Cyrillo

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Jouissance anale 1

Je l'ai tout de suite remarqu�. Mon oeil est imm�diatement attir� par ce genre de type. Ca sent le m�le et la bite si vous voyez ce que je veux dire. Je ne peux pas r�sister. Y'a quelque chose dans mon ventre et mes intestins qui se noue, se serre. Qui appelle � la d�livrance. Ca fourmille. Je suis accroc et mon corps en a besoin comme d'autres ont besoin de leur dose de crack. Mon bas-ventre fr�mit. Mon anus palpite. Je suis pris.

Il �tait assis sur le strapontin en face de moi dans le m�tro. Je l'ai regard�. 40 ans environ, de type Maghr�bin, viril, mal ras�, cheveux courts, un torse bien d�velopp� certainement m�me si sa djellaba m'emp�chait de bien deviner ses formes. Les jambes nues, poilues, des pieds de mec gliss�s dans des sandales, des pieds de vrai mec, pas tr�s propres, grands, poilus, muscl�s. Je n'en pouvais plus de mater ses pieds, je crois que je n'avais jamais vus des pieds aussi virils. Ils me donnaient de ces id�es... je me suis mis a regarder les miens. Deux fois plus gros que les miens ses pieds. Ca me bottait, m'excitait. J'ai remont� la t�te et crois� son regard. Aie ! Pas l'air trop commode le mec ! Comment faire pour l'aborder, lui faire comprendre mes envies sans qu'il s'�nerve ? Je me suis senti rougir. J'ai baiss� la t�te � nouveau, regard� par la fen�tre. Une minute, deux minutes. Mais je n'en pouvais plus. Et l'alcool bu chez mes amis me donnait quelque audace. Je l'ai regard� � nouveau. Aie ! Il m'excitait ce salopard. Mon cul palpitait en imaginant ses coups de boutoir. J'ai rougi � nouveau et mon regard a descendu au niveau de sa taille. Je ne pouvais rien deviner de sa queue avec cette foutue djellaba. Ah le con ! Je ne pouvais rien deviner mais mon imaginait s'emballait � cent � l'heure. J'avais d�j� tout un sc�nario o� il me pistonnait � fond la caisse, moi � quatre pattes, dans la cour d'un immeuble d�sert � cette heure-ci (une heure du mat). Ne pouvant retenir mes cris de jouissance anale, deux lascars qui passaient dans le coin s'approch�rent... merde il descend. Sans vraiment r�fl�chir je le suis. Finalement �a tombait bien, c'�tait aussi ma station de m�tro. Une fois dehors, il a tourn� dans la premi�re rue � droite s'est retourn� comme pour s'assurer de ma pr�sence derri�re et s'est mis � courir. Merde ! J'ai acc�l�r� mais dans le noir je l'ai vite perdu de vue. Merde, merde, merde. Pourquoi il s'est enfui ce con. Il m'a vu, il a compris. Merde merde, merde.

J'ai continu� a avanc� dans la petite rue sombre, me suis arr�t� pour allumer une clope esp�rant ainsi qu'il allait resurgir ou comprendre que je ne savais plus o� il �tait mais rien, rien, je l'avais simplement perdu de vue.

J'ai alors repris la route en direction de chez moi, d��u mais toujours excit�. Il m'avait sacr�ment �moustill� le salopard. Il faudrait que je me soulage en arrivant. Je suis � un point de non retour. Heureusement que chez moi je poss�de quelques gode de diff�rentes tailles. Ma queue reprend du volume � l'id�e des perforations que je vais m'infliger ce soir. Tant pis, ce soir je me fais reluire avec le plus gros gode que j'ai ! Je sais demain j'aurais mal au cul, au dos, au bras � force de m'astiquer l'oignon ce nuit mais il faut que je me soulage et plut�t deux fois qu'une ! J'ai mon anus qui palpite de toutes ces id�es de salope. Je n'en peux plus, je presse le pas pour me mettre � l'ouvrage le plus rapidement possible.

J'arrive devant chez moi, compose le code et voit tout � coup � quelques m�tres de moi la silhouette d'un mec, le rouge de sa clope qui brille dans le noir, son souffle pour �vacuer la fum�e de cigarette. Il a du souffle et du coffre le lascar Je ne vois pas sa gueule mais il est en djellaba. Putain ! J'en ai le souffle coup�. J'ouvre en grand la porte du porche. Il aura le temps de rentrer � l'int�rieur avant qu'elle ne se referme s'il est int�ress�. Bingo. Je l'entends qui se faufile doucement derri�re moi. Elle se referme juste derri�re son passage. J'ouvre la deuxi�me porte, celle de mon immeuble et agit de m�me. Il me suit. Je monte au premier par les escaliers. Je sans ses yeux per�ant sue mon cul, mon trou de balle se dilate et commence d�j� mouiller. J'ouvre la porte de mon appart mais je n'ose pas allumer la lumi�re. J'entends la porte qui claque derri�re lui. Merde fait gaffe aux voisins que je lui dis, ce sont en fait les premiers mots que nous �changeons. Il dit rien, avance dans la pi�ce.

