Depuis le dernier confinement, je suis en télétravail. Donc je passe mes journées chez moi, sur mon ordi. Pas très passionnant.
Je m’appelle Nico, j’ai 36 ans, je suis blond, les yeux bleus, un peu poilu et un corps un peu potelé, monté 17 cm.
Un jour, on sonne à la porte. Je vais ouvrir. On me dit par l’interphone que j’ai reçu un paquet Colissimo. J’ouvre mais je me dis que c’est bizarre, je n’attends rien, je n’ai rien commandé. Le livreur arrive, me fait signer sur son appareil et il repart illico. Je remarque alors que le paquet est adressé aux voisins du dessus. Je veux interpeller le livreur mais il est déjà parti.
Donc je prends sur moi d’aller sonner chez mes voisins. Je prends mes clés, ferme mon appart et je grimpe les escaliers. C’est un grand immeuble. Je ne connais pas grand monde. Je salue ce que je croise dans les couloirs, sans plus. Je sais que c’est un grand black. Et je peux lire que le colis est adressé à Paul M... Je connais maintenant son prénom au moins.
Je sonne à la porte de l’appartement et elle s’ouvre vite. Quelle n’est pas ma surprise quand je remarque que ce sont deux blacks qui m’ouvrent la porte, vêtus tous deux très légèrement d’un t-shirt et d’un short très moulant. Je reste quelques secondes sans voix et je les examine de haut en bas :
Paul est grand, assez baraqué. Il doit avoir dans les 30 ans. Il a des cheveux courts et crépus, une boucle d’oreille en diamant aux deux oreilles et il porte le bouc. Il a un petit short blanc moulant qui est traversé d’une grosse barre bien épaisse. Elle est si longue qu’on a l’impression qu’elle va sortir par-dessous le short.
Sauveur (j’apprendrai son nom plus tard) est plus petit, mince. Il est plus jeune que Paul. Il a peut-être 25 ans. Il a les cheveux presque rasés et une chaine en or autour du cou. Il a l’air assez mince. Son short ample moule quand même les moindres détails de sa queue. Elle a l’air longue, recourbée le long de ses couilles et on devine un gros gland sous le tissu. Chacun de ses mouvements laisse entrevoir sa queue qui se balance d’avant en arrière.
Paul me sort de ma contemplation :
- Oui, bonjour ? Ça va ? Je peux vous aider ?
- Ah oui, bien sûr. Pardon. On m’a livré un paquet par erreur : il vous est adressé.
Je le leur tends, ils me remercient tout en me regardant bizarrement et après une seconde d’hésitation, Paul me demande si je veux un café. J’hésite puis je me dis que ça ne me ferait pas de mal de sortir de mon boulot, de parler un peu avec des gens ... et surtout de contempler discrètement les paquets de ces deux mecs afin de bien pouvoir me branler après. Je réponds :
- Oui, pourquoi pas. C’est gentil. Ça me fera une petite pause dans mon télétravail.
J’entre, ils ferment la porte. Paul m’indique le canapé tandis que Sauveur se dirige vers la cuisine. Paul s’assoit à côté de moi.
- Avec ou sans sucre ?
- Sans, s’il-vous-plaît.
- Tu peux nous tutoyer, tu sais, me dit Paul. Moi, c’est Paul...
- Oui, je m’en doutais, je l’ai lu sur le paquet.
- ... et mon pote qui te fait un café, c’est Sauveur.
Mais au lieu de me tendre la main après avoir fait les présentations, il s’approche de moi... et il me pose sa main sur ma cuisse. A ce moment, Sauveur revient et je le découvre sans son short ! Sa queue pend bien lourde au-dessus d’énormes couilles. Sa bite est longue et épaisse, avec un énorme gland. Il s’assoit à côté de moi, posant mon café sur la table. Paul se remet à parler :
- Tu sais, les murs ne sont pas épais ici. On t’entend bien baiser ... souvent. T’aimes te faire sauter, non ?
