L'�tudiant aime la domination. J'avais donn� rendez-vous � Alex via le net. Ou plut�t, IL m'avait donn� rendez-vous. J'avais 21 ans, il devait en avoir 35. J'�tais jeune, j'avais soif d'exp�riences et surtout un sacr� feu au cul, pour parler cr�ment. J'avais r�pondu � une annonce dans laquelle il recherchait un jeune mec acceptant la domination, aimant la sodomie, les trips uro et les l�chages de pieds. A vrai dire, j'avais d�j� �t� initi� par Jean-Pierre � ce genre de choses. Si je ne suis pas du genre � me laisser faire par qui que ce soit au quotidien, j'aime �tre soumis � mes partenaires lors de mes rapports sexuels. Jean-Pierre savait comment me faire du jouir du cul tout en me traitant du surnom affectueux de "ma petite chienne". Au t�l�phone, Alex avait pris sa voix la plus virile et s'�tait mis � jouer les gros durs, afin, disait-il, d'�loigner les mythos et de cerner ma personnalit�. Nous avions pris rendez-vous dans un caf� pr�s des Champs-�lys�es. A vrai dire, au premier abord, il ne me plaisait pas tant que �a : moins viril que je l'avais imagin�, un peu plus �g�, pas tr�s frais non plus. Mais peu importe, il avait promis d'excellentes mensurations, un comportement dominateur, et j'avais vraiment h�te de voir �a de mes propres yeux. Nous avons bu une bi�re en discutant de choses et d'autres. Nous devions ensuite prendre le m�tro pour aller r�cup�rer sa voiture gar�e... au bois de Boulogne. Tandis que nous attendions le m�tro sur le quai de la station Charles-de-Gaulle-Etoile, il me lorgnait d'un air narquois en me disant : "Regardez-moi �a, il est tout jeune, on lui donnerait le bon dieu sans confession, et il n'attend que �a de se faire d�foncer !" J'�tais profond�ment g�n� par de tels propos, qui plus est dans un lieu public. Mais mon cour battait la chamade et j'avais de plus en plus envie. La voiture �tait un puissant 4x4 noir immatricul� dans un d�partement �loign� de Paris. Monsieur me fit monter � la place du passager. Nous devions prendre le p�riph' afin de nous rendre � mon domicile. J'h�sitais cependant � accueillir un inconnu dans mon studio. Je n'avais que 21 ans. Que penserait mes parents s'il m'arriv�t quelque chose et que j'eusse d� trouver une justification. Pendant le trajet, nous avons tr�s vite parl� des choses s�rieuses. Peu de temps apr�s, nous �tions chez moi. Je servis un verre d'eau � Alex qui s'assit sur mon lit, en gardant ses grosses chaussures. "Retire-moi mes pompes et l�che-moi les panarads", dit-il. Je pris cela comme un ordre. Les pieds sentaient l�g�rement le renferm� et je n'avais gu�re l'habitude ce genre de pratique mais il avait l'air d'appr�cier. Aussi y prenais-je go�t au fur et � mesure de ses encouragements. Quand il en eut assez, il me le fit savoir d'un petit geste vif du pied gauche et me pr�cisa qu'il avait envie de que je m'occupe de son entrejambe. A travers le pantalon en cuir mod�le motard, la bosse de cette partie de son corps se dessinait magnifiquement. J'�tais vraiment press� de voir la b�te. "Doucement, doucement, viens la sentir, d'abord". Ca sentait le cuir, et on devinait l'odeur de la pisse et du foutre. Il me fit d�grafer la fermeture-Eclair et baisser le f�t. Quand il vit que je tentais de chercher � savoir ce qu'il y avait sous son slibard, il m'envoya une d�rouill�e. A mes plaintes, il r�pondit d'un ton sec : "Alors, t'es ma salope, oui ou non ?" En deux coups de bras d'Alex, je fus allong� sur le dos, mes cuisses se retrouv�rent �cart�es et en un tour de main, j'�tais p�n�tr� comme la vache par le taureau. Mon �talon ponctua ce brillant orgasme de ces quelques mots : "Ca y est, salope, t'as eu ce que tu voulais ? Branle-toi comme une vieille pute, maintenant !" Souill� par la salive et le foutre, je n'eus qu'un seul d�sir, celui de prendre une douche dans ma baignoire. Alex me rejoignit dans la salle de bain. N'ayant pas encore de rideau de douche, je me lavais assis. Tandis que je me savonnais, sans me demander mon avis, il baissa � nouveau son jean et sortie son �pais morceau de chair. Il ne bandait plus, mais je sentais que quelque chose se tramait dans son esprit. Il saisit sa bite molle et un puissant jet de pisse vint me frapper en plein visage. Le jet �tait abondant, la pisse �tait jaune et s�rement charg�e d'ammoniac tant elle piquait ma peau. Ce soir-l�, j'avais d�cid� d'�tre animal. L'envie me prit de go�ter � cette urine. Elle avait un fort go�t amer. Je profitais de ce moment tout en regardant le bel objet d'o� venait le liquide. Apr�s ces deux heures de soumission, je pouvais me laver, me s�cher et saluer mon m�le. Il se contenta de me dire que j'avais ses coordonn�es et que je pouvais rappeler quand je voulais. La soumission restant pour moi un jeu, je n'ai jamais rappel� Alex, pr�f�rant autant que possible changer r�guli�rement de partenaire et adapter mon anus � diff�rentes tailles et formes de bites. Ceci est une histoire vraie. Olav R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |