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HISTOIRE

Service H24

Après la soirée au Full Métal du mardi avec Yes, j’avais passé un week-end tranquille. J’ai fait de la moto samedi, seul dans la vallée de Chevreuse. Toujours agréable même si ça ne vaut pas les départementales des Provence ou le Morvan que j’avais traversé l’été dernier avec beaucoup de plaisir.

Le samedi soir était consacré aux amis. Groupe de potes avec lequel les discussions virent souvent à l’orage après quelques bières.

Je me suis couché vers 3h avec une frustration sexuelle désagréable. La discussion m’a énervé. J’aurais bien dégommé un bâtard dans la nuit. Un gars bien trash, un décrasseur ou un maso hard, ou un combo des deux, sait-on jamais.

Le dimanche je ne me réveille pas tôt. Je brunch vers midi avec un pote qui aime passer ses soirées en club et en after. Il sort de l’Under, en mode « pas encore tout à fait remis ». Je le connais depuis des lustres. On se remémore nos vieilles histoires, nos vieux plans, les délires d’il y a 15 ans. C’était déjà hard à l’époque mais plus brouillon. Je n’avais pas encore découvert le BDSM, ses codes et ses limites. Je ne savais même pas qu’il pouvait y avoir des jeux domi-soumis. J’étais hard dans les pratiques mais ça s’arrêtait là.

Dans l’après-midi, je lis, je travaille. Rien à signaler.

Le soir venu, mes couilles me rappellent qu’elles se remplissent à vue d’œil. Je siffle mon vide burnes vers 23h. A l’époque j’étais aux halles. Il était assez pratique celui-là. Je lui envoie un message dès que j’ai besoin. Il rapplique sur-le-champ, il est à côté. Il se déshabille entièrement et vient entre mes jambes. Il est habitué, il sait ce que je veux et s’exécute sans broncher. D’abord les couilles, puis tout autour, l’aine, et remonte sur la queue. Sans un mot, il s’applique, il me fait du bien et il est là pour une seule chose : me soulager. Il suce bien. Je sens la sauce qui monte, il module sa façon de faire pour mon plaisir. Ça arrive, quelques gouttes sortent. Il accélère et se donne à fond. Je décharge au fond de sa gorge. Il ne peut pas faire autrement que d’avaler.

- Rhabille-toi et casse-toi.

Il me remercie et se barre. Je m’endors vite, soulagé.

La semaine repart de plus belle. J’ai plusieurs rendez-vous, perso et de boulot. Le soir, je vais au cinéma, théâtre ou apéro avec les amis. La semaine se passe bien mais le petit vide couilles de dimanche était loin d’être suffisant. J’ai surtout besoin de trous disponibles pour accueillir ma bite. D’un cul à fouiller et à élargir. D’une gorge à bourrer et étouffer.

Mais plus la semaine avance et plus je me dis que je pourrais convoquer « Yes » pour tout un we. Je le connais par cœur ou presque. Un gars bien sous race, à mes pieds, aux ordres, un esclave qui ne rechigne devant rien. Un serviteur aussi. Un mec dévoué, sans surmoi excessif. Il sait disparaître, il s’efface pour laisser toute la place à mon plaisir.

Ce n’était pas la première fois que j’avais cette envie de h24.

J’avais rencontré un bâtard alors que je descendais en moto dans le sud. Je l’avais fait venir dans ma chambre d’hôtel à côté de Grenoble. Un gars croisé comme ça sur Grindr, je ne m’attendais à rien. Juste un vide couilles pratique pour me purger. Et puis le mec était beaucoup plus intéressant que ce à quoi je m’attendais. On pouvait y aller franco. Je lui avais dégommé le cul et surtout la gueule. C’était en juillet, il devait faire 40°C dans cette chambre. Grenoble est connue pour sa chaleur lourde, une étuve. Mais là, en plus, il fallait garder les fenêtres fermées pour ne pas réveiller tout l’hôtel. Il gueulait comme une pute. Je ne me suis pas fait prier pour me servir de ses trous sans pitié. Il n’avait pas peur de grand-chose. Peut-être pas très expérimenté en bdsm et relations domi soumis mais pas froid aux yeux et sans beaucoup de limites. Donc c’était un bon candidat pour du H24 un we. Je l’avais convoqué qq mois plus tard et ça avait été un super we. Il avait couché par terre sous la table. Je pouvais le siffler quand je voulais. En dehors des moments hard je ne l’entendais pas. Je l’avais trainé en backroom aussi. Un bon bâtard servile.

Mais maintenant j’ai mon bâtard à disposition à Paris, je peux le convoquer à près quand je veux. Message sur Telegram : je veux te voir prêt, en cage de chasteté, le cul propre après ton taff vendredi 21h chez moi. Organise-toi comme tu veux mais je ne te lâche pas avant dimanche 18h. Tu seras mon esclave tout le we.

- Tout un we boss ? Je n’ai jamais fait ça. Mais je serai là boss. Je dois prendre quoi ?

- Tu prends tout ce qui te défonce bien le cul, tes godes, plugs, boules.

Je sais qu’il a ses jouets fetish. Yes, les godes et les plugs c’est un feuilleton sans fin. Il en achète tous les quatre matins, il évalue la taille, la forme, la souplesse. Des fois il a plus gros yeux que gros cul mais il trouve toujours le moyen d’acheter la taille au-dessus. Et moi je me fais un plaisir de le faire progresser et de lui faire subir sa nouvelle acquisition. Et il a aussi une collection de jock strap de toutes les couleurs pour rendre le trou plus accueillant.

On était Mardi. Dans les jours qui nous séparent du we, je passe mon temps à imaginer dans quelle merde je vais le fourrer. J’aime penser à ça. J’imagine. Je fantasme. Il y a aussi de l’impro évidemment mais je suis un calculateur.

Ça commence mal il arrive en retard. Il n’a pas réussi à se garer. Ça m’énerve direct. Le minimum c’est de prévoir du temps pour être à l’heure précise indiquée, non ?