- T'as pas une bi�re ?
- Si si bien s�r. Je suis oblig� de m'approcher pr�s de lui pour passer dans la cuisine. Il sent la sueur et la clope. Il est baraqu�, puissant, �nigmatique. " Pardon " que je dis mais il ne se pousse pas pour autant. Je le fr�le. Je tremble.

- Alors comme �a tu veux de la queue qu'il me lance en me poignardant de son regard m�prisant et sup�rieur

Je ne sais pas trop pourquoi mais maintenant il me fait peur. Qu'est-ce qu'il fout l� ce type ? Qu'est ce qu'il veut lui ? Qu'est-ce qu'il pense ? Pourquoi s'est-il cach� alors que je le suivais au d�part ? C'est quoi son jeu ? Son trip ?

Je r�cup�re deux bi�res � la cuisine et revient dans le salon. Il n'a pas boug� d'un iota. Je suis oblig� de dire pardon une nouvelle fois. Il me met la main au cul.

- Tu mouilles ch�rie ?

Sa voix et son vocabulaire m'excitent. Comment l'a-t-il si vite compris ? Mais en m�me temps je me sens nerveux. Je ne sais toujours pas ce qu'il veut. Et comment le savoir maintenant ? Ca me semble un peu tard pour lui poser la question !

Il me regarde sans rien dire. Je n'ose plus dire ou faire quoi que ce soit. Il avale sa bi�re en deux minutes. Pendant ce temps, j'ai juste mis un peu de musique histoire de faire quelque chose. Il n'arr�tait pas de me suivre du regard. J'avais l'impression d'�tre petit, ridicule, nu comme un ver face � lui, ses yeux, sa force qu'il d�gageait, son souffle.

- Approche.

Il a enlev� d'un seul coup sa djellaba et son tee-shirt. Lui restait ses sandales et son slibard. Bon sang la bosse. La queue et les burnes qu'il devait avoir. J'en ai fr�mi de peur ou de joie. Je n'arrivais plus � faire le clair dans mes sentiments et dans ma t�te. J'ai avanc� timidement les yeux riv�s sur son slip. J'ai tendu le bras pour caresser sa bosse plus que prometteuse. Mon cul recommen�ait � palpiter. Il m'a repouss� violement la main.

- Pas touche p�d� !

Je ne savais plus quoi faire Mais mes yeux �taient irr�sistiblement attir�s par la forme plus que g�n�reuse de son slip bleu marine. Je salivais et tremblais. Qu'allait-il faire de moi ?

- Je pourrais...
- Ta gueule ! D�sape toi l'arri�re train et va t'allonger sur le ventre sur le pieu. Tu gardes ton tee-shirt, t'as compris petite pute ? J"aime pas les p�d�s. Je veux ton trou et rien d'autre.

Il m'a pris ma bi�re que j'avais � peine entam�e

J'�tais g�n� par son langage cru et sa violence et en m�me temps j'en bavais. Une excitation qui me faisait fr�mir jusqu'au fin fond de mes intestin. Je me suis dirig� vers le lit.
Je commen�ais � enlever une chaussette quand il a gueul�

- Ton trou sale pute et rien d'autre, t'as pas compris !

Je n'ai pas os� moufter. Je me suis retourn� et j'ai enlev� mon jean. Il a siffl� en voyant mon string, la ficelle de mon string parcourir ma raie. Puis il a ri.

- Sacr�e salope ! Et bien c'est parfait comme �a, tu peux t'allonger maintenant. T'inqui�te pas, je vais t'honorer comme il se doit ! Je la renifle d'ici ta chatte en chaleur.

Je me suis allong� g�n� d'�tre trahi dans mes pens�es les plus intimes. Il a fini sa bi�re cul sec. J'ai entendu ses pas s'approcher. J'ai tourn� la t�te pour le regarder dans son slip si excitant.

- Bouge pas ! Et ta gueule sur le coussin. Je ne veux pas la voir ta petite gueule de chienne en manque. Mais t'inqui�te pas ma jolie, tu vas la sentir ma queue !

Il s'est allong� sur moi. Son poids m'a suffoqu�. J'ai senti sa bosse sur mon cul. J'ai gigott� un peu.

- Oui oui �a vient. T'en peux plus t'attendre hein ?

