Chapitre 1
J'aime le rebeu, j'adore mon Daddy rebeu, je dirais même je suis accro à ce beau mec arabe.. il est beau dans le sens de son aura, de sa présence, de sa maturité, de son autorité.. C'est un mec que je n'aurais sûrement jamais remarqué si ce n'avait été lui qui m'avait fixé ce jour là..
Je suis un jeune mec de maintenant 20 ans, je rentrais du boulot le soir, dans le métro.. il était 17h30.. je m'en souviens bien! Je m'étais étonné que le wagon soit particulièrement vide.. enfin vide pour cette heure là, on n'était pas collé les uns contre les autres.. la sueur du soir dans le métro.. je me tenais à la barre, quand j'ai senti un regard se poser sur moi, j'avais l'impression d'être détaillé.. je regardais autour de moi et je vis le rebeu.. que j'ai qualifié de vieux immédiatement dans ma tête, pas de ceux que j'avais l'habitude de mettre dans mon lit.. et ce mec, ce Daddy, me dévisageait sans vergogne, son regard m'a fixé, puis est descendu sur mon corps, j'étais de profile par rapport à lui et son regard s'est arrêté sur mon cul qu'il visionnait sans se cacher.. cela m'a amusé et je l'ai regardé, vieil homme rebeu au visage buriné par le soleil, quelques rides entouraient ses lèvres surmontées d'une petite moustache, des yeux noirs perçants, et je descendais sur son corps, un sweat enveloppait un torse qui semblait ferme, puis un pantalon de survêt gris qui moulait un sgeg qui bandait sans façon et, plus il me regardait, plus il me semblait qu'il prenait du volume..
Cela m'a fait de l'effet, enfin pas vraiment à moi mais ma queue s'est réveillée de voir ce tableau.. et mon petit cul commençait à me démanger.. surtout qu'il ne le quittait pas des yeux..
Les idées s'entrechoquaient dans ma petite tête de blond.. j'vais pas me taper un daron quand même et l'autre petite voix qui disait tu vas pas rater une si belle queue quand même, tu t'en fous de la tête c'est le zob de rebeu que tu veux..
Je n'en revenais pas de l'état dans lequel il m'avait mis, rien qu'avec son regard.. et je bandais de plus en plus..
A l'approche d'une station, il est venu vers moi, me fixant, sans sourire..
-j'descends là.. suis moi!
Putain de culot le vieux! j'en revenais pas..
Il se déplace vers la porte, qui coulisse et sans ses retourner descend du wagon.. j'hésite.. et ni une ni deux, je saute au moment où les portes allaient se refermer..
Je le vois partir un peu plus loin, il ne se retourne pas..
Je le suis, je me rapproche jusqu'à marcher à côté de lui, une fois sortis de la station, il me jette juste un regard.. mais ne dit rien, même quand je lui demande où il va.. il continue son chemin sans un mot.. et moi comme un con je le suis..
On arrive à une tour, je suis toujours derrière, il rentre, prend son courrier comme si je n'étais pas là, je remarque son nom et son prénom Mourad et le numéro de l'appart..
On prend l'ascenseur.. 15ème étage.. il n'a toujours pas dit un mot, il ouvre sa porte, entre, me laisse entrer, referme la porte à clef.. se tourne vers moi, me saisi à la gorge en m'approchant de lui..
-tu dois être une sacré salope pour suivre un mec comme moi dès qu'on te le demande..
Là, j'ai la trouille d'un seul coup.. putain le zob me fera faire toujours que des conneries.. je ne peux pas parler tellement il me serre le cou et en même temps j'ai pas envie de me rebeller, pourtant je suis à peu près sûr d'avoir le dessus.. mais je bande encore les mecs!
-tourne toi face au mur!
La pression sur mon cou s'enlève, j'obéi..
-descend ton pantalon et ton slip! cul à l'air que je vois la marchandise!
Là on revenait dans le domaine que je connaissais.. c'était bien mon cul qui l'intéressait, en fait j'ai pensé il fait son macho pour m'impressionner..
J'ai fait ce qu'il m'a dit.. je m'attendais à sentir sa main chercher mon trou.. mais j'ai entendu un bruit métallique.. j'ai voulu tourner la tête..
-reste comme ça et tend tes bras dans ton dos..
J'ai obéi naturellement et je me suis retrouvé menotté les mains dans le dos avant que j'ai pu comprendre ce qui m'arrivait.. là j'ai voulu me rebeller, mais il était trop tard, sa main s'est refermée sur ma nuque me serrant à mort..
-je vais te donner ce que tu es venu chercher ! t'en fais pas ma salope!
