�a peut faire mal !J'ai lu r�cemment un t�moignage d'un mec racontant sa premi�re exp�rience anale traumatisante. Du coup, j'ai eu envie de le crier haut et fort � mon tour : la premi�re sodomie g�niale o� on prend son pied comme une b�te, �a rel�ve malheureusement souvent du pur fantasme ! Avouons-le pour combien d'entre nous �a a plut�t fait mal ? Si je soul�ve le sujet, c'est que bien s�r pour moi, �a ne fut pas g�nial, j'avais 19 ans, j'�tais en fac, je me cherchais, je me suis mis � tra�ner le soir et tout naturellement, j'ai rep�r� le petit jardin pr�s de la rivi�re o� il y avait que des mecs ... Pendant plusieurs jours je n'ai fait que m'en approcher et regarder de loin... En plus, il �tait bien 2 heures du matin, il y avait plus foule ! C'�tait m�me apparemment d�sert, et je crois que c'est ce que j'esp�rais, enter dans ce lieu magique pour la premi�re fois juste comme �a pour le voir enfin de pr�s ! Et puis il est apparu, tr�s viril, muscl�, barbu et moustachu, look motard, il �tait tr�s chaud et �a se voyait sans probl�me qu'il bandait, j'ai fuis par le chemin par lequel j'�tais venu, j'avais pas envie, j'�tais pas pr�t m�me si en m�me temps, je l'avoue, j'�tais un peu excit� mais avec le coeur battant la chamade. Tr�s vite, il n'y avait plus personne derri�re moi, il ne m'avait pas suivi dans le chemin. Ses mains ne ch�maient pas et il a baiss� mon jean et mon slip malgr� mes essais pour l'en emp�cher. Je haletais sec et il en a profit� pour arr�ter de me plaquer contre l'arbre et arr�ter de m'embrasser : les mains libres, il a enlev� totalement son pantalon de cuir et son boxer ; sa bite �tait superbe, dure, tr�s poilue, non-circoncise, �paisse, brune et un peu courbe. Une fois, � l'aise, il m'a replaqu� � l'arbre pour reprendre ses baisers et son tripotage. Il m'a forc� l'anus avec un doigt puis deux sans vraiment se pr�occuper de moi : j'avais mal, je ne voulais pas, mais j'�tais bloqu� et il me remplissais la bouche avec sa langue pour m'emp�cher de crier ! Quand il a �t� trop chaud pour tenir, il m'a litt�ralement soulev�, le dos contre l'arbre, les jambes lev�es comme une fille qui accouche, une main me maintenant les poignets, la bouche �cras�e contre la mienne. Quand c'est entr�, j'ai cru mourir de douleur, je ne sais pas combien de temps il m'a forc�, je pleurais, il l�chait mes larmes, je criais, il m'embrassait, j'essayais de "d�culer", il se r�engageais avec force en me prenant par les hanches. Il a �norm�ment joui, bruyamment dans mon anus sans me demander si j'�tais d'accord, il est rest� plant� en moi, m'a masturb�, j'ai joui dans la douleur, �a me provoquait des crampes dans le rectum tout esquint� par sa pr�sence et ses mouvements pr�c�dents. Il est sorti de moi, m'a mis son sexe souill� de merde, de sang et de foutre dans la bouche pour que je nettoie ! Il m'a couch� sur le dos, je ne r�sistais plus du tout, je ne me d�battais plus, je ne g�missais plus : j'�tais souill�, avili, d�goutt�, soumis... Il m'a � nouveau sodomis� allong� par terre, j'ai pleur� sans bruit, il m'a dit qu'il s'appelait Antoine, qu'il avait 53 ans, qu'il m'aimait. Ce que je ne comprends toujours pas, c'est pourquoi il n'a pas �t� tendre, pourquoi il n'a pas essay� de me d�puceler en douceur en me lubrifiant ? Le pire c'est que j'ai accept� de le revoir deux jours apr�s ! Bizarrement, cela ne m'a pas bloqu� au point de refuser d�finitivement l'acte anal. 3 mois plus tard, un �tudiant de ma cit� universitaire me sodomisait divinement en me faisant d�couvrir qu'on pouvait avoir du plaisir par l'anus. R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |