Page pr�c�dente

Torse nu sur les rochers

Italie, c�te adriatique, au printemps. Je m'arr�te en chemin pour profiter une derni�re fois de la mer avant de repartir : une petite route qui rejoint la mer, des rochers, pas un chat. Il fait frais � cause du vent qui souffle, mais le fond de l'air est doux. Je m'installe, croque un fruit, arrive alors une moto qui se gare � c�t� de ma voiture. Un mec descend, �te son casque, avance vers les rocher au bord de l'eau, s'assoit contre un rocher � l'abri du vent, reste quelque minutes face � la mer, puis s'allonge. Visage mat, cheveux noirs, belle carrure, jean, blouson, t-shirt � manches longues. Puis soudain, se rel�ve et se met torse nu ; j'en suis tout secou�, je ne m'attendais pas � voir un mec se foutre torse nu sous mes yeux au milieu de ces rochers d�serts. Je le mate : musculature un peu trop travaill�e pour mon go�t, mais des bras puissants comme j'aime, poils noirs sur les avant-bras. Il se rallonge, �couteurs viss�s sur les oreilles, commence � faire la sieste.

J'en profite pour reluquer � loisir. Sa t�te est c�t� mer pour faire face au soleil : visiblement il profite de sa pause d�jeuner pour venir bronzer, mais ce qui m'excite, c'est qu'il s'est juste foutu torse nu mais a gard� le jean et les chaussures. Comme il me fait face, je profite bien du spectacle, mais l'envie me prend d'aller admirer de plus pr�s : je fais mine de me rapprocher du bord de l'eau pour voir les vagues, l'horizon, je sais pas quelle connerie... Tu parles, ce que je regarde, c'est son torse nonchalamment �tal� sous mes yeux : pectoraux bomb�s, un peu de poils sur la poitrine, mais surtout un duvet noir qui couvre le bas de l'abdomen et s'enfonce dans la ceinture du jean. Je passe et repasse devant lui. A un moment, j'ai l'impression de le voir sourire et je me demande si ses yeux ne sont pas entrouverts, mais tout me laisse penser qu'il dort : la respiration lente qui soul�ve r�guli�rement sa poitrine, ses bras immobiles.

Puis, il se passe une main sur le torse, se caresse vaguement les pectoraux, le ventre, ses mains se calent ensuite au fond des poches, ce qui lui fait bomber les pectoraux et fait ressortir une belle paire de t�tons �tonnamment p�les vu le teint h�l� du bonhomme. Les mains sortent des poches, un bras se l�ve pour passer sous la t�te et d�voile une aisselle g�n�reusement garnie de poils bruns tirant sur le roux, le genre de pilosit� o� �a se rejoint du torse aux aisselles et des aisselles � l'arri�re du bras. Il a relev� une jambe, son buste est en torsion, ce qui met en valeur son abdomen muscl� quoique pas totalement plat : il a la bonne trentaine et �a se voit, mais c'est un mec qui s'entretient et le ventre est arrondi mais pas gras.

Je repasse encore devant lui pour profiter du point de vue : c'est pas tous les jours qu'on voit un mec torse nu sous cet angle ; d'habitude on le voit plut�t debout, ou alors s'il est allong� � la plage ou � la piscine, on le voit en rase mottes ; l�, je suis face � son ventre, je vois du dessous le monticule de ses pectoraux o� pointent ses t�tons superbes, son poitrail et son visage � la fois doux et viril. Et l�, mon coeur manque s'arr�ter quand je le vois passer une main sous la ceinture du jean et se poser ostensiblement sur son paquet. Le mec sait-il que je suis � 50 cm de lui ? Apr�s tout, il ferme les yeux et �coute de la musique donc il ne devrait ni me voir ni m'entendre, mais il sait bien que je ne suis pas loin puisqu'il est arriv� apr�s moi : est-ce qu'il croit qu'il est cach� par le rocher et que je ne le vois pas ? La main dans le jean palpe manifestement quelque chose, sans qu'il soit ostensiblement en train de se branler : il peut aussi bien �tre en train de se remettre en place ; mais il a l'air de trouver �a bien agr�able, car il prend son temps !

