La fac. J'avais dix-huit ans, j'étais seul, ou du moins je pensais être seul. Quelle surprise de le voir dans la même licence que moi à la rentrée de septembre. Baptiste. On était dans le même lycée. On se parlait de temps en temps, on avait échangé quelques messages, peut-être même deux ou trois photos osées, mais pas plus loin. A l'époque, il avait une copine et je cachais toujours ma sexualité. Je cache toujours ma sexualité, mais lui n'a plus de copine.
La première semaine de cours, notre relation était étrange. On s'asseyait souvent sur la même rangée dans les amphis et nos regards se croisaient trop souvent pour qu'il s'agisse d'une simple coïncidence. C'était comme si on se cherchait. Et lui aussi semblait me chercher également.
J'eus ma réponse peu de temps après quand on se retrouva tous deux aux urinoirs, seuls dans les toilettes.
La rangée de quatre urinoirs était totalement libre, mais il vint se place à ma droite. Il déboutonna son jean et sortit sa queue qu'il tenait d'une main tandis qu'il se soulageait. Je jetai un rapide coup d'oeil. Pas mal. Elle n'avait pas changé depuis ses quelques photos envoyées sur messenger un an auparavant. Moi-même ayant bientôt fini d'uriner, je pris tout mon temps afin de pouvoir continuer d'espionner Baptiste.
" Je m'attendais pas à te voir dans la licence, me lança-t-il en me coupant en pleine observation
- Ah... moi non plus, je répondis après avoir repris mes esprits
- Ça fait plaisir de voir une tête connue. "
Je souris nerveusement.
Toujours à ma droite, je le vis faire des mouvements lents avec son bras. Je baissai la tête et vis sa main tenant vigoureusement sa queue qui durcissait à vu d'oeil.
" Je me souviens encore de nos conversations... me glissa-t-il sans arrêter de couvrir et découvrir lentement son gland
- Ha oui... c'était assez sympa, je répondis
- On parlait plutôt bien. "
Sa queue grossissait toujours et la mienne commençait à en faire de même.
" Il me semble que parfois tu me disais que t'aimerais bien y gouter un jour, me rappela-t-il. "
La lope en moi se réveilla et il dut le sentir, car il partit aussitôt dans une toilette privée en prenant bien soin de laisser la porte entreouverte. J'hésitai un instant et finis par le rejoindre. Je fermai la porte derrière moi et m'agenouillai devant sa queue au garde-à-vous. Je la pris immédiatement en bouche, une main malaxant ses belles couilles rasées.
Aussitôt sa queue en bouche, il passa ses mains dans mes cheveux, attrapant plusieurs mèches entre ses doigts et poussa ma tête, enfonçant son gland plus profondément dans ma douche. Il tapa au fond de ma gorge et à partir de ce moment-là prit entièrement contrôle de ma bouche. Ses dix-huit centimètres glissaient entre mes lèvres et venaient taper au fond de ma gorge. Parfois, il enfonçait sa queue jusqu'à au fond de ma bouche et bloquait ma tête jusqu'à m'étouffer. C'était ce que je préférais, m'étouffer sur une queue bien épaisse et baveuse. Il dut le sentir, car il recommença plusieurs fois jusqu'à m'arracher quelques larmes. Mais il ne s'arrêta pas pour autant, et je ne voulais pas qu'il arrête. Il sortit sa bite de ma bouche et me frappa à plusieurs reprises sur le visage puis voyant que je gémissais et en redemandait, il enfonça un doigt dans ma bouche, me forçait à l'ouvrir en grand et claqua son gland une dizaine de fois sur ma langue avant d'empaler ma tête sur sa queue une dernière fois.
" Lève-toi, tu vas la prendre dans ton cul, me dit-il. "
De nouveau, j'hésitai un instant, je ne m'étais pas préparé et n'avait pas eu le temps de faire de lavement ni de raser quoique se soit. Néanmoins, l'excitation était trop forte et cela faisait plus de deux semaines que je n'avais reçu aucune queue et si je refusais, je savais que j'allais le regretter.
Je me relevai.
Baptiste me retourna et baissa mon jean, puis mon caleçon et claqua mes fesses.
" Beau petit cul, tu dois t'en prendre des belles... "
Il serra ma nuque avec sa main droite et je n'eus d'autre choix que de me pencher en avant. Il passa un doigt entre mes fesses et titilla mon anus. Il cracha ensuite deux fois sur ma rondelle et enfonça sa queue. Il eut un peu de mal au début et prit son temps, commençant d'abord par de lents va-et-vient, mais accéléra rapidement la cadence et bientôt, me voilà baisé comme un trou avec une de ses mains tirant mes cheveux et l'autre tenant ma bouche fermée pour m'empêcher de gémir trop fort. Heureusement il n'y avait personne d'autre à part nous dans les toilettes, car le claquement de ses couilles contre mes fesses nous aurait rapidement trahis.
Baptiste ne semblait pas dérangé par le claquement et pendant les cinq minutes que dura la baise, il ne relâcha rien et ne ralentit qu'une fois le dernier jet de sperme bien tassé au fond de mon trou.
Il se retira, essuya sa queue sur du papier toilette qu'il jeta dans la cuvette avant de remonter sa braguette et de partir.
Avant de refermer la porte, il me dit tout de même :
" C'était sympa, à refaire. Je sens qu'on va passer de bonnes années à la fac ensemble. "
Il me lança un clin d'oeil et partit pour de bon.
Me voilà à présent seul. Je me redressai et m'assis sur la cuvette des toilettes. Je sentais son jus encore chaud couler hors de moi et ma queue redevint toute dure, ne me laissant d'autre choix que de me vider à mon tour. Tout en me masturbant, j'enfonçai un doigt tout au fond de mon anus rendant alors mon orgasme encore plus intense...
En effet, mes années à la fac commençaient plutôt bien...
Louisallenk
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