Cyrillo

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Otage.

Cela aurait du �tre une apr�s-midi classique, savant cocktail de promenade, d'arr�t strat�gique me permettant d'attirer le regard (et peut-�tre plus) de gar�ons joyeux. Bref je remontais le cours du Gardon un peu apr�s le pont St Nicolas (c'est pas loin de N�mes). J'avais dans mon sac � dos deux bouteilles d'Evian, une m�ga serviette de plage, un roman sp�cial vacances et des envies d'exp�riences nouvelles et charnelles � assouvir.

Pendant plus de quatre heures j'ai beaucoup transpir�, j'ai crois� des tonnes de papy's plut�t d�cr�pis. Bref heureusement que j'avais pens� au bouquin sinon je pense que je serais mort d'ennui. De temps en temps je quittais la douceur soyeuse de ma serviette de plage pour une petite excursion le long des berges afin de voir si un arrivage frais comportait un candidat � la luxure, vu que j'�tais venu avec cette unique et tr�pidante id�e en t�te. La v�g�tation avait repris du poil de la b�te depuis le dernier orage et les ronces me griffaient assez sadiquement la peau des chevilles. Mais je continuais mes d�ambulations avec l'espoir sans cesse renouvel� de surprendre un gar�on craquant dans le creux d'un bosquet. La chance sourit aux intr�pides, et alors que j'avais perdu presque un litre de sang (lol) j'entends des craquements qui me pr�viennent que " quelque chose " approche, bon c'est �videmment un mec en maraude, mais la question est de savoir quelle tronche il va avoir.

Le pauvre, il a fait encore plus fort que moi, je suis en tennis et en short torse nu, mais lui il est carr�ment � poil et en tong en plus ! Ses affaires doivent �tre dans son petit sac � dos. Ses mollets sont z�br�s de nombreuses �corchures dont plusieurs sont assez profondes pour que son sang macule abondamment ses blessures. Je vous fais quand m�me la fiche technique classique, mais je ne sais pas si je suis dou� pour d�crire le physique d'un gar�on. Il doit mesurer 175 environ, et il est hyper brun, ses jambes sont recouvertes d'une for�t �paisse de poils noirs, la force des muscles de ses cuisses attire irr�sistiblement mon regard. Il a les yeux noirs, je sais c'est impossible cela n'existe pas, en tout cas il a les yeux giga sombre. Son sexe n'est pas ras�, et je me vois d�j� enfouissant ma langue dans la moiteur enivrante de son nombril. En plus il est mignon, en g�n�ral je n'aime pas dire d'un mec qu'il est mignon, c'est p�joratif pour moi.

Mais dans son cas je ne trouve pas d'autre qualificatif. J'essaye de ne pas trop d�tailler son anatomie, lorsque son regard croise le mien, en quelques milli�mes de secondes il a lu dans mes yeux l'int�r�t que je lui portais. Vite Philippe il faut que je trouve un truc intelligent, ou au pire spirituel, � dire.

- Bonjour, je viens de finir un stage chez Urgo et tu es un cas vraiment passionnant, je souhaite vraiment pouvoir t'�tudier.

En r�compense j'ai droit � un petit ricanement de sa part, mais pas un truc m�prisant.

- En fait, la v�rit� c'est que je me suis un peu perdu, je m'appelle Yoann pour info, et je devrais d�j� �tre sur la route, j'ai un d�pannage � faire sur Montpellier.
- Moi c'est Philippe, et j'esp�re que tu acceptes de me d�panner moi en premier, je suis vraiment en panne, mon r�servoir de c�lin est compl�tement vide depuis trop longtemps. (bon ok c'est path�tique, mais le plus horrible c'est que cela repr�sente l'exacte v�rit�).
- Vraiment, je ne peux pas, je suis r�ellement en retards ce n'est pas une excuse pour te jeter.

Voyant que je risquais de le voir dispara�tre sans avoir pu poser mes l�vres sur lui, je me d�cidais � utiliser une de mes armes secr�tes. Je me suis accroupi devant lui et j'ai crach� un long filet de bave sur un Kleenex. J'ai commenc� � " le soigner " en nettoyant les plus importantes �corchures de ses mollets. Maintenant que j'avais le nez � 10 Cm, je voyais que les d�g�ts �taient r�ellement plus importants qu'� premi�re vue.

- Allons dans l'eau que je puisse enlever le sang de tes " blessures " de guerre, tu t'es vraiment pas rat�, t'�tais dans un trip maso ou quoi ?

Je ne lui laisse pas le temps de r�agir et je lui prends la main comme j'aurais pu faire avec un petit fr�re turbulent. Nous avions de l'eau presque au genou, et de mes deux mains, je faisais couler de l'eau depuis le haut de ses cuisses. Par de tendres caresses je pris tout mon temps pour que les vingt trois plus grosses �corchures soient toutes lav�es. Je lui prenais les chevilles pour le d�barrasser de leurs traces de sang s�ch�. D'une fa�on tout � fait naturelle afin de ne pas tomber il m'a entour� les �paules et j'ai frissonn� sous le doux contact de ses paumes � la peau d�licieusement r�peuse.

�videmment, le sang recommen�a � couler sur les plus profond et j'en profitais pour d�poser des petits smacks comme on fait pour consoler des jeunes ados agit�s. Je ne perdais pas de vue mes intentions salaces et � de nombreuses reprises, " par hasard ", mon coude, mon �paule, ma joue sont venu heurter le bas de son ventre, et parfois m�me sa puissante virilit�. J'ai avec joie constat� que la rigueur de son membre avait nettement augment� pendant mes soins attentifs. De faite il n'avait pas prononc� une seule parole depuis que nous �tions entr� dans l'eau du Gardon. Il avait toujours ses deux mains pos�es sur mes �paules et ne paraissait pas s'en apercevoir.

Je me relevais doucement et l�chant sa cheville et je plantais mon regard dans ses yeux dont je red�couvrais la lumineuse beaut�. Je ne voulais pas risquer de d�truire ce moment d'intense tension en pronon�ant une banalit�, je me contentais de m'approcher encore de lui, je sentais maintenant la chaleur qui irradiait de chacun de ses pores. Je posais mes mains sur ses hanches que je pressais doucement mettant le maximum d'affection dans ce geste. Lorsque enfin je penchais mon visage vers ses l�vres, il poussa un long soupir. Il Me donna imm�diatement sa bouche et nos langues se m�lang�rent sans aucune retenue. Nos respirations devinrent vite plus bruyantes et saccad�es, nos l�vres rest�rent soud�es ainsi pendant de nombreuses secondes. Vous n'auriez pas pu passer la lame la plus fine entre nos �pidermes, ses bras s'�taient spontan�ment transform�s en prison dor�e et faisant ainsi d�monstration de la r�alit� de la force de ses biceps, il me malaxait le dos se rapprochant agr�ablement de mes globes d�j� offerts.

(Yoann) - Si on se couche dans l'eau, on va mourir noy�, il vaut mieux que nous trouvions un petit coin d'herbe moelleux, t'es pas d'accord ?

Pour toute r�ponse je l'entra�nais vers la rive en gardant ma main agripp�e � la sienne. Nous n'avons pas trop gal�r� pour trouver un petit coin discret et c'est avec d�lice que je me suis laiss� tomber sur ma serviette en tendant mes bras vers lui afin de voir et sentir son corps peser sur moi. Nous avons tout de suite recommenc� notre exploration de l'int�rieur de nos gorges respectives. Tant�t je gardais mes yeux ouverts en plongeant mon regard dans ses yeux de braises, � d'autres moments je glissais vers l'extase en laissant mes yeux ferm�s. Une couche de sueur de plus en plus importante recouvrait maintenant chaque millim�tre de nos corps, cette pellicule rendait encore plus plaisante la d�couverte des muscles cach�s sous sa peau hal�e. J'entendais maintenant de fa�on tout � fait distincte le battement d�sordonn� de mon coeur, je sentais contre mon ventre la fermet� de son envie.

