Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé est purement fortuite.
Bonjour,
Je m’appelle Manuel. Un jour c’est sûr je deviendrai Président. Je vais déjà vous raconter comment j’ai gravi les échelons.
Je suis né dans une ville de province un peu triste, mais qui a son charme quand on la connaît ? J’ai un frère plus jeune. C’est moi l’aîné, mais à la maison on me surnomme Petit Kiki.
Ma mère a toujours dit que j’étais ambitieux et que j’irais loin. Finalement elle a eu raison : un peu de théâtre, puis les grandes écoles, Science Po, l’ENA, etc.
Mon père, lui, me disait simplement que j’étais aussi beau que lui… ce qui est vrai.
Et puis nos parents ont divorcé.
Mon père a les cheveux plutôt longs et bouclés, il a un corps fin et sculptural et un très beau zizi, bien proportionné. Avec mon frère on l’appelle Manpower, rapport à l’homme de Vitruve.
Moi, malgré mon âge adulte, j’ai le même zizi que lui, mais en plus petit, bien proportionné, mais à échelle réduite. Ça me complexe un peu…
À la puberté j’en ai souvent parlé avec mon père. Alors il m’a appris à tirer dessus dans le bain et sous la douche. C’est lui le premier à m’avoir appelé Petit Kiki. J’aimais beaucoup ces moments avec lui, mais force est de constater que mon zizi n’a finalement pas grandi.
Avec mon frère en revanche, notre entente était moyenne. Il a toujours fait du sport alors il a un corps vraiment musclé. Moi non. Et surtout il a hérité d’un bon gros zob, avec de grosses couilles et un gland bien marqué. La vie est injuste. J’en étais vert de jalousie… et je le suis toujours.
Mon frère dit que je m’appelle Manuel, mais que j’ai un corps d’intellectuel. Il m’a toujours reproché d’être un grand frère supérieur, froid et arrogant, ce qui est vrai, je l’admets. À 18 ans, pour m’humilier il exhibait son gros zob dans la salle de bain devant moi, il le secouait et le faisait tourner… moi ça m’excitait beaucoup alors pour que ça ne se voie pas, je cachais mon petit zizi dans ma main.
Pour me venger, dans le bain, je lui disais :
– En fait, tu sais que t’as exactement la même bite que le facteur ?
– Et comment tu le sais ? T’as déjà sucé le facteur ?
– Non j’ai d’autres objectifs dans la vie, moi…
– Ah ? Tu veux sucer d’autres bites ? Tiens t’as qu’à t’entraîner avec la mienne !
Et il sortait sa bite de l’eau… spectacle magnifique… toute ramolli par la chaleur, avec l’eau qui ruisselle dans ses poils blonds…
– Allez vas-y Petit Kiki ! T’en as envie…
– Arrête avec ta bite, sinon je vais le dire à papa !
– Et moi je vais lui dire que dans le bain, tu me touches les couilles avec les pieds ! Tu crois que je n’ai pas remarqué ?
– Je suis ton aîné, je te ferais dire !
– Ce n’est pas pour ça que tu peux me toucher les couilles ! Papa il te laisse peut-être toucher son zizi, mais moi non !
– Menteur ! Ce n’est même pas vrai !
– Kiki à papa !
– Je vais le dire à papa !... Papa ! il n’arrête pas de parler de ton zizi !
– Rapporteur !
Et là, papa intervenait :
– Ça suffit, les garçons ! Vous mettez de l’eau partout ! Et toi arrête de narguer ton frère avec ton énorme machin, il est très bien le petit zizi de ton frère.
– Ah ! Tu vois !
– Toute façon tu défends toujours Manuel et je sais très bien pourquoi…
– Attention Papa ! Il va encore parler de ton zizi…
– Toi Manuel ta gueule !
Mais en vrai mon frère avait raison… Il est vrai qu’à cause de mon problème, mon père montrait une préférence pour moi. On parlait souvent de notre problème, tous les deux. Il se montrait protecteur, il disait :
– T’inquiète, Petit Kiki, ça te va bien, c’est très joli.
