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5 | Mohamed
… Il m'agrippe les cheveux. Un rictus haineux déforme sa lèvre supérieure.
- Alors... Regarde-moi!!! Tu me reconnais, sale pute! Tu te rappelles la dernière fois?!
Bien sûr que je me souviens. C'est Mohamed L, ce franco-tunisien à qui j'ai refusé l'inscription de sa fille au cours de natation par manque de places. Depuis, il m'en veut à mort. Et j'ai comme l'impression qu'il tient là sa revanche. Putain, je me rends compte qu'il a filmé une grande partie de la scène avec ce mec. S'il divulgue la vidéo, je risque de tout perdre. Mon job, mes potes et même ma femme.
Je tente de lui arracher son portable, mais j'ai affaire à un homme bien plus fort que moi. Il me domine d'une tête et ses 110 kg inspirent la crainte.
- Tse, tse, pas de ça où j'écrase ta belle gueule contre le mur. Allez, suis-moi, je vais m'occuper de toi.
Il me pousse vers les cabines des W-C en me tapotant les fesses.
- Si on m'avait dit que j'allais goûter à ce petit cul de salope. Ah, tu cachais bien ton jeu sous tes airs d'hétéro. Je vais te faire payer pour ma fille.
Il me fait entrer de force dans la cabine puis ressort.
- Attends-moi là, je reviens.
Je suis pétrifié. Je n'ose bouger. Je l'entends s'éloigner puis pisser contre l'urinoir. Un nageur vient de rentrer. Je les entends échanger quelques mots. Il finit par revenir. Il entre et verrouille la porte.
Il baisse son maillot de bain et me montre sa queue. Elle est de belle taille. Entre 16 et 17cm, pourtant elle n'est pas totalement bandée. Elle paraît même petite par rapport au ventre redondant de son propriétaire.
- Allez, commence par me nettoyer le zob. Une bonne pute comme toi doit aimer ça.
Il me force à m'accroupir et à prendre son membre en bouche. Il sent fort. Une odeur de pisse envahit mon palais. J'ai un geste de dégoût. Je me revois lécher les urinoirs pendant qu'un gros pervers me fistait. [voir chapitre 2].
Cette pensée me fait bander. Merde, pourvu qu'il ne s'en aperçoive pas. Je sens malgré moi ma queue prendre du volume. Elle étire le lycra. Je sais que je mouille et qu'une auréole translucide s'est formée au niveau du gland. Je sens qu'elle imprègne de plus en plus le tissus noir. Heureusement que mon t-shirt XXL cache mon excitation sinon j'aurais droit à des mots encore plus vulgaires de la part de mon maître-chanteur.
Cela fait seulement la deuxième fois que j'ai une queue en bouche, mais aux gémissements de plaisir que pousse mon tortionnaire, je constate que je m'y prends plutôt bien. C'est con à dire, mais j'en retire une certaine fierté. Putain, je ne me reconnais plus. Je deviens obsédé par la bite et ce, quelque soit le mec. Ça fait deux thons que je me tape mais je bande toujours autant. Seul ce qui pend entre leurs jambes m'intéresse. Est-ce vraiment cette fixation qui fait passer un hétéro pur jus à l'état de salope soumise?!
Je n'ai guerre le temps de développer ce sujet existentiel. Je me concentre sur le bâton de chair qui coulisse entre mes lèvres. J'en reviens aux travaux pratiques.
La théorie attendra...
Il finit par ressortir son chibre qu'il promène sur mes joues. Les poils de ma barbe s'imprègnent de ma salive. Il l'agite ensuite devant mes lèvres fermées. Il a une queue longue et fine avec des couilles hyper pendantes. Il me chope par les cheveux et m'oblige à enfourner sa viande jusqu'à la glotte. J'ai ses poils pubiens qui écrasent mon menton. Il me bloque plusieurs secondes. Je manque d'étouffer. Il finit par desserrer l'étreinte.
- Un conseil, ouvre bien grand la bouche et suce-moi comme une reine où je balance tout sur les réseaux sociaux.
Il sait que je n'ai pas vraiment le choix. Il replonge bien profond dans ma gorge. Il ne me ménage pas. Je commence à avoir mal à la mâchoire après ce viol buccal mais lui n'en n'a strictement rien à faire. Il est ici pour me soumettre.