Il avait d'une fa�on ind�niable compl�tement oubli� son d�pannage urgent, et c'est ma jolie petit tronche qui en �tait responsable. Nous �tions sur la pente de sensations insupportablement d�licieuses. J'�tais d�chir� entre mon envie d'avaler son cylindre de chair dont la duret� attestait de la r�ciprocit� de notre libido d�cha�n�e par les petites br�lures que nous ressentions lorsqu'un frottement venait mettre � vif une de nos �corchures. Mais j'�tais vraiment trop bien, subissant de fa�on absolument agr�able le poids de son corps, et le jeu des muscles de son dos sous mes doigts m'apportait toute la joie et de puissantes bouff�es de chaleur r�guli�rement devaient rendre cramoisie mon visage. Tout � coup de petits tremblements commenc�rent � se faire sentir dans mes cuisses, leurs amplitudes augmentant je relevais Yoann, en me tenant en tailleur je supportais facilement les 60k de son jolie body. Je pensais que mes muscles �taient ankylos�s et que les tremblements cesseraient, mais il semble que la tension et l'attirance sexuelle que j'�prouvais pour Yoann �taient la cause de mon trouble.

L'extr�mit� de mes doigts se promenait sur sa nuque, son front, ses joues. Je d�posais sur les paupi�res de ses yeux ferm�s des baisers en esp�rant qu'il comprenait la fureur des sentiments nouveaux qui envahissaient mon coeur. Pour la premi�re fois de ma vie de gar�on j'avais simultan�ment envie de pleurer, de crier ma joie, bref la grosse bouff�e d'amour envers un autre �tre de chair et de sang comme moi. J'avais de plus en plus de mal � avaler ma salive, je sentais bien qu'une grosse boule me bloquait la gorge. Des picotements envahissaient mes yeux.

(Yoann) - C'est quoi ses yeux mouill�s ? Je te sers trop fort ?

� ce moment les vannes des chutes du Niagara se sont ouvertes, j'ai ressenti tellement de tendresse dans sa voix que j'ai litt�ralement �clat� en gros sanglots, d'une fa�on irr�pressible mes larmes jaillissaient et tombaient formant de grosses gouttes sur mes joues. Yoann me prit la t�te de ses deux mains la posant dans le creux de son �paule, je reniflais bruyamment de fa�on fort peu sensuelle. Pendant de longues et superbes minutes Yoann me cajola, j'avais d�finitivement oubli� les pens�es graveleuses le concernant. Je le voyais plus que comme un morceau �norme et compact de granit, dur et �ternelle. Je d�couvrais dans le confort chaud de sa poitrine toute l'�tendue de la pl�nitude et l'immensit� �tourdissante de la vraie extase. Il s'allongea sur le dos me tenant contre lui, me serrant fort comme pour me rassurer. En posant ma t�te sur ses pectoraux massifs je glissais sans m'en rendre compte dans un sommeil merveilleux.

Une sensation inconnue entra�na mon r�veil. Yoann trouvant le temps long avait pris possession de mon cylindre et je constatais avec plaisir que Yoann semblait �tre tout � fait content de le couvrir d'une �paisse couche de bave. Ses mains aux doigts puissants couraient sur mon corps, et ils trouv�rent rapidement le chemin de ma chaude et humide intimit�. Je r�ussis en me tortillant � atteindre sa volumineuse virilit� que j'avalais sans aucune h�sitation. Il y a des fellations qui procurent une telle sensation de plaisir qu'aucun mot ne peut les d�crire. Nous g�missions de concert et nous avions adopt� comme par t�l�pathie le m�me rythme lent, celui qui permet les plus profondes caresses. Nos l�vres serr�es, et nos langues avides s'activaient pour obtenir la plus �paisse des �rections.

La fermet� de son sexe semblait augmenter encore et toujours j'avais maintenant l'impression d�licieuse de sucer un morceau de m�tal br�lant. Je ne sais pas qui g�missait le plus fort, mais je me rendais bien compte que le moment de mon explosion �tait proche et comme je souhaitais sentir en moi la chaude semence de mon nouvel amant je redoublais d'effort et de concentration afin que mes caresses buccales le fasse jouir. Je pense que vous connaissez la diff�rence immense entre l'�jaculation un peu m�canique que l'on ressent apr�s une stimulation plus ou moins r�ussie de la part d'un gar�on, et la vraie jouissance, le moment rare et exquis ou on a l'impression que les l�vres de l'autre poss�de un pouvoir magique. Bref j'�tais r�ellement au septi�me ciel.

