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HISTOIRE

Famille Éclatée

Chapitre 1

Hello, heureux de vous retrouver. Je ne sais pas si vous vous souvenez de moi. Je suis commandant dans les forces de l'OTAN. Je vous ai raconté comment j'avais défloré à la hussarde un jeune papa hétéro (voir ''Prédateur d'Hétéros''). J'ai 45ans, un corps puissant et vigoureux (près de 100kg de muscles). Mon physique s'apparenterait plutôt à celui du footballeur Zlatan Ibrahimovic. D'ailleurs je suis originaire des Balkans tout comme lui.

je suis grand (1M95) et mon look en affole plus d'un. Crâne rasé, barbichette sur le menton ( oui, j'ai rasé ma barbe hirsute) un front large et des yeux de braise qui imposent le respect.

******

… Il avait 20 ans à tout casser. Un visage avenant, de grands yeux bleus, des bouclettes blondes qui retombaient en vrac sur son front et une bouche gourmande prête à sucer toutes les queues des invités. D'ailleurs dans son joli costume moulant, il aguichait un max. Il roucoulait devant chaque beau mâle du mariage. Il allait même tournicoter autour des mecs accompagnés de leurs femmes. Il s'amusait à allumer, sûr de son charme et complètement conscient des érections qu'il provoquait chez certains.

Un moment que je le matais. Le sexe bandé comme un arc. Et je me disais que j'allais la lui mettre bien profond. Il m'a enfin repéré. Je l'ai laissé avancer puis me frôler en me regardant du coin de l'œil. J'ai ensuite visité l'espèce de château dans lequel se déroulait la noce. Plein de recoins, plein de pièces vides...

Je suis retourné dans la salle de réception.

- Zanko,... C'est toi?!

Je me suis retourné à l'appel de mon prénom. Une belle blonde à la bouche pulpeuse me fait face, la quarantaine passée. Elle est adorable dans sa robe de mousseline. Pas un poil de graisse, une silhouette de mannequin.

- C'est Coralie, tu te souviens de moi?... Au lycée, classe de terminale...

Passé le moment de surprise, je la remets, en effet. Ah! Sacrée Coralie, toujours aussi belle... Et toujours aussi salope vu le regard enflammé qu'elle me lance. Elle était réputée pour être une grosse chaudasse à l'époque et je crois que tous les mâles du bahut lui étaient passés dessus. Moi compris. Oui, je ne vous l'ai pas dit, mais je suis bi.

Elle m'embrasse sur la joue puis me présente son mari. Un beau brun ténébreux, 40 ans, cheveux noirs coupés courts, barbe de trois jours et silhouette sportive dans son beau smoking bleu marine qui laisse entrevoir un paquet prometteur. Mais bon, faut que je me calme. Je vais quand même pas sauter sur tout ce qui porte une queue.

Elle enchaîne sans que j'ai pu dire un seul mot. Un vrai moulin à paroles.

- Nous sommes mariés depuis vingt ans, mon dieu, que le temps passe vite.. Mais il faut à tout prix que je te présente Loïc, notre fils. Il a fêté ses dix-neuf ans le mois dernier.

Elle fait un signe parmi les invités et je vois rappliquer le petit allumeur de tout à l'heure. Il me sourit sans vergogne, ravi de pouvoir me draguer à sa guise et me serre la main avec insistance.

Coralie ne me lâche plus d'une semelle, au grand dam de son fils. Jusqu'au repas, où elle veut impérativement m'avoir à ses côtés. Je me retrouve coincé entre la mère et le fils. Je n'ai aucun doute sur la suite du repas.

En effet, juste après le dessert, alors que la musique reprend, une main se pose sur mon genou gauche. La belle n'a pas froid aux yeux, placée entre son mari et moi. Presque au même instant, une autre main vient prendre possession de mon genou droit. PUTAIN !!! J'ai la main de la mère et celle du fils qui remontent simultanément vers ma braguette. Faut pas qu'elles se rencontrent sinon c'est l'accident industriel.

Je me lève et invite Madame à danser en demandant la permission au mari.

