Saison 1 | Saison 2
S3-1 | T'arrêtes pas... continue...
La lueur du soir traverse la pièce. Les derniers rayons du soleil jettent leur couleur ambrée, en lèchant une dernière fois les contours de son corps allongé. Ils soulignent les lignes de son torse, ses pecs, ses tétons. Un trait de lumière orangée longe la courbe de ses jambes, dessinne ses hanches et accroche son pénis. Les rayons du soir soulignent ses pommettes et surlignent son visage. Son regard brille. La lumière traverse les poils de sa barbe mal rasée et claque sur la blancheur de ses dents.
Il me regarde, il ne bande pas. Tout son corps me sourit. Il se caresse doucement la cuisse et sa main se glisse dans les poils de son pubis, embrasés par la tombée du jour. Le soleil bas traverse tous les poils de son corps et les illumine un à un comme les blés. De ses rayons, l'astre du soir redessine la courbe de son pénis, accroche la marque de son gland et les replis poilus de ses couilles. Son prépuce s'entre-ouvre doucement, dévoilant l'humidité de son gland brillant. Il empoigne son sexe et sourit :
- Putain sors ta teub, gamin !
Papa me trouve timide. Lui il n'a pas peur de se montrer, il est sublime dans cette lumière intrusive et ambrée qui le met à nu et le couvre de lignes enflammées. J'en oublie complètement que c'est mon père.
Alors que moi... je suis plus timide c'est vrai, pour tout ce qui touche le sexe. Il me dit que je n'ose pas assez. Il a raison, mais bon...
- T'es très beau, Quentin, t'es super bien foutu et t'as une bite incroyable... et tu ne montres jamais rien à personne... Si ça continue tu vas finir vieux garçon, gamin !
- N'exagère pas, Papa... Je n'ai que 18 ans, là...
- Oui ben si tu ne te forces pas un peu, si tu ne sors pas de ta pudeur à la con, ton beau zizi va vivre un célibat éternel, mon fils...
En disant cela, il caresse son gros braquemart aux contours dorés.
... Tout ça parce que j'ai gardé mon boxer... Le problème avec Papa c'est qu'il se préoccupe un peu beaucoup de mon zizi, je trouve ! Il le trouve trop beau, il veut toujours le regarder et jouer avec. Moi ça ne me dérange pas, ça me rend même plutôt fier. Il dit que j'ai le plus beau sexe qu'un père puisse souhaiter pour son fils. Alors ben je le laisse regarder, approcher, mater de près... même si des fois ça me fait franchement bander...
En vrai j'ai trop de chance d'avoir un père aussi cool, aussi ouvert ! Des fois, on se fait des câlins à poil, il n'y a pas de tabou entre nous puisqu'on est entre hommes. Il me caresse entre les jambes. Mais on ne se suce pas... ça non. Juste une fois il a posé la pointe de sa langue sur le bout de mon gland, comme ça... juste un petit coucou, quoi, pour goûter... Mais je pense que tout le monde fait ça... non ?
- Crois-moi, un biscuit c'est fait pour tremper, Quentin... et pour se faire bouffer, ha ha ! sinon ça fini par rabougrir et à la fin c'est tout ratatiné !
- Ha ha ! Ben il n'est pas ratatiné le tien, Papa...
Je lui glisse la main entre les jambes. Il écarte. Ses couilles sont énormes, luisantes dans la lumière du soir. Elles sont toutes chaudes, moites, collantes, trop grosses pour ma main. Il me sourit et avance le bassin. Je glisse ma main dans ses poils du dessous jusqu'à son anus, il me regarde dans les yeux, puis je remonte et j'attrape sa grosse teub toute chaude. La bite à Papa !
Il pose une main sur mon boxer.
- Allez... enlève-moi ça.
Le soleil a disparu, mais une lumière chaude, entre chien et loup, persiste. L'air reste lourd... La nuit va être chaude. Malgré la fenêtre ouverte, la température ne chute pas. Alors avec Papa, on dort avec juste un drap.
Alors oui, c'est vrai, depuis que j'ai 18 ans, je dors avec Papa quand Maman n'est pas là... et alors ?... on se blottit, on se câline... ben quoi ? tout le monde fait ça... non ?
Finalement j'enlève mon boxer. Pourquoi le garder ? On est adultes. C'est pas parce qu'on est tous les deux tout nus qu'on va s'enculer, quand même, on n'est pas des gamins !
Il colle son corps de mâle contre le mien. Il est chaud, il est moite, il est rassurant. Il pose une main sur ma hanche. Je sens les poils durs de son pubis contre mes reins... et sa grosse barre au niveau de mes fesses... Il se plaque. On est bien... Son gros sexe marque de petits à-coups d'excitation. Sa présence virile me rassure et me détend. J'aime ses petits mouvements de bite. Je ferme les yeux, je me sens protégé. On est tellement bien tous les deux... que mon père s'assoupit.
Dans son sommeil il me souffle de plus en plus fort dans le cou et je sens son long sexe ramollir lentement, et libérer contre mes fesses un jus indéterminé.