Il arrive à quatre pattes. Il a son gros sac pour le we.

- Qu’est-ce que tu fouettais ? Je t’attends depuis 30 min tu trouves ça normal ?

- Désolé Boss. Je m’excuse. J’ai pas réu…

Je ne le laisse pas terminer sa phrase, il se prend une baigne direct.

- Ça c’est pour tes excuses. J’en branle, t’as compris ? Je te dis que tu es en retard, c’est que tu es en retard. Tu dis oui Boss. Tu assumes. Et pour ton retard, je te mets les pinces aux tétons 30 min. Je vais te faire passer l’envie de te foutre de ma gueule.

Pour beaucoup, ce serait une récompense, pour lui c’est un supplice.

- Tu te déshabilles entièrement. Tu me donnes tes deux téléphones portables. Je te les rendrai à la fin de ton séjour.

Maintenant il est mon esclave, mon objet, il n’a plus d’existence propre, plus d’histoire, plus de désir, plus d’espérance. Il a juste pour horizon de me servir et de fermer sa gueule.

En juste retour, il n’aura que mon mépris et mes coups.

Il a déjà sa cage de chasteté, je lui mets son collier d’esclave. Là il est nu, débarrassé de ses vêtements qui expriment sa personnalité, sa place dans la société, son héritage familial. Il n’est plus rien. Il est tombé tout en bas de la hiérarchie. Moins qu’un chien qui est aimé et respecté par son maître.

- Mets-toi à quatre pattes.

J’enfile des gants et je l’inspecte. Je vérifie qu’il soit utilisable, propre et en bonne santé. La bouche d’abord, les dents, les gencives, puis les oreilles et enfin la queue, les couilles et le cul. J’enfonce mon poing dans son trou pour le tester. Son cul doit être pénétrable à tout moment du début à la fin du we. Il ne s’y attendait pas mais subit sans broncher comme à son habitude.

Il n’a droit qu’à un tapis dans un coin de la pièce. Je lui mets un sceau à côté.

- Tu pisses et tu chies là-dedans. Tu iras vider ton pot dans les chiottes quand je te le dirai.

Il est recroquevillé nu sur son tapis. C’est sa place, sa zone à lui, son horizon. Je lui mets un plug.

- Assieds-toi dessus.

Ses trous doivent être plein le plus souvent possible. Je le laisse là pluggué tête face au mur.

Je suis tranquille sur le canap. Je fume ma clope et j’ai la vue sur son cul déjà bien ouvert.

- Tu dois m’obéir à chaque instant. Tu n’existes plus que dans le but de servir.

- Oui boss.

- Mais tu vas servir à d’autres ce soir. J’ai mis ton cul à dispo sur Grindr depuis ce matin, il y a deux mecs qui vont venir l’un après l’autre. Tu n’as pas le droit de leur dire non. J’ai fixé le plan avec eux, ils respecteront les règles. Tu as de la chance, le premier veut juste se faire sucer mais il apporte une tenue et une perruque, il veut que tu sois en lingerie féminine. T’as intérêt à être bon et à vite le faire cracher. Parce que le 2ème c’est pas la même chose. Il m’a demandé « du spécial ». Il est fan d’aiguilles et de modifications corporelles. Il adore mettre des aiguilles sur la bite, les tétons, les couilles. Il respecte l’asepsie bien sûr.

Le premier mec sonne.

- Va te mettre sur le lit à genoux et bouche ouverte.

Je n’avais pas vu le mec. Débarque un gars d’une soixante d’années, bedonnant, avec quelques cheveux sur la crane qui ne voulaient pas s’avouer vaincus, genre notaire de province, habillé en pantalon de velours vert et en mocassins. Très courtois.

Il sort une tenue sans doute assez chère. Des Porte-jarretelles rouges, un soutien-gorge et une perruque rousse.

Yes a d’ordinaire une confiance en lui assez forte, une vie accomplie, un poste intéressant. Je me dis que ça le remettra bien à la place qu’il occupe dans la hiérarchie sexuelle : tout en bas, sans aucun droit, sans respect, sans reconnaissance.

Yes est maintenant prêt. Le gars a l’air d’être au comble de l’excitation. Il sort une petite bite de son slip qu’il branle frénétiquement.

- Suce-moi s’il te plaît.

Mon dieu, faites que ce soit rapide. Ce mec est à vomir.

Mon bâtard s’emploie à lui vider les couilles. Ça va assez vite. Le gars jouit sur la perruque en poussant des petits cris de plaisir.

Il récupère ses affaires et se casse.

Le 2ème gars, c’est pas le même genre. Il est trader, un grand gars, très sûr de lui, pas beaucoup de temps à perdre. Il arrive en costume haut de gamme. Un mec brillant, beau gosse, classe. Mais sous ses airs de mec parfait, il est aussi clairement pervers à tendance violent. Un vrai sadique qui a besoin de faire du mal. Je lui ai donné des limites claires et heureusement parce que je le sens bien capable de n’importe quoi. Un gars incapable d’empathie.

- Viens dans le salon bâtard, à 4 pattes.

Yes arrive comme il a appris, en inférieur. Je sais que l’offrir comme ça à un inconnu le mettra mal à l’aise. D’abord parce qu’il n’aura pas la confiance qu’il me porte, qu’il ne le connaît pas et que le mec n’est là que pour utiliser un objet, faire souffrir un corps, peu importe lequel et c’est moi qui prend la responsabilité, l’autre n’est là que pour s’amuser.

Je discute un peu avec le gars pendant que Yes se ramène.

Il le regarde à peine mais je le vois quand même lancer quelques regards pervers. Il est en train de me parler mais je vois dans ses yeux qu’il pense déjà à ce qu’il va infliger.

- Je te l’attache sur le lit et ensuite il est à toi.

- Ok mais d’abord je vais lui modifier un peu la tronche.

