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HISTOIRE

La résurrection !

Avec la santé, un toit, un boulot, un peu de fric et la vie est merveilleuse ! J'apprécie tous les jours la chance que j'ai d'être sorti de la rue. Deux à trois soirs par semaines, je vais faire du bénévolat dans un centre d'accueil pour SDF, parfois, j'aide les maraudes à localiser les lieux de squat. Ces soirées sont importantes pour moi, j'ai l'impression de renvoyer un peu l'ascenseur, elles sont aussi douloureuses car elles me renvoient à des moments difficiles que j'aimerais laisser complètement derrière moi. Je me suis occupé plus particulièrement de Kévin, 19 ans, que j'avais sauvé d'un viol dans un squat. Depuis, il s'est prostitué et, pour une bricole, il a tout accepté : les viols collectifs, le tapin, les plans uro, scato, zoophiles, ... Le sexe est devenu son mode principal de communication, contre une soupe au centre, il propose une pipe ou son cul pour remercier. J'ai essayé de lui parler, sans grand succès, je l'ai engueulé ce qui n'a servi à rien. Il a fini par m'avouer que c'est comme ça depuis ses 10 ans. Y'a des pourris qui déglinguent des mômes à qui j'aimerais bien arracher les couilles !

Un début de solution est arrivé grâce à Julien, un mec faisant les maraudes, qui l'a pris en pitié puis l'a pris tout court ! Il l'a ramené chez lui, l'a décrassé, désalcoolisé et commence à le désintoxiquer depuis deux ou trois semaines, ça a l'air de ne pas trop mal se passer pour l'instant, ils ont recours à une aide médicale et psychologique, il y a du boulot ! Kévin, qui n'a pas vraiment de limites, nous raconte leurs plans culs torrides les soirs, tout y passe, les positions, le récit des pipes, la quantité de jus, les orgasmes, ... Il nous fait marrer en nous disant qu'il est devenu grave accro à la bite et au jus de Julien. On lui répond qu'il vaut mieux ça mais qu'il n'est pas obligé de tout nous raconter, il nous regarde avec des grands yeux enfantins pleins de surprise, il ne comprend pas pourquoi on ne parle pas de cul comme de la bouffe ou du sport, après tout, il a bien raison. Julien, qui est timide, fait un peu profil bas, surtout qu'on ne se prive pas pour le vanner !

Pour ce qui est de moi, ma bite me porte toujours bonheur. Elle m'a sorti de la rue en couchant avec Denis, elle m'a fait avoir une formation professionnelle en démontant mon conseiller Pôle-emploi et elle m'a trouvé un studio en baisant Clément, le mec de mon propriétaire.

Denis, je le vois toutes les semaines au centre d'accueil mais on se voit en dehors aussi, je lui dois la vie ! On prend soin l'un de l'autre comme deux frères. Pour l'instant, tout va bien pour lui, il a rencontré un mec génial, je suis sincèrement heureux pour eux. Il nous arrive quand même de finir au lit, on ne se refait pas !

Je revois aussi régulièrement Clément, le mec de mon propriétaire qui vient à Lille tous les deux, trois mois pour quelques jours à chaque fois. Il est censé loger dans un studio du même immeuble que le mien. En fait, il passe la plupart de ses nuits dans mon lit à se faire défoncer comme une salope. Il m'excite en mettant des strings ou des minishorts sans rien dessous, il me fait toujours des pipes de ouf. Je m'en occupe le mieux possible, d'abord car c'est toujours bon de se vider les couilles et puis parce que, contre ma bite, il me fait souvent cadeau d'un loyer ! Ça fait un peu gigolo ou pute mais je m'en fous, tout le monde y trouve son compte.

Pendant les sept ans où j'ai vécu dans la rue, je me suis complètement déconnecté du monde. Vous n'avez pas idée des progrès technologiques qui ont été faits en 7 ans. J'ai dû réapprendre à utiliser internet, j'ai (re)découvert les réseaux sociaux, les smartphones, la TNT, la flambée des prix aussi ... Une révolution dans plein de domaines ! J'ai dû m'inscrire à des cours d'informatique pour me mettre un peu à niveau. C'est là que j'ai rencontré Carole, la prof. Elle m'a plu dès que je l'ai vue, j'ai eu envie d'elle, je l'ai draguée comme un malade pendant des semaines et j'ai réussi à me la faire, une vraie bombe ! On a baisé comme des fous pendant un bon mois, dès que je la voyais, je bandais et elle mouillait, on avait toujours envie l'un de l'autre, puis elle est partie à Paris où elle a trouvé du taf.

