1| POINT NE TE PIGNOLERAS
Bonjour,
Il s'agit ici d'une histoire vraie !! Quelques détails sont arrangés et modifiés, mais la trame est bien réelle. C'est mon expérience.
Je voudrais vous livrer une page de mon histoire personnelle réelle, religieuse et sexuelle : ma vie pendant 2 ans en tant que séminariste dans un séminaire catholique, en vue de devenir prêtre. Après ces 2 ans, ma vie a ensuite bifurqué j'ai quitté le séminaire et à la fois perdu la foi !
Je venais d'avoir 18 ans lorsque je suis entré au séminaire. De famille très catholique, je venais d'avoir mon bac avec un an d'avance et je me croyais sûr de ma vocation, je me sentais "appelé" vers le sacerdoce. J'ai fait ma demande d'entrée au séminaire et j'ai été accepté après 2 entretiens. Il faut dire que j'étais mignon et que le jeune prêtre qui m'a fait passer les entretiens, avec sa barbe blonde et son allure nordique, me regardait tendrement en buvant mes paroles.
Le séminaire est un monde 100% masculin. C'est un pensionnat occupé par de jeunes hommes qui cohabitent 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24, débordants d'hormones comme tous les hommes de cet âge, et encadrés par des prêtres chargés de leur enseignement et de leur discipline.
La sexualité y est totalement interdite. La morale catholique réprouve la masturbation et condamne absolument les pratiques homosexuelles... Mais séminaristes ou pas, les hommes sont les hommes et les jeunes de cet âge ont les couilles qui travaillent !
J'avais 18 ans. J'étais puceau de chez puceau, emprunt d'idéaux naïfs, généreux et charitables. Je croyais en Dieu. La foi donnait un sens à ma vie et allait guider mes actions pour toujours. J'étais disposé à me plier à l'enseignement strict que j'allais recevoir.
Je me masturbais quotidiennement comme tous les garçons de mon âge et j'en éprouvais une forte culpabilité, car c'était absolument interdit. Se branler c'est mal :
Point ne te pignoleras.
Mais c'était plus fort que moi, et tous les jours j'expérimentais que je n'étais toujours pas parvenu à cette maîtrise de moi, vers laquelle j'essayais de tendre.
Le séminaire dans lequel j'ai vécu est une grosse bâtisse en pierres jaunes un peu sales, un grand pensionnat massif et triste, avec une chapelle, une cantine glauque, des salles de cours, et puis des chambres, desservies par de longs couloirs qui résonnent, des sanitaires avec urinoirs et des douches d'étage.
Les chambres sont pour la plupart des chambres de 2, mais celles situées en bout de couloir sont des chambres de 4.
J'imaginais les séminaristes comme des sortes de moines calmes et recueillis, mais je constate alors que la plupart sont plutôt des gens joyeux qui sifflotent dans les couloirs, qui parlent fort et qui rigolent comme des garçons de leur âge.
Dans un premier temps je suis affecté dans une chambre à 4. Avec moi il y a 2 autres séminaristes et le jeune prêtre à barbe blonde qui m'a fait passer l'entretien : frère Nils. Frère Nils est très beau. Il a les yeux très clairs et une fine barbe blonde. Il est grand, droit, nordique. Ses gestes sont doux et son regard bienveillant.
Bien qu'il soit jeune, je suis étonné qu'un enseignant partage une chambre avec les jeunes, mais apparemment c'est normal ils appellent ça l'insertion... ou l'immersion je ne sais plus... en tous cas il est chargé de notre suivi personnel et spirituel, il nous évalue et fait son rapport au "Conseil des Continents". (Le mot "continent" par opposition aux incontinents, est une ancienne formulation pour désigner les séminaristes qui sont sensés être chastes et savoir "contenir" leurs élans sexuels).
Notre chambre à 4 est disposée avec 2 lits de chaque côté avec 2 paravents, mais il n'y en a pas entre mon lit et celui de frère Nils, qui sont face a face. Ça me choque un peu mais ensuite je me dis que c'est bien, ça va m'obliger à lutter contre mes pulsions masturbatoires...