- Fais-toi plaiz

-

Qu’est-ce qu’il va me faire ? Je vais ressembler à quoi lundi ? J’ai une réunion à 9h…

Je sais ce que le gars veut faire. Rasage total du crâne. Ça ne parait rien mais c’est très déstabilisant. C’est ce que je veux.

J’attache les mains du bâtard derrière le dos, au milieu de la pièce. Le gars sort une tondeuse et un rasoir. Il lui met les instruments devant la gueule, il a une vue plongeante sur les premiers instruments.

Sa coupe qui exprime sa personnalité n’est bientôt plus qu’un souvenir. Il ressemble à ces femmes tondues à la fin de la guerre pour avoir couché avec des nazis. Le gars s’applique maintenant à raser de très près le crâne. La peur du soumis ne semble pas l’intéresser. Il kiffe juste se servir de lui, comme s’il avait un mannequin. Moi qui prends un plaisir infini à voir la peur dans les yeux des soumis, ça me ferait presque flipper.

- Ok maintenant je te l’attache ?

- Oui s’il te plaît.

J’attache le bâtard nu, en croix sur le lit. Le moindre centimètre carré de peau est disponible.

Le gars arrive avec son matos. Il ouvre une valise avec une quantité d’aiguilles impressionnante. Yes n’a aucune idée de ce qui va lui arriver.

Il est médical, mécanique. Il commence par les tétons. Après avoir désinfecté, il insère la première aiguille, petite et assez large, et j’entends un cri de frayeur et de douleur mêlées.

La 2ème téton fait le même effet.

- Tu peux faire en sorte qu’il ne gueule pas ? Je déteste ça.

- Oh ça j’ai ce qu’il faut

Décidément on n’est pas pareil. Moi plus ils gueulent, plus je kiffe.

Enfin, c’est mon invité… alors j’enfonce un chiffon bien profond dans la gueule du bâtard. Et je scotche le tout. Je vois ses yeux qui me supplient et qui me disent « mais vous n’allez pas le laisser faire ? ».

Oh si… Je connais ses limites par cœur, il en a peu et les aiguilles n’en font pas partie. Dommage… Il doit assumer.

- Là je te promets qu’on n’entendra plus grand-chose.

Il s’intéresse aux couilles maintenant. Il commence avec une aiguille plus fine et très longue. Il pique et met un temps infini à traverser la couille. Yes a beau être résistant des couilles, la douleur est intense. Mais il ne peut pas se débattre et ses cris sont très atténués.

- Il va résister ? J’aime pas quand il bouge. Tu m’avais dit qu’il était résistant. Sinon je l’endors. Au moins il la fermera.

- T’inquiète il va subir. Je vais le gazer au poppers.

Je lui mets le masque à gaz et j’imbibe un coton.

Le mec poursuit sur les couilles. Il n’en met pas moins de 5 à chaque couille. Il entoure ensuite les aiguilles d’un fil rouge qui semble former deux lettres d’un alphabet que je ne connais pas mais ça a l’air très important pour lui. Ce mec est freak.

Il pique ensuite les deux orteils à la verticale avec des aiguilles longues. Là c’est très douloureux mais il ne tourne pas de l’œil et le poppers aide bien.

Il finit par transpercer le frein de la bite. C’est la touche finale. Il a terminé son œuvre. Il prend une photo et une seule avec un appareil sophistiqué. Il enlève les aiguilles, désinfecte et range son matériel.

- Bien, je te remercie de m’avoir prêté ton soumis.

- Mais je t’en prie.

Il remet sa veste de costume et s’en va.

Bon, je n’aurais pas envie de boire une bière avec ce mec mais c’était bien. Une bonne entrée en matière. Je voulais lui casser le moral, lui faire comprendre qu’il allait en chier et bien l’humilier.

Je le mets en couche pour la nuit.

- Cette nuit, tu pisses dans ta couche tu as compris ? Et je ne veux pas un bruit.

Je m’endors rapidement. Mais vers 3h je me réveille avec une gaule monumentale. En général, je me branle et je jute rapidement pour me rendormir. Mais là évidemment… j’ai deux trous à dispo. Pourquoi s’en priver ?

J’enfile une capote et je vais dans le salon. Mon bâtard dort profondément. Je lui baisse violemment la couche et je l’enfile direct. Il pousse un cri. Je mets ma main sur sa gueule et je lui défonce le trou. Je me vide rapidement. Sans un mot. J’enlève la capote et je lui jette sur le cul.

Putain c’est cool d’avoir un trou à domicile quand même.

Samedi

Je me lève vers 8h. Yes est déjà réveillé.

- Va me préparer mon ptit déj. Tu me tartines le pain. Tu fais le café. Grouille-toi.

Il s’exécute sans un mot. Il est toujours nu, en cage, en couche et en collier. Je kiffe le voir comme ça, en larbin inférieur.

J’aime être au service de mon boss, je ne suis pas seulement son vide-couilles mais son esclave.

- Viens un peu me réveiller la queue.

Il me lèche comme j’aime, les couilles et sur toute la longueur. Ça dure une dizaine de minutes.

- Allez dégage. Retourne à ta place.

Je termine de manger et je lui prépare sa gamelle. Céréales, fruits et café. Tout mélangé. C’est peut-être bon ?

- Tiens. Bouffe ça.

Il faut toujours nourrir ses bâtards, c’est important. Il prend son temps mais il a faim. Il est obligé de tout manger et n’a pas envie de trop m’énerver.

- Merci boss.

Mais je n’ai pas très envie qu’il digère ça. Je ne veux pas que son cul devienne sale.

- Sur le dos, bouche ouverte immédiatement.

Je lui mets la tête en arrière et je lui lime la gueule hard. Il manque de dégueuler plusieurs fois. Moi je m’en fous, je lime sans pitié. Je me fais du bien à la queue. C’est le principal. Il ne peut plus garder. Mes coups de bite sont trop rapides. Il commence à vomir de petites quantités.

- Ouvre ta gueule j’ai dit.

