3 | Piscine avec Ludo
9h du matin, à peine réveillé, je vais me préparer dans la salle de bain.
Devant le miroir, j'inspecte mon corps et détaille les résultats de mes efforts à la salle de sport; abdominaux bien visibles, biceps énormes, dos musclés. J'attrape le rasoir pour éliminer tous poils, c'est une habitude chez moi. J'ai rendez-vous dans moins d'une heure à la piscine et je veux être à mon avantage.
J'y rejoins un ancien pote qui m'a demandé de l'aider à établir une communication avec son fils gay. Lorsqu'il m'a contacté pour me demander des conseils, il était complètement perdu. Etant moi-même bi, il a pensé que je pourrais aider son fils à s'accepter. D'après ce que j'ai compris, son fils a toujours été très discret sur sa sexualité. Je sais que beaucoup de jeunes ont encore du mal à accepter leur homosexualité, je me demande si son problème vient de là ou s'il craint juste la réaction de son père. C'est peut-être un peu des deux.
Je me dis que je verrai bien de quoi il s'agit sur place tout en m'attaquant au rasage de mes parties intimes, j'aime tellement la sensation d'avoir les boules douces et, même si j'ai hérité d'une queue volumineuse, visuellement l'effet n'est pas négligeable. Satisfait du résultat, je me prends en photos dans le miroir et l'envoie à quelques personnes avec qui je discute sur une application de rencontre. Au même moment, je reçois un message de mon pote disant qu'il se met en route avec son fils. Je redouble de vitesse pour me préparer et me rend à la piscine.
Après avoir montré mon abonnement à l'agent d'accueil, je fonce me changer dans les vestiaires. Quatre gars se changent dans le vestiaire, je prends mon temps pour profiter des stipteases successifs qui s'offrent à moi. Je remarque que les jeunes sont plus pudiques mêmes s'ils sont bien bâtis. A l'opposé, un habitué de la piscine qui doit avoir une soixantaine d'années semble prendre plaisir à mettre son micropénis au nez et à la barbe de tout un chacun. Lorsque mon tour vient, je me désape et attire tous les regards, à la fois admiratifs de mon corps et curieux de mes tatouages. Une fois mon bandeau de bain enfilé, je me dirige vers les bassins précédé par un jeune du vestiaire qui a la physique type du nageur; corps fin et dessiné, slip de compétition, pince-nez et lunettes anti-UV de marque. Sentant le potentiel, je me dirige vers lui, m'informe sur les nages qu'il compte pratiquer et lui propose de nous entrainer ensemble… à la condition qu'il puisse tenir le rythme. Je sens le compétiteur dans son regard, il relève le défi mais va vite s'apercevoir que j'ai un très bon niveau technique. Mes mouvements sous l'eau sont parfaitement optimisés me permettant d'obtenir le meilleur temps de glisse possible et ainsi prendre de la vitesse sans trop d'effort. Après environ 800m, je commence à prendre pas mal d'avance sur mon adversaire qui capitule en s'appuyant au bord du bassin. Je sens mes muscles fatigués et ma respiration qui s'accélère mais, pour le taquiner, je le rejoins et lui dis que dans une ou deux longueurs, j'aurai terminé mon échauffement. On rigole ensemble et il me complimente sur ma forme. Je lui dis mon âge et il est encore plus impressionné.
Alors que nous parlons, je me rappelle que je suis censé aider mon pote et son fils gay. Je les cherche du regard et les localise quelques lignes plus loin. Ils enchainent des plongeons tous aussi médiocres les uns que les autres. Je découvre enfin le fils que j'ai promis d'aider. Difficile d'identifier ses traits avec le bonnet et les lunettes de piscine mais il ressemble beaucoup à son père à l'époque où nous nous côtoyions. Son corps est plutôt mince mais pas forcément musclé. Il doit avoir une bonne génétique. Ce qui attire mon attention, ce sont ses fesses moulées dans son maillot de bain, elles sont à croquer, bien rebondies et fermes. C'est sous son maillot de bain que je perçois les différences par rapport à son père qui, lui, avait le cul plat. Je me souviens parfaitement quand, plus jeunes, nous prenions des douches collectives après les match de foot; à l'époque, j'étais fasciné par le gros paquet de mon pote et sous les douches il devenait évident que son sexe devait être énorme en érection. Le fils par contre semble moins gâté par la nature mais avec un fessier pareil, cela aurait sans doute fait trop.
