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HISTOIRE

Maître-nageur en eaux troubles

2 | Don Juan

Après cette aventure, je demandai à revoir le planning. Je n'avais aucune envie de me retrouver à nouveau face à ce jeune.

Je modifiai donc le roulement de la semaine, échangeant avec Nelly mon jeudi contre son samedi. Tant pis pour mes week-end et ma vie de famille.

Je pensais reprendre une vie normale. Oublier ce moment d'égarement. Le considérer comme un accident de parcours, rien de plus. En fait, rien ne se passait comme je le souhaitais. Je me surprenais à mater le renflement des maillots de bain. À évaluer leur volume. À comparer avec ce que j'avais tenu dans la main. À chaque fois, cette situation malsaine accroissait mon trouble... Et je sentais mon sexe s'allonger inexorablement dans mon Speedo en lycra.

Je crois que certains hommes s'en apercevaient. les regards appuyés qu'ils me lançaient ne trompaient pas. Perché sur mon promontoire, ils avaient une vue imprenable sur mes boules et mon manche dressé. Chaque fois que l'un d'eux me zieutait, je rabattais mes mains sur le devant pour cacher mon érection, en espérant qu'aucune intervention ne m'oblige à quitter ma chaise. J'aurais eu du mal à dissimuler la bosse qui déformait l'acrylique.

Finalement, par précaution, je pris l'habitude de porter des Speedo noirs et des T-shirt plus longs.

Le pire se produisait lorsque la compagnie de C.R.S de la ville venait s'entraîner le mercredi. Ils investissaient les lieux tôt le matin, de 7H à 8H30. C'était tous de grands gaillards bien entretenus par des heures de sport. Et leurs paquets volumineux me faisait bander comme un cerf. Aussi, j'optais pour un short assez large plutôt que mon moule-bite habituel. Parmi tous ces beaux mâles je remarquais leur patron. Il se prénommait Stéphan et avait le grade de lieutenant. C'était une belle bête, 37 /39 ans, athlétique, brun de peau, cheveux noirs coupés courts et petite barbe de trois jours. (dommage qu'il se la soit rasée, d'ailleurs) Il me faisait penser à Jamie Redknapp, mais en plus jeune. Il était strict et dirigeait ses hommes à la baguette. Lorsqu'il venait me serrer la main, je ne pouvait cacher mon trouble. Je crois qu'il avait fini par s'en apercevoir.

...

Lors de mes surveillances le week-end, je remarquai des va et vient fréquents entre le bassin et les urinoirs.

Je n'y avais jamais prêté attention, mais certaines attitudes me parurent soudain suspectes. Je décidai un jour d'en avoir le cœur net. Je déboulai à l'improviste dans les toilettes pour surprendre deux quadras en train de s'astiquer le manche côte à côte, près des cabines. Ma vue les stoppa net. Ils remballèrent tant bien que mal leur service trois pièces et passèrent près de moi en cachant leur énorme renflement.

Je ne dis rien. Mais cela ajouta encore à mon trouble. Décidément, il s'en passait de drôles sur mon lieu de travail. J'étais responsable du public et en tant que maître-nageur, j'aurais dû intervenir et sévir.

Je me contentais d'effectuer des rondes régulières, rêvant secrètement qu'un bel éphèbe me prenne un jour dans ses filets.

Et c'est ce qui se produisit un soir, juste avant la fermeture.

Le bel adonis avait 70 ans, dégarni, ridé et bedonnant. Mais la scène de l'infirmerie tournait en boucle dans ma tête. Il me fallait à tout prix une queue...

….....

Sorti de l'eau, je le vois se diriger vers les toilettes, la démarche lourde. On aurait dit un canard déplumé. Il était le dernier client.

À 19H55, je le rejoins dans les WC pour l'informer de la fermeture imminente de l'établissement. Il pisse contre l'un des urinoirs, ses grosses jambes écartées. Je peux voir ses fesses flasques balancer au rythme du jet. Il est franchement laid, mais je n'ai pas le choix. Il me faut évacuer mon trop plein de tension.