Les deux mecs, qui m’entourent comme des fauves, ont un sourire carnassier. Un sentiment de peur s’empare de moi et je me lève d’un bond. Paul a aussi viré son short, découvrant une queue épaisse et longue qui est posée lourdement sur sa cuisse et sur ses petites couilles. Les deux blacks commencent à se palucher. La queue de Paul se met très vite à bander. Elle s’allonge dans sa main, il la tape contre sa cuisse. Je suis impressionné, elle forme un demi-cercle sur sa cuisse. Puis elle durcit et se dresse devant son ventre. Elle est bien épaisse, elle est traversée de grosses veines saillantes. Sa queue est bien noire et le gland est marron. Elle est tellement épaisse que sa main arrive à peine à en faire le tour. Il a bien 24 cm entre les jambes.
Sauveur bifle sa main ce qui fait grossir son morceau à vue d’œil. Sa queue toute noire est aussi épaisse qu’une canette de bière, sa main ne peut pas en faire le tour. Il se met à se branler et ses grosses couilles de taureau accompagnent ses mouvements : elles montent et descendent. Son gland rose est énorme. Sa queue s’allonge et semble atteindre la hauteur de son torse. Elle doit bien faire 26 cm.
Ils se mettent à se branler et ils m’encouragent à les rejoindre :
- Viens sucer nos grosses bites.
- Oui, deux bites XXL de beaux blacks rien que pour toi.
Moi, je suis partagé entre la peur et l’envie. Ils ont vraiment des bites XXL. Et finalement, je ne peux pas résister. Je m’approche d’eux, je me mets à genoux et je prends les deux teubs en main. Quelle sensation ! De vrais monstres !
Je me penche sur la queue de Paul en premier et je la lèche. Puis celle de Sauveur. Les deux blacks m’encouragent en me caressant la tête. Je repasse à Paul et je me mets à le sucer. Je m’occupe de son gland. J’arrive ensuite à enfoncer la moitié de sa queue dans ma bouche. Paul me caresse la tête puis commence à imprimer une pression dessus pour que j’avale son morceau encore plus loin. Puis il me lâche et je passe à son pote. Je dois bien ouvrir ma mâchoire pour enfourner sa queue dans ma bouche. Je n’arrive qu’à enfoncer la moitié de son morceau en bouche. J’alterne les deux bites. Elles sont vraiment savoureuses.
Puis, ils se lèvent et me déshabillent. Ils enlèvent aussi leur t-shirt et je découvre leur corps. Paul est assez enrobé, avec des petits seins et un petit vendre rondouillet. Il a des bras assez développés. Il a un corps parsemé de poils noirs et bouclés. Ils descendent en masse du cou jusqu’au pubis, qui lui aussi est très fourni. Quant à Sauveur, il est mince, voir musclé sec. Il a un corps imberbe avec seulement quelques poils sous les bras, sur le pubis et sur les couilles.
Les deux se mettent à me tâter le cul, à me le masser et à me l’écarter pour voir mon trou. Sauveur se place derrière moi et commence à me lécher la rosette. Ses grosses lèvres se mettent à l’embrasser et à la lécher. Je me sens partir au nirvana. Il fait ça comme un pro. Et sa grosse langue titille mon trou puis s’enfonce lentement dedans, de plus en plus profondément. Je gémis de plaisir. Il ouvre autant que possible mes fesses avec ses mains. Il me mouille bien l’intérieur de mes entrailles. Paul présente à ce moment sa queue devant ma bouche et je l’engloutis.
Sauveur me relève, il me fait retourner et il m’embrasse goulument. Paul se place derrière moi et il m’embrasse dans le cou. Je gémis encore plus fort. Je sens la barre de Paul dans mon dos. Il la fait descendre vers mon trou, place son gland en position et il s’enfonce lentement en moi. Je m’ouvre comme une fleur. Je ne ressens que du plaisir. Ses 24 cm s’engouffrent en moi et je les sens bien me posséder.