J'ai l'impression que sa queue a encore grossi. Je passe ma langue dessus pour la lubrifier. Elle coulisse bien. Il m'a saisi par les oreilles et imprime un rythme soutenu pour me forcer à la sucer le plus loin possible. Il pousse de plus en plus fort, je sens son gland taper mon fond de gorge, descendre dans ma trachée. Je tousse, je bave,... ça l'excite encore plus.
- Les pédales comme toi sucent mieux que les meufs, y à rien à dire.
- HUUMMM!!!
- C'est ça, beugle. T'es vraiment une bonne suceuse.
Il retire sa bite de ma bouche. Je tousse à mort. J'ai les yeux rougis par la douleur. Il m'oblige à le regarder. Il est sans pitié, je lis la haine dans ses yeux. Il me crache au visage avant de me relever. Je suis comme un pantin désarticulé.
Il me retourne et plaque mon front contre le mur. Je le supplie d'arrêter. Il me maintient de force contre la cloison en me disant de fermer ma gueule et de lui obéir.
Je n'ai plus la force de me rebeller, je suis vaincu. Je baisse les yeux et je vois mon sexe bandé à travers l'étoffe du maillot de bain. Au même instant, plusieurs coups puissants s'abattent sur mon postérieur. Ce salaud me fesse comme si j'étais un gosse. La vision de Luca, mon fils, me revient en mémoire. Je ne peux retenir quelques larmes, autant de douleur que d'humiliation. Le bruit sec de chaque coup reçu résonne dans les toilettes. Si quelqu'un se pointe, il entendra tout et il risque de donner l'alerte. Je panique, soudain. J'essaie de me retourner pour mettre fin à mon supplice.
- Bouge pas, j'ai pas fini.
Je l'implore à voix basse. Lui, me serre de près tout en mordillant le lobe de mon oreille droite. Je sens son souffle chaud et sa grosse queue qui presse contre mes fesses. Il me chuchote de le supplier de me baiser, sinon...
- Alors petite pute, tu adores te faire prendre comme une chienne?
- Je,... Pitié...
Un coup sec rougit mes fesses. L'écho résonne jusque dans le couloir.
- JE T'ÉCOUTE !!! Ton cul de pédale veut se faire remplir, c'est bien ça?
- Ou... Oui.
Nouvelle tape.
- OUI, QUI ?
- Oui,... Monsieur.
Il me pelote les fesses avant d'abaisser d'un geste sec mon slip de bain.
- Voilà qui est mieux. Donc le maître-nageur veut se faire enculer, c'est ça?!
- ... Oui.
Nouvelle fessée.
- AÏE ! Oui, Monsieur.
-Je veux te l'entendre dire, grosse pute.
- Je... Je suis le maître-nageur et je veux me faire enculer...
- MIEUX QUE ÇA !!!
À cet instant, toute résistance s'est envolée. Je n'ai plus aucune volonté. Je suis devenu le jouet sexuel d'un détraqué qui peut abuser de mon corps en toute impunité.
- Alors, j'ai rien entendu!
- Je suis le maître-nageur qui veut se faire défoncer le cul par votre grosse queue.
Il rigole bêtement.
- OK ! Vos désirs sont des ordres...
Il enduit ma rondelle de salive et rentre son gland dans mon cul. Je serre les dents pour ne pas crier. Son sexe n'est pas très large mais incroyablement long. Il teste l'élasticité de mon œillet puis pousse. Ma pastille résiste avant de céder. Je pousse un cri, plus de soumission que de douleur. Je me vois courbé en deux dans ce chiotte, le maillot de bain sur les chevilles, en train de perdre ma virginité anale pendant mes heures de travail.
Je me sens envahi. Son manche me chauffe les boyaux et ça me procure un bien-être incroyable. C'est ma première sodomie et à ma grande surprise, j'aime ça.
Je l'entends souffler derrière mon dos. Ce salaud aime enculer des hétéros, ça se voit. Il sait y faire pour les soumettre. Il ne ralentit pas le rythme. Il me pistonne de plus en plus vite. Putain, que c'est bon. Plus fort que le fist de l'autre taré. Je me tends vers l'avant pour mieux encaisser. Ma queue est dure et le gland frotte contre le mur. Je mords mes lèvres jusqu'au sang. Je ne dois pas gémir sinon il va se déchaîner.
