Je poussai la porte d’entrée et suivis les instructions. Sur la gauche l’escalier qui desservait l’étage, j’ôtais mes chaussures puis je gravis la quinzaine de marche. Sur le palier, face à moi, une porte entrouverte laissait filtrer une lumière tamisée. Je poussai la porte et découvris mon hôte.
- Viens, approche-toi.
Il se tenait debout près du lit. Vêtu de son seul caleçon, sa stature en imposait. Grand, brun, le torse velu et musclé. Il tendit la main vers moi.
- Déshabille-toi.
Son regard sombre plongea en moi. Je ne baissai pas les yeux. Le regard perçant étincela. Un léger sourire marqua son visage. Enfin, je me retrouvai nu devant lui.
- À la douche.
En même temps qu’il prononçait ces mots, il ouvrit une porte. J’avançais là et sous le regard du maitre de maison, je me douchai. Il me passa une serviette et m’aida à m’essuyer.
Sur le rebord du lavabo, je vis une cage de chasteté. J’interrogeai du regard, mais j’avais bien compris. C’était pour moi. J’enfermai alors ma queue dans l’étui et attendis les instructions.
Le maitre m’installa sur le lit recouvert d’une serviette.
- Mets-toi à quatre pattes. Je veux voir ton cul.
Je m’installai confortablement, et à son ordre, j’enfouis ma tête dans les coussins.
- Très bien. Je t’ai préparé une séance sympa.
Derrière moi, il s’installait au bord du lit. Il souffla sur mes fesses. Puis il les caressa.
- Je vais commencer par te raser la raie.
Il déposa une généreuse couche de mousse, puis il passa le rasoir. Lorsqu’il eut achevé, il sécha mes fesses.
- Parfait. Comme ça, je peux bien admirer ton petit trou.
Puis il versa une dose de crème, pour éviter les irritations.
- Je m’en voudrais de ne pas pouvoir profiter de toi totalement.
Il massait mes fesses et mon sillon avec la crème. Ses mains appliquaient en cercle le liquide épais. Les doigts curieux s’arrêtaient sur mon œillet puis caressaient mon sillon. Je me laissais aller à ce doux moment. Je ne fus pas surpris lorsqu’un de ses doigts insista autour de ma rondelle. Bien évidemment, je n’attendais que ça.
- Voyons comment ça se passe par là…
Le maitre poussa son doigt en moi, puis le fit tourner.
- C’est parfait. On va passer à la suite. Reste bien dans cette position. Les genoux bien écartés.
Derrière moi, il s’affaira un instant, puis il poussa un objet en moi. Je me raidis.
- T’inquiète. C’est pour le lavement.
Il me montra le tuyau. Je me détendis un peu, puis l’eau coula en moi. Le maitre me remplit le conduit d’eau tiède. Puis il retira le conduit.
- Retourne à la douche.
Je me relevais, les jambes un peu ankylosées, puis j’entrai sous la douche.
- Accroupis !
Je n’en eus pas le temps que l’eau s’échappa de mon conduit. Le maitre me ramena sur le lit où il inonda mon conduit à deux reprises. Lorsque je repris place sur le lit par la suite, le maitre essuya l’eau qui avait perlé sur mes fesses.
- Voilà un petit trou comme je les aime. Rasé et bien propre pour ce que je vais lui faire.
Ses mains caressaient ma croupe. À nouveau, il étala de la crème sur mes fesses et dans mon sillon. Avec deux doigts, il tapota ma rondelle qui s’étala de bonheur.
C’est alors que le maitre enfouit son visage entre mes fesses. Sa langue charnue lapa mon œillet. De ses mains puissantes, il écartait les deux globes et aspira mon cul. Une main claqua une de mes fesses.
Surpris, un « oh » m’échappa.
- Ouais, t’es venu pour ça. Pour que je m’occupe de ton fion. Tu vas être servi mon gars !
Sa langue fouilla encore longuement ma raie. Parfois ses doigts s’approchaient de mon rondelle et l’étiraient.
- Donne ton cul, allez ! ...T’as pas idée de ce qui va t’arriver !!
Il cracha sur ma rondelle. Sa langue poussait pour entrer en moi. Je gémissais sous les mains de l’expert. Je me tortillais comme un bon petit bâtard qui voulait plaire à son maitre.
- Tu veux que je m’occupe de ton cul, hein ?
- Oui
- Voilà pour commencer.
Il poussa deux doigts dans ma caverne. Je gémissais sous la pénétration tant attendue.
- Tu vois, il est déjà prêt.
Les doigts branlaient mon trou qui s’ouvrait délicatement.
Je sentais ma rondelle s’étirait progressivement à mesure que le maitre me besognait.
- Ton trou c’est du bonheur. Il mérite un morceau plus gros, hein ?
Le maitre saisit un objet qu’il appuya contre ma rondelle.
- Allez, prends ça p’tit mec.
Il plongea le gode dans ma caverne. Stupéfait, je relevais la tête. Le maitre joua avec le gode. Il l’enfonçait puis le retirait en le faisant tourner. Après un moment, le maitre embrassa ma rondelle. Sa langue caressait mon œillet détendu. Bientôt se furent ses doigts qui exploraient ma caverne. Le maitre cherchait à élargir mon cul.