Il doit vomir, respirer et rouvrir sa gueule le plus rapidement possible. Je veux un trou dispo quand je le demande. Ma bite ne doit pas attendre. Il sait ce qu’il doit faire : son cul et sa bouche m’appartiennent, ce sont deux orifices qui doivent servir à mon plaisir, il se doit de les rendre accueillants à tout moment.

Il a tout rendu maintenant.

- Va te nettoyer, t’es dégueulasse.

Après l’avoir humilié et bien détruit son égo hier, on va passer aux choses sérieuses.

Je l’emmène dans la chambre. Je le mets dans le sleepbag. Je vais pouvoir lui écarter bien le trou et le frustrer. Lui écarter le cul, c’est vraiment la base de son éducation. Je lui mets aussi une cagoule en néoprène. Il est enfermé et restreint.

Je le mets directement sur le ventre. Un peu de lub et j’entre la main. Je connais ce cul, il peut prendre jusqu’au coude. Mais la position est difficile. Je décide de le travailler plus en largeur.

- Donne ton cul bâtard, t’es là pour ça, donner tes trous sans limite.

Il commence à gueuler. Je lui fourre dans la gueule un bâillon-plug. Très efficace. Je peux me concentrer sur le cul maintenant. La première main passe nickel, l’autre ça va aussi mais avec un peu plus de résistance. Il faut que j’arrive à ouvrir tout ça. Je mets les deux mains alternativement. Le cul s’ouvre suffisamment pour y mettre aussi la bite. Je peux me branler tranquille dans son trou, j’adore ça. Il est défoncé et a le cul qui dégouline de lub. Il doit supporter la main et la bite, le sphincter n’est pas ouvert de la même façon partout, c’est hard au niveau de la bite, le muscle est étiré encore plus. Je veux un tunnel, que je puisse entrer direct sans être retenu. J’y travaille depuis des mois voire des années et ça commence à être satisfaisant.

Il ne peut rien faire là, rien contrôler. Il est comme un vers dans son cocon mais avec le cul en gros plan pour moi, ma main et ma bite. Juste le trou en évidence, tout le reste est enfermé.

Il gueule de plus en plus, ça me rend dingue et j’ai envie qu’il comprenne que son cul est à moi, qu’il ne lui appartient plus, que je décide de quelle ouverture, quelle profondeur, combien de temps. Maintenant qu’il est bien ouvert je lui mets un plug large, je referme le sleepbag et retour sur le dos. Je lui libère la queue qui était en cage et j’installe un appareil électro sur le gland et autour des couilles. Je mets une puissance pas trop forte pour une séance d’une heure.

Je le laisse mariner comme ça un moment. Je vais fumer une clope. De temps en temps je passe voir, j’entre dans la chambre sans un mot, je le vois qui couine gentiment et j’augmente l’intensité d’un cran. Je lui retourne aussi la tête au poppers. Pour ce que je prévois il vaut mieux.

Stade supérieur : la sonde électro dans l’urètre. C’est beaucoup plus hard. La sonde provoque des spasmes et comme je n’ai pas arrêté les autres stimulations, il est passé des couinements aux râles de douleur. Je continue à le gazer, je veux qu’il subisse sur la longueur. Il ne doit pas abandonner. Il est venu de lui-même, maintenant il assume. Ça le fait le bander, pour l’instant. Je prends la sonde et je fais des va et viens dans sa bite. L’électricité se coupe quand je tire la sonde vers l’extérieur. Ce que j’aime c’est ce moment de coupure, une sorte de pause mais avec l’angoisse terrible de la reprise de l’électro. Il a compris que ce n’était en rien une pause en réalité. Et je peux m’amuser à l’envi à lui faire croire que l’électro va reprendre. Il a peur, il tremble de tout son corps.

- Ça va reprendre bâtard, tu le sais. Allez maintenant… non… pas encore… cette fois-ci j’y vais… non encore un peu.

Sa peur me fait bander, c’est encore meilleur que de l’entendre gueuler. Il s’habitue un peu à ce jeu… et c’est donc le meilleur moment pour renfoncer la sonde et donc lui restimuler la bite. Il n’y croyait plus et donc la douleur augmentée par la surprise sont difficiles à supporter. Décidément ce jeu-là me plaît beaucoup. Je m’amuse encore un peu avec sa bite et je décide de le détacher. Je le remets en cage bien sûr, pas question que sa queue soit libre. Je lui remets son collier et sa laisse…

- Je t’attache là au canapé, tu vas me servir de table basse pendant que je prends l’apéro.

Je regarde la tv pendant qu’il me décrasse les bottes. Il est bien pratique. Toujours prêt à rendre service.

- Tiens tu vas nous chercher un truc à bouffer, je commence à avoir faim.

- Bien boss. Je prends quoi.

- Pour moi un bobun chez l’asiat’ et toi tu te prends des nems

- Oui boss.

Je lui enlève la laisse mais il garde son collier. Je le mets en couche et en survet TN. Ça se voit qu’il a une couche. Encore une bonne humiliation comme j’aime.

Il revient l’air penaud.

- Je suis sûr que tout le monde a remarqué boss.

- C’est une bonne chose. Tu dois apprendre à être fier de ce que tu es. Amène-moi mon repas. Tu mangeras après moi.

Je lui mets sa gamelle devant le nez sans rien à manger, il est toujours en mode table basse attaché court au pied du canapé. Il attend sagement la fin de mon repas. Comme il a vomi son petit déjeuner il doit commencer à avoir la dalle.

- Tiens bouffe.

Je lui mets les 6 nems dans la gamelle avec la sauce, la salade et j’écrase tout à la cuillère. Une bonne pâtée pour un bon chien.

Il reste là aux pieds, recroquevillé sur lui-même et toujours solidement attaché. On dort un peu après manger, chacun à sa place. Une heure peut être.

J’ai le sommeil agité. Je dois rêver d’une torture quelconque. Je ne me souviens plus mais je sais que je me réveille avec une gaulle monumentale.