Il se met à coulisser lentement en moi tandis que Sauveur s’assoit sur le canapé et je le suce. Je sens les poils de Paul me chatouiller le dos. Puis Sauveur prend sa place. Du moins, il essaie. Son gros gland s’introduit dans mon antre mais il a du mal à descendre le long de mon conduit. Il force un peu, un tiers de sa queue rentre mais je crie. Il ressort mais il n’abandonne pas. Ma main se pose instinctivement contre ses abdos et il y va plus lentement. Petit à petit, mon trou s’habitue à sa queue et au bout de quelques minutes, ses couilles me chatouilles les cuisses. Il commence lentement à me baiser. J’ai le souffle coupé tellement son morceau est imposant. Paul me donne sa queue à sucer. De ses deux mains qu’ils posent derrière ma tête, il me baise la bouche. Sauveur accélère le rythme de sa baise et il tient 10 minutes comme ça.
Puis il sort de moi, mon trou semble béant et Paul prend sa place. Il entre comme dans du beurre. Il se met immédiatement à donner des gros coups de reins. Il me défonce. Sauveur m’embrasse comme un fou puis me présente sa queue qu’il me donne à sucer. Je m’applique et lui me donne des petites baffes d’encouragement. Paul fait entrer et sortir sa bite sur toute la longueur puis il m’agrippe les épaules et il me défonce sauvagement. Il ressort et me donne une fessée.
C’est de nouveau au tour de Sauveur de me baiser : il m’attire vers lui, il place sa queue à l’entrée de mon trou et il me pénètre sauvagement. Ses grosses couilles claquent contre mes fesses et contre mes cuisses. Puis il m’agrippe par les hanches. Sans sortir de mon antre, il se retrouve assis sur le canapé et il me défonce en maintenant mon cul en l’air. Paul se branle et se met à côté de lui. Quand Sauveur calme ses coups, je passe à la queue de Paul. Je les chevauche à tour de rôle.
Au bout de 20 minutes, ils m’emmènent dans une chambre et il me pousse sur le lit. Sauveur rentre en moi comme dans du beurre, grâce à sa queue, mon trou est bien ouvert et béant. Il me défonce de nouveau tandis que je suce son pote qui s’est assis sur le lit, les jambes de part et d’autre de ma tête. Puis ils échangent leur rôle. Ils me culbutent comme jamais. Ma prostate est maltraitée, je ne sens plus mon trou. Je gueule de plaisir. Leurs coups sont sauvages et brutaux, leurs couilles me claquent les fesses. Puis ils me retournent sur le dos, mon cul au bord du lit et Sauveur enfonce sa grosse queue en moi tandis que Paul me baise la bouche.
Ils se succèdent dans mon cul et dans ma bouche. Puis au bout de 15 minutes, Paul gueule qui ne va pas tarder à jouir. Ses coups de bite sont rapides et amples et il gémit tandis qu’il jouit tout en me continuant de me baiser. Puis il sort de mon cul, se branle et du sperme continue toujours de sortir de sa queue alors que mon trou bien ouvert dégouline de son sperme épais et blanc. Il renfonce sa bite en moi, donne de petits coups de reins puis laisse sa place.
Sauveur me dit de me retourner sur le ventre. Il me pénètre et me baise violemment. Il sort sa queue, se branle et bien vite, il gémit de plaisir. Pendant une vingtaine de secondes, sa queue crache son jus. Certains jets atterrissent de l’autre côté du lit, mais la plupart viennent recouvrir mon trou et mon dos. Puis il se refonce en moi et continue de me baiser. Sa queue reste bien une minute bandée et j’en profite pour me branler et juter en grosse quantité.
Il sort de moi, les deux se couchent l’un à côté de l’autre, tandis que je me retrouve au milieu et ils m’embrassent sensuellement. Puis je leur dis que je dois redescendre car j’ai une réunion. Sauveur dit :
- Il va falloir que tu montes souvent nous voir... Peu de mecs arrivent à supporter ma grosse queue comme toi !
Je souris, je réponds « Avec plaisir ». On s’embrasse tous sur la bouche et je file, le cul bien ouvert, dégoulinant de jus.
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
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