Ma première journée est rythmée par les horaires de prière, les chants et les cours. Je suis enthousiaste. Les enseignements sont excellents : philosophie antique, théologie, histoire de l'Église, exégèse des textes bibliques... Je vais beaucoup apprendre. Bref je suis ravi. Et puis, après la dernière prière du soir, les Vêpres, vient le moment de se coucher. Chacun regagne sa chambre.
Dans notre chambre, chacun de nous 4 s'assoit sur son lit, et sans mot dire, commence à se déshabiller. Je n'ose pas regarder frère Nils. Il est tellement beau, j'ai trop peur que ça m'excite. Je devine qu'il enlève sa chemise et j'entends qu'il baisse son pantalon... c'est chaud... mais bon je fais pareil... Me voilà en boxer et je m'apprête à l'enlever quand l'un des séminaristes dont le lit est situé derrière un paravent, se met à se promener en slip dans la chambre. Il va directement voir frère Nils. Ils sont tous les 2 en slip et discutent normalement. Le garçon, debout devant le prêtre, se caresse le slip nonchalamment. Frère Nils, le visage au niveau du slip du garçon, lui sourit.
- Frère Nils, on enlève les paravents comme l'année dernière ?
- Comme tu veux, frère, demande aux autres.
Ils se tournent vers moi
- Quentin, tu veux bien qu'on enlève les paravents ?
Mais je suis tellement impressionné par le beau Nils en slip et par ce garçon qui se touche, qu'aucun son ne sort de ma bouche... Alors frère Nils se tourne vers moi et me sourit.
- Je crois que les paravents on va les laisser un peu, on les enlèvera plus tard, d'accord ?
Je fais oui de la tête. Son regard balaye mon corps nu et s'arrête un instant sur mon boxer qui a tendance à gonfler. Et pendant que ses yeux me déshabillent, il enlève son slip sans cesser de me sourire. Je suis totalement choqué, pétrifié. J'arrive à lui rendre un sourire mais je ne peux m'empêcher de déglutir : gloups.
En dehors de la bite de mon papa (avec qui il m'est arrivé de pratiquer le nudisme en été, mais c'est une autre histoire... en 7 épisodes... n'est-ce pas ob.ob5.ru ?) c'est la première bite que je vois d'aussi près. Elle est absolument superbe, très longue avec des poils blonds comme sa barbe et un gros col roulé. Quand il bouge ses jambes, elle bouge mollement, elle est vraiment grosse.
Mon regard est aimanté par le magnifique pénis du prêtre. C'est décidément un très bel homme ! Il voit que je regarde son sexe et il continue à me sourire avec indulgence, de ses dents blanches et de son sourire sensuel...
Il me jette de petits regards et je comprends que ce qu'il attend c'est que je baisse aussi mon boxer. Ça me gène énormément mais je me sens obligé... bon... apparemment ici c'est comme ça... alors ben je baisse mon boxer.
Je me rends compte que je bande à moitié, que je suis a moitié decalotté et que mon gland est brillant. C'est franchement limite. Quand je regarde frère Nils il a les yeux comme des soucoupes, fixés sur mon nœud brillant. Je suis à poil, mais son regard est tellement scrutateur que je me sens encore plus à poil... Mate-moi le nœud je te dirai rien... Alors, pour cacher mon gland, je tire un peu sur mon prépuce... je regarde à nouveau le frère, il a la bouche ouverte et quand je tire sur mon prépuce, il ne peut pas s'empêcher de déglutir à son tour, sa pomme d'adam s'agite : gloups.
On éteind la lumière. Cette nuit-là je dors très peu. Je n'arrête pas de bander. Je n'arrive pas à évacuer l'image des poils blonds et du col roulé de frère Nils...
Pour être réveillés tôt, on ne ferme pas les volets, et à travers la fenêtre, un lampadaire extérieur éclaire la chambre. J'entends des ronflements, j'entends aussi des halètements derrière le paravent... clairement mon voisin se branle. Dans la demi-lumière du lampadaire je devine que frère Nils dort sur le dos, jambes ouvertes et je jurerais qu'il se branle aussi. Quant à moi, je m'étais juré de ne plus me masturber dès mon entrée au séminaire, et bien je me suis branlé 2 fois dès la première nuit !! Putain que c'était bon...
... Par contre, côté chasteté c'est mal barré.
Jam
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