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3 | Enlève ton petit slip ou je t'encule !
- À table !
Je m'installe à un bout de la longue table. Il fait chaud, le père s'est mis en slip, son corbeau ne quitte pas son épaule. Beau-papa s'installe à l'autre bout mais reste debout. Les assiettes sont en bois. C'est du porridge avec du lard et de la couenne... ça n'a pas l'air dégueu... Pour les garçons il y a juste une assiette par terre. Le père reste debout en slip devant son assiette, on dirait qu'il va pisser dedans. Il a des poils noirs sur l'intérieur des cuisses. Son énorme paquet touche le porridge.
Je ne comprends pas bien. C'est vrai qu'il fait chaud mais d'ici à manger en slip devant un invité...
- Enlève ton pantalon
- Ah euh... d'accord...
J'enlève mon fut. Ça m'embête parce que j'ai mis un slip que j'ai depuis longtemps, qui est beaucoup trop petit et qui me remonte les couilles et me moule complètement le zizi... Mais bon ça doit être dans leur religion... et je reste debout face à l'assiette comme beau-papa, qui me regarde droit dans les couilles. Du coup par mimétisme je fixe mon regard sur son slip... quelle énorme bite !
Puis il entonne le bénédicité :
- Dieu de mes couilles et de ma bite, bénissez ce repas, ceux qui l'ont préparé et ceux qui vont le consommer...
Ensuite il met la main dans son slip. Il m'invite à faire pareil. Il poursuit :
- Procurez à nos membres vigueur et fougue et à nos cavités endurance et élasticité. Que nos érections soient solides et nos semences abondantes. Et donnez à notre invité de ce jour courage et soumission pour les épreuves qui l'attendent.
Puis il me regarde :
- Baisse ta culotte !
- ... ?
- Baisse ta culotte je te dis !
Je suis interloqué. Je baisse mon petit slip. Ses yeux se figent sur mon sexe roux. Mon zizi libéré pend au dessus de mon porridge. Et il conclut :
- Amen.
- Amen.
J'ai rien compris. Je remets vite mon slip. On s'assoit. Putain ils sont trop bizarre ici...
Les garçons se jettent sur leur unique assiette de porridge. Ils n'ont même pas de lard. Ils se bousculent et mangent avec leurs mains ou directement dans l'assiette.
Je réalise que les bouts de tissu qui leur servent de culotte sont tellement petits que ça dépasse de tous les côtés. Certains ont de petits zizi qu'on peut voir en entier par le côté, et d'autres ont de gros zobs sans poils avec les couilles qui débordent.
- Ils ne mangent pas avec nous ?
- Ha ! Ha ! Ha ! Non... Ils préfèrent rester sous la table, tu vas comprendre pourquoi.
- Ils n'ont pas de lard dans leur assiette ?
- Ha ! Ha ! Non... Ils ont d'autres apports protéinés... Tu devrais enlever ton petit slip...
Et là il se lève (le corbeau s'envole et va se poser plus loin) et il baisse son slip d'un coup. Je suis choqué ! Ça se fait pas ! On est à table quand même... Son zob est énorme. Plein de poils avec de grosses couilles qui pendent. Sa bite est semi-décalottée avec des grosses veines, son gland est mouillé et brillant. Les 5 garçons s'approchent et le reniflent. Il se laisse renifler la teub puis il se rassoit et les garçons se glissent sous la table, en suivant sa bite comme des mouches.
Je reste interloqué.
- Tu devrais enlever ton petit slip je te dis...
Il mange 2 cuillères puis s'arrête. Les garçons sont toujours sous la table. Il ferme les yeux, sa bouche s'entrouvre, il respire de plus en plus fort...
- Oh putain... Oh putain c'est bon...
- Oui beau-papa, très bon ce porridge.
- Toi ta gueule, enlève ton petit slip je te dis.
Et il lève la tête vers le ciel
- Oh putain mais que c'est bon putain !... Oh ! Mmmmmh ! Fuck ! Oooooh ! Aaaaaah ! Oui ! Encore ! Encore ! Fuck ! Oh putain encore !...
Ça dure plusieurs minutes comme ça, puis ses yeux commencent à se révulser il bave et il ne dit plus rien, tout son corps tressaille de fébrilité, et d'un coup il ouvre grand les bras la bouche et les yeux et pousse enfin un long "rrrrrhhhhhaaaa" pendant que tout son corps est pris de grandes secousses et que sa tête marque la mesure. Je me dis que cet homme est beau. Et il pose la tête sur le bois de la longue table et reste sans bouger pendant plusieurs minutes.
Puis le corbeau revient se percher sur son épaule. Il lève lentement les yeux vers moi :
- Enlève ton petit slip ou je t'encule !
Jam
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