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ROUTIER

L'histoire n'a de point commun avec les routiers qu'un camion.

Je menais une mission pour une ONG. J'avais rendez-vous, en pleine guerre, avec un groupe de volontaires pour mener � bien une mission de rapatriement d'enfants bless�s vers la France. Lorsque j'ai d�barqu� de l'h�licopt�re, il faisait un froid atroce. La neige se m�langeait � la boue gel�e en un cloaque indescriptible sur fond de b�timents d�vast�s. Une ambulance de marque russe, un genre de camion tout-terrain d'un mod�le d�pass�, �tait gar�e non loin son chauffeur m'attendait non loin, engonc� dans une parka kaki et un bonnet enfonc� jusqu'aux yeux, le bas du visage recouvert d'une �charpe.
Il me fit signe de me d�p�cher de monter dans l'engin en vitesse car on entendait des tirs d'armes automatiques et canons non loin. Je chargeais mes sacs en vrac derri�re et grimpais dans le v�hicule.
Il faisait aussi froid dans l'ambulance que dehors. Le chauffeur se pr�senta d'une voix grave avec un l�ger accent et me serra la main sans sortir sa moufle puis il d�marra en trombes.
Ivo ( Ce n'est pas son vrai pr�nom ) �tait un italien, d'origine juive, je l'ai d�couvert plus tard.
Je ne voyais que son regard brun fonc� concentr� sur la route pleine d'orni�res et de trous d'obus. Il ne parlait pas, il faut dire que la situation �tait particuli�rement tendue.
Une heure plus tard, apr�s avoir pris en charge l'enfant, dans un sale �tat, je remontais dans l'h�licopt�re. Ivo m'annon�a alors qu'un deuxi�me voyage serait -n�cessaire.
-Tu es volontaire ?
-Combien d'enfants ?
-Encore 6. Nous quittons cet endroit apr�s �a.
-Ok
-Merci pour eux.

Je fis la rotation entre le front et le pays voisin o� m'attendait l'�quipe qui am�nerait les m�mes vers la France en avion. Puis nouveau vol vers le front. Ivo �tait l�, les enfants aussi dans des jeeps et l'ambulance.
Il y avait aussi deux infirmi�res allemandes et du mat�riel de soins.
Nous avons tout entass� et avons d�coll� au milieu des rafales de mitraillettes. J'avais peur.
Le vol f�t long et silencieux, nous ne faisions que nous occuper des petits bless�s.
Arriv� � K. les enfants pris en charge dans le Falcon, nous avons pris la route de l'h�tel qui nous attendait.
Je d�couvrais alors Ivo, la quarantaine sportive, le cr�ne d�garni avec sa barbe de 4 jours qui lui mangeait son visage mat et typ�. Je remarquais ses mains larges et poilues.
A la r�ception, nous avons d�couvert que nous allions faire chambre commune. Nous �tions sales, j'�tais parti depuis 5 jours et sans possibilit�s de me laver, ni le temps d'ailleurs.
Ivo me dit : Il y a un hammam ici, nous devrions y aller pour nous laver et nous d�tendre avec un bon massage, nous l'avons m�rit�, non ? "
J'acquies�ais.
Nous avons pos� nos affaires dans la chambre au grand lit, pris nos peignoirs et sommes descendus au sauna. Chacun de notre c�t�, nous avons commenc� par un d�crassage complet puis nous nous sommes retrouv�s dans l'antre du barbier assis sur un vieux fauteuil en moleskine rouge. L'homme de l'art officiait avec un coupe-chou. Il laissa un bouc bien taill� � Ivo et me f�t les joues lisses comme des fesses de b�b�. Il nous abandonna la t�te sous des serviettes chaudes ce qui nous permit de discuter, enfin, un peu, entre autres de notre mission men�e � bien. Nous nous sentions pr�ts pour le hammam. Je voyais enfin le vrai visage d'Ivo, le cr�ne ras� de pr�s, il me sourit naturellement d�couvrant des dents blanches qui tranchaient avec sa peau mate. Ses yeux marrons fonc�s �taient p�tillants de malice et contrastaient avec sa figure virile. Par l'�chancrure du peignoir je pouvais voir un torse large abondement recouvert d'un pelage noir et dru. Cet homme �tait une bombe sexuelle.!