Alors qu'habituellement je suis super discret sur ma vie et mon passé, voilà que je me suis confié sur mes années dans la rue au médecin du travail. Il m'a longuement questionné puis a pensé qu'il serait mieux pour moi d'aller consulter un psychologue. J'ai tout de suite regretté de lui avoir parlé mais bon, c'était fait. J'ai pris un RDV, un quinquagénaire fringué comme un croque-mort m'a reçu et m'a tout de suite gonflé avec ses questions à la con, je l'ai engueulé et j'ai claqué la porte en la traitant de connard et en lui disant d'aller se faire foutre ! Il a fait un sacré rapport au médecin qui m'a contacté et m'a obligé à aller voir un autre psychologue. Ce coup-ci, je suis tombé sur un tout jeune mec prénommé Chris, plutôt sympa, pas chiant, en début de carrière. J'ai tout de suite senti qu'il aimait la bite et que la mienne avait l'air de bien l'intéresser, il me matait plus souvent le paquet que les yeux. J'ai pensé que ça pouvait me servir à me tirer au plus vite de ces séances, j'écartais les jambes et, l'air de rien, je me caressais un peu la bite tout en lui parlant. A la fin de la deuxième séance, alors que je partais, il devait être un peu plus de 19h30, je lui ai dit :

- " Vous avez encore des patients à cette heure ? "

- " Non, vous êtes le dernier. "

- " Cool, on peut peut- être aller boire un coup quelque part. Vous connaissez tout de moi et moi je ne sais rien de vous, ça rééquilibrerait les choses et je me sentirais plus en confiance. "

- " Oh, je ne pense pas. Vous savez, il ne faut pas que l'on soit trop proche pour que la thérapie fonctionne. "

J'ai pris un air de chien battu, j'ai baissé la tête et j'ai répondu :

- " Dommage ! Excusez-moi, j'avais cru que ça vous plairait qu'on soit un peu plus proche comme vous dîtes. Tant pis, pour une fois, j'aurais bien aimé avoir un peu de compagnie ce soir, sentir un peu de chaleur humaine, ce que je vous ai dit m'a tellement secoué ... "

Il a hésité un petit moment puis m'a demandé d'aller m'asseoir dans la salle d'attente. J'entrevoyais un plan cul dans la soirée, il fallait que je paraisse un peu fragile pour l'attendrir mais viril et charmeur pour l'emballer. Un quart d'heure après, nous partions pour un bar sympa. Nous y sommes restés plus d'une heure, il a pris un demi, j'ai résisté de toutes mes forces, j'avais très envie de boire de l'alcool mais j'ai pris un coca. On a parlé de plein de choses puis, au bout d'un moment, on avait abordé à peu près tous les sujets possibles, je le sentais détendu et prêt, il me dit :

- " Et qu'est-ce que tu veux faire maintenant ? "

Je lui ai mis une main sur la cuisse, je me suis penché vers lui et, à l'oreille, d'un souffle de voix bien grave, j'ai répondu :

- " A cette heure-ci, je veux juste m'occuper de ton petit cul. Tu veux pas qu'on bouge ? "

Ça l'a un peu scotché, il a rougi mais a souri et m'a proposé d'aller chez lui car c'était plus près. On est monté dans l'ascenseur, la porte s'est refermée, il a appuyé sur un bouton pour stopper l'appareil, s'est agenouillé, m'a défait la braguette et s'est mis à me sucer. Je l'ai coincé contre la paroi et je lui ai baisé la gueule à fond, il toussait, étouffait et bavait mais il prenait son pied car il me massait les couilles d'une main et me caressait la poitrine de l'autre. J'ai joui dans sa bouche, il a tout avalé puis s'est relevé et a dit :

- " Je croyais que tu voulais t'occuper de mon cul mais voilà, t'as joui dans ma bouche. "

- " Et alors ? Tu crois que je vais repartir sans t'avoir démonté et rempli ta chatte de salope ? Tu me connais pas toi, ça se voit ! "

Il a souri et m'a amené chez lui, il a ouvert la porte et là, la galère, ses parents nous accueillent ! J'en reviens pas, il vit chez papa et maman à 25 ans ! Il leur raconte qu'il a une démo de jeu vidéo à me montrer, on file dans sa chambre au bout du couloir. Je suis gêné et j'ai plus envie de baiser, il ferme la porte derrière lui et me saute au cou, je le repousse et lui dit :

- " Putain mais t'es malade, on va pas baiser avec tes parents qui sont derrière la porte. Tu pouvais pas me prévenir tout à l'heure, on serait allés chez moi, là, c'est carrément pas possible ! "

- " T'inquiète, j'ai l'habitude et ça m'excite, ils vont pas rentrer, juste faut qu'on gueule pas trop fort. Viens, baise-moi, j'en peux plus ! "

