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Chapitre 3
Salut à tous,
Comme décrit dans le premier chapitre, je m’appelle Chris. Je suis étudiant en littérature, j’ai 22 ans. Je suis ouvertement gay, même si on ne le lit pas sur mon visage. Ma famille, mes amis, mes copains de fac, tous sont au courant. Je suis brun, j’ai les cheveux courts, je suis mince (mais pas du tout musclé, je ne suis absolument pas sportif), de taille moyenne et un peu poilu. Mes poils commencent à partir du nombril et partent en une ligne bien noire et plongent dans mon pubis assez velu. Mes jambes sont aussi recouvertes d’une toison noire et soyeuse. Je suis actif et passif, j’adore la baise, même si mon côté timide m’empêche de draguer ouvertement les mecs.
Depuis quelques semaines, je vis dans une collocation avec 5 beaux mâles : ils sont tous plus grands et plus musclés que moi, certains plus minces, d’autres plus corpulents. Mais ils sont des aimants à filles. Ils se font sans arrêt draguer. Moi, bien sûr, je fais tache à côté d’eux avec ma carrure de gringalet. Il y a Nicolas, Damien, Ensar, Roy et Patrick. Un jour, Damien, que j’avais déjà pris en flag en train de faire l’amour à sa copine, m’a dragué et m’a baisé en me disant qu’il avait envie de moi car il m’avait vu sur Grindr. Après la baise, il m’a confié que tous les mecs de la colloc’ m’ont vu sur le site et qu’ils ont apparemment tous envie de moi... Et en effet, Nicolas m’a offert ses 26 cm et il m’a bien baisé.
On est en juillet, il fait très chaud. Nicolas, Damien et Roy ne sont pas là, ils sont rentrés dans leur famille respective pour les vacances. Moi, je partirai en août dans ma famille. Pour le moment, j’ai un job d’été dans un supermarché où je dois mettre les nouvelles arrivées en rayons.
A cause de la canicule, il fait très chaud dans notre appart’. Et Ensar est maintenant tout le temps à poil dans l’appart. Malheureusement pour moi. Pas que ça me choque ! Non ! Mais il est tellement bien foutu que je dois cacher mes érections assez souvent. Donc bien sûr, hors de question que je me balade aussi tout nu. Et il faut dire qu’Ensar est bien monté !
Il a 21 ans, il est métis. Mais je ne saurais dire quelques sont ses origines. Il a des cheveux roux (teintés) et mi-longs qui lui tombent devant les yeux. Il est le fruit d’un métissage marocain, japonais et portoricain ... ce qui le rend vraiment magnifique. Toutes les filles craquent pour lui. Il est grand (1,90m), mince, musclé sec. Il porte une barbe de 3 jours (sans moustache) et un petit duvet sous son menton. Il a des pectoraux gonflés et des bras tout en muscle. Il a des abdos de malade, super bien dessinés. Il a quelques poils noirs au milieu du torse et un filet parcourt son ventre, traverse son nombril et va se perdre dans son pubis dont les poils sont taillés très courts.
Il a une queue marron foncée et circoncise, avec un gland rosâtre. Elle pend devant de grosses couilles rasées. Elle est assez impressionnante, même au repos. Elle doit faire 13 cm. Je répète : au repos ! Quand il marche, elle pend lourdement et elle se balance de gauche à droite. Et ça me rend fou d’excitation aussi !
Un jour, quand je rentre du boulot, j’entends Ensar parler. Je me souviens alors que j’avais appelé le plombier car la chasse d’eau est cassée. On avait fixé un rendez-vous en fonction de la semaine de congés d’Ensar. Donc je me dis que le plombier doit être encore là. Je me dirige vers la salle de bains ... mais j’entends des bruits bizarres. Je m’approche sur la pointe des pieds... Quelle n’est pas ma surprise quand je vois Ensar qui baise le réparateur.