;Je le suivais dans les couloirs et je matais ses formes recouvertes du peignoir serr�. Des �paules larges et un cul bomb� qui balan�ait doucement � chaque pas.
Le masseur �tait parti, sa journ�e termin�e mais l'�tuve �tait encore ouverte. "Prends une serviette, ici pas de nudit� " Dans ma cabine, je m'entourais d'un drap blanc en �ponge et gagnait le bain de vapeur. La pi�ce �tait vide. Les bancs �taient fait de carrelage blanc tout comme les murs. Ivo entra avec une fine petite serviette autour des hanches qui ne cachait que l'essentiel mais laissait voir un corps solide recouvert d'un pelage d'un noir profond qui remontait sur les �paules et redescendait jusqu'o� sous le tissu qui lui moulait les fesses. Les jambes �taient larges et poilues. La poitrine, noire de poils, montrait le sportif et son ventre �tait plat, recouvert de la m�me toison qui s'enroulait autour du nombril. Ce mec �tait la virilit� m�me.
;Il s'assit en face de moi en �cartant les jambes. La serviette s'�carta, recouvrant son sexe in extremis. Il soupira et ferma les yeux, la t�te appuy�e contre le mur, en se frottant le torse. Ses t�tons bruns �taient larges et pointaient. Nous avons encore discut�. La vapeur et la sueur mouillaient le tissu le faisant mouler le sexe d'Ivo. Je sentais poindre une �rection devant ce spectacle. L'�toffe devenait de plus en plus transparente laissant voir le noir de sa toison pubienne et son sexe fonc� et de belle taille. Je me tortillais sur place en essayant de penser et de voir autre chose mais � part le carrelage blanc ou Ivo il n'y avait rien d'autre. Je fermais les yeux. J'�tais g�n� car je bandais franchement maintenant. Il bougea un peu et la serviette remonta assez pour faire appara�tre un gland rose fonc�. Je n'en pouvais plus. Il ne me paraissait pas gay et je n'avais pas envie de m'attirer des ennuis dans le cadre de mon travail.
Je me lavais brusquement en annon�ant mon intention de repartir me doucher.
Ivo me rattrapa.
- Tu ne veux pas un massage ?
-Le masseur est parti, non ?
-Tu as l'air tendu et fatigu�, je te le fais si tu veux.
-Non merci, ne te donnes pas cette peine.
-Si, tu verras, �a va te faire du bien, je suis kin� dans la vie et pas qu'ambulancier.
L�, c'�tait s�r, je courrais � la catastrophe ! Je ne pourrais pas faire autrement que de bander avec ces mains larges sur moi.
Viens, j'ai mes habitudes ici, je sais o� est la salle de massages et les produits.
Il m'entra�na dans une pi�ce qu'il ferma derri�re nous. Il y avait juste un lit haut en ska� et une table avec de grands draps propres et une armoire vitr�e avec des flacons divers. Il �tala un drap et m'invita � m'allonger. Je me couchais sur le ventre avec ma serviette autour des hanches. Il pr�t un flacon et s'enduisit les mains. Il commen�a par me masser les �paules, puis le dos avec une douce fermet�. Je sentais mes muscles se d�nouer les uns apr�s les autres et mon �rection se calmer. Ivo attaquait les reins et ses mains butaient sur le bord de ma serviette. Il en d�fit le noud et m'invita � me soulever l�g�rement pour la d�gager. Il la posa juste sur mon cul et reprit son massage en descendant de plus en plus bas jusqu'� me masser le haut des fessiers en poussant le tissu, puis il s'occupa de mes jambes en remontant. J'�tais de plus en plus relax�, toutes mes tensions nerveuses s'�vanouissaient les unes apr�s les autres. Ses mains malaxaient mes cuisses et il remonta!