Je la tiens fermement entre mes bras. Coralie est très réceptive et se plaque contre moi. Une femme, quand on la fait danser ça devient un jouet sexuel, elle a beau faire et se résonner, son corps la trahit. Je la chauffe un max. Elle s'abandonne. Je la sens prête à se faire mettre au beau milieu de la piste de danse. Je fais gaffe, son fils ne nous quitte pas des yeux. Ma main guide, son corps obéit. Ses yeux me crient leur envie de ma queue. Je me penche à son oreille.

- Tu vas me sucer, dis! Comme au lycée. Tu sais que ma queue est tendue, là...? Tiens, colle-toi, le temps de vérifier.

La salope balance son ventre contre ma bite, c'est moi qui doit l'éloigner.

- Tu vas en prendre assez pour jouir comme une pute. Je vais monter l'escalier, tu vas me suivre. Passe aux toilettes, je veux que tu montes les marches devant ton mari sans culotte.

- T'es fou???

- Obéis. Je veux retrouver la traînée du lycée.

Un tour vers le buffet, une dernière coupe et je monte à l'étage. Je vois Coralie se diriger vers les sanitaires.

Le fils me lorgne. Je lui décoche mon plus beau sourire. J'ai pris position en haut de l'escalier. Coralie arrive. Ma main glisse sous la robe, presque au vu de tout le monde. Pas de doute, la chatte est bien mouillée et sans tissu pour la recouvrir.

- Suce-moi, là, juste derrière la balustrade...

Elle s'accroupit, dézippe ma braguette et s'enfourne mes 23cm dans la bouche. Elle manque s'étouffer devant la grosseur de l'engin.

- Nettoie-moi cette bite si tu veux que je t'inonde les amygdales.

- HUMMMM !!!!

- Oui, c'est ça, salope! Laisse-moi baiser ta bouche de pute.

Ma main sur la nuque, je lui donne la cadence. Depuis la balustrade, juste en dessous de nous, son fils me regarde étrangement. Il me donne envie d'exploser tellement je m'imagine le baiser bientôt.

Je tourne un peu la tête pour capter le regard ténébreux du mari. Il me regarde sans se douter que sa dulcinée me pompe le dard. C'est en fixant ce beau mâle hétéro que j'accélère. Un dernier coup de reins et je me répands en longs jets crémeux dans le fond du gosier de ma pute.

Je fixe le mari et lui fait un clin d'œil complice. « Ça y est, tu es définitivement cocu! »

*****

Un peu plus tard dans la soirée, le fils vient me rejoindre alors que je grignote quelques mignardises.

Il me fait carrément du rentre-dedans. En quelques minutes il croit m'avoir complètement rendu dingue de lui. La nuit tombe, je lui propose un petit tour sur la terrasse et puis, après lui avoir fait boire trois ou quatre coupes de champagne, je le guide vers les escaliers...

Il monte devant moi. Ses fesses se balancent à quelques centimètres de mes yeux fascinés. J'ai bien envie de les toucher. Je me contente de mater ce cul que je vais bientôt fendre en deux.

Arrivés à l'étage je pousse mon jeunot dans la première pièce. Il n'ose se rebeller... Je vois un bureau tout au fond. Ce sera parfait. Je referme la porte en espérant ne pas être dérangés.

Mes mains l'attirent. Je lui chuchote des mots doux qui le font chavirer. Il se croit devenu le centre du monde. Je le caresse, le rassure. Il sent bientôt ma bouche sur ses lèvres. Oh! un baiser tendre, doux, lénifiant... Mes bras l'entourent, l'amène à s'abandonner. Ma langue vrille contre son palais, mes mains sont sur ses fesses, dans son dos... Il embrasse bien avec des lèvres fermes comme seuls les jeunes puceaux en possèdent.

Ma main passe sur sa poitrine, son ventre, ses cuisses. Mon autre main s'active sur sa braguette. Ses tétons durcissent sous mes doigts, à travers la chemise. Je fais tomber son pantalon sur ses chevilles. Putain, qu'est-ce qu'il est excitant.

