 40ans, j’ai repris cette activité clandestine en étant exclusivement passif. Et depuis, je me fais baiser dès que j’en ai l’occasion... mais malheureusement plus en famille, ni avec mon frère, ni avec mon cousin, avec qui je ne reparlerai plus jamais de ces petites aventures homosexuelles.

FIN de cette histoire (qui en partie réelle).

Merci à Pat pour ses confessions.

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