Bref, mon frère était jaloux de ma proximité avec papa et moi j’étais envieux de son gros zob à lui.
Mon frère il disait aussi : « Boris Vian, lui au moins, il avait quelque chose dans le slip ! » Au début je ne comprenais pas… mais après j’ai compris.
Avec mon frère nous ne sommes devenus vraiment amis que bien plus tard. C’est souvent comme ça les frères et sœurs : Plus on se dispute enfants, mieux on s’entend plus tard… enfin c’est mon avis.
J’ai effectué ma scolarité dans une école catholique de garçons, tenu par les pères jésuites.
J’aimais beaucoup les rapports entre garçons, rapports virils, rudes, moqueurs. Je m’en sortais plutôt bien. J’étais fort pour détourner l’attention : quand on a un petit zizi et qu’on est un peu pédé, il faut savoir détourner l’attention !
La meilleure solution (il n’y en a qu’une) : trouver plus faible que soi !
Dans toutes les classes, il y a un plus faible, un bouc émissaire. Je n’ai jamais été celui-là. J’étais au contraire celui qui décidait. Je me faisais élire chef de classe et délégué et je décidais qui seraient mes alliés et qui mes victimes.
Dans les vestiaires je matais les teubs de tous mes potes, mais je cachais mon petit zizi. Un jour un rebeu de ma classe a dit à tout le monde qu’il avait vu mon zizi et il s’est mis à m’appeler « coquillette ». Le lendemain je faisais croire à tout le monde que c’était lui qui avait un problème parce qu’à la maison il était obligé de sucer son père et ses frères. Bien sûr c’était faux, mais tout le monde l’a cru. Est-ce que je regrette ce que j’ai fait ? Non pourquoi ?... En tous cas on n’a plus jamais entendu le mot « coquillette ».
Plus tard, j’ai rencontré mon prof de théâtre Brett. J’étais en première. Au début il voulait me donner un second rôle dans une pièce de Tardieu, mais moi je voulais le premier rôle, celui de l’épouvantail.
Alors un soir après le cours, je suis resté avec Brett et je lui ai dit que j’avais réalisé moi-même un costume d’épouvantail avec des chiffons cousus ensemble. Il m’a dit fait voir. Alors je me suis déshabillé et j’ai mis le costume plein de trous.
– Magnifique, Manuel ! Mais regarde il y a trop de trous, on voit ton slip !
– Je sais, Brett, le jour de la représentation il faudra que je le porte sans slip.
Et là son regard a complètement changé.
Alors j’ai enlevé le costume, j’ai enlevé mon slip devant mon prof, dévoilant mon petit zizi et j’ai remis le costume sans slip. Il semblait effaré.
– Vous voyez, Brett, là ça ne se remarque pas que je suis à poil.
– Ben si… c’est plein de trous… là je vois ton zizi… là… regarde…
Il s’est approché, il a glissé ses mains par les trous du costume…
– Là… tu vois…
Il m’a souri, ses mains ont remonté jusqu’à mon entrejambe, devant et derrière… ses mains étaient si douces… que je me suis laissé faire… C’était ma première fois qu’on me touchait comme ça. Il a pris mon zizi dans sa main et l’a caressé doucement. De son autre main il me caressait les fesses en glissant ses doigts fins jusqu’à mon trou du cul. Il caressait mes boules et branlait mon petit sexe dur… Et il m’a regardé dans les yeux quand j’ai joui dans sa main.
Ensuite Brett s’est léché la main et puis il s’est occupé de mes fesses. Il m’a baisé à travers les trous du costume… très doucement et respectueusement…
– Ça va ?
– … encore… continue…
Il était si doué ! Il m’a fait mettre à 4 pattes et il a joui dans mon cul… Et le lendemain le rôle était à moi !
J’avais gagné sur les 2 tableaux. Ma mère avait raison, j’étais ambitieux !