Je prends mon courage à deux mains et me place à côté de lui. Il ne semble même pas surpris. J'abaisse mon Speedo, libère ma queue déjà tendue et me mets à pisser.

- Ça soulage, hein?!

Lui a fini depuis un moment mais ne bronche pas. Maintenant que je suis tout proche, j'ose jeter un coup d'œil qui se veut discret. Mazette!!! il en a une grosse pour un vieux. Et super épaisse.

Il se tourne de mon côté et découvre mon membre bandé.

- C'est moi qui vous fais cet effet?

Je panique tout à coup. Je n'arrive pas à ranger ma raideur dans le maillot. Je suis vraiment trop tendu. Il ne se démonte pas. Il empoigne ma main gauche et la pose sous ses couilles. Pour son plus grand bonheur, je commence à les masser. Elles sont lourdes, volumineuses, et bien pleines...

Il décalotte son sexe et le laisse grossir. Je le sens se tendre sous mes doigts. Ma main quitte ses boules pour empoigner son manche. Tenir une bite m'avait manqué.

Je rougis à cette pensée...

Comme il n'a pas l'air franchement farouche, je finis par le branler. Il se laisse masturber tranquillement, en poussant de profonds soupirs. Il abaisse complètement mon slip de bain, puis s'empare de ma bite qu'il décalotte, puis recalotte doucement. Ce vieux cochon sait parfaitement manipuler une queue. Il est doué pour faire monter ma sève.

De temps en temps, il s'arrête, me décalotte complètement, prend un peu de ma mouille sur le pouce et joue avec mon gland. À mes gémissements, il devine qu'il a touché un point sensible.

Il accélère. Je suis trop excité pour résister plus longtemps. Je gicle contre l'urinoir. Il ne lui faut que quelques minutes pour me suivre et lâcher à son tour une abondante purée blanche. Bien épaisse. Bien crémeuse.

Il en récupère une grosse quantité sur la paroi faïencée qu'il présente à ma bouche. Je répugne à sucer ce doigt visqueux. Devant mon refus, il finit par tartiner mes lèvres de sa semence.

- Lèche!

Sa voix est autoritaire. Je sors une langue hésitante et récupère son jus.

- Avale!

Je déglutis tant bien que mal. Sa liqueur a un goût âpre, salé,... sans doute un mélange de toutes les urines de la journée.

Je le vois esquisser un sourire mesquin. Il force le passage de mes lèvres et m'enfonce le doigt d'autorité. Je le suce comme un petit sexe. Je rebande aussitôt. Il s'en rend compte, ça le fait rigoler. Il prend ma main et m'oblige à me branler. Je sens que je vais jouir une deuxième fois.

Il me demande d'écarter les jambes. Son autre main me pelote le cul, puis un doigt se faufile à l'entrée de mes fesses. Il éprouve l'élasticité de ma rondelle vierge avant de me pénétrer d'un coup sec. Je crie de douleur. Il n'en a rien à faire. Il me doigte lentement, puis entreprend des va et vient puissants.

Soudain, il m'introduit un deuxième doigt. Suivi d'un troisième... Je tente de me soustraire à son assaut mais il me bloque contre les urinoirs.

- Reste-là, petite pute, tu vas aimer.

Il écarte ses doigts à l'intérieur, mon cul encaisse. Ma pastille se dilate, même si ça tire de plus en plus... Il ressort deux phalanges, titille mon œillet, puis replonge entièrement. Il tourne, creuse, ressort, s'enfonce à chaque fois un peu plus profond. Il va et vient sans se soucier de mes plaintes. Il pousse loin. J'ai mal mais il pousse toujours. Ses doigts tournoient de plus en plus vite, me baisant le cul de façon effrénée. Ses ongles ravagent ma paroi, fouillent mes entrailles sans ménagement jusqu'à toucher ma prostate. Ils appuient dessus, l'enserrent, la griffent sur toute sa longueur. Des décharges électriques parcourent mon corps. Je gémis sans savoir si c'est de plaisir ou de douleur. Il agite ses doigts à toute vitesse. Ses grosses phalanges me branlent le cul comme si c'était une chatte. Comme quand je fouille Muriel, ma femme, et que je la fais jouir avec mes doigts. Putain, il me chauffe le cul comme une femelle. Plus je crie mon plaisir, plus il accélère le mouvement. Je m'entends hurler malgré moi:

