Je devais avoir dix-huit, dix-neuf ans, quand pour la première fois, j'ai découvert de nouveaux fantasmes.
Je venais de rentrer à la fac, je ne connaissais personne et je décidai de m'inscrire dans un des nombreux clubs de sports qu'offrait l'université. Je n'étais pas particulièrement sportif, mais j'étais plutôt grand et une bonne endurance, aussi m'inscrivis-je dans l'équipe de basket. Je passai les sélections à ma grande surprise et me retrouvai chaque jeudi après-midi à courir sur un terrain et marquer des paniers.
Les autres joueurs étaient très sympathiques et rapidement, on devint un groupe de potes qui aimait se retrouver et jouer ensemble. On riait tous sur le terrain et la bonne humeur ne s'arrêtait pas une fois dans les vestiaires. Après chaque séance, on finissait tous sous les douches, entièrement nus et épuisés après notre sport. Malgré tout, on riait toujours, on se courait après, on aurait dit un vrai groupe de gamins en colonie.
Au début, je riais avec eux et rapidement, je me retrouvais à observer ces corps de sportifs. Certains jouaient du basket depuis leur plus jeune âge et cela se voyait. Des abdos bien dessinés et des bras musclés m'entouraient sous les rangées de douches. Personnellement, j'étais plutôt fin et élancé, mais pas aussi dessiné que certains. Ils étaient magnifiques.
Le soir, je rentrais dans mon appartement et je me retrouvais de nouveau à penser à ses corps. Je fermais les yeux et je voyais leur corps dessinés et sculptés. Et ma vision descendait, de leurs larges épaules, je voyais à présent leurs abdos et bientôt, les yeux toujours clos, des dizaines de queues défilaient devant mes yeux. Je les voyais tous dans mon esprit après les avoir maté pendant tous ses entrainements. Et très vite, ces visions traversèrent toutes mon corps et je sentis ma queue gonfler sous mon boxer. Alors je gardai les yeux clos et continuai d'imaginer ses queues que j'adorais mater sous les douches.
Bientôt, je me voyais agenouillé au centre des douches tandis que les autres mecs se branlaient en rond autour de moi. Ils étaient tous durs, tous ces apollons aux queues de toutes les couleurs et de toutes les tailles. Et j'étais là, ma queue gonflait toujours. Après quelques minutes où ils se montraient timides, deux d'entre eux s'approchèrent de moi et collèrent leurs glands sur mes joues tout en continuant de se branler. J'ouvris la bouche et sortis ma langue et le premier glissa sa queue entre mes lèvres. Je fus surpris, mais ne reculai pas. Je m'appliquai à le sucer comme jamais tout en lançant des regards à mon coéquipier. Le deuxième était toujours là à tapoter sa queue sur ma tempe.
Autour de moi, les autres mecs s'étaient rapprochés et se branlaient de plus en plus fort. Certains faisaient même la queue pour se faire sucer. Loin d'être timide, je les enchainais et prenais toutes les bites qui s'offraient à moi. Ils avaient l'air d'aimer. Chaque nouveau mec semblait plus grand et plus épais que le dernier et ils s'enfonçaient tous plus profondément dans ma gorge que le précédent. Rapidement, j'avais sucé plus d'une dizaine de queues et les mecs me prenaient pour un vrai trou à leur disposition. Certains me frappaient le visage avec leur queue, d'autres me crachaient dessus.
Après une dizaine de minutes, je sentis un liquide chaud et gluant couler dans mon dos. Une queue dans la bouche, je tentai de me retourner, mais même sans bouger, je devinais que l'un d'entre eux venait tout juste de se lâcher dans mon dos.
Visiblement, il venait de donner une idée aux autres, car tous se rapprochèrent encore et un par un, se vidèrent sur moi. Dans mon dos, dans mes cheveux, sur mon visage, certains m'ouvraient même la bouche avec leur main tandis que de l'autre, ils finissaient de se branler dans ma bouche et l'enfonçaient une dernière fois dans ma bouche pour gicler au fond de ma gorge. J'avalais tout, j'aimais ce sentiment d'être souillé par tous ces mecs que j'avais matés pendant des semaines.
Soudain, mon téléphone sonna sur la table basse de mon salon, j'ouvris les yeux quittai mon rêve pour réaliser que mon fantasme m'avait tellement excité que j'avais fini par venir dans mon boxer sans même me toucher...
Louisallenk
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