Vengeance

Chapitre 2

Salut à tous et merci pour les nombreux messages sur la première partie. Et vu qu’on m’a demandé la suite, je vais continuer de vous raconter ce qui s’est passé...

Il y a quelques mois, entre deux confinements, j’ai enfin pu un peu profiter de la vie nocturne et sortir avec des potes (hétéros) pour aller boire quelques coups. Après cette soirée bien arrosée, mes potes sont venus dormir à la maison, même Sylvain, le pote de Cédric rencontré pendant la soirée, alors que je ne connaissais même pas le mec. Il s’est retrouvé à dormir dans mon lit et moi, sous les effets de l’alcool, je me suis mis à toucher le gros paquet puis le cul de ce beau mec. J’ai fini par me branler et à éjaculer sur ses fesses. Mais le mec s’est réveillé, il m’a ligoté, il m’a baisé et il s’est bien vidé en moi. Moi, excité par la situation, j’ai joui sans même me toucher. Cédric, alerté par mes cris, a alors frappé à la porte pour savoir si tout allait bien. Et voilà la suite :

Sylvain me regarde, avec un regard diabolique. Il s’exclame :

- Entre, et tu vas bien voir !

Cédric entre alors et il nous regarde, bouche bée. Il me trouve ligoté avec le pull de son pote, les bras dans le dos, ma bouche bâillonnée avec un t-shirt. Sylvain est nu, souriant, posé sur le lit, à côté de moi. Le regard de Cédric tombe alors sur mon cul qui expulse toujours du sperme qui a déjà formé une mare dans laquelle baignent mes couilles.

- Cette pute s’est branlée sur mon cul pendant que je dormais ! Il fallait lui montrer qui est le boss ici ! Je ne savais pas que tu trainais avec des salopes comme ça ! En tout cas, elle a trop bien encaissé et elle a même pris du plaisir !

- Putain, mais t’es fou !

- Allez, me dis pas que ça ne te fais rien !

- Mais arrête, t’es malade !

- Regarde ta queue, je crois que tu bandes. Tu peux pas nier que t’en as pas envie !

Je remarque alors que le regard de Cédric change du tout au tout. C’est comme si un rapace avait trouvé une proie. Sûrement bien aidé par l’alcool, il s’approche de moi, me caresse le cul en poussant un long sifflement puis il laisse entrer son index dans mon trou. Sous la pression, le sperme en sort à flot.

- Tu l’as bien engrossée !

- Allez, elle est à toi ! Fais-toi plaisir !

Ne se faisant plus prier, Cédric se déshabille. Il a 25 ans, il est brun mais il a les cheveux très courts. Il est mince, de taille normale. Il n’a pas un poil sur le corps. Même ses couilles et son pubis sont rasés. Et en effet, le mec bande... le spectacle lui a plu. Il a 20 cm entre les jambes. Sa queue est un peu plus sombre que son corps, elle est plus large à la base et elle devient plus fine pour arriver à son gland qui est assez petit. Ses couilles sont énormes, bien lisses et rondes. Aussi grosses que des balles de tennis.

Pour resituer, Sylvain a 30 ans, il est brun, la peau mate, de ma taille (1,78m), mince, sans barbe, les cheveux courts, les yeux noisette. Il ne bande plus et sa queue est toute molle entre ses jambes.

Cédric s’approche de ma bouche et veut m’enlever le bâillon. Sylvain dit :

- Un cri ou un coup de dents et tu vas morfler, salope !

Résilié, je me laisse faire et j’accepte la queue de Cédric qui s’enfonce lentement dans ma bouche. Je referme délicatement ma mâchoire et il commence des va-et-vient. Sylvain commente :

- Oui, c’est bien, salope. Mange la bonne queue de ton pote !

Puis Cédric me plaque une main dans la nuque, une sur la tête et il se met à me défoncer la bouche, cherchant à aller toujours plus loin dans ma gorge. J’essaie de lutter contre le réflexe vomitif mais j’y arrive à peine. Cédric le sent, ressort de ma bouche pour presque aussitôt re-rentrer. Il me baise la bouche. Ses couilles claquent contre mon menton. Puis il ressort pour me faire lécher ses couilles. Ma langue passe dessus, les gobe. Puis je m’occupe de son gland. Cédric dit :

- Quelle bonne chienne ! Elle suce trop bien !

- J’ai pas encore pu vraiment en profiter... Laisse-moi la place.

Cédric se retire et Sylvain pose son gland sur ma langue. Sa bite est toute molle. Je ferme mes lèvres dessus et je m’applique à la faire gonfler. Et très vite, je sens que sa teub se met lentement à prendre de plus en plus de place dans ma bouche. Je le suce comme un endiablé. Puis il ressort de ma bouche. Sa queue est de nouveau droite, sombre, large, elle fait environ 18 cm, avec 3 veines visibles sur le dessus. Son gland est bien gros et bien large.

