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La Fratrie 3

Sur le mur du salon, nous comptions dor�navant une bonne 50aine de polas. Toutes devenant plus extr�mes les unes que les autres : C�dric a pris un pola de lui compl�tement d�chir� au milieu de deux demoiselles aux seins nus. Emi et mon fr�re s'�taient amus�s � comparer la longueur de leurs jets, mon fr�re avait gagn�, preuve � l'appui.
Le mur vert du salon devenait de plus en plus �loquent.

Ce soir, apr�s le repas traditionnellement accompagn� d'un g�teau poire-chocolat d'anniversaire, ainsi que d'un appareil photo reflex, je monte dans ma chambre r�cup�rer quelques affaires.
Pour mon anniversaire, la fratrie a pr�vu chez C�dric un week-end avec pas mal de monde.
Je retrouve mon fr�re avec le boxer d�form� dans sa chambre, sur son ordi.

- Qu'est-ce tu fous, on doit y aller l� !
- Ca va �a presse pas Nils, viens voir plut�t ma copine se pr�parer.

Sa nouvelle copine, Elise, �tait devant sa cam, nue et se doigtait tranquillement pour le plaisir de mon fr�re.

- N'est-elle pas charmante ?
- Elle vient pour mon anniv ?
- Ouai, elle nous rejoindra dans la soir�e, mais je sais pas si on va rester dormir.
- Pourquoi ? Attends l�, tu vas pas louper mon anniversaire ?!
- Bah... regarde l� franchement. J'ai trop envi de la baiser frerot. Comprends moi si je l'emm�ne, on aura aucun coin tranquille. Puis Ced, si y a une meuf qui passe le palier de sa porte, il faut qu'il se la prenne.
- Et alors, tu t'en fous toi, tu n'as qu'� le pr�venir.
- Erf ouais... on verra. En attendant matte-moi cette petite chatte.
- Eric, les chattes c'est pas trop mon truc.
- Ouais je sais mais l� quand m�me ! elle me donne trop envie de me branler.

Sa copine continuait de se masturber, les jambes �cart�es. A quelques intervalles elle �crivait � mon fr�re, lui demandant si il aimait, si il voulait voir autres choses, qu'elle �tait impatiente de le retrouver.

- Putain, j'en peux plus ! dit-il en sortant sa queue de son cale�on. Il bandait du mieux possible. Elle �tait droite et majestueuse, une go�te perlait sur son gland lisse et rose, Il la prit en main et commen�a � s'astiquer f�rocement. Mon d�sir ne fut que d'enfouir ma t�te entre ses jambes...
- Je me vide vite fait, et je te promets on se casse.
- Mouais, je t'attends en bas.

- ...Attends... viens te branler avec moi.
- Non merci, les chattes �a m'excite pas je t'ais dis.
- Bah ouais mais ma teub alors ? T'aimes bien les teubs nan ?

Mon sang bouillonna, mon visage devait alors �tre rouge. J'�tais trop excit� par mon fr�re et j'en avais honte.

- Ca va pas ou quoi ? T'es mon fr�re cr�tin !
- Bah et alors ? Je te demande pas de me pomper la tige. C'est juste une branlette entre fr�rot, me dis pas que �a t'intimide ?
- Bah nan, mais mater la teub de mon fr�re c'est un peu glauque nan ?
- Arf, allez, viens sur le lit, dit-il en s'allongeant l'ordi portable en main. Une bite c'est une bite. Ne regarde que ma teub et imagine un autre gars si tu veux.

Un l�ger moment d'h�sitation, puis, d�posant mon sac contre la porte, je le rejoignis.

- Okay, mais vu la petitesse de l'engin �a va �tre difficile, le charriais-je.
- Pff ! elle est belle ma teub, je trouve. Tu trouve pas ?
- Mais si mais si...

Mon sexe sorti, nous nous masturb�mes ensemble : Lui regardant l'ordinateur, moi sa jolie pine qui n'�tait qu'� quelques centim�tres de la mienne. On se masturbait gentiment.

