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Chapitre 12
Salut, moi c’est Dylan, j’ai 25 ans. Je suis de taille moyenne (1,78m), j’ai les cheveux châtains et les yeux verts. Je suis musclé assez fin. Dans les premiers chapitres, je vous avais raconté l’histoire (réelle) de ma rencontre avec Mehdi, un stagiaire de mon magasin. Mehdi est un rebeu de 28 ans, bien musclé, monté 19 cm. Il m’a livré à deux de ses potes, Faress et Ahmed. On a eu beaucoup de plaisir ensemble. Entre temps, il avait trouvé une copine, ce qui avait quasiment arrêté nos ébats. Mais après sa rupture, je lui ai remonté le moral et nous avons repris notre relation spéciale... Il y a quelques semaines, je me suis fait baiser par Mehdi et Ahmed, alors que Faress était toujours sur un chantier assez loin. Les deux rebeus ont envoyé à leur pote des photos et des vidéos de nos ébats qui n’en pouvait plus... ce qui a bien sûr aiguisé l’appétit de Faress. Il est venu me rendre visite un soir avec Mehdi et ils m’ont bien défoncé ! Et quelques temps plus tard, Mehdi m’a fait remonter le moral à son pote Karim qui était aussi un bon coup ! Un autre jour, il m’a offert à son pote Benjamin...
Aujourd’hui, je reçois un message de Faress. Il me fait savoir qu’il est revenu de son chantier et qu’il a très envie de moi. Par contre, il aimerait me voir en travesti. Je vais donc faire des petites emplètes et le soir, je me prépare bien pour Faress qui me tarde de retrouver : je me lave, je me rase de près, je m’épile, je m’habille.
Quand il sonne, j’ouvre la porte et je le fais entrer. Il pousse un sifflement en me voyant : je suis maquillé, j’ai mis une perruque blonde, je porte un petit haut moulant qui laisse voir mon ventre, j’ai des bas et un string.
- Putain ! T’es trop belle !
Il me triture le cul puis il me le claque en disant :
- Va-me chercher une bière.
J’obéis et quand je vais dans le salon, il est déjà à poil, sur le canapé, la queue tendue.
Faress a 34 ans, il est brun, frisé. Il porte une barbe de trois jours, il est musclé sec. Il est très peu poilu, il a seulement une petite touffe frisée au pubis et un filet de poils qui remonte jusqu’au nombril. Il a une paire de couilles énormes et pendantes. Sa queue de 18 cm est très foncée, tandis que son gland est rosâtre.
Je lui tends la bière et je me mets directement à genoux devant sa bite que je commence à branler. Je lui souris et je crois que de me voir avec une perruque et du rouge à lèvre le fait bander bien dur !
Je lèche son manche et ses couilles tandis qu’il me caresse la tête :
- Putain ! t’es trop sexy comme ça ! Vas-y, pompe-moi !
Je prends son morceau en bouche et je l’avale sur toute sa longueur. Je le suce avec vigueur. Je lui fais faire des gorges profondes et lui m’admire en train de m’occuper de lui. Je mouille d’excitation. Lui gémit fort. Je m’y prends lentement, doucement. Je finis par ressortir sa bite et je lèche de nouveau ses grosses couilles. Ma langue passe ensuite le long de son périnée poilu... et d’un coup, je titille son anus. Il gémit et je remonte vers ses couilles. Mais il me dit :
- Bouffe-moi le cul, salope !
Il écarte ses jambes et il relève un peu son cul. Ma langue entre dans son cul poilu. Elle joue avec ses poils courts et épais. Puis, j’enfonce ma langue dans son anus. Je lui bouffe alors le cul. Il gémit fort, moi je me régale. Puis, je remonte et je le suce de nouveau, cette fois plus rapidement.
- Oui, fais ta meuf affamée ! Suce-moi bien !
Je sens sa main descendre vers mon cul. Il caresse doucement mes fesses et il joue avec la ficelle du string. Puis, il se relève et il dit :
- Ecarte bien les lèvres pour que je voie ton rouge à lèvres aller et venir sur ma queue !
Je m’exécute et je sens sa bite devenir encore plus dure.
Au moment de jouir, il plaque sa main sur ma nuque et il hurle :
- Regarde-moi droit dans les yeux !
J’obéis et je vois ses yeux sombres et autoritaires me dévisager. Il pousse un râle et je sens son jus gicler au fond de ma gorge. Il ne semble pas avoir juter depuis un moment ! Il m’envoie 9 gros jets puissants au fond de la gorge. J’arrive plus ou moins à tout avaler. Je nettoie bien sa queue.
Je lui ressers une bière, il allume la télé qu’on regarde, lui à poil, moi toujours dans ma tenue, et on parle peu. Mais il me pelote sans arrêt et il m’embrasse. Il admire ma tenue, je sens qu’il aime me voir avec une mini-jupe et des bas. Il a les mains baladeuses et des doigts « intrusifs ».
Quelques minutes, je vois sa queue bander de nouveau tandis qu’il me triture le cul. Il m’entraine alors dans ma chambre et il me fait mettre en levrette. Il me caresse les fesses de ses mains caleuses et ses doigts s’attardent sur ma raie. Il pose ensuite son gland sur mon trou. Il fait entrer sa queue d’un coup sec. Je suis déjà bien lubrifié, sa bite entre toute seule. Il m’enlace dans ses bras, il me murmure alors à l’oreille :
- Maintenant, je veux t’entendre gémir comme une femelle !
Il se met à me démonter tout en me fessant. Je gueule fort. Parfois, il me mollarde le cul. Il ne veut pas que je quitte mes vêtements. Sa bite raide me défonce à fond, brutalement. Il me baise sur toute la longueur de son morceau.
Ensuite, il me fait mettre sur le dos, le cul dans le vide. Ses deux mains saisissent mes jambes, il me pénètre et il se met à ravager ma chatte. Il se transforme en bourrin, il me dit à l'oreille :
- J’ai vraiment l’impression de me faire une meuf ! Mais ton cul est meilleur que celui d’une meuf ! T’es une grosse salope !
Les jambes écartées au maximum, je supporte son pilonnage en beuglant. Il me baise si puissamment que le lit bouge et tape contre le mur. Il libère ses pulsions de mâle dominant. Ses grosses couilles me fouettent le cul bruyamment. Je me sens comme si j’étais sa chose, son vide couille, son jouet sexuel.
- Putain, je vais te féconder, ma salope !
Faress se défoule en moi et après 15 minutes, il se bloque dans mon cul. Je sens son sperme chaud inonder ma chatte. Il me remplit de 7 jets bien puissants. Je me branle et j’éjacule très vite. Il décule et une bonne dose de sperme coule de mon cul et forme une flaque par terre. Il me claque les fesses en s’exclamant :
- Toi, tu aimes te faire féconder comme une salope, hein ?
- Oui ! C’était trop bon !
Je me redresse et son jus coule le long de mes cuisses.
Faress va prendre une douche puis, en ressortant de la salle de bain, il me dit :
- C'était très bon mais je te préfère en mec bien soumis !
Il sort de l’appart et vu qu’il est en congés, il passe les jours suivants me baiser. Il aime me prendre plaqué sur la table, le jean sur les genoux, la braguette ouverte. Il m'encule et il jouit en moi. Il remonte sa braguette, il me gratifie d'un : « Bon cul de salope ! » ou « Petit PD, tu les aimes, les queues de rebeux ! », et il repart, soulagé.
A suivre...
Merci à Dylan pour ses révélations. Cette histoire est réelle.
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
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