Je tire mon bâtard de son sommeil. Il a l’air d’avoir moins bien dormi que moi.

- Viens me lécher. Lèche bien les couilles d’abord, puis la queue. Allez applique-toi.

Ah putain ça fait du bien. Me faire pomper la teub au réveil c’est souvent un truc qui me manque. Il s’applique comme à son habitude.

- Allez lèche moi bien le gland et toute la queue sur la longueur. Regarde c’est bien, j’ai de la mouille. Lève-toi. Tu vas mettre ton jockstrap orange. Ensuite tu enfiles survet’ Lacoste, maillot de foot et TN, on va aller faire un tour.

Il est toujours en cage. Il sait qu’elle se voit à travers le survet’. Je lui donne casque et gants. On descend au garage. Je le doigte dans l’ascenseur pour vérifier que son cul est bien ouvert.

On s’approche de la moto. Je le balance direct sur la moto torse contre le siège et je baisse son bas de survet’. Je mets une capote, je molarde bien ma bite et je l’enfile direct. Il pousse un cri qu’il est obligé d’étouffer étant donné le lieu. Son cul a déjà pris cher, j’adore y revenir et bien qu’il comprenne que je l’enfile quand je veux, qu’il doit subir même s’il a mal. Je lime sans pitié.

Puis je sors un plug du sac et je lui remplis bien le trou avec. Il capte bien qu’il va devoir être derrière moi en moto pour la première fois et avec un gode qui lui démonte le cul à chaque dos d’âne.

- Allez, mets ton casque et monte derrière moi.

Il grimpe sans broncher. Je démarre mais déjà je sens qu’il maudit les petites irrégularités de la dalle du garage. Ça promet.

Direction le bois de Vincennes. J’aime beaucoup cet endroit pour y avoir traîné ma teub qq (nombreuses) fois.

Le trajet se passe bien. Je sens qu’il sert les fesses à chaque bosse. Je prends soin de ne rater aucun nid de poule. Je sais qu’il peut le supporter, il encaisse comme personne au niveau du cul mais ça reste hard. Entre son stress de monter sur une moto pour la première fois et en même temps de devoir se concentrer sur son cul il ne sait plus quoi choisir. Et moi je roule avec lui derrière et je lui démonte le cul en même temps, le kiff total.

On arrive sur place. Je l’emmène dans un buisson et lui enlève le plug. Son cul a morflé. Je ne résiste pas à l’envie de lui remettre un coup pour vérifier qu’il est toujours exploitable. Il gueule mais encaisse. Parfait.

On s’enfonce dans le bois. On arrive au lieu naturiste. Il me fait un regard suspicieux. Je sais qu’il déteste ce genre d’endroit. Il n’est pas exhib… Moi oui.

Alors là je pouvais m’attendre à tout sauf à ça… Pourtant je sais que mon boss est exhibe.

- Mets-toi à poils, tu vas bien montrer ta cage à tout le monde. On se cale là et on boit une bière tranquille.

On est tous les deux assis. Moi habillé et lui nu et en cage de chasteté. Il sait que j’aime ça.

- T’inquiète je ne vais pas te fister devant tout le monde. Je veux, juste que tout le monde voit ta condition. C’est derrière que ça va devenir sérieux pour toi.

- Mais boss il fait encore jour.

- T’occupe pas de ça, je sais ce que je fais.

Je l’emmène beaucoup plus loin dans le bois. Là les mecs commencent à tourner. Un mec qui nous avait vu dans la clairière nous suit. Il a l’air de très bien comprendre quel gibier il fallait chasser. J’amène mon soumis un peu à l’écart, je le mets à genoux et lui baisse le survet’ sur les chevilles pour découvrir sa bite en cage.

- Ouvre bien ta gueule.

Le mec arrive la bite à l’air. Dès qu’il voit Yes en cage, ça le rend dingue d’excitation. Il bande et fourre direct sa bite dans la bouche.

- Vas-y bâtard, fais-lui du bien.

On le bifle et on se fait pomper à tour de rôle. Le mec s’intéresse beaucoup à la cage. Ça le fascine. Il n’a pas l’habitude. Il mate.

- Mec on va bien se le faire. Il donne ses trous tant qu’on veut. Allez montre ton cul bâtard.

Je le retourne et je commence à limer. Le mec met une capote et on se refile son cul. Il est appuyé à un arbre et doit subir nos assauts. Son cul pousse comme pour repousser nos bites. J’adore quand son cul fait ça. Mais ce n’est pas une raison pour repousser la teub de son boss.

- Bâtard : écoute-moi bien. Si ton cul essaie encore une fois de nous virer je te détruis les couilles.

- Oui boss. Pardon boss.

- T’excuse pas et prends nos bites sans broncher.

J’ai fait une erreur je le sais. J’espère pouvoir résister correctement à la punition.

J’aime pas les excuses d’un soumis. Il croit quoi ? Que je vais lui accorder le pardon comme si j’étais curé ? Que je suis son prof et qu’il est juste arrivé en retard en cours ? Je suis son boss et s’il fait une connerie, il doit en subir les conséquences sans un mot. Apprendre par la punition. Intégrer sa place, la hiérarchie, sa condition pour peut-être un jour progresser et me satisfaire pleinement.

- Remets-toi à nos pieds à genoux.

Le mec se branle au-dessus de sa tête. Il est prêt à jouir, je positionne la joue du bâtard juste au-dessous. Il l’arrose abondamment, il devait avoir les burnes pleines d’une semaine. J’étale le foutre il gardera l’odeur sur la gueule un moment, il se souviendra pour quoi il est là.

Je n’ai pas oublié son cul qui se permet de repousser ma bite ni ses demandes de pardon bidon. Je l’amène beaucoup plus profondément dans le bois dans un endroit reculé et plus calme que la clairière naturiste. Personne ne passe ici.

Je cherche un arbre pour l’attacher et je tombe sur une structure métallique rouillée. Sûrement une cage qui a dû servir au zoo de Vincennes tout proche et abandonnée là depuis des lustres.

