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On s’essuie, on se rhabille, je frotte la moquette. Je le ramène au foyer. On ne se verra plus avant son travail car il doit retourner chez son père quelque temps avant les vacances, et avant qu’il ne commence son travail…Trois jours avant le 1er juillet date du début de son contrat, José me téléphone au boulot « Marc, je sui content car on me donne une piaule en ville à partir du 1er juillet, si c’est possible je ne viendrais bosser que le 2 ou 3 j’ai un minimum de choses à emménager… ». Pas de problèmes on s’arrangera en heures sup. Il me téléphonera le 1er au soir pour me dire l’état d’avancement des choses…Ce qu’il fait vers 16h en fin de déménagement. Il termine de mettre les choses en place et viendra demain avec seulement un jour de retard sur le début de l’embauche prévue, il a l’air content ! Le lendemain il était présent au boulot à 8 h. J’apprends qu’il a pu bénéficier d’un petit appartement à l’autre bout de la ville, à l’ouest de Sète, à 1km seulement de son travail actuel. Il va faire une petite fête ce soir avec ses copains de chambrée qui l’ont aidé à rentrer dans ses murs. Si je veux, je peux venir boire un coup, de plus il y aura les éducateurs qui souhaitent me rencontrer pour parler du futur le concernant…
Pour ce premier jour de boulot, je le laisse avec Michel mon collègue qui lui fait connaître le suivi des dossiers qu’il devra assurer : contrôle des factures encaissées et procédures d’engagement d’un contrat de dédouanement, de quoi faut il s’assurer avant de conclure un marché. José ne tarde pas en fin de journée, je le laisse partir à 16 h, il doit préparer sa petite réception, j’irai le rejoindre vers les 19 h…Sur place je rencontre l’éducateur en charge du foyer et particulièrement du suivi des jeunes majeurs isolés dans les appartements. On ne place que ceux qui le méritent par leur comportement, celui de José est exemplaire, donc il a bénéficié d’une attribution prioritaire, je devrais rencontrer l’éducateur en fin de stage de l’intéressé. Les autres copains sont déjà partis, l’éducateur s’en va…Reste seulement un seul copain qui n’a pas d’heure à respecter pour manger au foyer parce qu’il est majeur. José me présente Nils, le mécano dont il m’avait parlé et qui avait suscité tant de surprise lors de son intronisation rasée et récente dans la chambrée. Celui déjà tout rasé qui s’était révolté… C’est vrai qu’il était grand, aussi grand que moi, 1m 88 environ, et il avait l’air costaud. Je l’imaginais nu et rasé, je devenais décidément quelque peu décalé dans mes pensées…Nils qui s’attardait semblait avoir tout deviné de mes pensées…
Nils comme José étaient en larges jean’s basquets, le mécano avec un ample polo bleu, mon stagiaire avec un de ses tee-shirts beige plus près du corps. Nils a chaud, tombe le polo et s’assied torse nu sur une des deux chaises en formica du coin cuisine, « T’as pas chaud José ? déshabille-toi, mets-toi à l’aise fais comme chez toi… ». José comprend tout de suite qu’il va se passer quelque chose qu’il n’avait pas prévu. Nils se lève pour enlever le tee-shirt de l’impétrant, ses mains restent collées au torse de José, descendent jusqu’à la ceinture puis la braguette, frottent avec insistance. José un peu rebuté au début ne bouge plus, entre peur et inquiétude. Nils reprend « Je vais te faire payer l’outrage que tu m’as fait l’autre jour devant témoin dans la chambrée »…Je ne bougeais pas, ça commencer à m’exciter autant qu’à m’interpeller. Nils qui voulait humilier José devant moi, détache la ceinture, le pantalon tombe « Enlève moi les godasses et le fute, et dégage le slip ». José se retrouve à poil devant Nils torse nu et moi le témoin en chemisette et pantalon de ville. « Maintenant-fais nous une visite guidée de ton appart à poil» José me lance un regard interrogateur et fais dans le plus simple appareil les présentations, « comme il me l’avais déjà fait faire lors de mon arrivée dans la piaule du foyer…tu peux même bander comme moi si tu veux ».
Nous suivons José à poil mi effrayé mi interrogateur, petit coin cuisine mini table, puis séjour avec une vieille banquette lit et une télé toute aussi vieille, une grande armoire penderie et c’est tout. Une baie vitrée et petit balcon au sud donnent sur la cour de l’ensemble des HLM qui l’entoure. Nils demande à José de s’asseoir sur la banquette, de lui baisser le jean’s, il n’a rien dessous, il demande à José de le sucer et me dit que si ça me dérange je n’ai qu’à repartir. José dans le doute de la suite des opérations me fait signe de la tête pour que je reste, c’est plus sur ! Je ne répond pas et m’installe sur un coin de la banquette en surveillant…José entrouvre la bouche et s’approche du sexe déjà semi gonflé, Nils lui prend la tête de ses deux mains pour accentuer le va et vient…Ces deux jeunes totalement rasés sont beaux ! Nils est superbement monté, une force de la nature, longueur et grosseur impressionnantes, José va s’étouffer, Nils le force à gober à fond et me regarde en souriant « Si tu veux tu peux te faire sucer aussi… » Timidement j’enlève chemisette, chaussures pantalon et caleçon, je fais tâche avec mes poils. Nils se retire, me présente devant la bouche de José, ma queue se redresse…C’est bon, quoi que je sache que le suceur n’aime pas les poils, il est pris au piège….
Nils me repousse pour prendre sa part de bien être. Je rentre dans le jeu, saisi une ceinture, attache les poignets de José en train de s’étouffer, je sais qu’il aime ça, être attaché. Je lui attache les mains dans le dos. Le truc donne des idées à Nils qui avec l’autre ceinture attache les pieds de José pendant que ce dernier me suce…Je me suis replacé favorablement face à la bouche…Complicité spontanée vers José qui bande comme ce n’est pas possible. Nils s’assoie sur une chaise de cuisine, je le rejoins sur une autre chaise, on se regarde en observant le ligoté dont l’inquiétude grandit, ma complicité avec Nils l’inquiète, mais sa tige est toujours bien dressée, il aime être ligoté c’est sur ! Nils m’invite à l’aider à le mettre sur le ventre, José ne se débat pas, son cul nous est offert. Nils le mécano à genoux enfourche la victime, sa raideur entre les fesses de José, exerce un va et vient inquiétant, sans toutefois pénétrer. J’approche ma main des points de frottements et caresse fesses raie, couilles bites, tout est mélangé…Ce contact en direct avec les épidermes est divin je suis vraiment surpris d’empoigner le sexe magnifique de Nils…Il gémit , lâche la purée sur le dos de José. Nils relève José lié maintenant assis par terre, me fout ma bite dans la bouche de José encore ligoté et de ses mains l’une sur mes fesses et l’autre contre la tête de José rythme les allers et retours du suçage, je décharge au bout de 2 minutes, la bouche de José dégouline. C’est dingue ce que je viens de faire, impensable !!!
Léonel