- Je suis sûr que tu vas prendre plus gros. Pas vrai p’tit mec ?
J’acquiesçai et soupirai d’aise lorsqu’un gode plus volumineux s’empara de mon cul.
- Oh le petit bâtard. Tu me le donnes ton cul ?
- Oui.
- Oui qui ?
- Oui maitre
- Bien. Je peux lui faire ce que je veux ?
- Oui maitre
- Absolument tout ?
- Oui maitre.
Le maitre n’avait pas cessé de jouer avec le gode. Le membre imposant élargissait ma rondelle. D’abord par de petits va-et-vient, puis le maitre allongea ses mouvements. Le gode fouillait ma caverne, puis le maitre le retira entièrement. Ma rondelle resta ouverte. Alors, le maitre replongea le gode puis le ressortit plusieurs fois de suite.
- T’es un bon bâtard. Ton cul reste ouvert. Ça te plait d’avoir le cul ouvert, hein ?
- Oui maitre.
- Tu crois que tu peux prendre plus gros ?
- Je ne sais pas maitre ?
- Si tu sais. Et moi aussi je sais.
- Oui maitre.
- Tu vas prendre plus gros.
- Oui maitre.
- C’est pour ça que t’es venu. Pour que j’t’ouvre le cul en grand.
Je me redressais et je croisais son regard dans la glace devant moi.
Le regard brillant, le maitre enfila une paire de gants.
- C’est pour ça que t’es là, n’est-ce pas ?
Je hochais la tête.
- Tu vas voir, je vais y aller tout en douceur.
Sur ces mots, il glissa trois doigts en moi.
- Voilà un p’tit trou de mec qui ne demande qu’à s’faire élargir.
Le maitre glissait ses doigts dans ma caverne. Puis il les retira et s’installa à genou devant le lit. Il déversa une bonne quantité de gel contre ma raie.
- Allez, c’est parti.
Il enfonça un doigt de chaque main dans mon cul, tout en l’écartant légèrement.
- Voilà qui est prometteur.
Le maire glissa trois doigts d’une main alors que de l’autre il versait encore du gel. Puis je sentis un appui supplémentaire.
- Oh, mais c’est qu’t’as envie de pousser ? Allez, vas-y, pousse sur ma main.
Quatre doigts besognaient ma rondelle. Puis le maitre dilata mon cul pour que trois doigts de chaque main se glissent en moi. Je soupirais de plaisir à mesure que le maitre jouait avec mon trou.
- Tu aimes ?
- Oui, maitre.
- Je continue alors ?
- Oui maitre.
Mon trou s’agrandissait alors que le maitre travaillait mon fion. Je sentais que je perdais toute résistance. Seul le plaisir comptait. Je m’évadais dans les sensations vaporeuses de la soumission. J’offrais mon cul au doigté expert du maitre. Ses encouragements me guidaient. Alors je poussais à peine sur le poignet qui s’offrait à moi.
La main glissa en moi et ma rondelle se referma sur le poignet. Mon conduit était plein de cette main épaisse. Le maitre tourna légèrement le poignet.
- Petit bâtard, va. C’est bon, hein ?
- Oui maitre.
Il commença par retirer sa main qu’il replongea immédiatement en moi. Délicatement, il prenait soin de me pénétrer pour que chaque geste soit précis et m’enivre de bien-être. Alors il versa un peu plus de gel. Ma raie dégoulinait du liquide visqueux jusqu’à mes couilles. Mon trou s’étalait sur la main puis sur le poignet. Le passage de la main qui se blottissait en moi me procurait un plaisir intense.
Alors le maitre profita de mon euphorie. Je sentis qu’il croisait ses mains. Tantôt la gauche, tantôt la droite. Entre chaque passage, mon cul restait ouvert, à la merci du maitre. Les changements se rapprochèrent. Le maitre accélérait les mouvements.
- Tu prends comme un pro. T’es un bon p’tit mec.
- Oui maitre.
- T’es mon p’tit bâtard.
- Oui maitre.
Je me sentais comme hypnotisé. Le maitre pouvait faire ce qu’il voulait de moi. Et il le comprit. Soudain, je sentis une pression encore plus forte contre mon trou.
- Allez mon bâtard, ouvre-toi à fond.
Je soupirais et gémissais sous le poids qui voulait forcer le passage.
- Tu peux le faire. Gobe-moi en entier.
Je poussais sur le poing. Une douleur extrême sublima un plaisir un intense. Je lui appartenais. Mon cul était à lui. Le maitre bougea son poing doucement en moi. Ma respiration était saccadée. J’en pleurnichais presque.
- Chut, je sais, je sais. C’est bon, hein ?
- Oui.
- Voilà. Respire, tranquille. Tout va bien.
Le maitre retira son poing. Il me caressait doucement la rondelle. Mon cul me chauffait comme jamais. J’étais épuisé et épanoui en même temps. Le maitre glissait délicatement ses doigts en moi. Il cajolait ma rondelle et la flattait.
- Tu as été parfait.
- Merci maitre.
- Reviens dans quelques jours pour la leçon suivante…
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Balthazar
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