Que mon père soit aussi décontracté, libre et sans tabou avec moi, qu'il n'ait pas peur de me faire autant partager son intimité, ses émotions, ses érections, ses sécrétions... ça me touche énormément. Je me sens bien, sa présence m'entoure et me rassure... Je m'endors à mon tour.
Je me réveille peu de temps après. J'ai bavé... de la bouche et aussi de la bite. Il fait toujours aussi chaud.
Cette fois la nuit s'est installée. Le drap colle. Dans le noir, un moustique tourne. Par moments la lune perce les nuages et emplit la pièce de sa lumière bleue, ce qui semble chasser le moustique...
On est tellement moites... La sueur de mon père se mêle à la mienne. Il me tient chaud. Sa bite continue à juter le long de ma fesse... Alors je me dégage.
Dans le même mouvement, sans sortir de son sommeil, il se retourne, m'offrant à son tour une vue complète sur son cul musclé dans la lumière bleutée, et sur son trou mystérieux...
Même si je le vois souvent, je continue à rêver de son anus ! Combien de fois j'ai rêvé de son orifice ! Combien de fois je me suis réveillé en nage, en rêvant qu'il m'implorait de l'enculer ! Combien de fois j'ai joui dans mon sommeil en rêvant que j'entrais en lui !
Dans mes rêves, c'est drôle mais mon père est toujours nu. Il ouvre ses fesses. Il est à quatre pattes ou sur le dos, et il implore : "Quentin... encule-moi... s'il te plaît..." il relève les jambes, il me jette des regards suppliants : "encule-moi... je n'en peux plus, Quentin... encule-moi, je te dis...
Mais cette fois ce n'est pas un rêve ! Il m'offre vraiment son cul dans la lumière bleue !
Alors j'approche ma main et je glisse mes doigts dans les poils de ses fesses. Ça ne le réveille pas. C'est poilu, c'est doux, c'est chaud comme une chatte, c'est mouillé c'est accueillant... la chatte à Papa !
J'approche alors mon sexe tendu... tellement tendu que ça tire... ça fait presque mal... c'est bon.
Ma bite s'oriente naturellement vers son trouducul invitant... comme si elle retrouvait sans y penser le chemin de chez elle. Mon gland décalotté se pose contre son trou mystérieux... c'est trop bon... il continue à dormir, il ronfle presque... mon sexe est tellement heureux qu'il diffuse des hormones de bien-être dans tout mon corps... Mon gland se promène dans ses poils transpirants et trouve immédiatement la moiteur chaude de l'entrée. Papa dort toujours. Ma queue est tellement dure ! Et je sens qu'elle a envie de plus, elle a envie de rentrer !
Alors sans que je le commande, mon bout se positionne face à l'entrée et commence à appuyer. C'est tout doux, tout chaud... j'appuie un peu plus... et ça s'ouvre tout seul ! L'entrée est plutôt facile... je me dis que je ne suis peut-être pas le premier à entrer... Le cul à Papa !
J'appuie un peu plus, ça tire un peu sur ma peau, mais ça rentre... Putain ce que c'est bon !!
Mais d'un coup son souffle s'arrête... il est peut-être en train de se réveiller... Je m'immobilise.
Je me dis que pour un père ça doit être humiliant de se réveiller avec la bite de son fils dans le cul.
Puis son souffle reprend doucement alors n'y tenant plus, je l'attrape par les hanches et je donne un grand coup de bassin pour l'enfiler jusqu'à la garde !
Il crie.
- Ah !
C'était sûr. J'ai voulu aller trop vite... J'arrête tout. Mon pubis et mes couilles sont plaqués contre son cul... et ma grande bite est à l'intérieur. Qu'est-ce que c'est bon !
Mais apparemment il ne s'est pas franchement réveillé, il continue à respirer lentement.
Alors, je passe ma main au dessus de lui et je la glisse depuis sa hanche vers son pubis... les poils à Papa !
Ma main continue jusqu'à son zob... Putain il bande, le pédé !
Du coup, je me demande s'il dort ou pas...
Et pendant que je saisis sa grosse teub chaude, je ne peux pas m'empêcher de pousser ma bite au plus profond de lui.
Mon sexe marque un à-coup involontaire... auquel son sexe à lui répond par une petite contraction que je sens dans ma main.
Alors je commence doucement les va et vient en caressant son gros pénis chaud. Au début, je me plaque doucement contre lui en lui chopant ses couilles, mais mon corps veut davantage. Mon zob réclame plus de cul, plus de mouvement, plus de brutalité ! Alors je lui empoigne les hanches et je commence à claquer mon bassin contre ses fesses.
Ça y est ! Enfin ! J'avais tellement rêvé de l'enculer, ce pédé ! Alprs je me lâche et je l'encule de plus en plus fort !
- Han !... Han !... Han !...
- Quentin...
Je m'immobilise. Putain je l'ai réveillé !
- Oui ?
- Ben qu'est ce que tu fais ?
- ...
- Tu m'encules ?
- Ben... oui...
- T'arrêtes pas... continue...
Jam
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