Mais ça va trop vite pour lui. Il commence à s'affoler. Mon petit puceau ne pensait pas que ça irait si loin. Si je ne le retiens pas, il va se barrer. Pas question! ce petit allumeur doit assumer.

- Attends! Tu m'as chauffé... Faut pas faire ça à un mâle dominant, ou alors il faut accepter de le satisfaire. Tu verras, tu vas aimer! N'aie pas peur.

J'ai un ton suffisamment explicite pour le remettre sur le droit chemin.

Je déboutonne sa chemise et lui mordille les tétons. Ma main glisse dans son boxer, pétrit les fesses... Mes doigts sont dans la raie du cul, il gémit, il n'est plus en état de résister. Allez, le boxer suit la même direction que le pantalon. Il ne résiste plus. Je suis en train de le transformer en femelle soumise. En petite pute à remplir, à féconder...

Ma queue, je l'ai sortie discrètement, et je pose sa man dessus. Et puis je la lui fait empoigner, branler... Ma bouche mange sa bouche. Mes doigts caressent son œillet, le titillent, le chauffent jusqu'à ce que l'idée de se faire mettre devienne logique, naturelle...

Je le retourne, les mains à plat sur le bureau. J'ai son cul offert. Il n'émet aucune plainte, aucune protestation. Il attend juste de perdre son pucelage.

J'enduis mon gland de salive puis le positionne à l'entrée de sa grotte. Bien vite, je heurte sa rondelle, paré à l'immersion. Mes mains sur ses fesses, je le pénètre doucement, de plus en plus loin. Mais pas question de m'arrêter... Mes 23cm se déploient. Il sent ses boyaux écartelés, gonflés, envahis...Il sent...la douleur... il couine de plus en plus fort. Il essaie de se soustraire à la brûlure de ma queue dans son cul défloré... et la, je marque mon territoire, je m'enfonce à la hussarde. Il n'a pas crié car ma main était sur sa bouche.

Je le pilonne... Consciencieusement... Il faut qu'il se rappelle de ce ramonage. Je lui fait payer pour tous ces mecs qu'il a allumé aujourd'hui. Il me fait penser à mon père de famille, l'autre jour à la piscine. Lui aussi jouait les durs avant de se dégonfler devant mon bazooka. Tu voulais faire lever une bite? Et bien elle est dressée et vigoureuse, tu vois...

Je le lève du bureau et le couche sur la moquette. Je lui écarte le cul. Je l'ai bien ouvert pour un premier passage mais la suite risque d'être moins calme pour lui. J'introduis deux phalanges qui apprivoisent sa rondelle... Et l'assouplissent. Il subit, ne se rebiffe pas, mais il n'a qu'une hâte: retrouver papa, maman, pour rentrer à la maison.

Ma grosse queue en redemande. Je le positionne à quatre pattes et présente ma teub poliment à l'entrée de sa pastille. Je prends une grande inspiration et encule mon soumis. Sauf que dans cette position ma queue est serré comme jamais. Je le sodomise lentement, mais pas question d'abandonner tant que mes couilles ne viennent pas taper contre ses fesses. Chaque élan de mes reins me rapproche un peu plus de la terre promise. Je finis par m'encastrer au plus profond de ses entrailles. Il couine de douleur...et de plaisir, vu la raideur de sa bite.

Je me retiens malgré le pied à peine croyable que je prends. Je le bourrine comme un forcené, lui balançant des mots crus, lui parlant de ces kilomètres de bites qui vont passer par là... Lui dire de bien se souvenir de celle-là.

Pour finir le travail, je lui envoie une belle giclée de foutre dans le fond de son cul. Quelques fessées pour le remercier... Quand soudain la porte s'ouvre et le père de mon enculé déboule.

Il reste sans voix. Je vois sa belle mâchoire carrée se crisper. Il est blanc comme linge. Je lui fais signe de venir. Comme un automate, il referme la porte derrière lui et s'avance, incertain. Son fils veut se relever mais je le tiens fermement par les hanches. Mon joli papa se rapproche, curieux de voir son rejeton les fesses à l'air et un liquide gras s'échapper de ses fesses. Je repositionne mon soumis à quatre pattes et lui donne ma queue à nettoyer. Le père est obnubilé par ce qu'il voit. Il n'en croit pas ses yeux. Et je jurerais que son membre à pris du volume dans le fin pantalon de costume.