Et tout � coup le corps de Yoann fut agit� de contraction, le dessin des muscles de son ventre apparu avec nettet�. Les premiers jets atteignirent le fond de ma gorge, puis c'est toute ma bouche qui fut presque d�bordante de son odorante semence. Je fis vraiment expr�s de ne pas avaler trop vite contrairement � mon habitude, et l'odeur forte de son jus fut le d�clencheur de ma propre jouissance. Je pense que Yoann a du �tre satisfait de mon offrande dont le volume devait largement exc�der deux grosses cuill�res � soupe. Nous avons mis du temps � reprendre notre souffle, mais c'est difficile avec une langue dans la bouche, en effet Yoann se jeta litt�ralement sur ma bouche en me d�vorant de fougueux baisers.

- Putain Rachid, mates moi les deux tapioles !

La voix fortes nous figea Yoann et moi et nous restions agripp�es l'un � l'autre alors que la silhouette du deuxi�me homme se d�tache en ombre chinoise, mena�ante c'est le moins que je puisse dire.

(Kamel) - Bon Rachid, on a trouv�, allez les deux PD debout direction la route, ne pensez m�me pas � essayer � vous �chapper, OK !

Je pensais en moi-m�me qu'il �tait exclu de courir dans les chemins pieds nus comme nous l'�tions Yoann et moi. Au moment ou Yoann se baisse pour prendre son short dans son sac � dos Rachid lui balance une m�ga mandale, Yoann en perd l'�quilibre et heurt assez violemment le sol, je le rel�ve en le prenant par les �paules.

(Kamel) - Pas de temps � perdre, vous nous suivez en fermant vos petites bouches.

Jamais le trajet conduisant � la route de N�mes ne me paru si long, j'avais tr�buch� sur la partie du chemin en pente et une pierre coupante m'avait entaill� la plante du pied, cela n'�tait pas trop douloureux au d�but, mais au bout de 10 minutes j'avais l'impression de poser mon pied sur un couteau � chaque pas. Mais je disais rien, j'avais en souvenir le pain qu'avait re�u Yoann. Lorsque nous sommes arriv�s au niveau de la route je me suis dit qu'une voiture allait passer et que la vue de deux types � poils inciterait le conducteur � pr�venir les flics. Ben j'avais tout faux, leur camionnette �tait gar�e juste au niveau du virage et ils nous jet�rent dedans sans aucune pr�caution comme si nous �tions deux sacs de patates. Des films noirs occultaient compl�tement les vitres du fourgon, une cloison s�parait enti�rement la cabine du fourgon, lorsque la porte coulissante claqua nous nous retrouv�mes pratiquement dans le noir complet. Yoann se penche vers moi et me chuchote :

- Philippe, on peut ouvrir la porte et s'�chapper sur la route ?

Lorsque j'ai essay� d'ouvrir d'abord la porte coulissante puis la porte arri�re je me suis rendu compte de suite que les manettes avaient �t� soud� pour emp�cher une ouverture par l'int�rieur. En m'adossant � la carrosserie je posais ma main sur les hanches de Yoann que je pressais pour lui apporter un peu de r�confort. En r�alit� mon cerveau fonctionnait � 1000% et je me demandais � quelle sauce nous allions �tre manger, bon je me doutais bien qu'un truc glauque allait nous tomber sur le nez � la fin du voyage mais il y a foss� g�ante entre fantasmer en lisant des histoires de viols sur ob.ob5.ru et �tre enlev� par deux types en pleine journ�e en plus. Je suis incapable de dire combien de temps a dur� le voyage, moi j'ai trouv� le temps super long, mais c'est peut-�tre parce que les chaos nous rappelaient � chaque seconde notre condition. La vitesse de la camionnette chuta d'un seul coup et un changement brusque de direction nous projeta Yoann et moi comme si nous �tions des balles de loto. Le silence qui suivit l'arr�t du moteur �tait encore plus stressant. Je garde la main de Yoann dans la mienne et je la sers de plus en plus fort.

Les secondes s'�coulent, nous avons entendu les porti�res s'ouvrir et claquer, puis rien. Je fais un bisou sur la joue de Yoann, puis ma bouche rejoint la sienne et je lui roule un beau patin bien baveux. Comme le silence est toujours total je m'enhardis et ma main descend jusqu'� la bite de Yoann que je presse doucement afin de lui faire prendre vie. Comme je suis motiv� en quelques minutes, j'ai une barre bien dure dans ma paume, et je garde la langue de Yoann au fond de ma gorge pour mon plus grand plaisir. Des bruits de pas, vite nous nous relevons tous les deux, et la bite de Yoann rapetisse en trois secondes ! Lorsque la porte coulissante s'ouvre brusquement je reste t�tanis� � la vue de l'homme qui nous d�visage Yoann et moi, son sourire est ce que l'on appelle en langage imag� " carnassier ", nous sommes deux proies, et notre servilit� ne fait aucun doute pour lui.