Il s'est soulev� l�g�rement, m'a mass� le cul sans douceur. Je sentais ses mains calleuses parcourir mes rondeurs. Un doigt a soulev� la ficelle de mon string tandis qu'un autre cherchait mon trou. Il n'a eu aucune difficult� � le trouver. Il l'a rentr� d'un seul coup. Oups ! J'ai �t� parcouru d'un long frisson le long de mon �chine.

- T'as besoin qu'on te pr�pare avec de la salive toi hein ?

- J'ai du gel si tu veux ?

- Bah ! Du gel pourquoi faire ?

Je sentais son doigt me fouiller l'int�rieur de fa�on virile. J'ai eu peur � nouveau. S'il en a une grosse comme je l'imagine au vu de son slip, comment je vais me la prendre � sec ? Il va me d�chirer et me faire mal ce petit con. Je ne pourrais plus me faite troncher pendant des semaines � cause de lui !

- Bouge pas, l�, j'ai ce qu'il te faut pour te d�tendre.
Il a baiss� son slip et sorti sa queue. Je ne pouvais pas voir sa taille mais je craignais le pire ! Il a eu quand m�me la bont� de cracher sur mon trou qui r�clamait malgr� moi et ma peur Il s'est empoign� le manche et a pouss� la t�te sur ma rondelle. Heureusement que sa vue m'avait excit� depuis une heure, mon trou avait eu le temps de mouiller. A d�faut de gel, il faudrait que �a suffise. Son gland est rentr�.

Aie ! J'ai mal...

Il a attendu un peu et d'une seule pouss�e s'est compl�tement allong� sur moi sa queue au fond de mon trou. Il a � nouveau attendu quelques secondes puis son bassin � commenc� les grandes manoeuvres.

J'ai eu mal les deux ou trois premi�res minutes puis petit � petit mon trou s'est adapt�. Son souffle de taureau sur ma nuque me faisait frissonner. Son engin me tordait en tout sens. Il savait manoeuvrer les chattes ce con !

Alors qu'est-ce que je te disais ? Tu veux du gel ma poule ? Ma queue glisse comme dans du beurre l� dedans. Je sens que tu mouilles comme une jument ! A moins que ce soit la remont�e du sperme de hier au soir ? T'es du genre � te faire ramoner tous les soirs non ?

Il n'attendait aucune r�ponse de ma part. Son engin coulissait de plus en plus facilement. Je gigotais du fion pour bien la sentir contre mes parais intestines. Le plaisir montait. J'ai commenc� � g�mir.

- J'veux pas t'entendre sale pute !

Ses mouvements se sont fait plus brutaux et plus longs. Je jouissais. Je sentais du sperme s'�coul� de ma bite dans mon string.

- Putain ! J'y crois pas !

Mes r�les traversaient le coussin. Je n'y pouvais rien. C'�tait trop bon. J'adore �tre pris comme �a, sans m�nagement. Il ne comprenait pas le plaisir immense qu'il me donnait mais il l'entendait. Je ne sais pas s'il se rendait compte du sperme qui coulait sous mes couilles. Mes r�les l'ont �nerv�. Ses coups de boutoir se sont fait plus amples, plus rapides. Il sortait enti�rement sa queue, attendait quelques secondes puis la rentrait d'un coup sec. Une fois comme �a, deux, trois fois, dix fois. A la fin je n'en pouvais plus. J'ai gueul� dans le coussin. Comme une chienne en rut j'ai soulev� mon cul pour venir rencontrer sa queue encore plus souvent, plus fort, plus profond. J'ai joui une seconde fois en lui gueulant que j'en voulais encore et encore.

- Putain ! J'y crois pas ! Mais qu'est-ce que t'as au fond du cul ?

Il s'est �cras� sur moi en m'enfon�ant son engin diabolique dans les tr�fonds de mes intestins et en redoublant de violence. Je jouissais de la chatte comme un damn�. C'est alors que je l'ai senti jut� et arros� mes parois intestines. Des frissons me parcourait dans tout le corps je ne pouvais pas retenir mes tremblement. J'ai jut� pour la troisi�me fois dans mon string, sans bander, sans me toucher la pine. Une vraie jouissance anale comme j'en avais jamais connu. Le plaisir supr�me. Je ne savais plus o� j'en �tais. Il s'est retir� brutalement alors que je profitais toujours de la raideur et la rudesse de son membre.

Reste allong� sale pute et bouge pas.

Je baignais toujours dans les vapeurs du bonheur anal et du souvenir tr�s frais des bienfaits d'une queue de m�le tandis qu'il se rhabillait. Il a claqu� la porte avant que je ne dise un mot, par exemple pour lui sugg�rer de repasser chez moi quand il le souhaitait...

Fin.

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