Cyrillo

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Fantasmes au lyc�e

Cette histoire remonte � quelques ann�es, lorsque j'�tais encore en cours... Je ne suis plus exactement s�r de savoir en quelle ann�e je me trouvais.
J'avais toujours eu du mal � me sentir � l'aise avec les filles ; non pas que je n'arrivais pas � m'en faire des amis, bien au contraire ! Seulement, sexuellement parlant, le courant ne passait pas... J'avais besoin d'autre chose, que je finis par trouver chez les hommes.
Chez mes parents, je suis rest� longtemps sans internet, car ma m�re craignait (sans doute � raison) que j'y passe tout mon temps au d�triment de mes �tudes ; jusqu'en terminale, j'ai donc d� me contenter de rapides branlettes chez d'autres gens, parfois chez des amis de mes parents qui me laissaient me servir de leur ordi, ou parfois m�me au lyc�e ; je me rin�ais l'oeil vite fait sur des sites pornos, dans la salle du fond du CDI, puis j'allais cracher ma pur�e dans les toilettes de l'�tage.

Bien vite, cependant, voir des chattes se faire ramoner m'a fait moins d'effet ; je suis pass� aux sites gays. Ce fut une r�v�lation : je m'extasiais devant tous ces m�les en rut qui se donnait du plaisir, se d�chirant les chairs dans de grands r�les de jouissance. Tous ces acteurs pornos avaient en plus quelque chose qui me faisait d�faut, � cet �ge l� : un corps de r�ve. Poilus ou imberbes, blancs ou noirs, ils �taient sculpt�s comme des dieux grecs. C'est une partie importante de mes fantasmes, car j'ai toujours r�v� � ce que je n'avais pas, des pectoraux d'acier, des bras puissants, des abdos bien dessin�s et quelques poils virils sur le torse...
C�t� bite, je me r�galais aussi, car les sites de culs sont connus pour regrouper tous les mecs les mieux mont�s du monde ; ma bite fait 16 cm, �paisse, donc j'aurais pu �tre plus mal loti... Mais des engins de plus de 20 cm, c'est quand m�me autre chose.
Je ne pouvais que r�ver au jour o� un beau mec me d�foncerait le cul, avec un engin digne de ces sites pornos, et alors je conna�trais l'extase d'�tre poss�d� et rempli comme une chienne - tr�s t�t, en effet, j'ai eu des fantasmes de passif.

Au coll�ge, bien entendu, pas question de laisser quoi que ce soit transpara�tre, et encore moins lorsque quelqu'un (souvent un mec bien macho) faisait des blagues sur les gays ou s'amusait � provoquer d'autres mecs dans les vestiaires, apr�s le sport.
Justement, les vestiaires. Plut�t banal et clich�, comme endroit pour fantasmer, et pourtant...

Un jour, dans ces fameux vestiaires, j'ai eu comme un flash : jamais avant je n'avais remarqu� que Quentin �tait si bandant !
Quentin, c'�tait l'arch�type du mec viril, sportif, jeune mais d�j� l'allure et le comportement d'un homme, muscl� sec avec des poils naissants entre les deux pecs bien dessin�s, et une gueule d'ange avec quelques taches de rousseur, bien qu'il f�t brun.
D�s lors, apr�s chaque cours de sport, je le matais discr�tement lorsqu'il se foutait torse nu... Et un jour, il a d�cid� de m'en montrer plus : journ�e de printemps plut�t chaude, retour aux vestiaires apr�s le cours d'endurance, et Quentin d�cide de changer plus de v�tements que d'habitude. Du coup, le pantalon y passe aussi, ce qui fait qu'il se retrouve presque � poil, en cale�on. Et l�, le choc, presque �lectrique, que j'ai ressenti le long de mon dos : son cale�on laissait deviner une bite de poney, je n'avais jamais vu �a ! Un v�ritable monstre, d'autant plus suggestif que je ne pouvais pas le voir r�ellement.
Deuxi�me choc, moins agr�able cette fois, Quentin a surpris mon regard. J'ai �t� trop lent � dissimuler que je le reluquais, ce jour-l�, et il l'a bien vu. Mais contre toute attente, rien. Il n'a rien dit, n'a pas fait de blague, ne m'a pas humili� devant tous les autres comme il aurait pu le faire... Mais je suis s�r d'avoir per�u, ce jour-l�, un petit sourire en coin, avant qu'il ne se tourne pour enfiler son t-shirt.

La suite prouva que je n'avais pas r�v�.

Malheureusement, la suite ne vint pas avant deux ans ! Pendant ces deux longues ann�es, je me suis fr�quemment branl� sur lui, et plus d'une fois j'ai r�v� de lui la nuit, me chevauchant et faisant de moi sa chose. Apr�s ce premier �pisode au vestiaire, je pris toujours soin de ne jamais me mettre pr�s de lui, de ne plus le regarder, et d'�viter, si possible, de me changer en m�me temps que lui.
Mais j'ai toujours fantasm� sur lui, et ce pendant deux ans, sans jamais m'en lasser, tant j'avais envie de me faire mettre par lui, d'�tre violemment plaqu� contre un mur et de me faire f�conder par sa teub...

Les mois d�filaient, et j'eus mes premi�res exp�riences avec les hommes : comme pr�vu, j'�tais passif, et j'aimais �a !
En terminale, je me retrouvais dans la m�me classe que Quentin, pour la premi�re fois. Il avait sans doute tout oubli�, mais pas moi ; comme le temps avait pass�, j'ai repris mon habitude de le mater dans les vestiaires ; jamais il n'a donn� l'impression de le remarquer.

Jusqu'au jour o� ...

Grande pause du midi, nous remontons en cours, et l'on nous annonce que la prof est absente : bilan, la moiti� de la classe se barre, sauf les pauvres loosers qui font latin et qui doivent rester jusqu'� 17h, pour attendre le cours. D�go�t�, je me balade au hasard dans le bahut, et au bout d'un quart d'heure, je redescends dans la cour, vu que je n'ai rien de mieux � faire. les autres latinistes sont all�s au CDI pour bosser, mais je n'ai pas le coeur � �a.
j'arrive sous le pr�au, et l�, dans le carr� de bitume d�sert, je vois Quentin assis sur un banc, � �couter de la musique sur son iPod. Je m'immobilise sur place. Mais trop tard.
Lui, il m'a vu. Je le vois retirer ses �couteurs et me faire signe. Plus le choix, je vais vers lui, histoire de parler vite fait.

- Alors, t'as Latin ce soir ? me demande-t-il.
- Ouais, c'est assez relou de devoir rester l� � rien faire jusqu'� 17h.
- Pourquoi tu vas pas bosser au CDI ?
- Bof, la flemme.
- Ouais, pareil, me r�pond-il.
- Mais au fait, pourquoi t'es l�, toi ? je lui demande.
- Moi j'ai le badminton avec l'AS, apr�s, vers 16h.
- Ah, ok.

Ca s'arr�te l� pour le moment. Il s'�tire un bon coup, puis il se l�ve.

- Tu viens, on va � l'int�rieur, me dit-il.
- Euh, ouais, si tu veux, je r�ponds.

Je savoure l'instant, je suis seul avec lui, �a ne va pas durer, d'un moment � l'autre, on va tomber sur un de mes potes latinistes, ou sur un de ses potes du badminton. Alors je savoure.
On monte les �tages, et arriv� au dernier, toujours vide puisqu'il n'y a que les salles d'art plastique et de techno, il se tourne vers moi, et me dit :

- En fait, je sais pas o� on va, je suis mont� sans r�fl�chir.
- On n'a qu'� se poser l�, je lui dis, en montrant le haut des marches.
- Non, j'ai envie de pisser, je vais aller aux chiottes, d'abord.
- Ok.
Comme il voit que je bouge pas, il me dit :
- Bah tu viens ?
- Pas envie de pisser, moi, je lui r�ponds.
- Et alors, on s'en fout.
L� je ne sais pas trop quoi dire. Alors je hoche la t�te, et je le suis. Une pens�e me vient ; s'il pisse devant moi, j'aurai peut-�tre la chance de mater sa queue. J'en bande d'avance.

Bref, on rentre dans les chiottes, et moi je m'adosse au lavabo, l'air de rien. Lui il choisit une pissoti�re en oblique par rapport � moi. G�nial, �a me facilite la t�che.
Il pisse, et j'attends qu'il soit bien en plein milieu pour pencher la t�te et risquer un regard furtif. Sauf que ce salaud se retourne � ce moment pr�cis et surprend mon regard, une fois de plus. Je fais mine de rien, mais lui, apr�s avoir fini de pisser, s'adresse � moi sans se retourner.

- Je savais bien que tu me matais.
- ...
- Ba quoi, tu dis plus rien ? Tu me matais, oui ou non ? dit-il sur un ton agressif.
- Ou...Ouais, je bafouille.
- Et ba voil�, c'est pas si difficile d'ob�ir.

Et l�, il se retourne. Et je pose mes yeux pour la premi�re fois sur le monstre qui hantait mes nuits : elle est �norme, comme pr�vu. Ou du moins, de belle taille, flasque, et super app�tissante. Avec mon excitation et ma trouille, elle a d� me para�tre plus grosse encore.
Il suit mon regard, et il sourit.

- Alors, elle te pla�t ?
- ...
- Ho ! R�ponds ! hurle-t-il. Je t'ai demand� si elle te plaisait ?
- Oui.
- Voil�, c'est mieux. Va falloir que je t'apprenne � ob�ir, dis-moi.

J'en crois � peine mes oreilles, le mec de mes r�ves me parle comme � sa petite pute, et j'adore �a ! Ma bite est d�j� au garde-�-vous dans mon froc, et �a m'en ferait presque mal.
Lui, il reste devant moi � savourer ma d�pendance naissante.

- Touche, me dit-il.
Je n'ose pas.
- Touche ! crie-t-il.
Alors j'avance lentement la main vers sa queue, et je la touche. Il me prend la main et me force � le branler ; sa bite durcit et grandit � vue d'oeil : au final, on doit bien d�passer les 20 cm ! Je plane totalement, une bite dans la main, un beau mec devant moi qui ferme les yeux et savoure ma branlette....
Soudain, il me gifle violemment, et je recule sous l'effet de la surprise.

-Ca c'est pour ob�ir plus vite quand on te dit quelque chose, petite salope. Je vais te dresser, moi. Maintenant reviens l�, et � genoux.

Inutile de dire que cette fois, je m'ex�cute sans broncher. Une fois � genoux, il m'observe de toute sa hauteur, et me dit :
- Ouvre grand !
Et il m'enfourne alors son engin dans la bouche, que je m'empresse de sucer.
- Hummmmm, mais dis-moi, tu suces mieux que ma copine, mec, han, hummmm.
En m�me temps, j'aurais d� m'en douter, tu as une petite bouche de suceuse !

Il me lime la gueule un moment, puis il arr�te, et pendant plusieurs minutes, je reste immobile � genoux tandis qu'il s'amuse � me frotter sa queue sur la gueule en tournant autour de moi. Il continue ce petit man�ge jusqu'� ce qu'il en ait marre, et d�cide de passer � autre chose. Il se d�shabille et me pousse dans une cabine. Il ferme la porte et m'ordonne de me d�shabiller aussi. Je le fais. Alors il se penche vers moi, et son corps d'athl�te, compar� � mon corps ordinaire et sans muscles, me maintient fermement plaqu� contre la paroi tandis qu'il me roule une pelle ultra virile, dans laquelle je m'abandonne compl�tement comme si j'�tais sa femelle.
Je le caresse, je palpe ses muscles, ses pecs de folie, et je titille ses t�tons.
- T'aimes �a, mes muscles, hein ? Tu voudrais �tre comme moi, pas vrai ? Alors bouffe !
Et il me force � lui l�cher le torse, les pecs, les t�tons... Je me retrouve le nez plaqu� � sa poitrine, et je me d�lecte de son odeur de m�le, de son odeur musqu�e et poivr�e, je lui l�che les t�tons...
Je repasse � sa queue, qui a du encore grossir tellement elle m'emplit la bouche, et je le suce pendant un bon quart d'heure, jusqu'� ce qu'il m'arr�te, au bord de la jouissance.
- Arr�te, arr�te, tu suces trop bien, petite salope, je vais jouir, arr�te... Je veux faire durer �a, il nous reste encore deux bonnes heures � occuper, et tu vas prendre cher.
Ces mots me font plus bander qu'ils ne m'effraient ; malgr� la taille de sa bite, je suis s�r que je vais adorer me faire ramoner comme une lope, sachant que c'est lui.
On souffle un peu, lui il laisse retomber la pression, moi j'en peux plus � force de bander sans m'�tre touch�, alors je d�cide de me faire plaisir et je commence � me masturber.
Mais il me file une grosse tarte, � nouveau, et me gueule :
- Qui t'a dit que tu pouvais te tripoter, sale pute ? Tu jouiras quand moi je te le dirai, et si je t'y autorise ! R�ponds-moi, dis-moi "oui ma�tre" !
Je n'y arrive pas, c'est quand m�me humiliant. Alors il m'encourage en me tirant en arri�re par les cheveux.
- T'as pas encore compris que t'�tais � moi ? Ob�is, sale chienne !
- Oui, ma�tre, dis-je en balbutiant.
- Encore !
- Oui, ma�tre, je r�p�te.
- C'est mieux.
Il recommence � se palucher, et sa bite qui avait d�band� � moiti�, reprend du volume.
Je me d�p�che de le sucer pour me faire pardonner ; j'ai d�j� des instincts de chienne, il n'a m�me pas besoin de m'ordonner de le pomper. J'adore sa queue, elle me rend fou, je sens ma bite qui me fait mal � bander dans le vide.
Il se laisse faire et appr�cie, puis soudain, il me fait arr�ter.
- Attends, sale pute, tu aimes la queue, tu vas en avoir ; ouvre bien grand, je veux aller jusqu'� ta gorge.
Je proteste faiblement, parce que j'ai jamais fait �a ; �a l'amuse, il se marre.
- Ba y'a un d�but � tout, dit-il. Ouvre grand, tu vas en bouffer de la saucisse.
Alors je m'ex�cute, quelque peu inquiet ; il me penche la t�te l�g�rement en arri�re, et me fait coulisser sa teub dans le gosier. J'ai beaucoup de mal, au d�but, j'ai des renvois, je n'arrive pas � engloutir toute sa bite. Il y va doucement, pour une fois, et me laisse prendre le rythme. Au bout d'un moment (quand m�me un bon quart d'heure) je m'y fais, et il prend grave son pied ; il me laboure la gueule jusqu'� la gorge, parfois je suis sur le point d'�touffer, mais j'adore la sensation de n'�tre qu'un trou pour lui, son vide-couilles personnel. D'ailleurs, ses couilles battent sur mon menton, et il pousse des r�les de plaisir comme une b�te, ce qui me fait bander encore plus (ma bite �tait sur le point d'�clater !)
- Tu es encore plus chienne que ma meuf, me dit-il. Elle dit toujours qu'elle est folle de ma queue, mais elle n'arrive jamais � me l'avaler enti�rement.
Sous ses insultes machos, je per�ois le compliment, et j'en suis tout fier. J'ai un peu la gorge en feu, et c'est d'ailleurs pas le seul endroit ; �a doit bien faire une heure que mon cul se dilate de plaisir.
Comme s'il avait lu mes pens�es, il m'a fait relever, et m'a roul� un patin d'enfer, � nouveau, avant de me dire � l'oreille :
- Maintenant que tu m'as bien lubrifi�, on va pouvoir passer aux choses s�rieuses, me glisse-t-il sur un ton lubrique. Retourne-toi, tu vas d�guster.
Je me retourne, mais je lui fais timidement remarquer que c'est pas ma premi�re fois... Il saisit le message.
- J'aurais d� m'en douter, avec ta gueule de suceuse, tu t'es d�j� fait choper. Dommage, j'aurais bien aim� te d�puceler, mais tant pis, ton petit cul de chienne en chaleur m'ira tr�s bien quand m�me.
Il a sorti une capote de sa poche de jeans, et s'est �quip� la queue.
- J'en ai toujours au cas o�, m'a-t-il pr�cis�.
D�cid�ment, c'est une vraie b�te de sexe ! Je me demande si je suis le premier � y �tre pass� ... Je lui pose la question, et je re�ois une bonne torgnole en cadeau.
- Ferme ta gueule, je te demande pas o� tu t'es fait fourrer, toi, si ?
Je me retourne donc avec ob�issance, et je cambre bien mon cul, pour lui faciliter la t�che.
- Sale pute, tu en veux de la bite, hein ? Ba tu vas �tre servie !
Je me pr�pare � souffrir, vu la taille de son chibre, et j'attends qu'il me d�chire.
Il y va tr�s doucement, �tonnamment, et je le sens progresser dans mon cul avec pr�caution ; il me fait quand m�me mal, tant sa queue est �norme.
- Humm, t'as le cul bien dilat�, petite lope ! Toi tu t'es d�j� fait tirer, �a c'est s�r !
Maintenant, tout son membre est rentr�. Il ne bouge plus, le temps de s'habituer � la chaleur de mon boyau. Moi, je savoure, je me fais monter par le mec de mes fantasmes, en plein coeur du lyc�e !
Il commence de lents va-et-vient, et il acc�l�re de plus en plus. Bient�t, je me fais labourer le cul en bonne et due forme, et je commence � g�mir, moiti� par douleur, moiti� par plaisir ; mes petits couinements ne font que l'encourager et l'exciter davantage, et il redouble la cadence.
- Hummm, haan, oui, han, haan, t'aimes �a, hein ? Haan, hn, r�ponds-moi, hn....
- Oui, ma�tre, oui !
Je me surprends � hurler.
- Oui, d�fonce-moi, oui, j'adore �a, hn, oui.
- Ta gueule, tu veux que tout l'�tage rapplique ? Haan, t'as un cul de r�ve, mec, hn, putain !
Je souffre un peu de ne pas pouvoir me branler, mais je n'ose pas mettre la main � ma bite de peur qu'il se venge en redoublant de violence. Mais je n'ai pas besoin de le faire, lui-m�me saisit ma queue et commence � me masturber en rythme, tout en continuant � m'enculer profond�ment.
Je mets � peine cinq minutes � jouir, et j'�clabousse toute la paroi des chiottes. Les contractions de mon anus semblent lui procurer des sensations incroyables, mais il ne jouit toujours pas ; endurant, le salaud !
Au total, il m'a lim� pendant une heure, peut-�tre un peu plus, avant de jouir en poussant des grognements bestiaux qui m'ont fait triquer de nouveau.
Il s'est retir� lentement (j'avais le cul compl�tement ravag�, en feu, mais j'adorais �a !) et a retir� la capote, qui contenait une quantit� impressionnante de sperme. Puis il m'a ordonn� de lui nettoyer la queue. L�, j'ai h�sit�. Et pour la premi�re fois depuis deux heures, il m'a parl� gentiment.
- T'inqui�te, mec, je suis clean, je fais des tests r�guli�rement, et je baise toujours avec capote.
Alors je me suis empar� de sa queue qui commen�ait � ramollir, et j'ai aspir� le peu de jus qui restait ; un vrai nectar, l�g�rement sucr�.
Il s'est repos� cinq minutes (je l'avais �puis�, en quelque sorte) et il a commenc� � se rhabiller. J'ai suivi son exemple, et nous avons pris le temps de discuter un peu avant de sortir.
- Tu as aim� ? m'a-t-il demand�.
- J'ai ador�. En v�rit� je fantasme sur toi depuis deux ans au moins, ai-je ajout�.
- Ouais, je l'avais devin�, m'a-t-il dit. J'ai grill� comment tu me matais dans les vestiaires. T'inqui�te, mec, t'es pas le seul que j'aie chop� comme �a ; y en a d'autres qui ont flash� sur moi. Mais c'est toi le meilleur coup jusque l�, a-t-il ajout�.
Je lui ai alors roul� un patin, j'ai pas pu m'en emp�cher. Il ne m'a pas repouss�.
- Te fais pas d'id�es, non plus, a-t-il dit. Je suis avec une meuf, et je suis plus h�t�ro que gay, la plupart du temps. Sauf quand je rencontre un bon petit cul � bourrer, a-t-il ajout� avec un clin d'oeil.
Mais entre nous, tu devrais prendre du muscle, tu as du potentiel, t'as les �paules carr�es. Faudra que je t'entra�ne, mec.

J'ai souri ; pourquoi pas, ai-je pens�.
On est sortis des chiottes, il �tait quatre heures moins vingt. Il m'a fil� son t�l, histoire d'�tre "toujours joignable si j'ai les couilles trop pleines". Il m'a dit �a en faisant mine d'�tre macho, mais �a m'a fait sourire.

- Evidemment, �a reste entre nous, mec, m'a-t-il dit. Toute fa�on, �a fait deux ans que je suis avec ma meuf, et tous mes potes la connaissent ; si tu dis quoi que ce soit, tu seras grill� en tant que p�dale, mais moi j'aurai pas de probl�me, personne te croira.
- Je risque pas d'en parler � qui que ce soit, ai-je dit.
- Ouais, tu serais trop d��u de devoir te passer de ma bite !

Et le pire, c'est qu'il avait enti�rement raison.

Alex

La suite ici

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