Premier épisode
J’avais de nouveau 20 ans. J’étais reparti dans ma vie d’avant.
Aníbal était bouillant c’était un obsédé sexuel il ne pensait qu’à ça il avait toujours le regard chercheur et la main dans le slip, la bouche ouverte et le souffle chaud, c’était un mâle de 20 ans. Quand il ne bandait pas, au minimum il bandouillait, il ne s’arrêtait jamais. Il avait toujours les couilles pleines et le gland mouillé.
Nous vivions dans ma chambre, nous avions de nouveau 20 ans, sauf que moi j’avais déjà vécu tout ça… et malheureusement je savais comment ça se termine. Je ne voulais pas refaire les mêmes erreurs et revivre les mêmes déceptions. J’étais déterminé à le quitter avant que notre amour m’emporte à nouveau.
Mais il était toujours à poil, cet obsédé, il se frottait à moi il me cherchait il me voulait, il frottait son pénis décalotté contre moi et putain que c’était bon.
– Va t’habiller Aníbal s’il te plaît, c’est pas possible, tu ne peux pas rester comme ça tout le temps…
– Mais on ne baise plus, mi corazón ! J’en peux plus, moi, tu comprends ? Regarde !
Il s’est assis sur le lit et il s’est mis à se branler. Il était beau comme un diable. Il était devant moi, jambes écartées. Ce mec est juste une bite, une énorme bite avec des couilles magnifiques, comment lui résister ? Je voulais le sucer le piper le pomper, je voulais lui mettre un doigt dans le cul et sentir son gland taper le fond de ma gorge… Mais non il ne faut pas.
Mon corps le désirait, mais si je cédais je savais que plus tard notre relation me rendrait malheureux.
Mais lui il continuait de se branler pour m’attirer, il était de plus en plus excité… je sentais qu’il allait jouir, ses yeux m’imploraient, il ne comprenait pas, ses mains s’accéléraient il secouait sa verge veineuse qui allait exploser… et puis brusquement il s’est jeté sur moi et il a plaqué son sexe contre moi. Et là ce fut plus fort que moi je l’ai pris dans mes bras, il enroula ses jambes autour de moi et je sentis son sexe dur contre mon ventre. Je lui refusais ses baisers, mais en même temps mes mains caressaient ses fesses et mes doigts cherchaient son anus. Je sentais qu’il devenait agité, il se secouait, ses yeux étaient rouges, il avait le regard fou du mâle en rut en quête de jouissance. Et finalement mes doigts ont trouvé son cul. D’une main je lui ai chopé les couilles et de l’autre je lui caressais l’anus, et là il a explosé et j’ai senti tout son cul qui se contractait et les spasmes de sa bite contre mon ventre souillé. Et là il leva la tête comme une bête et poussa un cri très grave et très long, comme un immense soulagement.
Il s’allongea.
– Pourquoi tu fais ça mi corazón ? Je ne te plais plus ? Regarde mon corps, il ne t’attire plus ?
Il s’étira comme un fauve, le corps recouvert de gouttes de transpiration, les poils collés et la bite fatiguée, encore rouge et veineuse, brillante et qui coule encore.
Comment lutter contre cet homme de 20 ans ? Je l’ai dans la peau. C’est mon homme. Comment lutter contre cet obsédé sexuel qui me tourne autour toute la journée, qui s’exhibe qui se touche, qui se frotte à moi ? Il me provoque il m’attire, et moi je le mate je le cherche, je veux son cul je veux sa bite je veux fouiller son corps, son corps allongé avec sa bite qui coule encore…
– Alors c’est ça ? Tu ne m’aimes plus ?
C’était devenu évident, j’allais céder…
– Sí, mi amor… bien sûr que si !
… J’avais perdu. Nos yeux étaient à nouveau amoureux comme la première fois, nos baisers étaient à nouveau fougueux, nos sexes étaient à nouveau tendus ils se cherchaient ils se croisaient. Nos corps transpirants, jeunes et beaux, se reconnaissaient-ils étaient complices, ils se caressaient ils se tournaient et se retournaient. À nouveau on s’ouvrait on s’écartait on se léchait on s’enculait on se vidait et on se remplissait. Je suis à toi tu es à moi, fais ce que tu veux tout est permis mi amor mais surtout, Aníbal… besa me, besa me mucho.
Aníbal était un homme de 20 ans très attirant. Il le savait il en jouait. Dans la rue, il provoquait les mecs, il aimait se mettre en short court, dans les transports il faisait du manspreading il se touchait il se réajustait, quand on le regardait il se caressait doucement il exhibait ses jambes poilues, il adorait ça, il souriait il matait les entrejambes.
Il me demandait de me mettre aussi en short et nous nous posions jambes écartées sur les bancs publics. Et quand un mec s’asseyait sur le banc d’en face il m’incitait :
– Écarte les jambes mi corazón, y en a un qui te mate… putain comme il te mate… sors ta bite… vas-y doucement… profite… exhibe-toi mi amor ! prends le plaisir, prends… tire sur ton short… plus… sors tout ! montre-lui que t’es un mec mi corazón… Là ! tu vois tu l’as chopé tu l’as eu ! Cette image il s’en souviendra toute sa vie, grâce à toi, mi corazón !
Et là il m’embrassait de toute sa bouche et il plongeait sa main entre mes jambes, il me malaxait le sexe devant le mec du banc d’en face qui en restait bouche ouverte… Là c’est sûr il s’en souviendrait !
– Tu comprends, mi corazón, nous sommes des faiseurs d’image.
Jam
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