J’arrive très bien à m’imaginer ce qui s’est passé : Ensar était nu quand le plombier est arrivé, le mec a dû mater le matos et il s’est fait prendre en flag. Le réparateur a succombé au charme du métis qui n’a pas hésiter à se jeter sur le mec. Et je les retrouve ainsi. Ma queue se dresse immédiatement.
Le plombier a son short au niveau des chevilles, le t-shirt remonté. Il est appuyé contre le WC en levrette et Ensar donne des coups de bite dans son cul. Il a ses mains sur les fesses du plombier et il le bourrine à fond. Ses grosses couilles claquent contre le périnée du mec. Puis, il sort du cul et il se branle. Soudain, de grosses giclées sortent de sa queue. 8 jets aspergent le cul et le dos du mec ... c’est comme une pluie de sperme qui s’abat partout. Le plombier prend la bite en main et l’enfonce dans son cul. Les couilles d’Ensar se contractent et il continue de juter. Il donne quelques coups de reins puis sa queue ramollit petit à petit. Elle sort du cul qui libère une dose de sperme liquide et blanchâtre qui atterrit bruyamment sur le sol. Je jute moi aussi sans trop le vouloir... J’essaie de ne pas gémir et surtout de garder toute ma semence dans ma main... mais elle coule sur le sol. Je me précipite dans ma chambre et je prends un mouchoir pour tout essuyer. Je ferme doucement la porte et j’entends alors que le plombier salue Ensar et il part.
Une heure plus tard, j’entends frapper à ma porte. Je ne réponds pas car en fait je ne me suis pas encore manifesté, je ne voulais pas qu’Ensar sache que j’ai assisté à sa baise. Donc, je ne dis rien. Je retiens mon souffle. Mais la porte s’ouvre quand même lentement. Je mets vite mes écouteurs sur mes oreilles. C’est Ensar qui se présente devant la porte. Bien sûr, il est nu. Son gland semble encore un peu gonflé après cette baise. Il me regarde bizarrement, en souriant :
- Ben, alors, tu ne réponds pas ?
- Ah désolé, je t’ai pas entendu, répondis-je en enlevant mes écouteurs.
- La petite scène t’a plu ?
Je deviens livide... Je bafouille :
- Que...Quoi ? Quelle scène ?
- Quand j’ai baisé le plombier dans la salle de bains ? Je t’ai vu dans l’armoire à glace au-dessus du lavabo. Tu nous matais et tu étais en train de te branler. Ça avait l’air de bien te plaire.
Je rougis, ne sachant que dire. Ensar s’approche alors de moi. Le beau métis se couche alors sur mon lit et il ferme les yeux. Je reste sur ma chaise de bureau, interdit, ne sachant que faire. Il se met alors à jouer avec sa queue qui commence à prendre du volume. Il finit par dire :
- Alors, tu veux pas t’en occuper ?
Je m’approche timidement de lui et je me couche sur le lit. Sa main quitte sa queue et je tends la mienne. Je touche sa bite... Elle est vraiment douce. Elle est en mode demi-molle. Je la prends en main et je l’actionne. Elle gonfle et elle se tend sur les abdos du beau métis. Je suis impressionné. Sa queue fait dans les 23 cm, elle est de largeur plutôt normale, mais longue et parcourue de petites veines.
Ensar me fait venir vers lui. Il colle son corps musclé contre le mien. Je passe mes mains sur ses pectoraux gonflés à bloc. Je sens bien sa queue entre nous. Elle est dure, elle est bloquée contre mon ventre. Il se met à m’embrasser dans le cou. Puis il descend sous mes aisselles qui se met à lécher. Il semble aimer mon parfum de mâle. Il frotte un peu sa teub contre mon ventre en donnant quelques coups de reins. Puis sa langue continue sa course le long de mon torse, de mon ventre. Il s’enivre du parfum de mon pubis et il se met à passer sa langue sur ma teub et mes couilles. Moi, je suis comme paralysé par ce traitement. Je me laisse faire, tout simplement.