Je demande alors à mon jeune compétiteur s'il veut prendre sa revanche sur un 400 mètres brasse. Il me répond qu'il doit aller pisser et qu'il en a eu assez pour l'entrainement. Je lui répond que moi aussi je dois me soulager mais que j'hésite à le faire dans l'eau. On rigole et il me dit
- Il ne vaut mieux pas, l'urine va devenir rouge au contact du chlore.
- Si tu le dis, go alors !
Nous sortons du bassin, je lui emboite le cul… Pardon, je voulais dire je lui emboite le pas et nous arrivons aux urinoirs. Je me place juste à côté de lui et déballe mon matos de manière bien voyante. Je le vois faire de même et laisser échapper quelques petits jets de son sexe de taille moyenne. Je remarque qu'il est circoncis. Je lui fais remarqué qu'il ne devait pas avoir très envie de pisser vu qu'il a déjà fini et ajoute et désignant mon sexe d'un signe de la tête :
- Regarde moi j'aurais pu remplir une deuxième piscine, dis-je en envoyant un gros jet puissant et continu.
Je le vois regarder le jet pendant 20-30 secondes, alors que je sens que ma vessie est presque vide, je décide de faire durer le plaisir en arrêtant le jet et en le reprenant quelques fois. Il me regarde toujours ne sachant quoi faire alors que je me mets à faire des va-et-vient décalottant mon gland et le pressant pour faire tomber la dernière goutte. Une fois fait, je tourne ma tête vers lui et lui transperce le regard pour lui faire comprendre que c'est maintenant où jamais. Il semble comprendre, après quelques secondes, je le vois tendre la main hésitante et saisir mon sexe. Il me regarde et je sens l'hésitation dans ses yeux. Je dois prendre les choses en main, je resserre ma main contre la sienne sur mon sexe et l'emmène dans une des toilettes. Je lui pose la main sur l'épaule et exerce une légère pression. J'entends qu'un homme est entré à son tour aux urinoirs. Je pose mon doigt sur sa bouche pour lui indiquer de ne pas faire de bruit et affermis ma pression sur son épaule. Il se retrouve la tête au niveau de mon sexe toujours entouré par nos mains que j'écarte vite.
Je lui cale fermement une main derrière son bonnet de bain et dirige mon gland luisant vers ses lèvres entrouvertes. Il me fait rire en embrassant mon gland, il n'a pas l'air très sûr de lui. De mon autre main, je lui glisse mon pouce dans la bouche et lui ouvre grand, langue tirée. Sans dire un mot pour être discret, je présente mon gland sur la langue et y fait quelques petits mouvements. Lorsque j'enlève mon pouce, ce n'est plus le même jeune homme que j'ai entre les cuisses, il se met à lécher puis à téter mon gland comme un affamé. Je sens que mes couilles se remplissent, mon sexe répond de plus en plus à ses sollicitations, mon cœur s'accélère et je sens que je vais lui faire boire la tasse. Je positionne mes deux mains derrière sa tête pour l'empêcher de reculer et lui envois de grosses giclées bien collantes de jus. Je sens qu'il se crispe, le maintien le temps de tout décharger dans sa petite bouche mais il se relève. Je comprends qu'il a sans doute l'intention de cracher. Sachant qu'on ne peut pas parler, je l'attire contre moi, profite d'être plus grand que lui pour lui prendre le visage entre le mains, lui relever le menton et l'embrasser puissamment. Ce baiser dure une trentaine de seconde, puis vaincu par le temps qui passe, ma main alors sur sa gorge, je sens sa pomme d'Adam déglutir et mon jus partir pour recouvrir toutes les parois de son œsophage. Débarrassé de ce poids, il tente de me rendre mon baiser avec une langue téméraire mais cela n'a plus d'intérêt pour moi. Je le repousse tout en lui faisant un nouveau signe de se taire même si je savais qu'il n'y avait plus personne dans les toilettes, ouvre la porte et repars vers les bassins sans un regard pour celui qui va commencer à digérer ma crème fraiche.
De retour dans le bassin de natation, je me positionne dans la ligne à côté de mon pote et de son fils. Après quelques longueurs, je les vois commencer à faire de la lutte sous-marine. Chaque fois que je m'approche deux, je les vois de plus en plus collés l'un sur l'autre et cela semble faire de l'effet au fils dont le mat est levé. Quelques longueurs de plus me permettent d'approfondir ma réflexion, le problème du fils est peut-être qu'il est attiré par son père, un complexe d'Œdipe, si je me rappelle bien. Quelques longueurs plus loin, je vois aussi l'avant-bras du père passer et repasser à plusieurs reprises sur le sexe en érection de son fils. Consciemment ou inconsciemment, son corps doit avoir envie de se comparer à celui de son fils. Voulant en savoir plus, je choppe le regard de mon pote et lui fait signe que je pars aux vestiaires. Une minute après, je le vois débarquer mais seul, il m'explique que son fils termine quelques longueurs et qu'il va arriver. Partant vers les douches, j'observe son corps, il est toujours aussi sexy que dans mes souvenirs. Son corps est un peu trop poilu à mon goût mais il est vrai que ce côté hétéro a toujours son charme.
Après quelques minutes, le fils nous rejoint enfin, il s'installe sous la douche et je peux enfin voir de près son magnifique cul. Heureusement que j'ai déchargé tout récemment car j'aurais pu avoir du mal à contenir une érection. Pensant que cette chance ne se reproduirait peut-être pas, une idée un peu perverse me vint à la tête : et si je faisais en sorte que les maillots disparaissaient. Ni une ni deux, le plus naturellement du monde, je baisse mon bandeau de bain, et exhibe tout au fils forcément intéressé. Cela m'amuse au plus haut point surtout que le père a l'air au bord de la crise cardiaque. Il ne doit pas avoir l'habitude de se retrouver nu devant son fils. Toutefois, après quelques secondes, je le vois enlever son slip de bain. Quel spectacle, le sexe du père est aussi imposant que dans mon souvenir, j'entrevois le bout de son gros gland sous le ruissèlement de l'eau et de la mousse dans ses poils et sur sur ces couilles poilues. Le fils doit se régaler, il essaye aussi d'enlever son maillot de bain qui fait de la résistance. Je me demande si le père a un début d'érection car il part rapidement vers les vestiaires me laissant seul avec le fils qui arrive enfin à se déshabiller.
La comparaison entre le sexe du père n'est pas flatteuse pour le fils. Il n'a pas hérité du gros engin de son papa. Cependant, il n'a pas du hérité non plus de sa timidité. Alors que je continue la conversation avec lui, enchainant les banalités dans le seul but de toujours avoir une excuse pour le regarder, je vois que comme dans le bassin, il a une jolie érection. Son sexe de taille moyenne pointe vers le plafond. Est-ce le fait d'avoir vu la bite de son père qui l'a mis dans cet état ou d'être nu à côté de moi ? Je ne sais pas mais voir son corps mouillé m'excite énormément, lorsqu'il se retourne et que je vois son petit cul, je n'ai qu'une envie le plaquer contre le mur carrelé de la douche et lui tambouriner la prostate. Encore une fois, heureusement que je n'ai pas d'érection. J'ai encore mon rôle à jouer auprès du père, et même s'il ne le sait pas encore, le plan que nous avions convenu ensemble va être un peu modifié. Quelques minutes plus tard, nous nous retrouvons tous dans les vestiaires, je m'assure de revoir la petite famille très bientôt car ce que j'ai prévu pour eux va tout changer…
Camozzzor
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