- HAAAHHH !!! Ouiii !!!! T'arrête... PAAAAS !!! Continue, c'est trop BOONNN...

- C'est ça, ma salope, fais toi du bien...

Je me branle comme un fou. Je ne contrôle plus rien. Ses doigts sont partout, dans ma bouche, dans mon cul... Je n'ai jamais rien ressenti d'aussi fort. Mon corps vibre sauvagement alors que les doigts obstinés de mon pervers reviennent à la charge. Je suis horrifié par mes propres désirs. Par les passions qu'il éveille en moi. Je me sens mourir de honte alors que ma rondelle aspire les trois, puis quatre doigts de mon violeur. Mon cul en demande plus. Il est le jouet de cet homme. Il se soumet à cette main experte qui cherche à l'élargir. Je ressens une chaleur étrange et accablante qui me brûle au plus profond. Le passage de ma rondelle devient soudain insupportable. Je gémis mais il force encore. Je ne sais combien de doigts il a rentré. Ça tire de plus en plus... Je sens mon œillet se relâcher sans qu'il se soit retiré. Soudain, je marque un temps d'arrêt avant de comprendre qu'il vient d'introduire les trois-quart de sa main dans mon anus. Putain!!! ce vieux cochon est en train de me fister...

- T'aime ça, hein?! Petite traînée!

Je tente de me retourner pour mettre fin à mon supplice.

- Non... Pitié, arrêtez, ça fait trop mal...

- Ta gueule! C'est pas ce que dit ton cul! C'est tout humide à l'intérieur. Humm, il mouille comme une chatte.

Il reprend son fist. Mon visage est tout rouge. Je serre les dents et ne peut retenir quelques larmes de douleur. Il force le passage... se retire... revient à l'assaut. Mon cul semble se déchirer, pourtant je m'élargis le plus possible.

- Ouai, c'est ça, ouvre-toi, ça va passer.

Effectivement, après plusieurs aller-retour, mon cul me fait moins mal. Je sens sa grosse main complètement à l'intérieur de moi. Elle commence à avancer, m'arrachant un cri de douleur. J'ai l'impression d'exploser.

- Voilà, petite pute. Tu es à moi, maintenant!!!

Il ferme son poing et revient lentement dehors. Je crois mon calvaire terminé, quand il replonge aussitôt. Mon hurlement résonne dans toute la piscine vide. On doit l'entendre depuis le parking. Je manque m'évanouir. Il me branle l'anus avec sa main complètement rentrée. Je ne maîtrise plus du tout mon cul qui s'ouvre et se ferme dans des spasmes de plus en plus rapides. Je me branle comme un dingue. La douleur se mêle au plaisir. Des vagues de jouissance submergent mon corps, électrisent mon cerveau. Mon vieux sadique continue son travail de destruction. Il finit par s'immobiliser au fond de moi avant de me porter le coup de grâce. Je sens ses doigts se déplier dans mon fion, sa main s'ouvrir en grand. Je suis écartelé, comme si ma fine membrane allait se déchirer.

Il me pousse tant bien que mal contre les urinoirs.

- Mets tes mains contre le mur!

Sa voix est autoritaire. C'est plus un ordre qu'une demande. J'abandonne ma queue à regret et me positionne les deux mains appuyées sur la paroi en faïence.

- Penche toi en avant, bordel!!! Que je vois ta chatte pendant que je te pogne.

J'obéis docilement. Il reprend son fistage et ne tarde pas à trouver ma prostate. Ses doigts l'entourent et la branlent sans ménagement. Je gémis, je bande comme un âne. je bave des litres de salives, les mains contre le mur et la tête dans l'un des urinoirs. Une forte odeur de pisse me monte aux narines. Tout en malaxant ma prostate, il m'appuie la nuque avec son autre main. Ma figure s'écrase contre la faïence. Mon front, mon nez, mes lèvres entrent en contact avec cette pisse accumulée durant toute la journée.

- Ouvre la bouche!

Je refuse. Il me branle plus fort, me secouant comme un fétu de paille. Ma tête cogne contre l'urinoir mais je tiens bon.

- Ouvre la bouche grosse pute ou j'arrête tout.

Il me fait du chantage. Bon sang, j'ai trop envie de jouir. À cet instant précis, je ne suis plus un homme, encore moins le maître-nageur marié, père de famille que tout le monde respecte. Je suis juste une queue qui a besoin de cracher et un cul qui se fait défoncer par la main d'un gros pervers.

Je ne veux pas que ça s'arrête... Je ne veux pas... J'ouvre la bouche. Mes lèvres entrent en contact avec ces filets jaunes qui coagulent.

- Sors la langue et suce!!!

Comme un automate, j'obéis. Je lèche ces traînées jaunâtres. Je les lape comme un chiot. Je lustre ces chiottes avec ma langue. C'est salé, fort. Ça pue... Des dizaines de mecs se sont soulagés sur cette façade blanche et moi je la fait reluire. Je l'astique avec ma langue. Il a raison, je ne suis qu'une traînée prête à tout pour satisfaire son plaisir.

- C'est bien ma salope. Tu vas l'avoir ta récompense.

Il masse ma prostate plus en douceur. Presque avec tendresse. Il la caresse, la câline... Ça me rend dingue. Je reprends ma queue en main et m'astique comme un forcené.

- Tes mains contre le mur, PUTAIN !!!

Je me repositionne à regret. Ma queue me fait mal tant j'ai envie de jouir. Je reprends mon léchage. J'ai ce goût de pisse dans la bouche mais je m'en fou. Je veux qu'il continue.

- Allez ma salope, tu peux jouir maintenant.

Soudain, je sens qu'un liquide s'écoule de mon gland. Bordel!!! il est en train de me traire sans même que je me touche. Je vois mon jus s'écouler calmement, en continu, sans spasme. Un filet régulier qui tapisse l'urinoir et que je m'empresse de boire.

- Voila, tu es une bonne pute obéissante et lorsque tu le mérites, je peux aussi te donner du plaisir.

Lorsqu'il retire enfin sa main, j'ai l'impression que mon fion refuse de se refermer. Une vague d'air froid s'engouffre à l'intérieur. Je n'ose me toucher de peur de découvrir l'étendue des dégâts.

Le gros me retourne et veut m'embrasser, sans doute pour me récompenser. je détourne la tête de dégoût. Il n'insiste pas. Il a eu ce qu'il voulait. Il se rajuste, puis disparaît dans les vestiaires en sifflotant.

À cet instant précis, je me maudis. Je pense à Muriel, ma femme, à Lucas, mon fils... Je ne suis pas fier de moi. Je suis beau mec, je peux avoir toutes les nanas que je veux. Je ne comprends pas ce qui m'arrive. Je n'ai jamais été attiré par les hommes. Jamais! Alors, c'est quoi ce délire. Et me faire fister dans les locaux de la piscine, lécher la pisse des autres... Je suis quoi, au juste?! un pervers? Un obsédé de la bite, une pédale?

C'est ça! Je suis devenu une pédale!!!

Ce jour là, je pris une décision radicale. Ce serait la première et la dernière fois que je m'abaisserais à de telles perversités avec un homme. JE NE TOUCHERAIS PLUS JAMAIS UN MEC.

J'en fis le serment. Au nom des miens, de ceux que j'avais de plus cher.

Jusqu'au jour où...

Ceven X

Suite de l'histoire

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