Puis, il remonte vers moi et il présente sa queue devant ma bouche qui s’ouvre automatiquement. Il s’enfonce lentement mais d’un trait. Sa bite passe ma luette et elle va cogner le fond de ma gorge. J’ai mon nez dans son pubis qui sent le gel douche. Il commence à donner de petits coups de reins, faisant entrer et sortir sa bite de ma bouche.
Puis Ensar se positionne derrière moi, il pose ses mains sur mes fesses, il les caresse puis il les écarte et il se met me titiller la rosette. Il lape à petits coups de langues mon œillet et ensuite il fait entrer sa langue au plus profond de mon trou. Je commence à gémir très fort. Puis il rentre lentement un doigt dans mon cul et il fait des va-et-vient. Il rentre ensuite un deuxième doigt et il commence un massage de ma prostate. Je gémis toujours plus fort. Puis sa langue reprend du service, elle passe dans ma raie et elle remonte jusqu'à mon gland. Il se délecte de mon precum.
Ensuite, Ensar se relève, sa langue continue son chemin dans mon dos jusque dans mon cou et il me fait me retourner. Il me regarde droit dans les yeux et sa bouche s’approche doucement de la mienne. Le contact entre nos lèvres se passe comme au ralenti ... ce qui m’électrise. Sa langue pénètre dans ma bouche et il me roule une grosse pelle. Puis il se relève et il me fait me mettre à quatre pattes, sans un mot.
Il prend le tube de gel qui traine sur ma table de chevet et il m’en tartine le cul. Il positionne son gland et il entre en moi, sans faire d’arrêt. Je sens mon cul se remplir de sa grosse queue. Elle passe ma prostate et au bout de quelques secondes elle touche le fond de mon anus. Il fait alors une pause. Il colle ses abdos contre mon dos et il se met à donner de petits coups de bite. Il m’embrasse dans le cou et il respire dans mon oreille. Je suis aux anges.
Puis, il commence à me pilonner. Je gémis fort, je sens sa grosse queue me posséder. Il me secoue maintenant comme un prunier. Il me donne parfois de grands coups de bite qui me défoncent le fond de mon cul et qui me coupent presque le souffle. Ses grosses couilles pendent sous sa teub et elles viennent me frapper le cul à chaque fois qu’il s’enfonce dans mes entrailles. Il me possède complètement. Il me baise en silence. Seul le bruit de ses couilles contre mes fesses se fait entendre... ainsi que mes gémissements.
Il entoure mon corps de ses bras et il me baise plus rapidement, plus sauvagement. Son souffle dans mon oreille s’accélère progressivement. Il me maintient plaqué contre son torse musclé. Finalement, il se bloque en moi et je sens sa queue se contracter. Il me remplit le ventre, je sens de grandes giclées de sperme qui m’envahissent. C’est impressionnant, il a l’air de ne pas s’arrêter de jouir. Il reste en moi quelques secondes puis il retire sa bite. Tel une cascade, le jus sort avec violence de mon trou et va s’exploser sur le sol. Pendant quelques secondes, je sens mon cul se vider de ce jus. Je prends ma bite en main et je me branle.
Mais Ensar me fait mettre sur le dos, il plonge sa main dans la flaque de sperme et il l’utilise pour me branler. Je jouis 5 gros jets de sperme qui atterrissent sur le visage de mon amant. Il passe sa main sur sa joue et il lèche ce que je viens de lui offrir. Puis il se précipite sur moi pour m’embrasser.
Il se couche à côté de moi en disant, essoufflé :
- Putain, c’était trop bon !
Mais tout d’un coup, on entend :
- Ben alors, les mecs, on s’amuse bien à ce que je vois.
Surpris, on relève la tête et on voit alors Roy qui nous mate, le regard plein d’envie...
A suivre...
Merci à Chris pour ses idées.
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire.
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Meetmemz
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