J'avais le coeur qui battait à mille à l'heure.. j'ai entendu qu'il devait baisser son survêt et son slip.. Il m'a fait reculer pour me décoller du mur de l'entrée, m'a saisi aux poignets entravés en me relevant les bras.. ce qui automatiquement m'a fait me baisser en avant..il tirait au maximum, j'avais mal aux épaules mais il avait l'air de s'en foutre complètement.. si bien que mes fesses se sont frotter sur son sgeg que je ne voyais pas.. je sentais cette chose dure, chaude et mouillée se frotter contre moi.. sa main libre est venue me claquer les fesses très durement, me faisant déjà crier.. puis ce fut des caresses partout sur mes fesses, sa main était chaude mais rugueuse, les mains d'un travailleur manuel à coup sûr.. puis il m'a fessé encore et encore.. mes belles petites fesses devaient être très rouges et elles commençaient à me piquer fortement.. et une main s'est encore appuyée sur mon dos..
-ouvre tes jambes!
J'ai obéi, sentant immédiatement le gland de son sgeg chaud parcourir ma raie.. pour être un habitué des bon zobs, je pensais que cela devait être un gros morceau qui allait me perforer.. mais il mouillait beaucoup le daron, et quand son gland a trouvé mon petit trou qui s'entrouvrait facilement , je poussais pour l'ouvrir encore plus.. sa main me reprend aux menottes et d'un coup de reins force mon trou.. je sens le gland, sûrement un énorme champignon m'ouvrir le sphincter d'une seule poussée, une douleur fulgurante est apparue, j'ai gueulé comme un malade qu'on écartèle car son sgeg continuait sa progression et prenait possession des lieux en un rien de temps..
Ma tête collée sur le mur de l'entrée, le cul bien en l'air, les jambes bien écartées, menotté dans le dos, poignets tenus par le Daddy j'étais complètement à sa merci..
Son sgeg a commencé à bouger en moi, doucement d'abord, je sentais son gros champignon racler le conduit, me chauffer comme jamais.. et il rentrait à coups secs dans mon petit cul bien ouvert maintenant, et à chaque fois j'ai gueulé, gueulé comme un malade qui aimait son gros zob.. il me tenait toujours pas les menottes, à chaque coup de reins ma tête cognait contre le mur.. il s'en foutait, sa queue coulissait bien en moi.. ses coups de reins étaient devenus de plus en plus puissants et secs, quand il s'est bloqué au fond de moi et que j'ai senti sa première giclée chaude et abondante inonder mon conduit.. et de suite les autres giclées sont arrivées.. il donnait de petits coups de reins comme s'il voulait aller encore plus loin et me donner tout son bon jus..
Il m'a redressé contre lui me disant à l'oreille que j'étais une bonne salope.. sa queue s'est retirée d'un seul coup laissant un grand vide et j'ai senti son jus couler sur mes jambes..
J'ai entendu qu'il se rhabillait..
Il a défait les menottes, je me suis retourné en me massant les poignets endoloris.. j'avais la queue bien raide qui coulait.. pointée vers lui.. il l'a regardé en souriant.. j'ai voulu me branler.. il m'en a empêché..
-tu vas pas salir mon entrée la salope! rhabille toi et donne moi ton tel..
Frustré j'ai obéi, j'ai vu qu'il marquait quelque chose ..
-voilà, tu vas rentrer chez toi, te mettre à poils sur ton lit et te branler.. quand tu vas juter, je veux que tu avales tout ton jus.. que tu te filmes et tu m'envois la vidéo.. si tu fais ça tu as le droit de revenir demain soir pour une autre leçon..
Je n'en croyais pas oreilles! je me suis rhabillé.. il a ouvert la porte, on était toujours dans l'entrée et il m'a poussé gentiment sur le palier, refermant sa porte..
Je me suis retrouvé sur le palier, le coeur battant, ma queue qui mouillait le boxer en abondance et son jus qui coulait encore de mon cul.. je n'en revenais pas de ce que j'avais fait.. mais j'avais envie de lui obéir..
Je suis rentré le plus rapidement possible chez moi.. pour faire ce qu'il avait demandé.. j'en ai même fait plus, filmant mon petit trou qui était à peine refermé et d'où coulait son jus.. j'ai filmé au plus près.. et je me suis branlé.. j'ai pas mis longtemps à jouir de longues trainées de sperme sur mon corps.. et, face à la caméra j'ai dégusté mon sperme.. lui montrant bien que je l'avais sur la langue et que je l'avalais..
J'ai envoyé la vidéo..
Je n'avais pas mis longtemps à jouir, juste en me rappelant ce qu'il m'avait fait.. et la frustration de n'avoir pas pu toucher et voir sa grosse queue.. et il fallait que je retourne le voir.. je voulais le voir à poils ce Daddy rebeu et m'occuper de sa queue autrement..
Je n'ai eu aucune nouvelle de la vidéo..
Mais que pensez vous que j'ai fait le lendemain ?
Fabrice
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