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Ultime secousse
La semaine est triste, il me manque quelque chose c’est sur. J’en ai profité pour me préparer physiquement pour le triathlon du Touquet le week-end prochain. Vélo, course à pied et natation….Il est là le lundi suivant ouf ! Les épreuves se sont bien passées, il est confiant, il ne reste plus dans 2 jours que l’oral d’anglais. Nous n’avions pas prévu d’arriver en avance, ce matin ce sera pour moi l’occasion d’officier sans attacher José. Je détache le ceinturon pour malaxer chemin faisant, l’intérieur de la toile entr’ouverte, je reconnais la douceur du nylon du slip que je ne vois pas, il ferme les yeux, incline légèrement le dossier, les formes prennent du volume, et il part presque trop vite… « Demain tu viens plus tôt m’sieur… ». Faut-pas me prier ! Mardi nous avons presque 20 minutes à nous. Près de notre chantier habituel, il abaisse la banquette, enlève son tee-shirt, abaisse le jean’s, il n’a rien dessous, il s’offre à poil, il bande comme c’est-pas possible…Sans poils. Il va me rendre fou ! C’est plus fort que moi je me baisse la tête, je n’ai jamais fait ça à un homme, j’ai envie de le sucer Ma bouche s’approche s’empare de la bite dressée, je me surprends à faire ça comme si je l’avais toujours fait, il roucoule, instinctivement mes mains empoignent les couilles imberbes, c’est comme automatique. C’est bon ce contact direct avec l’épiderme…Je me rend compte que s’il y avait des poils ce serait moins marrant…La nervosité du membre me fait douter de l’éjaculation imminente…Je retire la bouche, il explose dans ma main avec une ultime secousse…
La hantise des poils
Nous repartons vers le lycée pour José, vers le bureau en ce qui me concerne, il va réviser son anglais avant les épreuves de demain. Je ne le reverrai plus un bout de temps, il n’a plus cours pour les 3 dernières semaines de juin. Comment se revoir maintenant, nous aimons ces rencontres réciproquement. Je lui propose de me joindre au bureau quand il veut par téléphone, il a les coordonnées, il n’a qu’à demander Marc, et rester très discret dans le langage et le comportement...Plus de contact cette semaine, quand même il pourrait donner signe de vie…Le week-end je vais au Touquet avec mes potes sportifs pour le triathlon : 350 personnes je finis lamentablement 212ème, dernier des 4 de notre troupe du sud de France. Depuis la compet précédente de Barcelone je m’attarde cependant dans les vestiaires pour observer les détails particuliers des pilosités des sportifs. Très nombreux sont ceux qui se sont rasés les jambes à la façon cyclistes, et une très large majorité d’entre eux a continué l’épilation vers le haut, soit totalement soit en laissant un très léger duvet qu’ils entretiennent. Cela me trouble, j’avais-jamais fait attention…Le problème c’est que je j’ai maintenant envie de me raser tout mais comment expliquer ça à mes copains sportifs avec qui je me douche souvent, ils vont poser des questions…
Provocation
Le lundi suivant pas de nouvelles, José n’était pas là, mais c’est normal, il n’a plus cours…Mardi enfin un coup de fil dans mon entreprise. Il vient d’avoir les résultats et d’obtenir son diplôme. Je lui dit qu’il peut venir faire les formalités d’embauche. Il arrivera en fin d’après-midi. Dans le bureau, il vient directement me voir après avoir serré la main de mes deux collègues. Je lui dit qu’on peut se tutoyer tous puisque nous travaillerons ensemble, son emploi est maintenant possible puisqu’il a le diplôme indispensable pour signer une convention. Nous faisons les papiers nécessaires au stage de juillet, pendant lequel il remplacera l’un de mes deux collègues en vacances. José m’apprend que maintenant qu’il est majeur et détenteur du Bacc en demande pour une classe de BTS, il devrait avoir un appartement géré par l’association de son foyer d’ici la rentrée scolaire au plus tard, suivant disponibilité. ..Vers 18 h 30 mes 2 collègues s’en vont, nous restons seuls José et moi, il a fait exprès de s’éterniser…Il sait que nous pensons la même chose et me provoque…
J’ai dit complètement à poils !!
29° Il me vouvoie pour une nouvelle séance du jeu de rôle que nous avions déjà engagé lors de sa récente visite dans mon bureau. « Docteur, il me faut une visite médicale pour mon embauche, pouvez vous me faire les papiers ? – Bien sur mais faut que je vérifie tout…Je m’assure que la porte du bureau est bien fermée, lui retire le pull et la chemise. Son torse est nu, je frotte mon oreille contre la poitrine, il caresse ma tête et la dirige vers le bas. Ma bouche atteint la ceinture du 501. Il pousse encore vers le bas, ma bouche est à la hauteur de la braguette, je mordille le tissu qui se gonfle. De la main libre il défait la ceinture et déboutonne… ma tête est devant le slip noir…Je continue à mordiller à lécher. C’est moi qui baisse le jean’s jusque sur les basquets. En maintenant ma tête contre son sexe il m’attire par terre avec lui, tête toujours collée je lui enlève les chaussures, il est presque à poil sur la moquette. Je lui arrache les velcros sur les cotés de son ultime slip-rempart, il est à ma merci tout nu, périscope dressé. Je lui demande de prendre place à son futur bureau. Il s’y rend et place ses poignets derrière le fauteuil. Je prends la ceinture et lui lie fermement. Il continue à me vouvoyer « Foutez vous à poil docteur ! je me désape complètement hors caleçon « J’ai dit à poil docteur ! ».
J’ai-jamais embrassé un mec
« Pour la visite de contrôle il faudra être en tenue, complètement rasé, sinon ce sera plus possible » me dit mon futur stagiaire ! C’est vrai que c’est beau et frais, un corps sans poil, je bande comme c’est-pas possible, mon caleçon est tombé…José bande aussi. Ma bouche s’égare sur le corps, ma main frotte les cuisses, l’entrejambe, ma bouche lèche les couilles longuement, avale le sexe…Il y a un mois je n’avais jamais « touché » quelqu’un du même sexe que moi et voilà que les gestes me viennent comme naturellement. Apparemment je ne dois pas le faire trop mal car ça à l’air de lui procurer bien du plaisir. Mais le fauteuil ne permet pas l’allongement et l’approche du bas ventre, je détache le jeune prisonnier et l’allonge sur la moquette. Nos corps sont maintenant cote à cote, j’empoigne sa bite, il prend la mienne, nos visages se font face, j’ai-jamais embrassé un mec, mais je crois que je vais répondre à l’invitation de sa bouche. Mes lèvres s’écartent, mes yeux se ferment, ses lèvres viennent se coller, sa langue rencontre la mienne. ..C’est bon, on se masturbe toujours, il explose le premier, je le suis quelques secondes plus tard…Je n’en reviens pas d’avoir fait ça avec un homme ? il sourit d’un air très satisfait « C’était bien ? j’ai pas l’habitude avec les hommes» ; Je lui dit que moi aussi c’est la première fois que je fais la totale comme ça avec un type…C’est sur je me rase tout bientôt, c’est trop fort !
Léonel