(L'homme) - Allez les deux fiottes, je vous prends en charge, on va commencer par une belle toilette profonde.

Il a dans sa main droite une cravache, et il me donne un coup avec sur les fesses lorsque je passe devant, le coup est pas super fort, mais la surprise, l'humiliation et surtout le stress , bref le m�lange de tout cela fait que je sursaute violement. L'homme ricane m�chamment. Nous arrivons dans une salle enti�rement carrel�e, nous nous retrouvons en quelques secondes attach�s Yoann et moi par les mains � des bracelets en cuirs, l'homme tire alors sur une corde et les bracelets montent vers le plafond, nos bras se tendent. L'homme continue � tirer sur la corde, je sens les muscles de mes �paules et de mon dos se contracter douloureusement. Je r�siste � la tentation de me mettre sur la pointe des pieds pour rel�cher la tension. L'homme enroule la corde � un crochet en m�tal rouill� et dispara�t nous laissant Yoann et moi compl�ment d�sempar�s.

Je me disais dans ma t�te que nous aurions du lui sauter dessus juste � la sortir de la camionnette, que nous ne sommes pas des crevettes et qu'� deux nous avions une chance de le mettre chao, vous savez comment on refait l'histoire dans des cas comme �a. Au bout de quelques minutes, j'avais d�j� des fourmis dans les bras, et dans les mollets que je contractais malgr� moi. L'homme revient alors dans la salle en tra�nant derri�re lui un tuyau de lance � incendie. Lorsqu'il commence � nous asperger, j'ai le souffle coup� car l'eau, en plus d'�tre froide, est projet�e sur nous avec une violente pression. Quand le jet atteint nos visages, je ferme les yeux en serrant les paupi�res. Par contre la douleur est intense et aigue lorsque le jet s'attarde sadiquement sur mon sexe et surtout mes couilles. L'homme tourne autour de nous et je le vois se rapprocher de Yoann et diriger le jet vers son cul. Je tourne mon visage pour essayer de consoler Yoann par mon regard, mais Yoann a les yeux ferm�s et je voit aux rides qui d�forment son front qu'il d�guste et que la force du jet dans son cul doit �tre hypra douloureuse. D'ailleurs j'entends l'homme dire en ricanant :

- Alors la p�dale, tu aimes mon petit lavement ?

Comme Yoann ne r�pond rien le type rapproche encore l'extr�mit� de la lance et le jet frappe avec violence le trou du cul de Yoann et �claboussant l'homme qui semble ne pas �tre g�n� par ce d�sagr�ment, Yoann grimace, mais reste silencieux. Cela semble �nerver l'homme qui crie soudain :

- Allez la p�dale, je veux t'entendre me dire que tu prends ton pied, t'aimes que l'on te traite comme la petite pute que tu es, allez j'�coute...
- (Yoann d'une toute petite voix) Oui monsieur je suis une petite pute.

Yoann a parl� si doucement que je ne sais si l'homme sera satisfait par cette d�claration. Et effet il hurle soudain :

- J'ai dit je veux entendre " je suis une petite pute ", allez plus fort que cela !
- (Yoann) OUI JE SUIS UNE PUTE ET VOUS ALLEZ ME BAISER COMME LES PUTES AIMENT ETRE BAISE !

J'ai le souffle coup� car dans le cri de Yoann j'ai l'impression de distinguer une part de perversion salace et des pens�es graveleuses envahirent mon cerveau, r�sultat de dizaines d'heures de matage attentif de pornos. Mais la douleur que je ressentis au moment ou le jet me p�n�tra effa�a toute image, la puissance de l'eau ajout� � la temp�rature de celle-ci me d�chira l'anus, comme ci c'�tait une lame de poignard s'enfon�ait en moi. Anticipant sur les d�sirs pervers de l'homme je cris soudain, mu par un profond instinct de d�bauche :

- Allez y a fond. Nettoyer moi bien mon petit trou de pute soumise !