En me disant ça, il me met la main au paquet, la situation m'excite à nouveau et ça me refait bander. Je lui enlève son sweat, il me baisse mon pantalon et mon boxer, j'en fais autant avec ses fringues, je le plaque contre moi pour l'embrasser, lui palper le cul et lui doigter la rondelle. Il commence à gémir doucement, je bande comme un âne. Je le jette sur son lit, il écarte les jambes, cambre son cul et écarte ses fesses avec ses mains pour me montrer sa rondelle bien rasée :

- " Viens, j'ai envie que tu t'en occupes, j'ai besoin de ta queue, je suis bouillant. "

J'ai plongé entre ses fesses pour lui bouffer la chatte. Ma langue entrait parfaitement et profondément en lui, j'ai commencé à le doigter directement avec trois doigts ! Je l'ai limé le plus rapidement possible, il mouillait et bouffait son oreiller pour étouffer ses cris de plaisir. Je me branlais, j'ai fini par l'enfiler d'un coup sec jusqu'aux couilles :

- " Putain, t'es super ouvert. Tu dois souvent la donner ta chatte ! "

- " A toutes les bites qui la veulent, je suis accro ! "

Je l'ai attrapé par les hanches et j'ai commencé à le baiser à fond, à grands coups de reins en faisant claquer mon ventre sur ses fesses. Il m'avait excité mais, comme je m'étais déjà vidé les couilles dans sa bouche, j'allais mettre un peu plus longtemps à jouir, il allait morfler !

Je l'ai défoncé comme ça pendant un long moment, je l'ai retourné sur le dos, il a écarté et levé les jambes, je l'ai saisi par les cuisses et je l'ai tiré vers moi, ma queue est entrée en lui sans problème. Je me suis allongé sur lui et je l'ai embrassé tout en lui donnant des grands coups de reins, il gémissait à chaque fois, je sentais ses mains qui me caressaient et, parfois, me griffaient le dos. Je sentais sa bite raide frotter contre mon ventre, il a fini par cracher de longs jets sur nos ventres, ma bite était comprimée à chaque éjaculation, je continuais à le baiser sans faiblir et sans ralentir le rythme. Je l'ai soulevé pour le déposer sur le dos, par terre, le bassin collé au bord du lit, la chatte offerte au niveau du matelas, les jambes à l'horizontale. J'ai posé mes mains sur le sol, de chaque côté de sa tête, les jambes sur le lit et je me suis mis à faire comme des pompes pour enfoncer ma bite en lui à chaque descente. Il bandait à nouveau et se branlait. Comme il gémissait un peu fort, je lui ai mis son slip dans la bouche et j'ai continué à le baiser.

Quelqu'un a frappé à la porte, j'ai stoppé tout mouvement, il a enlevé son slip de sa bouche et, d'une voix tremblante, il a dit :

- " Qu'est-ce qu'il y a ? "

Son père était derrière la porte :

- " Voulez-vous que l'on vous prépare quelque chose à manger ? "

- " Non merci papa, pas tout de suite, on en a encore pour un petit moment. "

Là, j'ai recommencé à le baiser car la situation m'excitait.

- " Vous n'avez pas soif ? "

A l'oreille, je lui disais de répondre à son père qu'il était en train de se faire sauter comme une pute, qu'il pouvait entrer pour admirer le tableau.

- " Humm, non, merci papa, humm, on a bu avant de venir, humm. "

Ouais, dis-lui que t'as bu mon jus tout à l'heure dans l'ascenseur et que là, je donne à manger à ta chatte.

- " Tout va bien alors ? "

J'accélérais encore la cadence en lui disant tout bas de répondre que tout allait bien, qu'on était en train de lui fabriquer un petit fils.

- " Ouiiiiiii, je te remercie ! "

Le père est reparti, je bourrinais son fiston comme un fou, il a remis son slip dans sa bouche et a gémis comme une vraie salope. Lui aussi était très excité par la situation, il a à nouveau joui, son jus est tombé sur son visage. J'en pouvais plus, j'ai senti que ça montait, j'ai poussé au maximum pour le remplir bien au fond. On s'est effondré l'un sur l'autre et on est resté comme ça pendant plusieurs minutes. Je me suis relevé le premier et j'ai dit :

- " T'es une grosse salope et, en plus, t'es un grand malade ! "

- " Toi t'es un sacré bon coup et t'es pas plus net que moi ! "

Il avait raison. On s'est rhabillés, je suis ressorti de sa chambre, j'ai échangé quelques politesses avec ses parents et je suis parti.

Je me suis dit que le rapport psychologique serait sûrement nettement meilleur cette fois-ci ! On devait quand même se revoir la semaine suivante...

Mat

Autres histoires de l'auteur : La rechute ! | La résurrection ! | Un SDF sauvé par sa bite

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