Je le pousse à l’intérieur violemment et il tombe au sol.

- Déshabille-toi et relève-toi.

Je sors les menottes en cuir et les chaînes. Je fais une sorte de harnais avec les chaînes que j’attache au grillage. Les mains et les pieds sont en croix et menottés. Il est incapable de bouger. Je lui fous une cagoule sur la gueule. Belle image pour moi que ce bâtard nu et accroché solidement.

- J’ai pas trop aimé que tu nous repousses tout à l’heure mon pote et moi. Je te mets à dispo et tu me fais honte ? Et en plus tu demandes pardon derrière ?

- Je ne repoussais pas boss… je ne pouvais pas le contrôler.

- C’est ça, fous-toi de ma gueule en plus

Je lui assène un violent coup dans le ventre.

- Pardon boss, je ne le ferai plus…

- Je rêve ! qu’est-ce que tu n’as pas compris ? Je t’ai dit d’assumer tes conneries sans broncher non ?

Je lui attrape les couilles à pleine main et je les tords en ajoutant des coups. Il essaie de débattre mais impossible. Il ne peut que subir. Je sais qu’il résiste bien aux couilles. Trop bien pour une punition d’ailleurs. Je sors les pinces à tétons du sac. Là je sais que ce n’est pas la même chose. Il les accepte mais il morfle. Parfait.

Oh non, les pinces c’est horrible et sans poppers en plus. Je vais m’en souvenir….

Je commence par les noires. Elles paraissent soft mais ne le sont pas. Il les déteste. Un téton puis l’autre. Il sait que ce n’est pas pour rire. Je tire sur la chaîne, pour voir. Pas mal. Il a toujours à cœur de montrer qu’il résiste. Je prends la base des pinces et je tords. Il ne peut plus faire feindre. Je lui démonte les tétons et de tant en tant il a droit à un coup de genoux aux couilles.

- Boss j’ai mal…

- Ah ouais ? ça me concerne ?

- Boss les tétons… S’il vous plaît.

- Quoi ? tu penses que ce n’est pas mérité peut-être…

- Si boss c’est mérité…

- Ok je préfère

Je sors les pinces spéciales maintenant qu’il a les tétons bien rouges. Trois piques qui sortent du fourreau. Je les garde toujours pour la fin… Quand il croit que c’est fini après de longues minutes de torture, je sors celles qui vont terminer de lui faire comprendre pourquoi il est là.

J’enlève les premières pinces et j’entends une douleur extrême mêlée à du soulagement. Les tétons sont défoncés, rouge. Mais ils ne saignent pas. Je mets les « spéciales ». Il les connaît, il les déteste. Là, je le vois se tordre de douleur et essayer de s’échapper sans bien sûr y arriver.

- Tu fais quoi là ? tu te calmes et tu subis

Ces pinces-là sur des tétons déjà rouges, c’est de la torture. Je me laisse encore 2 minutes pour kiffer le voir se tordre dans tous les sens et je lui libère les tétons. Je le détache, il s’écroule au sol.

- C’est bien tu as assuré, tu as subi la punition comme il fallait.

Je lui donne une tape de félicitations au cou.

- Merci Boss

- Relève-toi

Ses couilles et ses tétons ont pris chers.

On repart tranquillement vers le centre de Paris. On va aller se détendre un peu.

Direction le secteurX. Ok se détendre au secteurX, ce n’est pas la meilleure idée, soit. Mais là c’est vraiment pour se détendre.

On entre, c’est l’heure de l’apéro. Les mecs sont tranquilles au bar pour la plupart, quelques-uns descendent au sous-sol quand ils ont terminé leurs bières.

- Déshabille-toi, tu gardes juste ton jockstrap et ta cage.

Tout le monde va me voir… en plein devant le bar en plus…

Je lui remets son collier et sa laisse de kleps. Je me cale en face du bar. Je lui défais juste la laisse.

- Va nous chercher deux bières

- Oui boss

A peine revenu, je l’attache aux pieds de la chaise de bar. Il est nu, en cage, en collier et en laisse autour de plein de mecs habillés autour.

- File-moi ta bière tu y auras droit quand tu l’auras méritée. Décrasse mes bottes, elles sont crades avec ce que l’on a fait.

Il s’exécute. Je sais qu’il est mal à l’aise, que je lui en demande beaucoup. Il a plein de trips hyper variés mais l’exhib n’en fait pas partie. Ce qu’il fait pour moi a d’autant plus de valeur.

Un mec discute en face de nous. Je sens qu’il est distrait par ce qui se passe. Je prends mon bâtard par les cheveux.

- Tu vois le mec là devant nous ? tu vas lui lécher les bottes.

Il s’avance au milieu du bar vers le mec qui fait comme s’il n’avait pas remarqué. Yes commence à décrasser et le mec met sa rangers sur sa tête pour le bloquer tout en continuant à discuter comme si de rien n’était. Il s’applique, le gars lui indique l’autre rangers. Il a terminé sa discussion et commence à se toucher le paquet. Je lui fais signe de venir à côté de moi. Il prend la laisse de Yes et me la donne.

- C’est un bon bâtard que tu as là.

- Carrément ! il est bien obéissant et dévoué.

Je vois sa bite déjà bien gonflée.

- Il a une bonne gueule aussi

- Il aime pomper ?

- Il fait ce que je lui dis

- Ah putain c’est bon ça

- Fais-toi plaisir, il est là pour ça

Il prend Yes par les cheveux et l’amène à sa bite. On est assis tous les deux avec un pompeur aux pieds. Le méga kiff. Pas mal de mecs regardent du coin de l’œil.

Pendant qu’il se fait pomper je me lève et j’enfile une capote. J’avais dit qu’on était là pour se détendre. J’ai besoin de me détendre dans son cul finalement.

- Lève-toi et présente ton trou.

Il sait ce qu’il doit faire. Il écarte son cul avec les mains. Il s’arrête de pomper un instant.