ient de plus en plus en plus haut � chaque passage, je finis par sentir ses doigts sur mon scrotum et le bas de ma raie. Deux ou trois l�gers contacts avec mes couilles suffirent � me refaire bander. Puis le contact me sembla plus insistant au fur et � mesure. Il remit de l'huile sur ses mains pour la cinq ou sixi�me fois. Il sortit carr�ment la serviette et faisait remonter ses mains directement des cuisses sur les reins en n'�vitant pas mon derri�re. Une de ses mains suffisait � prendre une fesse compl�tement. Je bandais comme un cerf. Je sentais la mouille sur les poils de mon ventre.

-Tu veux te tourner que je fasse l'autre face des jambes ?
-Ho �a va suffire, tu dois en avoir assez, non ?
-Non, tu as un beau corps tr�s agr�able � masser.
La phrase f�t "tilt " dans mon esprit. Je relevais la t�te. Il �tait debout souriant gentiment avec une formidable �rection qui soulevait sa serviette et d�voilait un sexe circoncis et ras� aux couilles lourdes. Un vrai taureau.
-Peut-�tre veux-tu que je continue � masser ton joli cul ?
-Peut-�tre veux-tu changer d'activit� et que je te masse ?
-Excellente id�e.
Je me levais et d�couvrais mon �rection sans honte aucune.
Il se coucha sur la table en se d�barrassant de sa serviette. Alors que je prenais le flacon d'huile, je sentis sa main qui s'emparait de ma queue puis sa langue l�cher la mouille qui en suintait et sa bouche l'engloutir plusieurs fois. Il rel�cha son �treinte avec un sourire gourmand. "D�licieux " F�t-il.
Je commen�ais le massage, asseyant de reproduire sa technique. Son dos musculeux et ses �paules, ses bras, ses reins �taient duveteux. Je retardais le moment de toucher � son cul bomb� et � la raie noire de poils. Je finis par masser ses jambes qu'il �carta. Quand je touchais son cul, enfin, il se cambra bombant encore plus ses fesses, fermes comme un ballon de football, d�gageant encore plus la vue sur son intimit�. J'�cartais ses fesses pour d�couvrir son trou rose fonc�, presque marron. Il sentait l'homme. J'y posais la bouche puis, je commen�ais � l�cher les poils autour de la rosette avant de titiller le trou et d'y faire rentrer la langue. Il se tortilla et soupira d'aises. Je continuais, allant de plus en plus profond�ment. Ivo grognait de plaisir.
Il se retourna pour me pr�senter son sexe d'o� s'�coulait un liquide transparent en longs filaments qui rejoignaient son ventre. J'entrepris de nettoyer tout �a en insistant autour du nombril ensuite remontais sur la hampe de 20 bons centim�tres, large et veineuse, avant de l'engouffrer d'un coup dans ma bouche. J'enfon�ais son sexe de plus en plus jusqu'� avoir le nez contre son bas ventre et d�glutissais alors. L'effet f�t imm�diat, je le sentis se contracter et je rel�chais la pression. Je remontais alors en le l�chant jusqu'aux seins pour mordiller ses t�tons. Je sentais ses poils me r�per la langue. Il me prit dans ses bras et me for�a � me coucher sur lui, sexe contre sexe, et m'embrassa. Sa langue rentra dans ma bouche et s'agita dedans ma laissant esp�rer un grand moment lorsque je lui donnerais mon cul � bouffer plus tard. " Montons dans la chambre " d�t-il. J'�tais d'accord, cet ap�ritif devait se poursuivre par un festin dans un lieu plus confortable.
Dans le couloir, Ivo m'avoua ne pas avoir bais� depuis des semaines et que je l'excitais beaucoup. Il avait remarqu� mon �rection dans le sauna et avait tout fait pour l'entretenir. Il aimait les blonds poilus comme moi.
Dans la chambre, � peine sortis les peignoirs, nous nous sommes embrass� avec force. Nous avons commenc� le jeu �rotique habituel des caresses et de l'exploration du corps de l'autre. Les choses s�rieuses commenc�rent par un 69, couch�s sur le c�t�. Il prit mon sexe par la racine avec les couilles et me su�a avec une certaine rudesse, jouant avec mes bourses puis il les rel�cha, alors que je le su�ais toujours, et �carta mes fesses pour enfourner sa langue directement dans mon trou. Il tirait sur les muscles pour se faire le passage le plus ouvert possible. Je sentais sa salive qui d�goulinait et son bouc qui me r�pait la peau. Il souffla sur mon orifice qui �tait maintenant bien ouvert, provoquant une sensation de frais. Il se d�gagea et me coucha sur le dos pour me pr�senter son cul afin que je le travaille comme dans le hammam. Il �carta ses fesses au maximum et les posa sur mon visage. Je n'avais qu'a tirer la langue pour le p�n�trer avec. Les poils de sa raie me chatoui!
llaient agr�ablement le nez. Je voyais en gros plan le buisson pileux qui se trouvait au bas des reins o� s'�cartent les fesses.
Lui avait recommenc� � me sucer goul�ment. Il avalait ma mouille en aga�ant mon gland qui recommen�ait � en produire de plus belle. Il arr�ta son travail pour dire qu'il en aimait l saveur. Son cul �tait bien dilat� et tremp� de salive maintenant. Il prit � nouveau l'initiative et se retourna et pr�senta ma queue d�goulinante de bave contre son trou en s'accroupissant. Puis il s'assit d'un coup, ma bite p�n�tra toute seule. Il �carta au maximum les fesses pour se faire p�n�trer le plus loin possible, puis il commen�a a faire des allers et retours en flexion sur ses jambes et en contractant l'anus pour mieux serrer ma queue. C'�tait grandiose de voir ce m�le poilu et muscl� empal� sur mon ventre. Sans d�culer, il se m�t � genoux pour venir m'embrasser tout en bougeant son bassin pour faire bouger ma teub en lui. J'en profitais pour lui pincer les seins et caresser son dos poilu. Il humecta de salive ses doigts et glissa sa main entre mes cuisses pour se frayer un passage vers!
;mon cul. Je sentis ses doigts qui t�taient mon trou puis doucement l'�carter pour y entrer. Il les glissa dedans et travailla mon anus jusqu'� ce qu'un doigt toucha ma prostate provoquant une d�charge �lectrique dans ma t�te. Je criais.
J'�tais pr�t � jouir. Il se retira de moi.
Assieds-toi au bord du lit, je veux que tu me jouisses sur la gueule, je veux �tre une vraie salope.
Accroupi devant moi, il inspecta mon sexe qui, quelques secondes auparavant, lui labourait le cul. Satisfait de son inspection il l'avala presque enti�rement d'un coup. Tout en se branlant, il me su�ait aussi fort qu'il le pouvait. Sa main gauche retrouva mon cul et ses doigts me re-p�n�tr�rent pour encore une fois me provoquer une nouvelle d�charge de plaisir. Je sentais la jouissance monter. Il se m�t � me branler fr�n�tiquement " Allez, viens sur ma gueule de salope, craches moi ton foutre " Je finis par exploser. Mon sperme jaillit sur sa barbe et son menton, il ouvrit la bouche pour l'attraper au vol. " C'est bon, t'avais les couilles bien pleines "De longs filaments blancs lui couvraient le visage et collaient son bouc et ses joues. Il se releva et me pr�senta son sexe. Je le pris en bouche et je le su�ais tout en lui triturant les couilles. Elles devinrent dures, signal que j'allais recevoir une gicl�e de sperme dans la gorge. Je m'enfon�ais aussi loin que possible e!
t je sentis son sexe gonfler sous le passage du premier jet de sperme. Il m'inonda la bouche, je sentais le trop plein se d�verser sur mon menton et tomber sur ma poitrine. Il n'en finissait pas de cracher le contenu de semaines d'abstinence en un jus �pais et savoureux. Il se retira avec un soubresaut, je conservais le foutre en bouche un instant avec l'intention de le cracher dans une serviette quand il se positionna sous moi en ouvrant la bouche. Je compris de suite et je laissais tomber son sperme qu'il avala avec un grand sourire.
-Putain que �a fait du bien de baiser apr�s ces jours derniers.
-Je suis s�r que tu ne pensais pas que j'�tais aussi accro � la queue.
-Ouais, je te croyais h�t�ro pur sang.
-Alors que je suis homo pur jus.
-Et m�me un sacr� bon coup
-Une vraie salope, t'as aim� ?
-Oui.
-On bouffe et on remet �a, et cette fois c'est moi qui te baise.
-Ok.
Il commanda un repas � faire monter dans la chambre. Puis alla se doucher, laissant la porte ouverte. Je le regardais en d�tail. Grand, environ 1m85, la peau mate. Le corps musculeux. Son syst�me pileux �tait particulier, il recouvrait presque compl�tement son corps, avec des endroits o� les poils �taient fins comme sur les �paules et d'autres plus �pais comme sur le pubis ou la poitrine. Son dos �tait recouvert d'un genre de duvet qui courait, en s'orientant vers le bas et la colonne vert�brale de la nuque au cul. Ses fesses �taient splendides, hautes et fermes recouvertes de poils fins qui devenaient plus �pais en s'enfon�ant entre elles et faisaient un buisson au sommet de la raie. Ses jambes �taient �paisses et fortes. M�me vides, ses couilles �taient �normes. Il avait un vrai visage de mec avec un nez busqu� et une peau burin�e. Ses yeux, brun fonc�, velout�s �taient mobiles et semblaient scruter en permanence son entourage. Sa large bouche aux l�vres �paisses �tait sen!
suelle au possible.

On frappa � la porte, c'�tait le repas command�. Je me glissais sous les draps ne laissant voir que mes yeux et je criais d'entrer. Le gar�on d'�tage poussa le chariot � l'int�rieur. Il jeta un coup d'oil sur la salle de bains o� Ivo se s�chait. Il rougit l�g�rement puis f�t demi-tour.
Je voulais me laver mais Ivo ne demanda de rester comme j'�tais arguant que j'�tais tr�s sexe ainsi avec les traces de spermes s�ch�s.
Nous avons mang� rapidement des plats ordinaires et fades, mais nous avions faim apr�s notre partie de baise.
Puis Ivo glissa directement sur ma queue et la pr�t dans sa bouche. Je bandais vite et me sentir grossir sur sa langue �tait tr�s �rotique. Il glissa entre mes fesses qu'il �carta pour mieux acc�der � mon trou qu'il perfora avec sa langue. Son bouc m'irritait ma sa langue �tait du velours lorsqu'il l'�talait sur l'anus avant de la raidir pour y entrer en tournant. Sa technique �tait implacable et je mouillais comme une chatte. Je n'en pouvais plus, il me fallait du plus consistant dans mon cul, je me retournais pour me mettre � genoux, cambr� au maximum pour faire ressortir mon cul offert. Il me pr�t par les hanches et posa sa teub sur le trou. Il cracha et je sentis la salive tomber juste sur son gland et mon trou, puis il enfon�a d'un coup son sexe.
La brutalit� de son geste me f�t horriblement mal et je hurlais. Il continuait � pousser sa queue en moi, aussi profond qu'il le pouvait. " Alors, petite pute, t'aimes �a avoir un mec dans le fion, hein? " Je ne pouvais pas r�pondre. J'�tais trop concentr� sur mon cul que je sentais s'ouvrir et se d�tendre. Il commen�a ses va et vient doucement et la douleur se transforma vite en plaisir. Je le sentais aller de plus en plus loin, �cartant mes fesses au maximum pour ne pas perdre un centim�tre de p�n�tration. Il acc�l�rait de plus en plus et ses mouvements devenaient si forts que je me cognais la t�te sur le mur ne pouvant r�sister � ses coups de reins. Il m'insultait des noms les plus avilissants, me traitant comme une roulure.
Il d�cula et me retourna. Il leva mes jambes par-dessus ses �paules et me p�n�tra � nouveau avec ma m�me force. Je mouillais comme une femme et �a s'�coulait le long de mes cuisses. Puis il changea encore de position et se coucha sur le dos pour que je vienne m'empaler sur lui. Le prendre en moi �tait facile tellement j'avais le cul dilat� et tremp�. Il donnait des coups de reins qui me soulevaient pour me laisser retomber sur lui. J'�tais perdu dans un monde de plaisirs, ma prostate irrit�e m'envoyait des signaux de jouissances r�p�t�s, j'entendais quelqu'un crier et je r�alisais que c'�tait moi. Ivo commen�a � me branler fr�n�tiquement, chacun attendant l'orgasme de l'autre pour jouir � son tour. Je sentis soudain son spasme et son sperme qui inondait mon cul. Je crachais � mon tour, expulsant un jet qui l'atteignit en plein visage. " Oui, viens salope, donnes moi ton foutre, il ouvrait grand la bouche et tirait la langue pour en r�colter un maximum. Je retombais sur le c�t�, �puis�. Il avait de la cr�me blanche sur le torse et le ventre. Il le r�colta du bout des doigts pour le porter � sa bouche. Il d�gusta et dit qu'il adorait le foutre et que le mien avait bon go�t. Puis il me retourna et plongea sa langue dans mon cul b�ant pour d�guster le sien. Je le sentais l'aspirer et sa langue me procura une nouvelle d�charge de plaisir anal. Il v�nt m'embrasser, je d�gustais sa langue charg�e de jus m�lang�s.
Je n'avais jamais pris un tel pied. Je ne pouvais pas dire si c'�tait la puissance de la baise ou le fait de me faire traiter de tous les noms en m�me temps que je me faisais tirer.
-J'ai un ami dans la ville qui te plairait et je suis s�r qu'il te baiserait et que tu adorerais �a .
-Il est comment ?
-Tu as l'air d'aimer les m�les, tu serais combl�
-Et toi, tu ferais quoi ?
-Je regarderais ou je participerais, je ne sais pas, c'est au feeling.
-Je repars demain matin.
-T'es ok pour ce soir ?
-Une douche et je repars au combat
Non pas de douche, reste en salope, il va adorer passer apr�s moi, je le connais bien. Je lui t�l�phone de suite.
Il f�t un num�ro et parla en russe. La conversation f�t br�ve et il raccrocha le sourire aux l�vres. " Il arrive, pr�pares toi � te faire d�foncer "
Je flippais un peu tout en �tant excit� au possible. Mon cul r�clamait encore sa ration de queue, je virais nymphomane avec ce mec !
Nous attendions donc un certain Vlad. Je fumais cigarettes sur cigarettes pour calmer mon anxi�t�. J'�tais nerveux. 1 heure plus tard, le t�l�phone sonnait. C'�tait Vlad qui �tait � la r�ception. Ivo r�pondit par l'affirmative a deux ou trois questions, il raccrocha.
Vlad est en bas, il arrive, il veut que tu es les yeux band�s.
Hein ? Pourquoi ?
J'ai dit d'accord, �a va pimenter le jeu, non ?
Je trouvais le jeu assez piment� comme �a mais Ivo pr�t une serviette et me la noua autour de la t�te. Je ne voyais plus rien. Il me fit lever et me tenir debout dans la chambre.
On frappa � la porte et on entra.
Ivo salua l'arrivant, ils �chang�rent quelques mots que je ne comprenais pas. Je me demandais pourquoi je me laissais faire. Vlad parlait avec une voix de baryton, elle me semblait venir de plus haut que moi. Puis j'ai senti une main ferme me prendre le bras et me faire tourner sur moi-m�me. Des mains m'exploraient sans douceur. Vlad commentait la marchandise : moi.
Il pr�t mes fesses � pleines mains pour les �carter et Ivo me demanda de me pencher un peu en avant. J'ob�is. Un doigt fouilla mon anus et s'en retira.
Ils me prirent par-dessous les bras et me couch�rent sur le lit.
Au bruit, je compris que Vlad se d�shabillait. Ils riaient et discutaient. Puis apr�s un instant de silence, un bruit de succion et des grognements me firent comprendre qu'Ivo mettait en forme Vlad.
L'Italien vint s'asseoir sur moi et posa son cul sur mon visage. Je pouvais � peine respirer mais je n'avais qu'� tirer la langue pour go�ter son anus. Les poils de sa raie me chatouillaient le nez et remplissaient ma bouche quand je l'ouvrais. Puis il pr�t mes jambes dans ses bras et les immobilisa en une clef de catcheur. Vlad s'empara de mes bras soudainement, je tentais de r�sister mais sa force �tait sup�rieure � la mienne et je sentis qu'il passait des menottes autour de mes poignets pour les attacher � la t�te de lit. Mon cour battait � tout rompre, j'avais peur et je ne pouvais pas me d�battre. J'avais les bras li�s, les jambes relev�es pour �carter mon cul et prises dans l'�tau des bras d'Ivo. Mes cris �taient �touff�s par le cul d'Ivo qui pesait lourdement sur ma figure. J'avais tr�s peur.
Un nouveau bruit de succion et quelques grognements de Vlad.
Le Russe bougea.
Je sentis quelque chose de froid, m�tallique contre mon anus. J'�tais terrifi�, certain qu'ils voulaient me torturer ou pire.
Une douleur atroce me vrilla le ventre.
Vlad venait de me p�n�trer d'un coup. Son sexe devait �tre �norme et je r�alisais qu'il avait un prince Albert, d'o� le froid du m�tal ressenti.
Il me pilonnait comme un d�ment sous les encouragements d'Ivo.
Plus je criais, plus Ivo pesait sur ma face.
J'avais le cul en feu.
Vlad se retira et je sentis qu'on me graissait le cul sans m�nagements.
Il me repr�t. Ivo ne rel�chait pas sa clef, j'avais mal au cul et aux jambes.
D'un coup, j'ai eu une fulgurance. Une d�charge �lectrique qui remontait de mon cul directement dans mon cerveau. Puis une autre. Je n'avais plus de douleurs, juste des vagues de jouissances qui allaient et venaient au rythme du baiseur dans mon cul. Je hurlais mais de bonheur. Ivo me demanda si la petite pute �tait combl�e. Il se souleva pour me laisser r�pondre. Je prenais une bouff�e d'air. Ivo en profita pour glisser sa queue dans ma bouche jusqu'au fond de ma gorge. Il �tait excit�, s�rement par le spectacle du Russe me d�fon�ant, et mouillait beaucoup. J'avalais, ne pouvant rien faire d'autre, Vlad me d�molissait compl�tement le fion. J'avais l'impression d'�tre totalement �cartel�.
Il me baisait depuis, il me semblait des heures, quand l'enculeur se retira et poussa une exclamation de col�re.
Ivo semblait s'excuser quand il pr�t une �norme gifle qui le f�t chavirer. En tombant, il f�t glisser mon bandeau des yeux et je vis mon bourreau.
C'�tait un g�ant d'au moins deux m�tres, construit comme un tank, tout en muscle et en poils blonds, le cr�ne ras� mais avec une barbe courte tirant sur le roux. Un colosse. Il tenait son sexe qui devait faire dans les 30 centim�tres, transperc� par un prince Albert �norme. Je compris pourquoi j'avais ressenti une telle douleur. Il avait de ma merde sur le gland et visiblement �a le contrariait beaucoup.
Ivo se releva en se frottant la joue.
Il semblait s'excusait quand Vlad empoigna sa nuque et le for�a � se baisser puis il lui enfon�a son sexe sale directement dans la bouche en donnant un ordre bref. Ivo s'ex�cuta.
Le Russe lui d�montait la gueule � grands coups de queue. Ivo me remit sa teub dans la bouche. Le g�ant commen�a � rugir litt�ralement. Il bloqua la t�te d'Ivo sur son sexe qui re�u le foutre directement dans la gorge. Il ne tarda pas � venir lui aussi ce qui me f�t jouir aussit�t.
Vlad donna un ordre bref. Ivo de suite me l�cha le ventre pour nettoyer mon sperme qui coulait.
Vlad le complimenta comme on flatte un chien.
J'�tais vid�. Je venais d'avoir deux jouissances formidables de mani�res nouvelles pour moi.
Vlad me d�tacha et m'embrassa avec une surprenante douceur. Il me caressait le torse en jouant avec mes poils et mes t�tons. Je regardais son �norme queue qui pendait entre ses jambes avec le bijou en m�tal.
Les deux hommes s'allong�rent de chaque c�t� du lit. J'�tais face � Vlad qui �carta mes fesses pour glisser son majeur en moi, Ivo vint se coller dans mon dos et passa sa main pour attraper mon sexe. Je sentais ses poils contre moi et j'avais le nez dans la toison de Vlad, humant son odeur de mec. Je me trouvais minuscule entre eux malgr� mon m�tre 80 et mes 90 kilos.
Je savais que je venais de m'adonner � une s�ance de domination, presque un viol, mais j'avais ador� me faire baiser par Vlad, sentir sa puissance me fouiller le ventre, me faire utiliser par eux et surtout par le russe. J'ai fini par sombrer dans un sommeil comateux.

Quand je me suis r�veill�, Ivo se lavait. Vlad �tait parti. Un plateau sur la table portait le petit d�jeuner. L'odeur du caf� me tira du lit. J'avais mal partout. Je me regardais dans la glace de l'armoire. J'avais des traces blanches sur le ventre et autour de la bouche. Je tentais de voir mon cul en me tordant devant le miroir. Il baillait encore et �tait rouge, j'avais les poils coll�s.
Ivo me salua et me soupesa les couilles sans plus de fa�ons. " Je suis s�r qu'elles sont regarnies, je vais prendre mon petit d�jeuner "
Il s'agenouilla et me su�a aussit�t.
Mal r�veill� et fatigu�, je ne tardais � cracher mon jus qu'Ivo avala gloutonnement.
Il se branla et me for�a � m'asseoir pour me jouir sur la bouche. Il l�cha mon visage pour le nettoyer de son propre foutre et alla boire un caf� en suivant.
J'en pris un et alla me doucher. Je restais longtemps sous l'eau chaude qui me lava, enfin, de toutes les traces de sexe de la nuit.
Mon avion �tait dans 3 heures et je bouclais mes valises.
V�nt le moment de se quitter. Nous avons �chang� nos coordonn�es, nous promettant de nous voir si l'un de nous passait dans la ville de l'autre.
Dans le taxi qui m'amenait � l'a�roport, je songeais � Vlad, � l'exp�rience v�cue cette nuit, � Ivo.
Je n'�tais plus le m�me.

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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