Cyrillo

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D�ch�ance (2)

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C'�tait une capote rose, nou�e. Elle �tait pleine. J'ai cru que mes yeux allaient me sortir de la t�te... Sans que je puisse r�agir, j'ai vu Jean d�chirer le latex sous le noeud et, prestement, il a vers� le contenu dans mon bol de chocolat. En un instant, la capote trou�e avait disparu et la m�re vint nous amener des tartines grill�es � table. J'�tais horrifi�. Jean m'observait, narquois. Sous la table, mon pantalon �tait pourtant gonfl� � craquer. L�, l'humiliation �tait terrible. Puis la m�re nous a fait comprendre qu'il fallait nous d�p�cher car nous allions finir par �tre en retard. Sous le regard dur de Jean, j'ai tremp� mes tartines et les ai mang�es... D�glutissant difficilement. Tout cela me d�go�tait, et en m�me temps, j'aimais. J'ai fini par boire le contenu du bol sous les regards de Jean et de notre h�te. J'avais envie de vomir et de me branler. Quand nous sommes sortis de la maison, Jean n'a dit qu'une chose:

- T'es vraiment qu'une sous-merde...
Et il s'est marr�. Il allait m'en faire baver...

Toute la journ�e, j'ai pens� � ce que Jean m'avait fait faire le matin m�me, et autant mon ventre se serrait, autant ma bite se gonflait � bloc. Avec le groupe, pas moyen de se branler, et je savais que je devrais attendre d'�tre rentr� dans la famille d'accueil. Jean m'a regard� toute la journ�e avec son sourire narquois, et j'avais nettement l'impression qu'il n'�tait pas le seul : d'autres mecs me regardaient bizarrement. J'avais remarqu� que Jean discutait � voix basse avec eux.

La journ�e s'�coula trop lentement, et d�s notre retour � la maison o� nous logions, je me suis r�fugi� dans les toilettes o� j'ai �jacul� ce qui me semblait �tre un torrent de foutre. Tant pis pour l'odeur. Apr�s cela, j'avais un peu honte. Peur aussi de me faire remarquer par la famille. Toutefois, il n'y eut aucune remarque particuli�re au cours du repas. Le mari et les enfants �taient rentr�s. En rentrant dans la chambre que je partageais avec Jean, ce dernier �tait allong� sur le ventre, � sa place. Il feuilletait un magazine et m'ignorait.

Je me mis en cale�on avant de me coucher. Apr�s une dizaine de minutes de lecture, je me suis tourn� pour chercher le sommeil, me demandant ce que Jean me r�servait encore. Je me suis rapidement endormi, malgr� la lumi�re.

Tout � coup, dans mon sommeil, j'ai senti quelque chose me couler dans le cou et je me suis r�veill� en sursaut. Je me suis tourn� sur le dos brusquement, et j'ai vu le corps de Jean qui me dominait. La lumi�re �tait toujours allum�e. A la main, il avait une petite bouteille d'eau d'un demi-litre, pratiquement pleine. Avec un frisson d'horreur, j'ai r�alis� subitement que ce n'�tait pas de l'eau. L'odeur du sperme atteignit mes narines et je me mis � essuyer la tra�n�e que Jean avait fait couler dans mon cou. Je n'arrivais pas � d�tacher mes yeux de la bouteille, ne parvenant pas � croire qu'elle �tait pleine de jus. Avec ma branlette pr�c�dente, j'avais assouvi mes pulsions et je n'�tais absolument plus excit�.

J'ai voulu me redresser mais Jean a chuchot� :

- Tu fermes ta gueule et tu bouges pas. Ou plut�t, tu es bien gentil, tu ouvres grand la bouche et tout va bien. Sinon.
- Ca va pas, non ? r�pondis-je plus fort que je n'aurais voulu.

Je voyais o� il voulait en venir et l�, je refusais.

- Sinon, j'attends que tu dormes et je t'en verse partout : sur ton lit, sur ta gueule de connard, dans ton sac, . Soit tu avales tout et tu restes propre, soit. tu assumes.

Il me regardait durement, sa bouteille � la main. Je n'en voulais pas. J'avais d�j� go�t� son jus et autant quand j'�tais excit�, cela me paraissait g�nial, autant l�, j'�tais d�go�t�. Un demi-litre... Mais cet abruti �tait capable de ruiner toutes mes affaires. Je me sentais pi�g�, � sa merci.

- C'est quoi dans la bouteille ? demandai-je pour gagner du temps. Je ne m'attendais pas � une r�ponse aussi terrible.
- Du jus de mecs. Sept en plus de moi. On s'est tous branl� deux fois pour toi, alors maintenant, faut nous en remercier.
- Qui ?!