Il ricana, et me transper�a encore pendant quelque temps mon cul avec le jet, puis il coupa l'eau. Le bruit de l'eau ruisselant sur nos corps diminua au fur et � mesure des secondes qui suivirent. Le froid alors nous fit frissonner Yoann et moi. L'homme avait disparu, le silence est total, puis en tendant l'oreille j'ai l'impression d'entendre des bruits de voix lointaines. La nuit devait �tre tomb� maintenant et je supposais que ma m�re devait m'en vouloir de d�coucher une fois encore sans la pr�venir, j'imaginais mon portable sonnant dans mon sac � dos rest� dans les gorges. L'homme r�apparu soudain accompagn� de Rachid et Kamel. Il �tait tout les trois en slip de cuir noir, et la taille du contenu du slip �tait impressionnante avec la palme de la plus grosse bite qui revenait � Kamel. Les gros sexes me font toujours " peur " en effet moi qui adore sucer une queue, je ne sais jamais comment donner du plaisir � un mec alors que je ne peux avaler que 25% de sa bite. L'homme ordonne � Rachid & Kamel de nous d�tacher, j'ai l'impression que mes bras p�sent une tonne, je peux � peine les bouger et je n'arrive pas tout de suite � me frotter les poign�es pour faire revenir plus vite la circulation dans mes mains qui sont rouges du froid.

(Kamel) - A quatre pattes les putes !

Et il nous attache � chacun un collier de chien, vous savez les colliers en m�tal qui rapetisse lorsque le chien tire trop sur la laisse. Les pointes de m�tal me griffent la peau du front et des joues. Lorsque Kamel tire sur la laisse pour me faire avancer j'ai un hoquet de stupeur et de terreur m�lang� tellement la pression sur mon cou me fait mal, je n'arrive pas � m'emp�cher de geindre. Je re�ois un coup de pied dans le ventre, je crois que je vais vomir, mais non la naus�e n'est pas encore assez forte. Mes genoux sont � vifs car le sol en b�ton est vieux et in�gal. Je n'ose pas me retourner pour voir Yoann j'ai peur de recevoir d'autre coup de la part de Kamel. Nous entrons dans une salle assez grande ou deux tables en inox semblent nous attendre mena�ante de leur froid �clat gris. L'homme dispara�t une fois de plus, le silence se fait, troubl� par le bruit de nos deux respirations. Kamel ouvre la petite fermeture �clair de son slip et exhibe sa queue encore molle.

(Kamel) - Allez la salope, commence ton taf, suce.

Je pousse en moi-m�me un petit soupir de soulagement, malgr� la taille de l'objet assez terrifiante, lorsque je prends le cylindre en bouche j'ai l'agr�able surprise de sentir une bonne odeur de propre et pas un remugle de pisse refroidit. Yoann lui aussi suce le sexe de Rachid qui le regarde avec un air super vicieux. Je passe bien ma langue � plat le long de son gros chibre en aspirant bien, et en faisant sortir r�guli�rement sa bite de ma bouche, � chaque fois cela fait un petit bruit mouill� que Kamel semble trouv� excitant.

Des fois je me sens attir� par ses boules et je les humidifie avec le maximum de salive gr�ce � de gros coup de langue. J'ai un peu peur que Kamel remarque que ma bite est en train de gonfler car je commence � �tre troubl� par la saveur de la peau de la poutre de Kamel, je cherche � l'enfoncer le plus loin possible au fond de ma gorge, mais c'est mission impossible, en plus je ne suis jamais arriv�e � faire des gorges profondes j'ai de suite envie de gerber. Malheureusement les choses allaient rapidement se g�ter. L'homme d'un coup est devant nous, la bite de Kamel m'�chappe et je vois que l'homme apporte un gros gode en plastique rouge, et un pot de peinture (?), non quel con il s'agit bien �videmment de lubrifiant. Mais la surprise d�sagr�able c'est qu'un quatri�me personnage appara�t, et lui sa bite n'est pas terrifiante, elle est abominable. Le black en question mesure bien 2 m�tres, et il a un v�ritable salami entre les jambes.