Ce fut ma 1re bonne leçon de vie :
Dans la vie, on obtient beaucoup à 4 pattes.
Ce rôle fut une expérience inoubliable et une révélation… J’étais doué pour la prise de parole en public. Des perspectives s’ouvraient à moi.
Je jouais donc l’épouvantail dans des scènettes de Tardieu. À travers mon costume déchiré, je sentais l’air entre mes jambes et sur mes fesses et je trouvais cela érotique. J’espérais que le public voyait que j’étais cul nu sous mon costume… montrer mon petit zizi ne me faisait plus peur. Le regard des garçons du premier rang me confirma qu’on voyait ma bite et mon cul. Cool.
Pour info, la scène a été filmée par mes parents, mais ils étaient loin, on ne voit pas mon cul.
J’ai terminé mes études secondaires dans un très grand lycée parisien, où mes parents m’ont envoyé pour m’éloigner de mon professeur de théâtre Brett qui avait quand même 24 ans de plus que moi et avec lequel je m’entendais trop bien à leur goût.
Puis j’ai obtenu le bac avec la mention « très bien ». Ensuite je suis rentré à Science Po puis l’ENA. Je voulais être major de ma promo de l’ENA, mais je ne suis sorti que 5ème. Alors j’ai sucé quelques bites et repris plusieurs fois ma position préférée à 4 pattes… et j’ai fait annuler le classement !
Je n’ai pas effectué mon service national en raison de la poursuite de mes études supérieures. Je suis rentré à l’École Normale. Je me suis fait tringler par plusieurs profs pendant 2 ans, mais ça n’a pas suffi pour que j’aie l’examen final. J’ai échoué 2 fois. J’aurais dû viser plus haut… peut-être la bite du directeur ou du ministre, ou même les 2.
Ce fut ma 2ème bonne leçon de vie :
Il y a des bites à tous les étages, inutile de sucer les sans-dents.
Pour ma carrière j’hésitais encore entre la politique et la finance… Finalement ce fut les 2.
Pour rentrer à la banque Rothchibre, il m’a fallu sucer beaucoup. Les supérieurs étaient nombreux et me disaient tous : va voir untel et ensuite reviens me voir. Ce fut un vrai marathon de pipes. Je n’avais jamais avalé autant de sperme, et baissé autant mon slip !
Mais grâce à ça j’obtins directement un poste à hautes responsabilités.
Comme je dis toujours : « Quand on veut être Président, il faut savoir se mettre à 4 pattes ». Ma carrière était lancée.
Pendant toutes ces années, Brett mon vieux prof de théâtre est resté mon amant. Mon seul véritable amour. Malgré notre différence d’âge, pendant tout ce temps, il a essayé de maintenir en moi un peu d’humanité. Toute cette ambition, toutes ces bites, m’ont asséché le cœur. Toujours aujourd’hui, seul Brett sait encore parler à mon cœur. Quand il caresse mon petit zizi, je revois ce vieux costume d’épouvantail et je me rappelle ses mains qui pour la première fois ont frayé leur chemin jusqu’à mon intimité. Brett.
L’avantage des postes à responsabilités c’est qu’on est plus celui qui suce, mais celui qui se fait sucer ! À la banque Rothchibre, de « suceur » je suis passé « sucé » ! Maintenant c’est moi qui distribue les postes et les avantages contre faveurs.
Je reçois même les politiques… beaucoup de politiques. Pour obtenir le soutien de la banque Rothchibre, ils doivent baisser leur slip… et maintenant c’est à eux de se mettre à 4 pattes ! Ils le font tous sans discuter, alors moi je glisse ma petite tige dans leurs fesses de ministres, et je crache mon plaisir dans leurs trous ministériels.
Ils n’obtiennent le soutien de ma banque que s’ils en redemandent.
Un jour c’est sûr je deviendrai Président.
J’ai déjà choisi mon slogan de campagne électorale :
LA REVANCHE DE LA COQUILLETTE !
Jam
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