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Saison 4 | Chapitre 10 | Dépucelages
Je me retourne, me penche pour l’embrasser avec gloutonnerie tout en le poussant vers mon lit sur lequel il bascule en arrière. Je me jette sur sa queue que j’engloutis pour quelques allers retours destinés à la mouiller grassement puis je la confie à ma main qui la masse en rapides rotations tandis que je gobe ses couilles trop poilues, soulevant ses cuisses pour descendre vers sa rondelle que j’écrase de ma langue. C’est lui qui tient maintenant ses deux jambes relevées et mon doigt s’est fiché en lui alors que mes lèvres vont et viennent de son fion à sa queue. Rapidement, mon doigt peut limer son conduit détendu et je reviens en chatouiller l’entrée avec ma langue pointée. Deux doigts s’introduisent puis trois, il dodeline de la tête avec de petits gémissements alors que son érection diminue.
J’attrape le gel et le lubrifie largement puis rapidement, j’enfile un préservatif et m’approche : d’une pression, je le pointe puis je bascule lentement sur lui pour l’enfiler dans le mouvement. Il ouvre les yeux à demi, concentré sur ses sensations et quand il fronce les sourcils, je suspends l’intromission. Dès qu’il se détend, je reprends. Alors que mes poils commencent à se mêler à ceux de sa raie, je le vois se crisper d’un coup, sa poitrine se soulever rapidement. Puis, lentement, il retrouve un rythme ordinaire, ouvre les yeux et me sourit. Je le fais rouler un peu sur son bassin pour bien l’ouvrir en douceur puis je me dégage, le retourne en levrette et le pointe.
Alors, les deux mains sur ses hanches, je l’enfile fermement. « ça va ? » Il souffle « continue » et je commence de courts mouvements. Il est maintenant ajusté et je coulisse sans peine de toute ma longueur. Il allonge ses bras vers l’avant, écrase son visage dans le matelas, se cambre en rythme avec mes poussées avec un souffle rauque. Je lui assène une série soutenue et il se donne bien profond.
Je me retire et il se redresse aussitôt : « non ! » Je le lubrifie et le doigte. Il frémit mais sa main retire la mienne : « reviens » Je le fais languir encore en le positionnant tandis que sa main bat l’air en essayant de saisir ma queue. Puis je lui donne ce qu’il demande et il se la carre d’un coup de rein. Il est chaud, en demande et se donne avec entrain. Son cul, qui était probablement vierge, s’est mis au calibre de ma grosse queue et la gaine suavement. Je le lime bien profond en caressant son torse poilu où se dressent ses tétons. Puis d’un coup, il cède, est secoué par des soubresauts en me serrant spasmodiquement le chibre et en quelques contractions, il projette sa sève au mur, provoquant mon plaisir qui le remplit de chaleur. Il s’abat sur le lit dans une longue expiration et je m’allonge à son côté en le caressant. Il a beaucoup transpiré mais son odeur est douce. Il retrouve son calme et, à tâtons, ma queue encore capotée qu’il pétrit.
- « Mon salaud, j’en reviens pas que tu aies pu me mettre ce barreau-là » Je m’inquiète :
- « je t’ai fait mal ? » et il me regarde avec un sourire narquois et des yeux pétillants. Je fais une moue :
- « tu peux également me rendre la monnaie de ma pièce » Et son sourire s’élargit.
Une petite toilette plus tard et je le vois se rapprocher, les mains tendues vers mes fesses dont il caresse la fourrure, écarte les globes qu’il pétrit. Je le laisse se chauffer un peu tout seul puis je décide de lancer mon offensive. Profitant de mon avantage de taille et de corpulence, je le renverse sur mon lit et m’assois sur lui, mes fesses encadrant sa bite fine et longue. Bras tendus pour appuyer sur ses épaules, je le regarde et lui demande ce qu’il compte faire. Je roule du cul pour masser un peu une érection qui s’affermit encore puis je me penche lentement pour l’embrasser, laissant sa queue se redresser dans ma raie. J’attrape un étui, l’ouvre et distribue : à lui le lubrifiant et moi, je referme ma main sur la capote. Mais, pour dissiper tout à fait ses scrupules, j’ajoute :
- « à tout moment, on peut tout arrêter et faire comme si rien n’était jamais arrivé, si tu veux » Il me regarde avec un air de défi :
- « tu te dégonfles ? » Je l’écrase sous moi, lui mordille l’oreille et lui glisse :
- « je t’attends, petit poilu » avant de me renverser, tête bêche, sur le lit étroit. J’écarte mes cuisses et le laisse décider des caresses qu’il va me prodiguer tandis que je me jette sur sa touffe et la garniture : je pétris, lèche, serre, suce. Sa bite est fine et en parait longue, bien décalottée sur un gland pointu et rose. Il ne taille pas sa fourrure et ses boules sont bourrues. Je m’interdis de descendre sur le périnée vers sa rosette pour qu’il reste concentré sur son entreprise.
Il me lèche la queue, tète mon gland et me doigte fermement et un peu maladroitement. J’interviens de la main pour le guider puis je reviens sur sa bite pour dérouler la capote. Je le renverse sur le dos et me repositionne à califourchon, soulève lentement mes cuisses pour que sa queue coulisse dans ma raie. Je le regarde dans les yeux et lui dis « guide la » Il me fiche un doigt, saisit son manche et le positionne puis essaie de soulever son bassin mais je me dérobe et c’est lorsqu’il redescend que je donne le petit coup de rein qui va le ficher en moi. Il comprend, sourit et je lui dis :
- « c’est mon cul qui va bouffer ta queue » en me laissant glisser pour l’enfoncer en moi. Je me contracte juste assez pour bien le sentir ouvrir son chemin, jusqu’à être assis sur lui, sa touffe écrasée dans ma raie. Je joue du ressort de mes cuisses, lentement, inversant le mouvement qu’accompagne ma respiration. Son bâton est brûlant. Ses mains courent sur mes cuisses et soulèvent mon cul. Je m’enfonce sur lui et le capture en serrant mes entrailles :
- « tout va bien ? » Il se soulève sur ses coudes et me dit :
- « j’ai envie de te limer maintenant » Bien, il est chaud ! Je le recrache, et me lève. Il m’envisage, ses mains me guident, il ajoute :
- « t’es drôlement costaud ! »
- « et alors ? » Il m’a retourné dos à lui, appuyé sur le lit, jambes écartées et solidement plantées, une de ses mains suit ma raie, l’autre guide sa queue qu’il engage d’un coup de rein.
- « Et alors, je vais ramoner ta grande cheminée » Il me guide pour pouvoir me fourrer de toute sa tige, et aussitôt, engage un balancement puissant. Il claque bruyamment contre mon cul, il a saisi une fesse dans chaque main et les écarte sans égards pour essayer de m’enculer plus profondément. Je me cambre, il me pilonne en quelques coups. Mais il respire déjà fort et d’un coup puissant, se carre au fond et lâche la sauce avec un petit couinement sans m’attendre. Il est crispé et je le laisse quelques secondes puis me dégage, me retourne et tombe à genoux. J’arrache la capote et aspire en bouche sa queue qui ramollit. Ma main s’infiltre entre ses cuisses et je le pénètre de tout un doigt qui le vibre. Il a des spasmes et essaie de me retirer mais je résiste tout en adoucissant mes caresses.
Il réussit à libérer sa bite devenue flasque et se penche pour me rouler une pelle.
Amical72
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