Soudain il s'arrête, et je sens son gros ventre écraser mes fesses. Nom d'un chien, il a tout rentré. Ça y est, je suis ce qu'on a communément l'habitude d'appeler un enculé. Dans le vrai sens du terme. Un vrai petit pédé qui vient d'enfourner sa première queue.
Je repense à ma femme et à mon fils mais les vagues de plaisirs qui se succèdent en moi les font disparaître peu à peu. J'ai une bite de vingt-trois centimètres qui me ramone le fondement et je roucoule de bonheur comme un jeune puceau qui découvre la queue.
Ce qui me surprends le plus, c'est que je ne ressens aucune douleur. Pourtant sa teub est gigantesque.
- Putain, t'es bien ouvert, toi. T'as dû en prendre des kilomètres de bites dans ta chatte. Sous tes airs de macho viril, t'es une vraie pute qui se fait prendre dans les toilettes. C'était qui le dernier qui t'a élargi le tunnel?
Je me garde bien de répondre. Je ne peux quand même pas lui avouer que c'est un fanatique du fist, un fêlé comme lui qui a initié mon petit cul aux joies de la sodomie. Je crois qu'il me massacrerait s'il connaissait la vérité...
Bien calé dans mon cul, il commence son travail de sape. Il me fait déguster sa queue sur toute la longueur. Tantôt il coulisse à l'intérieur, tantôt il s'immobilise et je sens son gland pulser contre ma prostate. Mon dieu, ce mec me rend dingue. Qu'est-ce que c'est bon. Mon cerveau est déconnecté, branché en mode plaisir. Ma bouche salive de désir, je pousse des râles de plus en plus sonores. Lui, derrière mon dos, se rends compte de ma métamorphose. Il s'est emparé de mon membre bandé qu'il branle au même rythme de ses coups de boutoir.
- T'aimes ça, hein, petite traînée.
J'adore quand il m'humilie. Je m'entends répondre, presque malgré moi.
- OH !!! OUI... Continuez,... Monsieur.
- Ouai, c'est la première fois qu'une tarlouze de ton genre prend ma queue en entier et en redemande.
Il redouble d'ardeur, faisant claquer ses couilles contre mon cul offert.
- T'es une sacrée gonzesse, toi. T'aimes bien te faire défoncer la chatte. Je l'ai vu tout de suite que t'avais besoin d'une bonne queue de mec pour apprendre ta vraie place.
Ses mots crûs m'excitent. Je découvre un côté féminin que je ne connaissais pas. Il explore ma zone d'ombre, me révèle à ma vraie nature et le fait d'être comparé à une femme décuple mon désir d'être possédé.
- T'aimes te faire baiser comme une chienne. Une chienne en chaleur!!!
Il m'agrippe les cheveux et tire ma tête en arrière.
- DIS-LE QUE T'ES UNE CHIENNE !!!
Il continue à me soumette à la seule volonté de sa queue.
- ... DIS-LE !!!
- AAHH !!! Oui, je suis votre chienne... OOHHH !!!
Il vient de me déboîter avec sa longue lame de chair. Je la sens remonter dans mes intestins. Je pousse mes fesses en arrière, j'en veux toujours plus. Je ne peux m'empêcher de gémir à chacune de ses poussées bestiales.
Putain, qu'est-ce que c'est bon...
- Mais t'es pas là pour prendre ton plaisir. Je vais venger ma fille et la prochaine fois, tu la prendras dans ton cours... COMPRIS ?
- Oui, Monsieur...
À cet instant précis, je sais que je vais morfler.
Il sort sa queue, quasiment en entier, puis la replonge d'un coup. Il devient violent, je gueule à chaque coup de bite. Il est passé en mode bulldozer. J'ai à peine le temps de reprendre mon souffle qu'il me bourrine le cul, s'enfonçant à la hussarde. Je gueule, je n'arrive pas à me retenir. Il me défonce la pastille. Ça claque fort et sec. Il continue à m'insulter. Au bout de cinq minutes, il me choppe par les hanches, s'assoit sur la cuvette des W-C et m'oblige à m'empaler sur lui. Il me démonte le cul avec sa bite de cheval. Je rebondis sur son manche comme un bilboquet. J'ai la bite dure comme de la pierre. Ce psychopathe est à la limite de me faire jouir du cul.
Il me lime sans ménagement, me pilonne les fesses par pur plaisir de vengeance. J'implore de ralentir. Il est en train de ruiner mon petit trou vierge et mes supplications le motivent de plus belle.
- Pitié, j'en peux plus.
- Ta gueule, sale pédé, tu vas payer pour ma fille!
À la longue, je m'habitue à la douleur. Je bave même de plaisir mais je me retiens de le montrer.
À chaque fois que je redescends, il m'envoie ses gros coups de queue bien à l'intérieur. Son gland se trouve comme en pays conquis. Je coulisse de moi-même sur cette colonne de chair. Je prends un plaisir pas possible. Pourtant, il ne me ménage pas. Il est là pour me faire souffrir, mais mon cul encaisse ses charges toujours plus rageuses avec une avidité qui me surprend. Je me rends compte que ma rondelle était en manque durant toutes ces années. Mon œillet n'est plus qu'une chatte avide de se faire bourrer, il ne m'appartient plus. Il agit comme une ventouse et chaque poussée menace de faire cracher ce gland qui le déflore bien profond. Aux gémissements de mon violeur, je devine que c'est bientôt ce qui va arriver...
- AARRGGH !!! Putain, prends ça, grosse pute...
Il s'immobilise quelques secondes. Sa bite palpite en moi. Soudain, je sens mon cul se réchauffer. Je comprends que ce fou est en train de jouir dans mes entrailles. Il reste dans mon cul une bonne minute comme ça, puis me penche en avant et se retire d'un coup. Ça me tire un dernier cri, lui se contente de sourire.
Soudain, une voix féminine résonne dans le couloir.
- Jeff, tu es là?!
Putain, mon temps de pause est terminé. Je devrais rejoindre mon poste de surveillance. Je laisse Christelle me chercher. Je ne suis pas en état de lui répondre.
Je crois en avoir fini avec mon tortionnaire, mais il me relève et sort son téléphone portable. Il écarte mon cul et filme la longue traînée de foutre qui sort de mon trou et s'écoule le long de mes cuisses.
- Alors, pédé, on me remercie pas?
- Merci, Monsieur.
- Merci de quoi, sale pédale?
- Merci de m'avoir baisé.
- Et tu es prêt à recommencer?
- Je,... Oui, monsieur.
- C'est noté. Allez, va te doucher, tu pues le sperme.
Je rejoins les douches, tête basse. Je n'ai qu'une peur, c'est de croiser Christelle. J'ai la queue qui tremble dans mon maillot de bain. Je l'effleure, et tout en marchant j'éjacule à l'intérieur. La tension était trop forte. La jouissance est hyper violente, je jouis partout. Le lycra est poisseux et même mon t-shirt est maculé de tâches blanches. Bordel, comment vais-je faire pour assurer mon tour de surveillance?!
Heureusement, le jet chaud de la douche m'apporte un peu de réconfort. Je me savonne énergiquement, espérant que mon Speedo ne portera pas les stigmates de mes ébats sexuels.
Un jeune rebeu pénètre dans les sanitaires et s'avance dans ma direction. Il a la vingtaine, tout au plus, un corps ferme et bien musclé. Des cheveux bouclés noirs qui lui retombent sur le front et un regard inquisiteur qui m'oblige à baisser les yeux. Il vient se positionner tout près et plonge sa main direct dans son maillot de bain. Il se branle sans gêne devant moi. Je vais pour le rabrouer, je suis quand même le maître-nageur, quand il m'adresse la parole.
- Mon oncle Mohamed m'a parlé de toi. Il m'a dit que t'étais OK pour recommencer!
Je comprends que c'est le mec avec qui il discutait tout à l'heure. Je m'apprête à le saisir par la gorge lorsque soudain il me bloque le poignet.
- J'ai vu la vidéo, putain, c'était chaud. J'ai bien envie de la mettre sur Facebook. Je suis sûr que les élèves qui viennent à la piscine kifferaient...
Je repense à toutes les classes qui défilent durant la semaine et que je prends en charge. Je baisse ma garde.
Une boule au ventre se forme et je dois m'appuyer contre la paroi pour ne pas perdre l'équilibre.
- Qu'est ce que tu veux?
Il me scrute de son regard juvénile.
- Je veux la même chose que mon oncle Mohamed...
Ceven X
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