Il replonge sa queue dans ma bouche, me prend la tête entre ses mains et il me défonce. Sa queue va bien au fond de mon gosier. Cédric se place derrière moi et joue avec son gland sur mon trou trempé. Il l’enfonce lentement en moi. Le jus de Sylvain fait office d’un bon lubrifiant et les 20 cm vont bien profondément dans mes entrailles. Il se met à me baiser, tassant bien le sperme de son pote. Il place ses mains sur mes hanches et il m’encule avec des mouvements réguliers, faisant bien entrer et sortir sa queue de moi. Je suis pris entre deux belles bites qui me défoncent mes deux trous.

Cédric me baise en faisant de longs va-et-vient, ressortant sa queue entièrement pour mieux la renfoncer. Je pousse des gémissements qui sortent à peine de ma gorge, vu le traitement sauvage que m’impose Sylvain qui me baise la bouche.

- Putain, tu as un trop bon cul ! Dire que j’avais cette salope sous mes yeux pendant des années... Je t’aurais bien baisé avant, même si je suis pas homo.

- Oui, elle a un cul de dingue ! Vas-y, défonce cette salope !

Cédric accélère ses coups. Puis il sort au bout de 5 minutes, laissant sa place à son pote. Je sens son gros gland m’ouvrir les entrailles et il me baise avec un rythme effréné en me donnant des fessées. Cédric est à côté de lui, il se branle devant le spectacle. Puis, Sylvain sort et Cédric reprend sa baise. Les deux potes se partagent mon cul, ils s’y succèdent. Leurs bonnes teubs me défoncent bien et je gémis de plaisir. Ils me baisent ainsi pendant une heure. Leur queue est blanche du sperme de Sylvain. Puis Sylvain dit à Cédric de se finir en moi. Il m’embroche et se remet à me défoncer tandis que je suce Sylvain.

Cédric est très endurant. Il est plus sauvage et plus enragé. Sa queue sort à peine de mon trou. J’adore le bruit de ses couilles qui s’écrasent contre mon cul et mon périnée. Sylvain se branle avec énergie. Il s’acharne sur sa queue. J’entends sa respiration s’accélérer. Il me met sa queue dans la bouche et me la baise. Puis il ressort et se branle et très vite, il éjacule. Le premier jet m’explose à la figure. J’en ai partout. Le deuxième jet vient s’ajouter au premier. Il réajuste sa teub qui crache toujours : cinq jets viennent s’exploser sur ma langue et atterrissent au fond de mon gosier. Puis il renfonce sa teub dans ma bouche. Je sens alors ses gros jets de jus chaud continuer de se déverser avec violence en moi. La violence est telle que du sperme s’échappe de ma bouche et va s’écraser sur sa cuisse. Sa queue est secouée de soubresauts.

- Et je viens de marquer mon territoire à nouveau !

Cédric me baise pendant 20 minutes non-stop. Ses coups de reins deviennent de plus en plus secs. Il s’agrippe à mes hanches. Tout d'un coup, je sens du liquide se disperser dans mon cul. Cédric pousse de longs gémissements de plaisir. Sylvain s’écrie :

- Oui, vas-y, explose-lui le cul ! Mets-la bien enceinte !

- De ce côté-là, elle ne va pas être déçu !

Il plaque alors son pubis contre mon cul, la queue bien au fond et il laisse échapper un profond râle. Le premier jet me frappe le fond des entrailles et je me sens déjà presque rempli. Cinq autres jets de la même violence se déversent dans mon cul que je sens gonfler sous cette masse de liquide. Il continue de jouir, cette fois ses jets sont moins puissants, ils se déversent tout simplement dans mon cul. Six, sept, huit, neuf, dix jets... La source ne se tarit toujours pas. Cinq de plus... ses jets abondants ne peuvent plus être retenus par mon cul. Ils débordent le long de sa queue et coulent sur le lit, allant s’ajouter à ceux de Sylvain. Une vingtaine de jets me remplissent.

Au bout de quelques secondes, il ressort de mon cul et une marée de sperme jaillit de mes entrailles et coule le long de mes cuisses. Quel gicleur incroyable !

- Putain, c’était trop bon !

Je n’en peux plus. Je m’affale sur le lit.

- Branle-toi, m’ordonne Cédric

Je me mets sur le dos. Il me renfonce sa queue trempée de sperme encore dure dans le cul, et je me branle. J'éjacule au bout de 5 minutes de grosses rasades de sperme sur le ventre et la poitrine. Sylvain en ramasse avec ses doigts et me l’enfonce directement dans la bouche. J’avale mon foutre.

Je m’effondre sur le lit et je remarque qu’il est déjà 7h. J’entends du bruit dans le couloir. J’espère que mes autres potes n’ont rien entendu...

Merci à Marcel et Ocel pour leurs idées.

A vous, chers lecteurs, de me le dire ce qui va se passer par la suite. Vous pouvez m’envoyer vos propositions par mail.

J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).