Premier épisode
Bonjour, je suis Julien, passif de 30 ans vivant en province. Il y a quelques temps j'avais raconté cette histoire de ma rencontre avec un routier viril.
Ce soir-là, en rentrant chez moi après cette bonne baise, je n'avais qu'un regret : ne pas lui avoir donné mon numéro de téléphone. Il m'avait dit qu'il ne passait pas souvent dans le coin, et le hasard d'une panne l'avait obligé à s'arrêter ici ce soir. Bref, je ne me voyais pas y retourner pour ça, et je rentrais chez moi prendre une douche.
Quelques semaines plus tard, sur le même site de tchat, j'apercevais le même pseudo connecté, mais le temps de réagir, je ne le voyais plus ! Je n'avais que deux options : attendre qu'il se reconnecte, ou prendre ma voiture pour aller faire un tour dans la zone industrielle... Je choisis la deuxième option, monte en voiture et au bout de 10mn de route, j'arrive dans cette fameuse zone. Je me dirige directement vers la rue dans laquelle il était stationné la fois précédente, et bingo, un camion de sa société y est garé. Je le dépasse, et ralentis un peu plus loin en faisant quelques appels avec mes feux de stop. Quelques secondes plus tard, les feux du camion s'allument : c'est bon, ça fonctionne, il m'invite. Je me gare et descend de la voiture, me dirige et monte dans la cabine. Il me reconnait, et a l'air plutôt content. Ce soir-là, nous avons fait un plan très sympa, peut-être un peu moins excitant que le précédent, mais très chaud tout de même.
Curieusement, la situation s'est reproduite deux ou trois fois ensuite, il passait finalement assez régulièrement dans ma ville, toujours stationné au même endroit.
Puis un soir, il y a de cela 2 semaines, sur le même site, je repère son pseudo et entame la discussion. Il sait que c'est moi, visiblement il espérait me trouver. Il ne passe pas par quatre chemins et me demande si je suis dispo. Je n'avais pas vraiment envie de ressortir, mais je n'ai pas envie de rater son passage. En plus, il précise qu'il est hyper chaud et qu'il a envie de sexe. On se donne donc rendez-vous une demi-heure plus tard à l'endroit habituel.
21h15, j'arrive près de son camion, et me gare derrière. Les portes se déverrouillent, je monte côté conducteur comme il me l'avait demandé. On se connait déjà, pas nécessaire de faire les présentations, on se contente de se saluer. On commence à se déshabiller. Il n'a pas grand-chose à retirer, comparé à moi qui arrive de l'extérieur. Il est chaud, il a envie de baiser, je préfère tout enlever directement, et me retrouve vite à poils devant mon routier viril. Lui aussi est assez direct et se met à poils. Je suis à genoux sur le siège conducteur, lui est debout devant moi. Il sait ce qu'il faut faire pour me chauffer : m'attraper par les tétons ! Ça me chauffe direct ! Il me torture les tétons, il a le sourire, et il approche son visage du mien. L'excitation qu'il me provoque m'empêche de bouger, je sens son souffle sur mon visage. J'ouvre la bouche, et il me crache sa salive à plusieurs reprises, puis m'embrasse à pleine bouche. Il me roule une pelle d'enfer, sa langue puissante et baveuse tourne dans ma bouche. Il se redresse, lâche un peu mes tétons. Je dirige ma tête vers son sexe tendu, et commence à le pomper à fond. C'est ce qu'il veut, il est plutôt endurant et je sais qu'il ne va pas juter si facilement. Je pompe sa queue avec envie, il l'enfonce bien profond en me maintenant la tête et en donnant des coups de reins. Je lâche son zob pour me diriger vers ses couilles énormes que je malaxais avec mes mains, pour les bouffer avec appétit. Il adore que je fasse ça, et j'aime aussi, mais je ne peux en prendre qu'une en bouche tant elles sont grosses.
Je me redresse, il sait ce que ça veut dire. Il attrape de nouveau mes tétons, et recommence à me cracher dans la gueule. S'ensuit une série de pelles viriles et baveuses qui m'excitent de plus en plus. Son sexe est bien dur, l'homme est bien chaud, c'est le moment de changer de position... J'arrive à m'extraire du siège conducteur et accède à la couchette. Je lui présente mon cul... Il me claque le cul avec ses mains viriles et puissantes, il ne mesure pas la force qu'il a dans les bras. Mais j'aime ça, la douleur est tellement bonne quand elle vient de ce mec viril. J'aime le rencontrer dans sa cabine. Et je sais que je vais encore avoir droit à un coup de queue sur la couchette de cet homme pendant son repos !
Je sens ses mains claquer mes fesses, et ses doigts enduits de salive entrent dans mon trou... L'excitation me dilate l'anus, et ses doigts n'ont aucun mal à y entrer. Il met de la salive sur mon trou, sur sa bite, et l'approche de mon cul en chaleur. Il entre en moi, et me laisse le temps de m'adapter à sa large queue. Puis il commence tranquillement ses vas et vient. J'ai la tête et le torse sur sa couchette, le cul tendu vers mon routier viril. Il me lime tranquillement pour commencer, puis il y met de la vigueur. Je sens ses grosses burnes claquer contre mon cul à chaque coup de reins.
Plus il me baise, plus ma tête s'enfonce dans la couchette, et plus mon cul remonte et se tend vers lui. Il est debout et prend appui sur la couchette avec sa jambe gauche. Mais ce soir, il a envie de dominer... Il approche son pied de mon visage, mais je n'aime pas lécher les pieds. Il le comprend... et finis par poser son pied sur mon visage, et m'appuie la tête sur la couchette. Sa queue dans mon cul et son pied sur mon visage m'empêche de bouger... Je suis à sa botte, il me domine et le sait. Il aime avoir le dessus sur moi, et j'aime ça aussi. Il continue de me limer tout en me bloquant et me traitant de tous les noms. J'aime ça, c'est réciproque.... Il continue de me baiser dans cette position pendant encore quelques minutes.
Soudain il relâche son étreinte, son pied quitte mon visage, il ralentit les coups de reins... Je comprends qu'il ne va pas tarder à juter. Je peux de nouveau bouger, et l'incite à quitter mon cul. Il se recule et me dit de venir chercher ma dose de jus. Je me mets à genoux devant lui, bouche ouverte, langue tirée... Il se branle au-dessus de moi, et vise ma bouche. Il jouit dans un râle. De bons jets de sperme jaillissent de sa bite, et atterrissent dans ma bouche. J'avale ce que je peux, le reste atterrit sur mon visage. Il est essoufflé tant il m'a bien limé et bien rempli la bouche.
En me rhabillant, nous discutons un peu de nos métiers respectifs, puis je descends de la cabine le cul explosé, les jambes tremblantes, mais ravi d'avoir soulagé mon routier viril...
Julien
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