- Oh ! je t’ai dit d’arrêter de faire du bien à mon pote ?? tu lui lèches les couilles et la queue tout de suite.

Il pompe, au milieu du bar et ouvre son cul devant tout le monde. Un bâtard exhib n’aurait pas fait mieux. Je lui lime le cul et il assume.

Un autre gars arrive et commence à se branler. Ça ressemble de plus en plus à une mise à dispo. Je lui tends une capote.

- Vas-y mec c’est cadeau.

Le gars a une queue énorme. Il est fier de sa queue. On sent qu’il veut absolument le faire gueuler et vu comment il nique, il risque d’y arriver.

On se fait pomper tranquille pendant que le 3ème dégomme son trou. J’enlève mon polo et je lui fourre bien profond dans sa bouche pour étouffer ses jérémiades. Le mec continue de plus belle. Il est sans pitié. Il est en train de lui détruire le trou et kiffe ça. Il sort complètement et rentre de nouveau tout au fond du trou. Il varie ses saillies, tape sur le trou, s’amuse à cogner les couilles avec sa queue mais surtout il lime sans la moindre hésitation. Je sens Yes qui a de plus en plus de mal à supporter mais il serre les dents. Le mec finit par retirer la capote pour une grosse giclée de sauce sur le cul.

Là je sais que son cul pousse, brûle, qu’il rêve d’un tube de crème. J’adore savoir son cul dans cet état. J’en profite… évidemment. J’enfile une capote et sans ajouter de gel je pénètre d’un seul coup tout au fond de son cul. Je lime avec le regard fixé sur le trou et sur ma bite qui torture son orifice rouge et boursouflé. Un vrai bonheur. J’adore pénétrer son trou quand il est comme ça. Quand il pense que c’est fini et que… pas du tout. Je me branle maintenant au-dessus de sa gueule et je jouis sur ses tétons aussi rouges que son cul. Le gars qui se faisait pomper est au bord aussi, il jouit dans sa main et lui repeint le visage au sperme.

- Tiens bâtard, tu as droit à ta bière.

J’avais pris soin à l’avance de remplacer 25% de la bière par de ma pisse.

La bière est d’une marque inconnue. Il ne s’en aperçoit pas. Moi je kiffe le voir souffler en se désaltérant avec ma pisse.

- Allez dis au revoir à notre pote.

- Tu m’as bien pompé bâtard, bravo.

Il a raison, il faut toujours encourager les esclaves.

- Allez rhabille-toi.

On remonte sur la moto et on rentre chez moi.

Mais au lieu de prendre l’ascenseur, on descend d’un étage vers la cave…

Je l’ai préparée pour la nuit.

- Déshabille-toi et mets cette couche. Tu vas entrer dans le sleepbag.

J’ajoute des cordes tout autour pour qu’il ne puisse rien faire.

- Tu vois là bâtard ? c’est une caméra, je te vois. Si tu bouges je le saurai. Si tu tentes quelque chose, je le saurai aussi.

- Merci maître

Dimanche

Je me lève à 8h comme d’habitude, avec une putain de gaule. Un coup d’œil à la caméra. Tout à l’air ok. Il semble dormir.

Je passe d’abord aux toilettes pour chier. Ensuite je descends à la cave me soulager la teub. J’ai un trou à dispo, faut qu’il serve. Quand j’entre là-dedans ça pue la pisse.

- Alors bâtard, tu nages dans ta pisse ? Montre-moi ton cul.

Mon trou va encore servir à mon boss. Je me sens utile pour lui

Je le mets sur le ventre et j’ouvre le cul. Je fais un trou dans la couche et j’y insère la bite. C’est chaud. Je lime rapidement et je me soulage. Je referme le sac et je le remets sur le dos.

Faudrait toujours avoir un trou disponible comme ça. La nuit, le matin, tout le temps.

Je le laisse là croupir dans son sac et je remonte. J’ai faim. Je vais d’abord prendre mon petit déj tranquille. Céréales, yaourt, fruits, œufs, café, je me soigne.

Ça me donne l’occasion de réfléchir un peu à ce dimanche. Mon bâtard est déjà plus proche d’une loque que d’un homme. Il doit rester dans cet état psychologique. Je vais m’en servir d’objet, le chosifier.

Je lui prépare quand même une gamelle. Il ne faudrait pas qu’il tourne de l’œil et qu’il fasse une hypo. Je suis d’humeur généreuse, céréales et lait.

Je vais à la cave, je le libère et lui remet son collier et sa laisse.

- Allez suis-moi.

On remonte à l’appartement.

- Tiens, tu as ta ration dans la gamelle.

- J’ai besoin d’aller aux toilettes Boss

- Tu ne t’es pas suffisamment soulagé dans ta couche ?

- Ce n’est pas de ce côté-là cette fois boss

- Ok tu as ton saut, tu iras le vider ensuite

Je sais qu’il est pudique en réalité. Dans le monde parallèle du bdsm, c’est différent mais chier devant moi c’est difficile pour lui. Il le fait, comme à son habitude, il obéit. Il s’essuie avec du sopalin.

- Allez va vider ça et va te laver je te veux propre. Là tu n’es qu’un sac à merde et tu pues la pisse. Ensuite tu mangeras.

Pendant ce temps-là je prépare la chambre. Je veux un rubber gimp. Une forme noire sans personnalité, sans valeur, sans espoir. Juste un objet, mon objet, que je pourrai utiliser et faire souffrir comme bon me semble. Je veux un contrôle total de ses sens, de ses fonctions vitales, qu’il soit à ma merci, que rien ne lui appartienne plus.

Il est au-dessus de sa gamelle en bon kleps. Il n’en laisse pas une miette, déjà que je ne l’ai pas nourri hier soir il cherche à se rattraper. Bien sûr il ne se doute de rien. Nous n’avons jamais parlé d’une soumission si poussée. Je lui mets un gros plug bien profond dans le cul.

- Viens là bâtard. Tu enfiles cette combi en latex épais.