J'ai bien cru que j'allais m'�vanouir. Il avait racont� � sept mecs l'histoire de ce matin, et maintenant, ils allaient tous vouloir m'humilier.
- Ca te regarde pas. Pas encore, fit-il avec un clin d'oeil. Et il n'y en a que deux qui sont dans notre classe.

Que deux. Je r�fl�chissais � toute allure pour m'y soustraire. Mais je compris alors que je n'y couperais pas.

- Tu me laisses prendre la bouteille, s'il te pla�t ? Je vais boire au goulot.
- C'est �a, t'as raison. Non. Allonge toi bien et ouvre grand la bouche.

J'ob�is en fermant les yeux.

- Et ouvre les yeux, bordel !

Je le fis. Il pencha la bouteille � quelques centim�tres au-dessus de ma bouche grande ouverte. Le jus afflua, froid, odorant et �courant. Ma gorge se serra et j'eus un haut-le-coeur. Mais Jean continua � verser et une partie d�borda, inondant mon oreiller. Je me mis � avaler au plus vite. Son regard froid �tait plant� dans le mien. J'avais les larmes aux yeux. Je n'avais jamais go�t� plus que quelques gouttes en me branlant. L�, c'�tait atroce.

Finalement, la bouteille fut vide. Avec un air satisfait, Jean remis le bouchon dessus. C'est alors que j'ai remarqu� qu'il bandait comme un �ne.

- Tu te rends compte ? Tu viens de te prendre 16 d�charges dans le gosier. Allez, maintenant, tu vas pouvoir me sucer.
- Hein ?!

Je n'en pouvais plus. Il voulait en plus que je lui taille une pipe. C'est vrai qu'au point o� j'en �tais, ce n'�tait plus bien grave, mais pour ma premi�re pipe, j'aurais aim� choisir la personne, le lieu, l'endroit. J'aurais aim� choisir tout court : l�, je n'avais vraiment pas envie. Jean s'en foutait. Il grimpa sur le lit, � califourchon sur moi, encore sous les couvertures, et il rapprocha sa bite de ma gueule. Je le regardais faire avec d�sespoir.

- Si tu t'appliques pas, tu verras ta r�putation au lyc�e.

Menace facile et pourtant efficace. J'ouvris la bouche. Sans perdre de temps, il y fourra sa queue band�e et commen�a directement � me baiser la gueule, assez violemment. Je crus �touffer, j'avais envie de vomir. Et en m�me temps, pourtant, ma bite commen�ait � se r�veiller.

- T'as de la chance, �a va durer longtemps, vu que j'ai d�j� jut� deux fois aujourd'hui.

Quelle chance ! Effectivement, j'ai eu l'impression que la pipe durait une �ternit�. J'avais mal aux m�choires et � la gorge. Jean continuait inlassablement. Puis j'ai senti que sa respiration se faisait plus rapide, son corps se tendait. Il a sorti son engin et m'a dit :

- Ferme la bouche, ouvre bien les yeux.

J'ai ob�is. Jean se finissait � la main, son gland dirig� sous mon nez. Soudain, il a eu un spasme et un jet chaud, �pais et puissant s'est �cras� dans mes narines. Le second a atterri sur ma joue gauche o� il est rest� coll�.

- Ouvre ta gueule, sale merde.

Je l'ai fait et il y a engouffr� sa queue visqueuse que j'ai achev� de vider et de nettoyer. Il s'est alors relev�, a �teint la lumi�re et s'est couch�. Je suis rest� �veill� longtemps, ressassant douloureusement les �v�nements. L'odeur et le go�t du sperme - des spermes - �tait terriblement envahissant. Ma queue me faisait mal tellement elle �tait raide. Je n'ai m�me pas pris la peine d'essuyer le jus sur mon visage. J'ai attendu d'�tre s�r que Jean dorme pour me branler � mon tour, et je me suis jouis dessus, inondant mon cale�on. Je me suis endormi en pleurant doucement.

Le lendemain matin, ce n'est pas le r�veil qui m'a sorti des bras de Morph�e, mais Jean qui grimpait de nouveau sur mon lit. Il avait la gaule et mon coeur a fait une embard�e. L�, il m'a sorti :

- Tu suces trop mal, te donne pas trop la peine, je vais juste me branler.

Il s'est plac� au-dessus de moi et a commenc� sa branlette. Dur dur comme r�veil. Je sentais les cro�tes de sperme s�ch� sur mon visage. Jean d�calottait et recalottait � toute allure. Sa respiration s'est acc�l�r�e et cinq jets ont gicl�. J'en avais partout : joues, cheveux, cou, nez. Il m'a mis sa bite dans la bouche pour nettoyer puis il s'est relev�, s'est habill� et a quitt� la pi�ce en laissant la porte ouverte.

Je n'avais rien pour essuyer, donc je me suis lev� en vitesse, je me suis habill� et j'ai fil� � la salle de bain. Malheureusement, au moment o� j'allais poser la main sur la poign�e, la porte s'est ouverte sur le fils de la famille. J'ai baiss� la t�te en rougissant. Il est sorti sans rien dire. Je me sentais trop mal. Je me suis enferm� dans la salle de bain et je me suis longuement lav� le corps, les cheveux. et les dents !

Apr�s cela, pendant le petit-d�jeuner, Jean a fait comme si de rien n'�tait. Par contre, le fils de la famille ne cessait de me jeter des regards appuy�s et curieux, auxquels je me d�robais. Nous sommes partis, ce qui devait �tre un soulagement tr�s bref. En effet, d�s que nous avons �t� mont�s dans le car, Jean s'est dirig� vers un groupe de mecs et ils ont tous �clat� de rire. J'avais les oreilles en feu. Dans le lot, il y avait le beau Fabrice, objet de tous mes fantasmes dans les vestiaires, et malgr� ma honte, je me suis mis � bander � l'id�e d'avoir bu son sperme.

Je suis rest� � l'avant du car en esp�rant pouvoir les ignorer. Nouvelles visites dont je me d�sint�ressais, puis pause d�jeuner le midi, dans un jardin public. L�, j'ai voulu m'isoler pour pouvoir manger mes sandwichs, mais Jean ne voyait pas les choses ainsi : il est venu avec Guillaume, l'un des gars ayant rempli la bouteille. Guillaume n'�tait pas un �talon sans �tre un thon : blond aux yeux bleux, une gueule virile avec un corps plut�t grassouillet. 1m75 tout au plus.

Jean m'a tout de suite inform� sur ses intentions en me parlant doucement dans l'oreille :

- Guillaume aimerait bien une petit pipe. Je lui ai dit que tu su�ais pas tr�s bien, mais il a envie quand m�me. Derri�re toi, il y a des toilettes publiques. Vas-y avec lui ou tout le lyc�e apprendra tes p�rip�ties.

Un froid intense m'a envahi. J'ai baiss� la t�te, vaincu. Guillaume s'est dirig� vers les toilettes et Jean m'a fait signe de le suivre. Au loin, j'ai entendu des ricanements et, en me retournant, j'ai vu qu'il s'agissait des six autres. Dans l'ombre du petit b�timent, j'ai vu Guillaume rentrer dans une cabine. Je l'y ai suivi apr�s avoir allum� la lumi�re et m'�tre assur� qu'il n'y avait personne. Il n'a pas perdu de temps : il a baiss� pantalon et cale�on, d�voilant une bite encore molle, pas tr�s longue, surmont� par un l�ger buisson de poils � peine plus fonc�s que ses cheveux.

Le gars m'a mis les mains sur les �paules et m'a pouss� vers le bas. Je me suis agenouill�, j'ai ouvert la bouche et j'ai ferm� les yeux. Guillaume m'a pris la t�te et a rentr� sa queue me demandant de bien l'aspirer. Ce faisant, elle s'est mise � gonfler rapidement, sans atteindre la taille de celle de Jean. Il a alors communiqu� � ma t�te un puissant mouvement de va-et-vient, m'enfon�ant le nez dans ses poils, puis lib�rant pratiquement sa queue de ma bouche. De nouveau, je dus faire de gros efforts pour ne pas vomir. Heureusement, Guillaume ne fut pas long � m'inonder la bouche et je m'appliquai � bien tout avaler de peur d'en avoir sur mes v�tements. Il m'a demand� de bien nettoyer sa bite avant de me tapoter sur la t�te comme � un chien. J'avais mal aux genoux en plus de la m�choire. Il a piss� devant moi pendant que me relevais et que j'ajustais ma queue dans mon pantalon : elle �tait fi�rement dress�e quand moi, je me sentais moins que rien. Nous sommes sortis ensemble et Guillaume a fait un signe ravi � ses potes. Jean avait ramen� mon sac � dos � c�t� d'eux. En le r�cup�rant, j'ai pu entendre Guillaume dire :

- Ouais, il a tout aval�. Peut mieux faire, mais c'est pas mal quand m�me.

Adrien, un beau brun, petit mais super baraqu� avec une belle gueule de rugbyman, a alors r�torqu� :
- Je vais peut-�tre me le faire maintenant, alors.

Le coeur battant, je fus sauv� par le gong : nos profs nous ont alors appel�s pour reprendre le car. La pause d�jeuner �tait finie. Je fus le premier � monter dedans.

Le pire restait � venir.

Gaiden

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