Il se dirige direct vers Yoann et lui enfourne direct sa bite dans la gueule. Je vois bien que Yoann s'�touffe sous les coups de bite du gros noir, mais je ne vais plus pouvoir regarder car � ce moment Rachid et Kamel me prenne par les bras et les jambes et d�pose sur le dos comme une escalope sur la table. Puis ils me tiennent chacun une jambe en prenant fermement le mollet, il �carte, et �carte encore, j'ai un mal de chien mais je veux pas leur faire la joie de me mettre � crier. L'homme m'enfonce son index dans la bouche en me demandant de bien l'enduire de salive, je ne pense m�me pas � le mordre et il me l'enfonce direct dans mon trou, la bave l'ayant un peu lubrifi� cela ne me fait pas trop mal, mais il ajoute rapidement ses autres doigts, et apr�s quelques mouvements de p�n�tration j'ai ses cinq doigts r�unit en pointe qui viennent me violer le cul sans aucune douceur et ce n'est pas agr�able du tout.

En plus l'homme ne cesse de r�p�ter comme un mantra des trucs du genre, elle aime �a la petite salope, elle prend d�j� son pied la tapiole, putain son cul va ressembler au tunnel sous la manche une fois que Jordan l'aura bien pilonner.

Je sers les dents au maximum en regardant au plafond. Lorsque l'homme d�pose l'extr�mit� du gode sur ma rondelle, je sais que je vais avoir le cul totalement d�chir� par ce truc dont le diam�tre est proprement inhumain. J'entends des bruits mouill�s et un truc froid et gluant me coule dessus, le fameux gel du pot de peinture. Lorsque l'homme pousse le gode pour le faire entrer dans mon trou je crois que je vais tourner de l'oeil tellement la douleur est aigu�. Comme par r�flexe je contracte les muscles de mon cul, et cela marche l'homme n'arrive pas � rentrer le gros gode. Cela l'�nerve, j'aurais pu �viter ce qui allait suivre mais je ne savais pas encore de quoi ils �taient capables.

L'homme demande � Kamel et � Rachid de me retourner et de me maintenir le torse sur la table les pieds � terre, le cul offert � son imagination vicieuse. Lorsque le premier coup s'abat sur mon cul, le choc est trop fort et j'ai donc le souffle coup�, j'ai m�me trop mal pour m�me crier ma douleur. Il utilise une grosse ceinture et me fouette comme jadis devait l'�tre les esclaves noirs dans les plantations sudistes. Le deuxi�me coup me fait litt�ralement hurler. Je ne savais pas que j'�tais capable de faire autant de bruit. Il faut toute la force des muscles de Rachid et de Kamel pour me maintenir sur la table. Lorsque le cinqui�me coup calque sur la peau de mes fesses je comprends au bruit que cela fait que ma peau est � vif et que mon sang commence � couler.

(l'homme) - Je continue ou tu me laisses te d�foncer le cul pour te pr�parer � la bite de Jordan ?

Moi dans un glapissement sanglotant je r�ussis � balbutier un acquiescement, malgr� mes r�solutions je n'arrive pas � m'arr�ter de pleurer lorsque les premiers centim�tres du cylindre en caoutchouc s'enfoncent dans mes intestins. Mes sanglots r�jouissent fortement l'homme, je l'entends ricaner. Je per�ois chaque mouvement du gode dans mon cul et je constate que l'homme commence des mouvements de va et vient afin de me dilater l'anus le plus possible, il ajoute de temps en temps du gel.

Dans certaine histoire le " h�ros " raconte que les sensations deviennent agr�ables et jouissives au bout d'un moment, putain moi j'avais pas du tout cette impression, je ne pensais qu'� une chose, merde cela s'arr�te quand ! Par-dessus le bruit de ma propre respiration saccad�e j'entendais les hal�tements rauques que poussaient Jordan en pilonnant la bouche de Yoann de son ph�nom�nal mandrin. Dans un bruit de succion qui na rien d'�rotique l'homme d�cula le gode et je vis la silhouette de Jordan se rapprocher de moi tel un aigle se pr�parant � gober un moineau. Il me posa les jambes sur ses �paules avec la plus totale d�contraction, comme s'il faisait une partie de UNO, je sentis son gland turgescent entrer en contact avec ma rondelle, il lui suffit d'une petite pression pour qu'il s'introduise dans mon cul totalement dilat�. En faisant des petits " han han han " il me glissa la totalit� de sa bite, lorsqu'il commen�a ses va et vient je sentis ses grosses couilles heurt�es mon cul en faisant un flop flop qui me donnait envie de me marrer, j'avais l'impression d'entendre la b.o. d'un film porno.