- Tain, la premi�re fois que je l'ai prise, elle �tait toute poilue. Aucune chance que je lui fasse un cuni ! Je lui ai dit et depuis elle se rase la chatte. Je pr�f�re. Toi, quand tes gars sont poilus, t'aime ?
- C'est-� dire ?
- Bah quand ils sont poilu � la teub, du genre moi l�. Dit-il me montrant sa touffe de poils sombres.
- Bah... Je m'en pr�occupe pas. C'est normal chez un gars, faut juste que ce soit un peu rafra�chi de temps en temps quoi, quelques coups de ciseaux. Mais ras�, c'est claire, c'est mieux.
- Et le cul ?
- Pareil que toi, si c'est poilu, j'y fourre pas ma langue.
- Ah parce que tu l�che les culs ? Son visage m�lait les sentiments de d�go�t et de curiosit�, un brin d'excitation sans doute.
- Bah ouais... pas toi ? t'as d�j� sodo une meuf nan ? tu l'as l�ch�e ? Bah c'est pareil, suffit d'�tre propre.
- Ouais... c'est vrai...

On commen�ait � bien se masturber, l'excitation montait d'un cran, �a allait probablement venir, je pris donc l'initiative d'enlever mon tee-shirt. Il faisait chaud. Elise devait se pr�parer, elle arr�ta donc ses �bats, et commen�a � s'habiller, toujours devant la cam.

- Tain, nan je giclerais pas l� ! je vais �tre trop frustr�....
;Tit fr�re... tu veux pas m'aider ?
- Pardon ?!
- Bah ouais.. tu veux pas me branler ?

Sans attendre ma r�ponse, il prit ma main et la d�posa sur sa teub. Elle �tait chaude, la peau, douce. C'�tait mon premier contact avec la bite de mon fr�re, j'en revenais � peine. J'�tais � la fois diablement excit� et � la fois affol� par le contact que je pensais limite.... Lui fit de m�me, il d�posa sa fine main sur mon sexe, et commen�a � me branler de plus belle. Nous ne disions plus rien, sans doute tous deux conscients d'un rapport nouveau et quasiment incestueux, ambigu, entre le simple plaisir de d�couverte entre amis et l'acte sensuel entre deux fr�res. L'excitation �tait telle qu'il ne fallut pas beaucoup de temps pour arriver � l'orgasme.

- Je... Je viens ! dit mon fr�re en haletant.

Il me branlait de plus en plus vite et de plus en plus fort, je fis de m�me ! La chaleur de nos corps dut augment� tr�s rapidement, la sueur perlait sur nos fronts, les secousses fr�n�tiques de nos deux mains �taient intenses !
;Nous gicl�mes en m�me temps. De longs et gros jets de spermes sur nos ventres. Une quantit� �norme de semence blanche nous barbouillait du nombril aux t�tons, et m�me pour mon fr�re, une gicl�e atteignant son menton.

- Pouah.... Je crois que �'est la branle la plus fantastique que j'ai eu depuis ma premi�re fois, dit-il innocemment.
- Euh ouais... Pareil pour moi.

J'�tais aux anges, mon fr�re m'avait branl� comme un fou, m'avait fait cracher tout mon sperme.

- Alors, jolie ma teub hein ?
- Mouais, j'ai connu mieux, le charriai-je.
- Ah ouais ?

Il se leva, m'enjamba et mit sa bite sur mon visage. En rigolant il me r�p�tait :

- Et l�, tu l'appr�cie ma teub hein ?
- Ah non ! t'es deg, ah !

Je feignis de me d�battre vainement, et gardais en contact sa bite ramollie, son gland encore humide de son sperme qu'il essuya nonchalamment sur mes joues et ma bouche.

- Allez, petite tapette ! je me prends une douche et on se casse !

L'eau coulait dans la salle de bain. Quant � ma toilette, j'optais pour le sopalin.

Arriv�s chez Ced, nous saluons les gens.
Dans le couloir de l'entr�e se trouvait deux coll�gues de ma classe : S�bastien et Morgan. Avec Seb, on se su�ait de temps en temps dans les chiottes du lyc�e, quand l'envie nous prenait. Il avait une meuf, il se disait h�t�ro mais l'extase d'avoir mon sperme sur sa petite langue de chienne �tait bien plus intense que tous ses rapports avec la gente f�minine.
Morgan, lui est gay. Tr�s eff�min� n�anmoins charmant. Il est m�tis, une peau chocolat avec des yeux verts. Ce qu'il adore, c'est que je le prenne � quatre pattes dans sa chambre. En regardant un porno.

Dans le salon nous retrouvions enfin mes confr�res et d'autres :
Samy �tait venu avec une fille qui s'appelait Lila. Mignonne petite brune un peu timide. Ils se tenaient sous le mur des troph�es, lov�s dans le canap� de cuir. A c�t� d'eux, Emi parlait avec l'un de ses potes Iannis. Un grec de 22ans, certainement le plus �g� d'entre nous tous, qui �tait fort mignon. Chatain, la peau d'ambre, des yeux bleus magnifiques, un visage fin et bien dessin�. Des muscles secs. Il �tait sympa mais l�g�rement homophobe. Par sympathie pour mon fr�re, il m'avait accept� exclusivement comme le seul gay sympa. Mais il ne disait pas comprendre l'homosexualit� et trouveait �a r�pugnant.
Sur le vieux fauteuil devant la terrasse, se trouvait Elise la copine de mon fr�re. Ici, elle �tait habill�e, mais le fait de l'avoir vu la chatte � l'air, les jambes �cart�es, me fit sourire. Elle parlait avec Marion, une bonne copine de C�dric, qui s'amusait autant avec ses amies que nous dans notre fratrie. Elle �tait lesbienne et r�vait de s'occuper d'Elise.
Sur la terrasse j'apercevais Omar, Emilie et Maria qui discutaient tranquillement, sirotant leur verre et fumant leurs cigarettes. C'�tait bien la m�me Emilie de notre premi�re relation collective. Elle est devenue par la suite une amie qui vint fr�quemment � l'appart. Elle avait quitt� mon fr�re un moment pour C�dric mais comprit vite fait qu'elle n'aurait pas l'exclusivit�. Mais cela ne l'emp�che pas de garder un contact quasi fraternel avec l'ensemble de la bande et de coucher quelques fois avec l'un d'entre eux.
Omar et Maria �taient en couple. Un joli couple depuis deux ans. Omar avait l'�ge de mon fr�re, 19ans, et Maria le mien.
Dans l'autre fauteuil pr�s de la chemin�e dans l'angle, C�dric ! Les yeux d�j� bien atteints par sa consommation de shit et de bi�re, l'esprit n�anmoins vif, il se leva d'un bond et vint nous rejoindre.

- Happy birthday to you ! HAPPY BIRTHDAY TO YOU ! HAPPY BIRTHDAY TO YOU NILS ! Happy biiiirthdayyy to youuuu !

Tout le monde applaudit et vint me dire bonjour. C�dric me fit un bais� sur la bouche comme il avait l'habitude de faire depuis qu'on �tait gosses.
Je m'assis sur un des coussins diss�min�s autour de la table basse et pris une bouff�e du narguil�.
Je m'en doutais un peu � l'avance, cette soir�e allait �tre la Premi�re grande orgie de ma vie.

Trois heures plus tard, les choses devenaient un peu floues. On �tait tous un peu perch� avec l'alcool et le reste, et nous ne jurions plus de notre comportement exemplaire. Me sentant subitement seul � r�vasser sur le canap�, je pris la d�cision d'aller me soulager aux chiottes.

