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4| Le pompom boy
Attention ! Changement de narrateur : Moi c'est Louis (et lui c'est Moha) !
Coup de fil à 7h00 du mat !
- Louis, j'ai besoin que tu me rendes un grand service !
C'est Liv.
- Bien sûr, Liv...
Liv est une copine pompom girl. Elle n'a pas le permis. Moi je viens de l'avoir alors je l'accompagne 2 fois par semaine à ses entraînements de pompom, auxquels du coup je participe un peu.
- Louis, je me suis blessée au genou... Je ne pourrai pas assurer l'avant-match d'aujourd'hui !
- ...
- Il nous manque une pompom, il nous faut une personne pour me remplacer, une personne légère... et qui connaisse la choré... du coup j'ai pensé à toi...
- ... comme pompom girl ?!
- Ben... oui...
- Liv, tu n'es pas sérieuse, as-tu remarqué que j'ai un zizi ?... tu sais... entre les jambes ?
- Je sais, Louis, mais... zizi ou pas, c'est ça ou on annule tout...
- Écoute, laisse moi d'abord prendre mon café, on en reparle plus tard.
- Louis... euh... J'ai déjà prévenu les filles... Elles t'attendent pour l'entraînement.
- Quoi ?!
Je raccroche.
Oh putain ! En plus Liv c'est la voltigeuse du groupe, celle que les autres filles propulsent depuis le haut de la pyramide jusqu'à 10 mètres au dessus du sol !! Je ne peux pas la remplacer comme ça...
Je suis tellement perturbé que je sors de ma chambre à poil, sans penser à m'habiller.
Je croise mon père en slip blanc, torse nu, il exhibe ses abdos et se gratte les couilles une main dans le slip, tellement bas que je vois tous ses poils blonds et quasiment toute sa bite !
- Salut Louis ! Bien dormi ? Tu ne t'habilles pas aujourd'hui ?
- Papa, quand tu te grattes les couilles on voit ton zob ! Ça se fait pas.
- Toi aussi on voit ton zob, mon chéri !
- Je t'emmerde, papa !
Mon petit frère passe la tête hors de sa chambre. Il a dû entendre mon père dire que j'étais à poil...
- Salut Louis !
Il me mate, ce petit con.
- Putain mais arrête de mater !...
- Ça te dérange ?
Je lui fais un doigt.
Je prends mon café à poil dans la cuisine. Ce matin, il ne va pas falloir trop me contrarier...
Je me dépêche d'avaler un truc. Je retourne dans ma chambre. Je croise encore mon père en slip.
- Encore à poil, Louis ? tu vas attraper froid à force...
Je lui fais un doigt... ça le fait sourire... Alors il baisse carrément son slip blanc et il sort toute sa grande bite désordonnée...
- Comme ça on est quitte, mon chéri.
Elle est dissymétrique et massive. Elle balance lourdement... C'est quand même très beau.
- Fuck you, Papa...
Je passe devant la chambre de mon frère. Par la porte, il ne fait pas dépasser sa tête mais son gros zizi à moitié décalottée.
- Tiens ! Toi aussi tu veux voir ma bite ?
Énorme zizi rose, petits poils blonds...
Je fais mine de tirer la porte, très vite il retire son gros zizi.
- Pédé !
- Branleur !
Alors il ouvre grand sa porte et mime des mouvements masturbatoires.
- Putain, je t'emmerde... Je vous emmerde tous les deux avec vos grosses bites, là...
Je suis vraiment dans une famille de tarés !
Je mets un short, je sors, j'enjambe mon vélo et je file à la répète.
Avec les filles on a répété la choré pendant plusieurs heures. La première difficulté c'est de grimper sur la pyramide en une demi-seconde. Il faut surtout bien se lancer et bien se positionner, ensuite les filles me saisissent et m'élèvent à la force de leurs bras. Elles ont une énergie incroyable. Après il faut rester en équilibre en pyramide, immobile quelques secondes, c'est plus difficile que ce qu'on ne croit, il ne faut pas déstabiliser les étages inférieurs... Et enfin, le grand saut !
Bon, les filles disent que j'apprends vite...
Mais il y a aussi le problème de la tenue ! Bien sûr, je ne peux pas mettre le sous-tif de Liv alors je vais devoir rester torse nu. Par contre il faut que je mette sa culotte : une petite culotte de fille à paillettes bleue très jolie mais beaucoup trop petite pour mon gros bazar de garçon.
Les filles commentent :
- Je trouve que ça lui va grav bien...
- Non mais nan ! Ça lui va pas du tout !
- Il est petit mais il a un super gros zob...
- J'avoue !
- Mate ça comme ça lui moule trop bien le cul !
- Grave !
- Nan le problème c'est surtout les couilles...
- Ha ha ! C'est vrai on voit trop tes couilles, Louis, j'adore !
- J'avoue...
- Faut qu'il mette un slip, là...
- No way, ça va faire du blanc de chaque côté, de loin on verra que ça ! On va grav affoler tout le stade !
- Ha ha !
- Le mieux c'est qu'il mette rien dessous, franchement.
- Et puis si on voit son gros zob, on s'en fout, en vrai, non ?
- Ouais on s'en balec !
- T'es ok, Louis ?
- Ben je sais pas...
- De montrer ton bazar de garçon, ça ne t'a jamais trop dérangé, si ?
- Oui mais là... tout un stade, quand même...
Pendant l'entraînement, le problème c'est que mon pénis est sorti plusieurs fois, à la fin, pile au moment où on salue. Plop ! Faudrait pas que ça arrive dans le stade.
Mais ça y est ! Le stade se remplit déjà. Ça va être le moment. J'ai un trac pas possible. Pendant l'entraînement, je me suis vautré plein de fois. À chaque fois les filles m'ont réceptionné, heureusement, c'est vraiment des pros. À 10 mètres au dessus du sol, le risque d'accident est énorme... mais ce n'est plus le moment d'y penser.
Le vacarme du stade augmente. Les supporters commencent à scander. Mon cœur bat à cent mille. Je repositionne mon zob. En revanche impossible de cacher mes couilles, elle est vraiment trop petite cette culotte !... Tant pis. C'est le moment d'y aller.
On entre. Le brouhaha s'arrête. Les filles se lancent. Le public applaudit timidement. Je leur emboîte le pas en sautillant, avec pour tout vêtement un ponpon dans chaque main, la culotte à paillettes de Liv et ses tennis blanches. J'ai trop l'impression d'être à poil.
Après quelques secondes j'entends des gens dire :
- Putain mais c'est un mec !
- On voit ses couilles !
Alors commencent les huées, les rires moqueurs, les "Ouuuh !" les "pédé !" et autres sifflements...
Courageuses, les filles ne se laissent pas intimider. Je décide de faire abstraction, moi aussi. Je sens le vent sur mes couilles et bizarrement ça me redonne du courage.
Finalement le numéro s'est super bien passé. J'ai réussi à ne pas écouter les connards.
Je ne suis pas le mieux placé pour vous parler de mon numéro de voltige, mais même en répète je n'avais pas réussi un saut aussi parfait ! Finalement on a été applaudis ! Quel kif !... Eh pourtant c'était pas gagné.
Au moment de saluer ma teub est sortie comme je le craignais mais je l'ai repositionnée en faisant un tour sur moi-même. En revanche je pense que tout le monde a pu voir mes couilles... rétrospectivement ça m'excite assez j'avoue... couilles à l'air devant tout un stade d'hétéros... Quelque part c'est un peu moi qui les ai baisés, les machos... non ?
Ensuite vient le match de football américain. Magnifique à regarder. Pour ne rien manquer, je ne suis pas allé me changer, je suis resté en petite culotte tout le match. Tous plus beaux les uns que les autres, les joueurs ! J'ai un petit faible pour Moha le quaterback. C'est le capitaine. Trop beau. Sous sa coque de protection on devine un gros matos. Je dois me concentrer pour ne pas bander.
Et puis il y a eu cette action incroyable : il a le ballon, il court, ses adversaires se ruent sur lui, il en évite certains et bouscule les autres comme des quilles ! Mais l'un d'eux lui attrape le short et s'agrippe. Il se laisse traîner derrière Moha qui a le short baissé et le cul à l'air. Pendant plusieurs secondes, les lanières blanches de son jock ressortent sur la peau noire de son cul musclé. Mais Moha continue. Ne pas s'en occuper. Il fait abstraction, comme moi tout à l'heure les couilles à l'air sous les huées. Il est freiné mais il continue de courir et tous les muscles de ses fesses s'animent magnifiquement.
C'est superbe. Sans le vouloir je décalotte dans ma culotte.
Et c'est le Touch down !!! Hourrah dans le stade ! Tout le monde se lève pour applaudir Moha et son incroyable cul ! Je hurle, je lève les bras, mais la culotte de Liv est beaucoup trop petite. "Plop" fait mon zob en se dressant vers le haut ! Personne ne me regarde. Alors je me dis que le rangerai plus tard, et je continue à bander et à crier "Mohaaaa !" Puis tout le monde se rassoit, et je cache ma bite en érection avec mes deux ponpons.
Après le match, douche avec les filles. Elles savent qu'avec moi elles ne craignent rien. Je dois quand-même dissimuler une semi-érection car je repense au cul de Moha.
Mais avant de me rhabiller, je ne peux pas m'empêcher d'aller jeter un œil chez les joueurs, dans les douches des garçons... Je suis bien un garçon après tout... non ?
Quand j'arrive dans les douches, je suis obligé de laisser ma serviette à l'entrée.
Je passe la tête...
Et là, c'est le plus beau spectacle de ma vie !
Jam
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