Chapitre 1
Je vais vous raconter une histoire qui s’est déroulée sur ces quelques dernières semaines.
Pour vous faire une description rapide, j’ai 39 ans, gabarit rugby plutôt que crevette et en couple depuis de nombreuses années. Avec le temps, mon côté soumis n’est plus comblé.
Je me suis donc inscrit sur un site bien connu pour rencontrer un mec dominant. Sans rentrer dans du hard, le fait d’être pris en main, notamment psychologiquement était un besoin.
Après quelques temps, je suis contacté sur Marseille où je bosse par un mec qui sur le papier à tout pour lui me concernant. Dominant de nature, physiquement plus grand que moi et sur de sa force. Nous avons échangé pendant quelques temps. Au fur et à mesure, il prenait l’ascendant sur moi et arriver à me faire faire des choses que je n’aurais pas penser faire, à me retrouver dans des situations improbables avec mon copain a côté dans la maison. Son objectif était de le faire progresser. Lui me disait n’avoir aucune limite. J’ai donc du lister les miennes afin qu’il puisse faire bouger les lignes.
Pour moi c’était simple, mes trips/envies étaient sniffer une odeur de mâle, crachats, insultes, bondage, facefucking, être considéré comme une chose. Dans ce que je voulais essayer, particulièrement avec lui car les échanges avaient complété les quelques photos et ce mec était sexy en diable, il y avait l’uro, être forcé de boire à la source comme il disait. De manière générale, c’était être forcé tout court, sentir que je n’avais pas le choix, que c’était lui aux commandes, bref que je n’avais pas mon mot à dire.
Bref, des échanges sympas qui me mettaient dans tous mes états. De manière très forte il m’avait mangé le cerveau, s’était insinué dans ma tête. Mais, il me faisait marcher la machine à fantasme sans jamais rien proposer, surtout pratiquait l’abandon pour susciter le manque. Parfois c’était trop, limite du rejet. J’ai arrêté.
Il y a quelques semaines, j’étais dans le TER pour aller travailler. Il y a un peu de monde mais ça va. Je suis sur la place contre la fenêtre, laissant libre celle côté couloir. Un mec s’assoit à côté de moi, j’y prête pas attention, je suis absorbé dans mon bouquin, quand j’entends : « Salut ma lope »
Il est assis à côté de moi! Totalement conforme aux photos et avec une assurance et une autorité naturelles qui me font perdre tous mes moyens.
« Alors comme ça tu pensais m’échapper? Ce n’était pas compliqué de savoir quel train tu prenais. J’ai enregistré toutes les informations de ta petite vie. Tu es à moi maintenant, il va falloir assumer. »
Mais dans quelle galère je me suis fourré ? Tranquillement, je le vois se pencher en avant pour trifouiller sa chaussure. Il se redresse et croise les jambes en posant sa cheville droite sur sa cuisse gauche, le pied dans ma direction. Une odeur remonte à mes narines. Il enlève sa chaussette. L’odeur est de suite plus marquée. D’un ton qui n’admettait aucune réponse, il me dit : « sniffe et lèche
comment veux tu que je fasse? On est dans le train, on pourrait nous voir.
C’est ton problème mais un conseil, ne me fais pas trop attendre! »
Je suis complètement perdu. Comment faire?
Je fais semblant de laisser tomber mon bouquin par terre et me penche pour le récupérer. Je suis nez à nez avec son pied. Quelle odeur!! Mon dieu! Et puis il y a de la surface! Avec mon 43, je me sens tout petit face à ce 45 bien large! Je dois être en arrêt car il en profite pour bien écraser son pied sur mon visage. J’ai l’impression que son odeur s’imprègne sur moi. Cela me réveille un peu et en profite pour lécher. D’abord la plante de pied puis je remonte vers les orteils. Je sens sa main sur mon dos, elle est posée avec fermeté. Quand je fais mine de me relever pour pas me faire calculer, il continue d’appuyer, me voila coincé! Forcé de lécher ce pied au milieu du TER. Finalement, il me relâche, je me redresse rapidement. Je suis rouge de honte. Ça le fait rire. Je sais qu’il aime mettre mal à l’aise ou dans des situations improbables. Avec lui, je n’ai pas fini de rougir!!
Ce que je n’avais pas vu, c’est qu’il m’avait pris en photo. Et je sais qu’il est capable de tout car il s’embarrassera pas de limite ou de filtre!
D’ailleurs il me montre un vrai reportage photo de moi avec son pied. « a peine quelques minutes avec toi et j’ai déjà un moyen de pression supplémentaire. Je vais prendre un de ces pieds avec toi! Je vais te faire progresser. Quand je te lâcherai tu seras une lope de compétition! »
Moi j’ai le trouillometre à 0!! Mon cœur lache quand il me dit: « à tout à l’heure pour le déjeuner. Je t’envoie un message pour te dire où et quand! »
On se lève et il est effectivement plus grand que moi avec pourtant mon mètre 80 et musclé sec sous son TShirt.
Passifcfantastik
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