Occup�... Apr�s quelques instants, j'en peux plus, j'ouvre quand m�me, les chiottes de Seb n'ont pas serrure. Seb, debout, la queue � l'air me sourit mi g�n�, mi excit� par la situation. En effet, Morgan le m�tis lui taillait une majestueuse pipe, accroupi entre ses jambes, cul nu, le froc enlev�. Il lui pompait goul�ment la teub, ne prenant pas la peine ;de se retourner vers moi. N'y tenant plus, j'vais pour pisser. Les chiottes �tant � c�t� de Seb et Morgan, il �tait difficile de ne pas mater la sc�ne. La bite de Seb m'a toujours excit�, une bonne queue de 18cm, assez �paisse, vein�e partant vers le haut. Enfin, de voir la bouche pulpeuse de Mo' sucer cette hampe ne pouvait qu'obligatoirement me faire bander. Les derni�res go�tes tomb�es, je commence � me caresser tranquillement. Le sourire au coin des l�vres de Seb, son regard fuyant vers le bas ; je le connais par coeur, il veut ma teub.
Je m'approche d'eux. Mo', expert, prend ma tige en main et commence � l'astiquer pendant que je mordille cou de Seb. Il fait toujours l'h�t�ro r�calcitrant les 30 premi�res secondes, du genre " nan laisse b�ton ch'uis pas p�d�, j'veux juste me faire sucer " mais sa fiert� de complex� se barre et rapidement il succombe � ma langue se tortillant sur son cou, � mon souffle se renversant sur sa peau. Il g�mit l�g�rement, ses yeux se ferment et il prend de sa main droite ma nuque pour intensifier les morsures et de sa main gauche, il bloque la t�te de Mo' sur sa teub, afin qu'il l'engouffre jusqu'� la garde.
;Mo' nous pompe l'un apr�s l'autre avec gourmandise. Il nous regarde parfois dans les yeux, nous signalant son plaisir. On s'amuse avec nos bites en lui tapotant la gueule. On rigole tous trois, tout en s'excitant. Puis je force l�g�rement Seb � descendre rejoindre notre pote. Encore faussement r�ticent, il fait le farouche, puis succombe une nouvelle fois, et s'en va l�cher ma tige � deux. Ils s'embrassent, enroulant ma bite entre leurs langues et de leurs l�vres.
La porte s'entrouvre, Samy et Ced nous voient.
- Nan, j'y crois pas ! Eh les gars, venez voir le spectacle, c'est ouf ! � l'appel de Ced rappliquent les filles, Emi, Samy et Iannis. Tous rigolent, Iannis le rire jaune.
- Eh ben alors mon gros, tu t'emmerde pas ! Seb est g�n� et commence � se lever mais je lui fais comprendre de ne pas faire gaffe, la main sur son �paule, et de continuer de me sucer. D'un coup qui �tonne mes potes, je claque la porte.
La porte se rouvre plus tard, mais cette fois-ci, Seul Samy est l�, plant� � nous mater avec toujours son sourire espi�gle. Il rentre, ferme la porte et s'assied sur les chiottes. Il sort sa teub et simplement, � l'aise en nous matant, il se branle. Je crois qu'� ce moment l�, il �tait curieux de me voir diff�remment ; cette fois-ci actif, dominant, quand il ne me connaissait qu'attendrissant, passif et soumis.
Je le regardais � mon tour, et voir sa teub doubler de volume par de lentes caresses de bas en haut, nos regards complices, tout m'excitait au plus haut point et plus il m'excitait, plus je me montrais ferme avec mes deux amis.
Un moment, Morgan se l�ve et s'en va pomper la bite de Samy, Il en r�vait depuis un bail, pensant que �a n'int�resserait jamais Samy, il d�sesp�rait. Enfin il pu go�ter la bite de mon pote rebeu. Alors � quatre pates, il se mit � embrasser la queue de Samy. Nous derri�re, nous prodiguions pleins de caresses � son cul d'une peau exquis�ment douce et brune. Seb commen�ait � lui faire un annulingus, lui �galement par terre, et moi je dessapais Seb.
Mo' � poil et en levrette, Seb derri�re �galement nu, commen�ant � g�ter son trou avec sa teub, et moi derri�re lui qui lui caressais le torse, mordant toujours sa nuque et ses �paules. Mes yeux allaient chercher ceux de Samy. Nous d�gustions avec d�lice ce moment intime que l'on partageait. Notre amiti� depuis le d�but � toujours �t� tr�s ambigu�, et plus nous avancions dans nos exp�riences, plus une dr�le de sensation nous liait : une sorte d'amiti� charnelle, un secret qui na�t dans nos regards et nos caresses. On se comprend, on comprend nos d�sirs mutuels, lui bi, moi homo, et on s'aime en quelque sorte, librement et futilement toujours, dans nos jeux de baise. J'aimais � tenter mon ami avec des hommes et il aimait m'exciter avec ces r�cits aux nombreuses femmes.

La jouissance arriva bient�t pour Samy, je le voyais � ces yeux qui se plissaient et sa bouche s'entrouvrant l�g�rement. Mes deux camarades nus, aux peaux chaudes et moites, n'en pouvaient bient�t plus de se faire prendre. Samy s'occupait des fesses de Seb, assis sur les chiottes quand moi je pilonnais le cul de Morgan contre le mur. On acc�l�rait tous deux nos coups de reins et en m�me temps nous jouissions en nos potes ! Nous reprenions notre souffle, �puis� et combl�. J'embrassais le dos de Mo' pendant que Seb s'adossait contre Samy, toujours assis sur ses cuisses.
Les capotes enlev�es, les sexes nettoy�es et les fringues remises, Seb et Mo' partirent, il �tait 1h du mat'.
Samy et moi rejoignons le salon, comme si de rien n'�tait, sans �changer aucune parole. La nuit n'allait pas s'achever si rapidement.

J'attends vos r�actions :)

Alcibiade

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