Pendant que je me faisais d�truire le cul par Jordan, Yoann lui avait la bouche remplit par les deux bites de Rachid et Kamel en m�me temps. Yoann devait d�guster le pauvre, j'�tais dans un �tat de complet d�tachement, mon esprit flottait au-dessus de moi, et je pensais � des trucs surr�alistes style-genre : pourvu qu'il ne pleuve pas cette nuit car mon sac � dos n'est pas �tanche et mon bouquin risque d'�tre ab�m�.

Tout � coup j'ai la bite de Jordan devant mes l�vres, il me pince le nez pour que j'ouvre la bouche, il l'enfonce trop fort ce con je vais lui d�gueuler dessus, bien fait. Mais j'ai pas eu le temps de cracher mon vomi, par contre lui le salop il m'a bien rempli la bouche de jus bien �pais. Pendant quelques secondes dans un �tat semi comateux j'ai continu� � lui l�cher le zob en le d�barrassant de la moindre trace de son foutre, je lui rendis une bite bien luisante de bave. Il me tapota la t�te en me disant " bonne petite pute, je vois que t'as bien aim� mon bon jus de mec chaud ". Le plus horrible c'est qu'en effet, j'aime toujours sentir l'odeur du sperme me remplir le nez lorsqu'il coule dans ma gorge.

Des cris de b�te de la part de Rachid et de Kamel m'apprirent qu'il venait de leur cot� de se vider les couilles. Les trois comp�res disparurent sans bruit, l'homme me releva sans tendresse en me tirant avec la laisse, nous nous retrouv�mes avec Yoann � suivre notre bourreau sans qu'une parole ne soit �chang�e. L'homme nous laissa marcher normalement debout, c'est mieux qu'a quatre pattes. Dehors le mistral soufflait mais pas de pluie, le sol �tait recouvert d'herbe toute jaunie par le manque d'arrosage. Je voyais devant moi deux esp�ces de petites cabanes de bois, puis un neurone se d�bloqua et je compris que l'homme nous emmenait � nos " chambres " deux niches de chien. La taille des cha�nes �tait disproportionn�e par rapport � nos forces, m�me avec un 4X4 Ford Am�ricain il aurait impossible de rompre les maillons de ce type de cha�ne. Lorsque le claquement du cadenas retenti j'ai eu l'impression d'entendre le bruit d'un revolver sans balle. L'homme s'�loigna, il ne nous avait pas souhait� une bonne nuit.

En tirant le plus possible sur ma cha�ne j'ai pu m'approcher de Yoann, il pleurait beaucoup, silencieusement ce qui me fit encore plus mal au coeur. J'ai essay� de lui parler, mais je compris tr�s rapidement qu'il ne m'�coutait pas. Devant la niche, il y avait des �cuelles en inox remplit d'eau, je me penchais dessus et je bus comme je pus, je ne poss�dais pas une grosse exp�rience de lapeur d'eau, lorsque l'on regarde un chien faire cela para�t facile, mais vous avez pens� � la longueur de sa langue, il a de la chance le chien. L'eau avait un go�t de terre ou de pourri je ne sais pas mais j'avais tellement soif que j'aurais n'importe quoi. Je jette un coup d'oeil � l'int�rieur de ma niche, il y a un truc de toile en guise de couverture, pas de drap de coton, pas de matelas, pas d'oreiller. Des mouches bourdonnent, la niche sent le chien ! Il y a des poils de chien partout sur le sol, putain de chiotte j'esp�re que je ne vais �tre bouff� par des tiques ou des puces. Je rentre dans ma niche, la cha�ne fait clic clic clic, je me couche en boule, j'ai mal partout, je me touche les fesses, je retire ma main de suite car cela me br�le trop. Je me tortille pour essayer de trouver une position par trop inconfortable, je me tourne encore et encore pendant de longues minutes. Le collier me fait mal, le m�tal de ma cha�ne est froid contre ma peau. Je pose mes mains par terre pour me faire un coussin pour ma t�te, je ferme les yeux...

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