- Pourquoi te biler. Profite de l'occasion. (lui montrant son fils) Il attend que ça.

Pour le convaincre je tends la main vers son entre-jambe. Bordel, je rêvais pas. Il a une gaule d'enfer. Je dézippe sa braguette et enfourne direct son bâton. Je voudrais pas qu'il se casse. C'est ma plus belle prise, jusqu'à présent.

Mon beau quadra ténébreux se laisse sucer sans sourcilier. Mieux, il m'appuie la nuque pour que j'en avale plus. Il est bien monté, le salaud. J'ai du mal à tout prendre.

Son fils n'est pas resté inactif. Il s'est rapproché de son père et lui roule à présent une pelle d'enfer. Le pauvre homme ne s'attendait certainement pas à pareille fête.

Je reprends les choses en main. Je replace le fils contre le bureau, fesses à l'air et amène le père par la queue à l'entrée de son anus. Il est complètement perdu. Il se laisse guider sans réagir. C'est même moi qui le pousse pour qu'il pénètre son fils. Petit à petit l'instinct animal reprend le dessus. Il coulisse doucement avant de le machiner sans ménagement. Le fils se remet à couiner.

Je me retrouve comme un con, la bite raide à la main. Je lorgne ce cul d'adulte musclé qui pilonne son fils fièrement. Je tente une première approche. Je caresse ces demi-globes poilues. Pas de réaction. Enhardi, j'introduis un doigt à l'intérieur. Hummm!!! c'est doux et humide. Toujours pas de réaction. Un doigt s'enfonce, prépare le terrain. Deux doigts et puis trois... qui tournent... qui s'avancent d'une savante lenteur... avant de ressortir doucement. Patiemment... De plus en plus souple, ouvert, l'œillet se prête au jeu. Ma queue est si droite, si tendue. Je me positionne au dessus de ma nouvelle conquête. Mon père de famille ralenti sa baise, prévoyant ce qui va arriver. Je ne lui laisse pas le temps de réfléchir et glisse ma queue toute chaude, toute gonflée dans ce fourreau royal. J'espère juste que son anus est tout neuf et qu'il va bien se souvenir de ma défonce.

Je ressors presque aussitôt. Mon bon père de famille n'a pu retenir un cri de douleur. Je repositionne mon gland devant sa rondelle. Il s'empale de lui-même à cause des va et viens incessants qu'il impose à son fils. Il est déchaîné. Je me couche sur le dos de ce bel apollon et nous synchronisons nos mouvements du mieux possible. Le fils bêle, écrasé par le poids de deux étalons en furie. Je murmure à l'oreille de mon nouvel enculé.

- Humm!!! On est bien dans ton cul.

J'augmente la cadence. Je le défonce façon marteau-piqueur. Il tortille super bien son cul. Il vient chercher toute la longueur de mon dard qui le matraque. On est vraiment synchrone tous les trois. Chaque fois que je plonge dans les boyaux du père, j'ai l'impression de baiser le fils.

Je ramone mon bel hétéro suffisamment pour l'entendre annoncer sa jouissance. Il se déverse dans l'anus de son fils, enserrant ma queue à chacune de ses contractions. Ma bite est aspirée au fond de ses entrailles. Il s'ouvre complètement. Je pousse ses épaules en avant et le lime de tout mon poids. Il crie et gémit à la fois, toujours empalé sur son fils. Je m'enfonce au plus profond de son cul avant de rentrer en éruption. Je marque un temps d'arrêt, me raidis puis envoie huit jets saccadés de sperme gras qui fécondent mon père de famille.

Au final, ç'aura été un beau mariage, avec deux culs vierges déflorés.

PS : désolé pour la scène de cul hétéro, mais TOUTE la famille devait y passer. 😉

Ceven X

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