Poil de Carotte | 05 | Jam

Poil de Carotte chez les Sodomites

5 | Les garçons, il est à vous...

Je me suis couché sans attendre dans le lit de mon hôte. De toute façon dans cette grande chambre en pierre, il n'y a rien d'autre que le lit. La fenêtre possède des barreaux. Une minute plus tôt, je me suis échappé de la salle à manger le cul à l'air. Dans la chambre, pas de pyjama pour les invités, alors forcément je suis tout nu sous la couette. Ma peau est blanche comme les draps, hormis mes petites touffes de poils roux.
J'attends que mon beau-père vienne se coucher... avec beaucoup d'appréhension j'avoue. Je crains surtout son énorme zob... Je sais pas, mais je le sens mal... Et puis quand même, un village qui s'appelle Sodome... il doit y avoir une raison... Tout ça me stresse un peu je dois dire.
Mais au bout d'un moment le sommeil me gagne. Mes paupières s'alourdissent. La douce chaleur de la couette me réchauffe progressivement. Je pose une main protectrice sur mes fesses. Une chouette hulule au loin. Je ferme les yeux et je m'endors avec l'image de 5 petits moutons qui jouent à culbuto.

Le lendemain matin, je suis réveillé par un énorme ronflement. Je suis couché sur le côté. Beau-papa est derrière moi et me ronfle dans l'oreille. J'ouvre les yeux. Le corbeau, sur son portant perché, me regarde bizarrement en clignant des yeux avec ses paupières inférieures. L'air est frais dans la pièce. Mais il fait bon sous la couette. Un long bras musclé et poilu est posé sur moi et pèse sur mon côté. Le bras m'entoure et les doigts caleux de mon beau-père se sont glissés dans mon pubis roux. Ça sent fort la transpiration. C'est agréable. Je referme les yeux. Je suis sur le point de me rendormir.

Puis d'un coup je réalise que je ne rêve pas mon beau-père est vraiment en train de me toucher le pubis ! Et en plus si ça se trouve il est tout nu lui aussi !... Et en effet je devine ses poils rèches comme un scotch-brite contre mes fesses, et un peu plus bas quelque chose de lourd et de mouillé... Putain ! le zob !
Pour en avoir le cœur net, j'essaie de glisser une main dans mon dos mais le long bras inerte m'empêche de bouger. Alors je décide de faire autrement : Je glisse ma main entre mes jambes, le long de mes couilles, je remonte jusqu'à mon anus et là mes doigts rencontrent un truc mouillé et chaud ! Putain ! le zob !
Le pédé il est à poil et il est blotti contre moi ! Je continue, c'est mou c'est gros c'est doux c'est chaud c'est entouré de poils durs et de plis de peau très doux. Je descends plus bas, je suis les replis de peaux et je tombe sur les grosses couilles... du papa de ma fiancée ! Putain c'est chaud !
Son ronflement s'est brusquement arrêté. J'espère que je ne l'ai pas réveillé. À présent il respire fortement dans mon cou. Je sens sa queue durcir entre mes jambes... putain pourvu que je ne l'aie pas réveillé ! Sa bite est de plus en plus grosse, elle est dure et chaude et s'avance lentement entre mes jambes, je sens les petites pulsations de son pénis entre mes cuisses, et je vois maintenant son gros gland mouillé qui dépasse sous mes couilles... Putain... Mais c'est trop bon, je continue à le caresser doucement. Il respire très fort, il mouille énormément. Ça coule sur ma cuisse. Sa teub est maintenant énorme et dure comme du bois. Elle marque des petits à-coups... Putain c'est sûr il est réveillé !
- Alors comme ça il te plaît pas, mon zob ?
Je sursaute. Et brutalement d'une main il m'empoigne les fesses tellement fort que j'ai l'impression qu'il me mord, et de l'autre il me chope le sexe : sa main est tellement grosse qu'il empoigne tout à la fois mes couilles et mon sexe bandé. Il serre. Ça fait mal. Il m'a chopé des 2 côtés. Je ne peux pas m'empêcher de gémir...
- T'aimes ça, poil de couille ?
Et, malgré moi :
- Oui...
Le corbeau me regarde toujours... j'ai l'impression qu'il me fait un clin d'œil.

Ensuite ben j'ai rien compris de ce qui s'est passé. Avec ses grosses mains il me soulève pour me mettre tantôt sur le ventre, tantôt sur le dos, tantôt à quatre pattes, tantôt le cul en l'air, tantôt la tête en bas. J'essaye de penser à Ruth... je me dis que je dois passer par le lit de son père pour aller jusqu'à elle... Mais l'énorme bite me ramène à la réalité : Il me bourre le cul en me bouffant la bouche, il me bourre la bouche en me bouffant le cul, il me bouffe la bite sans arrêter de me défoncer le cul, il me doigte le cul sans arrêter de me bouffer la bouche, il me... et puis merde je sais plus moi à force !
Il dit :
- Alors tu l'aimes mon gros zob, petit renard ? Avale ça, poil de couille ! T'en veux encore, petit pédé ? Alors, t'as mal au cul ? Ça t'apprendra à jouer avec la bite à beau-papa...
Ses coups de reins sont de plus en plus forts, je n'ai plus de force dans les jambes ni dans les bras, je me laisse faire. Je sens son gros membre entrer et sortir et ses couilles taper sur mon cul. Je sens son gland taper le fond de ma gorge, mon nez s'écrase dans ses poils durs. Je sens sa grosse langue intrusive me fouiller la bouche et me pénétrer le cul... Je sens son agitation croissante et son immense tension sexuelle... Et d'un coup, au moment où il me traite de petite pute, je le sens submergé de contractions de plaisir, je sens des flots de sperme se déverser dans mon cul, des longues giclées de foutre dans ma bouche et des jets en saccades sur ma figure... Il pousse de longs cris rauques et des râles profonds, sans pudeur, qui doivent s'entendre dans tout le village. Ensuite il retombe lourdement et se rendort quelques minutes. Son gros sexe brillant débande doucement en libérant un résidu de liquide baveux. Je regarde mon zizi qu'il tient toujours dans sa grosse main... et je trouve ça beau.

Puis d'un coup, il se lève. Il ouvre la porte. 5 petites têtes vicieuses apparaissent. L'une d'elle lui lèche le bout de la bite. Puis il se rhabille sans même essuyer son sexe morveux. Le corbeau regagne l'épaule de son maître. Les garçons se sont glissé dans la chambre. Leur père sort de la pièce en remontant sa braguette, me laissant là, nu, dégoulinant et épuisé.
- Les garçons, il est à vous...