Je lui mets des chaussettes latex et des gants latex. Une cagoule de heavy bondage de la même matière. Il a les yeux fermés.

Je l’attache sur le lit avec des Segufix, très efficace pour une immobilisation longue.

Il est à moi, un corps à ma merci. Je vais contrôler tous les aspects de son corps. Toutes ses fonctions vitales seront sous mon contrôle.

Je commence par le respirateur. C’est le principal. J’ai un embout spécial pour la bouche relié à une machine avec un système de secours. Il ne pourra respirer que grâce à cette machine.

Je la mets en fonctionnement et j’insère le tube. Il ne respire plus par lui-même. Je contrôle son rythme cardiaque grâce à des électrodes installées au préalable sur le torse. Ses mouvements respiratoires n’existent que parce que je le décide.

Le rythme cardiaque est régulier même s’il est rapide à cause du stress.

C’est le moment de sonder le bâtard. Il ne pourra pas se retenir de pisser plusieurs heures. J’installe le matériel. Je sors sa queue, je nettoie et désinfecte, je mets les gants et le champ stériles. Une bonne dose de lubrifiant et je peux commencer à pénétrer sa queue avec la sonde de Foley. J’ai pris un diamètre de 16CH, c’est déjà respectable pour une première.

J’entre sans résistance. J’arrive à la vessie et de la pisse commence à apparaître dans le tube. Je peux gonfler le ballonnet qui la maintiendra en place. Un sac de recueil de la pisse est aux pieds du lit. Je pourrai le vider régulièrement.

Ne manque plus que la nutrition. Une sonde nasale est nécessaire. Elle doit arriver jusqu’à l’estomac. Il faut le nourrir et l’hydrater si je veux qu’il résiste et qu’il pisse normalement.

J’insère donc la sonde dans la narine droite et je descends lentement dans l’œsophage. Il déglutit plusieurs fois. C’est très désagréable et il sent la sonde qui entre au plus profond de son corps. Aucun orifice ne m’est interdit, aucune partie de son intimité n’est inviolable.

J’arrive bientôt dans l’estomac. Je peux maintenant pousser sur la grosse seringue qui contient le liquide spécial qui contient tout ce dont il a besoin : les nutriments indispensables, les vitamines et l’eau. J’ai ajouté un sédatif léger pour le faire planer et qu’il entre dans une autre dimension.

Je le laisse une heure comme ça sans le toucher, pour qu’il s’habitue à sa nouvelle vie sous contrôle total. Je vais régulièrement vider les urines et pousser sur la seringue, je vérifie que le rythme cardiaque soit correct.

Au bout d’un moment le cœur est plus lent. Il commence à s’habituer. Je vais pouvoir m’amuser un peu.

Je sors la pinwheel électro. Je n’ai pas beaucoup de choix mais sa queue est disponible… Je branche le boitier électrique et je commence par une intensité faible à moyenne. Mais en variant la pression, les sensations sont plus ou moins fortes. Ça le tire vite de la torpeur mais le sédatif contribue à le maintenir dans un état second.

Il est maintenu plaqué au lit, sans aucune possibilité de bouger. Je peux pousser le jeu. J’augmente l’intensité. Sa réaction ne se fait pas attendre mais il est plus calme que d’habitude.

Je peux tout faire ou presque sans qu’il ait la force de réagir. La puissance de l’électro approche de son maximum. Il essaie de crier mais le respirateur l’en empêche. C’est kiffant.

Je stoppe l’électro et je me mets à le branler. Ça lui fait gonfler la queue mais c’est aussi douloureux et il est incapable de jouir. Sa frustration est totale. Il ne contrôle absolument rien. Je le branle comme si je voulais le faire cracher…

Je vois la pisse qui continue à couler. Je clampe le tuyau. Je laisse la vessie se remplir… On verra combien de temps il tiendra comme ça. J’ajoute de l’eau dans la seringue reliée à son estomac.

Je branche la cam pour le surveiller de la pièce d’à côté. Un bâtard stocké.

Je le laisse 2h comme ça. Je vais appuyer sur la vessie de temps en temps pour voir où il en est. Ça commence à être dur à supporter. Même pisser il n’a pas le droit de décider. La vessie fait pression sur ses organes du bas-ventre. Je retire la pince et la vessie se vide très rapidement, se dégonfle sans résistance. C’est une sensation de lâcher-prise totale. La vidange du bâtard.

Ça fait plusieurs heures qu’il est sous contrôle total. Je desserre l’étaux qui le maintient dans cet état pour le ramener à sa condition de base. Je retire la sonde. Il n’a pas joui depuis des jours. Je lui branle la teub qui gonfle instantanément. Je veux juste lui purger les couilles, pas question qu’il prenne le moindre plaisir. Il ne doit pas s’attendre à la moindre attention de ma part et ne la souhaite d’ailleurs pas, il sait à quoi il sert, il sait quel est son rôle, il n’a aucune autre aspiration que de servir. Ses couilles sont archi-pleines, il mouille abondamment. Je m’arrête et reprends la branle. Je l’amène au bord de la jouissance sans jamais dépasser la limite. Je le sens qui se contracte. Après trois jours à servir, il lui reste dans la tête la vieille idée idiote que ce serait quand même une bonne chose de se soulager vraiment. Oui il va se vider mais calmement… sans le moindre orgasme, réservé à d’autres. Je sens le jus qui monte, je lâche sa bite et le liquide s’écoule sur le latex de la combi.

Je le libère pour qu’il termine de me servir. Je le mets sur le ventre encore en latex, j’enlève le plug et je le lime une dernière fois. Son cul est ouvert comme un tunnel. Aucune résistance, je n’ai plus qu’à niquer bien profond et à me soulager.

C’est bien bâtard tu m’as bien servi. Je le remets en cage de chasteté jusqu’à la prochaine fois. Il n’a le droit que de se servir de son cul.

Il repart heureux d’avoir été utilisé à sa juste valeur.

Matskin

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