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7 | Les yeux dans l'eau
Ce soir-là je me couche en me disant que j'irai encore mater la bite à Papa dans la nuit comme hier... je commence à me branler en repensant à la journée : mon père qui court en érection sur la plage, nos jeux dans les vagues, ma goutte de sperme sur sa lèvre... mais le sommeil me rattrape avant que je n'aie pu finir.
Lendemain matin
Je suis réveillé par une odeur de café et de pain grillé comme hier. J'ai dormi d'une traite. Mes draps sont plein de sperme. Ça m'arrive souvent la nuit.
Mes poils sont collés par le sperme séché et mon ventre est maculé.
Pas grave, je me lève direct, je sors et je tombe sur le super cul pommé de Papa. - Ça va mon grand ? Bien dormi ?
Petit coup d'œil sur ma bite. Il vient pour m'embrasser comme hier avec son sexe qui balance.
Il m'embrasse mais cette fois il n'a pas le cul en arrière. Il m'embrasse en me posant une main sur la fesse et me plaque doucement contre lui. Nos torses et nos ventres se touchent, nos bites sont plaquées l'une contre l'autre. Il m'embrasse tendrement. Je me dis que j'aurais pu me nettoyer quand même...
- Tu veux du café mon grand ? La journée commence bien.
Je m'assois. Une vraie décontraction s'est installée entre nous. Sa bite sous mon nez est toujours aussi belle. On prend moins de précautions pour s'éviter. Quant il me sert mon café, il écrase son sexe contre mon épaule, sans faire exprès... enfin je crois.
Aujourd'hui le ciel est gris, les nuages sont bas. Mais il fait chaud. - On va quand même à la plage Papa ?
- Oui, t'as d'autres idées ?
- Plein...
- Ok on va à la plage.
Seuls sur le sable. À poil avec Papa. Mais cette fois personne autour, juste quelques promeneurs. Trop bien.
On s'allonge on se regarde on se désire. Il a vraiment un corps magnifique. Tout est beau, ses cuisses fines et poilues, son ventre plat avec sa ligne de poils. Je bande. Je ne me cache pas. Les promeneurs sont loin. Il me mate. Il bande.
- On est bien, hein, Papa ?
- Oui Tintin
- Papa, hier tu as mis ta tête entre mes jambes pour me voir de tout près...
- Oui Quentin je te remercie... vraiment...
- Et toi tu me laisserais faire pareil ?
- Comment ça, pareil ?... tu veux mettre ta tête entre mes cuisses ?!
- Ben oui...
- Non Quentin ! Pas ça non, désolé mais non... Je suis ton père c'est pas possible, enfin...
- Ben t'es pas cool... Ça se fait pas... Pourquoi toi tu l'as fait et moi non ?
- Je vois bien que t'es déçu, mais tu dois comprendre que pour moi c'est extrêmement gênant...
Je sens mes larmes monter, de colère et de déception. Je me retiens de pleurer. Il me regarde tristement. Sa bite est complètement retombée. Ma vue se brouille...
- Bon allez... d'accord vas-y. Dépêche-toi...
Yes ! Trop bien... Les promeneurs sont loin, le risque est faible. Il écarte ses cuisses tout grand. C'est un vrai cadeau, je suis excité comme un gosse. Je m'installe à genoux entre ses jambes et je me penche, le cul en l'air. Je m'approche tout prêt. Ca y est j'y suis. Merci Papa !
Je suis un aigle... Un aigle qui survole un paysage superbe, plein de plis et de replis magnifiques, de fossés et de touffes d'herbe sombre. Je reconnais l'odeur de zob malgré le vent léger qui ondule les hautes herbes noires.
Le pénis de mon père est au repos. Veines dessinées, tour du gland marqué, prépuce refermé mais pas complètement, on voit le bout de son gland qui brille. C'est beau. Ses couilles sont lourdes et basses, suspendues à de longs replis de peau qui m'excitent énormément.
Il ouvre davantage ses jambes.
- Vas-y tu peux toucher si tu veux...
Je pose mes doigts sur ses couilles, ça les fait remonter. J'adore.
- Papa... ça bouge...
Elles sont incroyablement douces. Son zob est en train de grossir par petits acoups, je le prends dans ma main. Il est tout doux et tout chaud. Je sens les battements sanguins dans sa bite.
- Papa je sens ton cœur...
Son zob est devenu très long et très dur. Il bat la pulsation. Son gland est presque complètement sorti... Il me regarde et je ressens son excitation dans ses yeux. Je suis entre ses cuisses et il bande comme un Turc.
- Vas-y mon grand, vas-y...
Je glisse mes doigts sous ses couilles, j'ai un truc à explorer. Son entrejambe est plein de
poils très doux. Je descends par ce chemin herbeux jusqu'à une zone plus dense. J'écarte les broussailles et je découvre alors que le trou noir poilu de mon père cache une vallée secrète, rose lisse et plissée. J'y pose un doigt. Mon père sursaute mais ne dit rien. Il relève ses jambes, renverse sa tête en arrière et pousse un soupir grave et rauque :
- Rrrrrrahhhh !... Putain !... Continue, ne t'arrête pas...
Il s'est mis à se branler. À présent il se secoue et tire sur son zob comme un malade. Ses couilles battent la mesure de façon désordonnée.
- Continue putain continue...
Je sens qu'il va jouir. Alors direct je crache sur sa rondelle et j'y enfile un doigt... entièrement. Et là tout son corps se contracte...
Il crie il hurle il gesticule. Il éjacule.
Avec mon doigt je sens les spasmes de sa jouissance. De longs jets de spermes jaillissent et retombent sur lui. Il est incroyablement beau. Mon père.
Puis il s'affale comme une bête. Il ferme les yeux il respire fort. Son sexe retombe doucement, libérant du rabe de sperme dans ses poils. Je reste pétrifié, fasciné par autant de beauté.
- Tu peux retirer ton doigt maintenant... - Oups désolé
Je suis toujours dans la même position. La tête entre ses jambes et le cul en l'air. Quel spectacle !
Je me redresse je me retourne et je réalise que nous avons un public de curieux qui me mataient le cul par derrière et qui ont largement profité du puissant orgasme paternel.
- Papa on nous regarde... - Arrête tu m'excites...
Et puis finalement le soleil est revenu petit à petit. Nous sommes restés sur le sable toute la journée, les yeux dans l'eau... à nous baigner, à jouer et à rigoler comme des gamins, on a joué avec nos bites et à la bagarre dans le sable comme des sales grosses, on a fait des concours de pisse dans les dunes et aussi on a mesuré nos zizis : pareils !
Et puis on est rentré. On s'est douché, on s'est couché, on s'est touché...
Et puis vint le retour. Depuis ce séjour et depuis mes 18 ans, mon père et moi avons gardé l'habitude de rester nus à la maison, même en présence de ma mère.
- C'était bien "l'habitat papa" cette année, mes chéris ?
- Oui Maman... On a beaucoup joué avec Papa. Il m'a montré plein de trucs et il m'a fait plein de cadeaux incroyables et puis on a joué à la bagarre et on a fait des concours de...
Mais mon père m'arrête.
- Va te coucher mon grand. Si tu veux tu peux rester tout nu je passerai te faire un bisou...
Jam
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