Premier épisode
Non loin de l'endroit où j'ai découvert une chaussure de pied, je remarque 3 corbeaux qui tournent en rond et en croissant au dessus des rochers. Je quitte la plage rouge et je me dirige vers la zone des rochers. Les corbeaux tournent au-dessus d'un ensemble de débris. La tempête a projeté un bateau sur les rochers. Il n'en reste plus rien. Le vaisseau a littéralement explosé. Au milieu des débris, le corps d'un homme allongé, la peau claire, poilu, barbu, amaigri par la privation. L'homme est sans connaisance, échoué, blessé et vêtu de lambeaux. Je m'approche. Ses guenilles séchées sont déchirées et durcies par le sel. Ce sont des vêtements de la marine américaine. Je chasse les mouches. Ses habits sont étiquetés. L'homme s'appelle "Rob Crusoé, Cap'tain de la Marine Américaine".
Je glisse ma main sous ses guenilles pour palper son cœur, son cœur bat, je ne sens pas de côte cassée, son ventre est ferme je vérifie également dans son slip, la bite du Cap'tain est longue et souple, son gland est humide et ses couilles réagissent au toucher. L'homme va bien.
Je le secoue... Hé ! Ho ! Captain ! Mais le Cap'tain ne bouge toujours pas. Je le débarrasse de ses vêtements déchirés pour vérifier ses blessures, elles semblent superficielles. J'ai beaucoup de mal à défaire son nœud de cravate qui a durci avec le sel. Je lui baisse son slip juste pour regarder. C'est un slip en soie genre Hermès, je n'ai pas affaire à n'importe qui. Grosse bite. Le slip est tellement déchiré qu'il ne cache presque rien.
Mais d'un seul coup mon Cap'tain se réveille et se dégage.
- Qui es-tu ?... Mes vêtements ! Qui t'a autorisé ?
Il se redresse dignement. Il repositionne son demi-slip en soie mais il a toujours le gland à l'air.
- Tu ne sais pas qui je suis ! Je suis Rob Crusoé Cap'tain de la Marine Américaine ! Ça ne va pas se passer comme ça ! Je vais te faire mettre aux fers, moi !
Et ce con avec sa barbe de Cap'tain Américain et ses airs hautains, il prend un débris de bois et commence à me frapper et à crier... il crie tellement que mes frères arrivent en courant, mèches blondes et bites au vent. L'homme se fige.
- Mais... je connais cette île ! Je suis déjà venu... Il y avait 6 enfants et un gamin Turc. Je me souviens, il n'y avait pas assez de place sur le bateau, c'était eux ou moi... alors... bon vous savez ce n'était que des gamins... alors que moi j'étais le fils du Commandant, futur officier plein d'avenir... alors j'ai fait mon devoir j'ai demandé qu'on les laisse... Il parle en se touchant le gland.
Sundaï notre prof de surf Turc arrive. L'homme continue...
- Quand je les ai laissés ils pleuraient et le gamin Turc jouait dans l'eau avec une vieille planche...
Mais Sundaï ne l'écoute pas. Il s'est figé en voyant le sous-vêtement déchiré. Le regard fixe, il bande comme... comme un Turc. Puis d'un coup, tel un fauve, il se jette sur l'homme pour lui arracher son morceau de slip Hermès. Le tissu se déchire encore plus. Cette fois le Cap'tain Crusoé est complètement à poil. Il prend peur et se met à hurler.
- On m'attaque ! À l'aide ! On m'attaque !
Sundaï quand il bande c'est énorme et on ne pleut plus l'arrêter (croyez-moi) alors il se jette encore sur le Cap'tain et dans un geste brutal, le plaque au sol et lui relève les jambes pour l'enculer. Mais la tête du Cap'tain heurte un rocher et l'homme perd à nouveau conscience, jambes en l'air, dans une position plus qu'équivoque.
Sundaï arrache le reste de son slip de soie et l'enfile (le slip) mais ce n'est plus qu'un fantôme de sous-vêtement traversé par un zob de Turc.
Nous regardons tous le Cap'tain inconscient. Fesses ouvertes, son corps est complètement blanc, ses poils et sa barbe sont noirs et épais. Il est nu, jambes écartées, anus offert, visible derrière une petite touffe noire. Cette pose indécente suscite chez nous tous une émotion visible... très visible.
Sundaï notre prof commence à se branler avec le slip du Cap'tain tout en se moquant de lui :
- Houlala !... On m'attaque ! On m'attaque !
Alors 14 mains se posent sur le cul du Cap'tain de marine et commencent à se promèner sur lui. Elles lui fouillent le cul et tous les endroits interdits. L'homme se réveille par moments et se débat mollement :
- Mais qu'est-ce que vous faites ? Je suis pas pédé, moi !
Je lui dis que c'est pas grave, que c'est notre cadeau de bienvenue...
Finalement il se met à bander comme tout le monde en continuant à dire qu'il est pas pédé, pendant tout le temps où on l'encule... plusieurs fois et à tour de rôle... pendant toute une journée.
Le soir, tout le monde est fatigué... surtout nos bites. Le Cap'tain a l'air d'un vieux chat décoiffé il a les poils du cul et du pubis tout collés, et sa barbe dégouline. Pour son premier jour c'est bien, et puis il faudra bien qu'il s'habitue. Il a aussi la gorge endolorie, le cul qui coule et les yeux rouges de colère et de plaisir.
Mes frères sont repartis. Sundaï a rendu au Cap'tain quelques morceaux de soie dégoulinants. Et pendant que je l'encule une dernière fois, le Cap'tain de marine me demande :
- Et toi, comment tu t'appelles ?
- Vendredy, Cap'tain.
- Enchanté Vendredy.
- Et vous, ça va Cap'tain ? Je vous fais pas trop mal ?
- Si. J'ai très mal aux fesses, je suis pas pédé, moi...
- Alors c'est normal au début... c'est que votre 1er jour, Cap'tain.
- Non... moi je ne suis pas venu pour ça, j'étais revenu dans ces mers pour trouver l'Îe aux 7 Filles !... Je suis pas pédé... Elle a un nom, votre île ?
C'est vrai que le pauvre il a le cul éclaté alors je le retourne, et pendant que je lui mets ma teub dans le fond de la bouche, je l'attrape par les oreilles et je lui dis :
- Écoutez-moi. Ici c'est l'île aux 7 Garçons. Vous savez, votre vaisseau a complètement explosé sur les rochers, alors va falloir vous y habituer, Cap'tain Papédé.</
Jam
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