Alors un sourire parcourt de nouveau son visage, je m'�loigne un peu en regardant ailleurs, de peur d'�tre d�couvert. Une fois � l'�cart, je regarde de nouveau : la main a quitt� le jean, le bras est de nouveau relev�, biceps gonfl�, poils des aisselles � l'air. Je me rapproche l'air de rien, recommence � mater ce beau sp�cimen d'Italien torse poil et l�, pas de doute, un oeil s'entrouvre au moment o� il se passe une main sur le torse ; je d�tourne de nouveau le regard pour faire mine de contempler l'horizon. Quand je le regarde de nouveau, il a referm� l'oeil mais est encore en train de se caresser le torse. Je me mets torse nu � mon tour, histoire de faire couleur locale. La main caresse maintenant ostensiblement le paquet � travers le jean, l'oeil se rouvre, je d�cide de ne pas soutenir son regard mais sans d�tourner les yeux non plus : je reluque son torse, mon regard suit son bras, son �paule, se pose sur son cou, puis sa poitrine avant de redescendre le long de l'abdomen vers la main pos�e sur l'entrejambes.

Je d�cide de lui laisser le temps et me contente de le regarder en essayant d'avoir l'air impassible mais en me caressant quand m�me moi aussi le torse, l'air de rien. Sa main replonge dans son jean, l'autre se pose � pr�sent sur son torse, caresse les pectoraux, puis descend vers la braguette et la d�boutonne lentement. Il a maintenant rouvert les deux yeux et me fixe soudain, avant de regarder de nouveau vers sa braguette d�faite. Je m'approche et m'assois contre lui : ma main se pose enfin sur son corps, sa peau est douce et l�g�rement couverte de sueur, mes doigts parcourent son �paule, son bras au biceps band�, remontent vers la poitrine, se posent sur le t�ton, je flatte le t�ton du pouce tout en t�tant les poils du bout des doigts. Il a sorti sa queue du jean, elle est charnue et brune, le gland d�gouline, bien d�gag� du pr�puce, je la caresse puis l'empoigne, tandis que lui se caresse le torse d'une main, l'autre bras pass� sous la t�te. Peinard le mec : il se fait branler au soleil en se relaxant et en t�tant sa propre musculature. Je me penche pour lui l�cher le torse, les t�tons, le cou, puis je descends le long de l'abdomen vers sa bite, je donne quelques coups de langue sur le gland, qui r�agit par de petites secousses.

Enfin je le prends en bouche : son pieu est bien ferme, une bonne �lasticit� sous la langue, la peau du gland est tendue � craquer, c'est soyeux sous la langue, son liquide s�minal est savoureux, go�t min�ral, un rien sal�. Le mec murmure des trucs en italien que je ne comprends pas, mais je sais que �a parle de " mi cazzo " - sa bite : je sais �a de ma fr�quentation de quelques films X. Je vais lui faire voir ce que j'en pense de son " cazzo " : je l'engouffre en donnant un coup de langue � chaque passage, je sais que tous les mecs adorent �a, � commencer par moi. Il geint et se d�cide enfin � m'empoigner les pectoraux, que j'ai pas mal muscl�s et bien velus. Sa main me soup�se le muscle, attrape mes poils, triture mes t�tons. Entre temps j'ai d�ball� mon braquemart et me branle all�grement. C'est vraiment jouissif de le savoir � ma merci : je le suce, certes, mais c'est lui qui est allong�, abandonn� � mon d�sir, � ma bouche, � mes mains ; il continue � grogner et disant des trucs que je ne comprends pas, mais je crois discerner " peloso ", " mascalzone ", " porco ". Ca me fait redoubler d'enthousiasme dans ma pipe.

Il se tortille maintenant carr�ment sous mes coups de langue et mes caresses : ma main parcourt tout son torse offert ; j'ai toujours tripp� sur les mecs torse nu qui gardent le jean, comme si c'�tait pas parce qu'ils ont chaud qu'ils se mettent torse nu mais juste pour le plaisir d'exhiber leur virilit�, surtout s'ils sont velus, tous poils au vent, t�tons couronnant fi�rement le tout. J'ai toujours eu envie de m'en faire un, un mec en jean torse nu, sauf qu'en g�n�ral les mecs on se les fait chez soi ou au sauna, donc plut�t � poil. Ma langue quitte un instant son pieu d�licieux pour se balader sur son torse, je l�che avidement sa chair muscl�e, je passe un coup sur les t�tons couronn�s de poils et m'attarde ensuite sur ses aisselles, je nettoie sa sueur : le go�t est doucereux et �cre � la fois, un peu acide, ses poils embaument, ses parfums de mec m'emplissent les narines, j'en ai la queue qui redouble d'excitation, surtout qu'il s'est d�cid� � me caresser franchement le torse et les t�tons. Je me dis que soit ce mec est de la p�dale comme moi et il joue bien les motards h�t�ros, soit il n'en est pas et alors il est bien aimable de me rendre la politesse en flattant le torse, en rendant mes coups de langue par des caresses sur mes t�tons. Dans un cas comme dans l'autre, je lui donne pas tort car j'ai plut�t un torse avantageux - merci la piscine - et g�n�reusement garni de poils, ce qui me vaut souvent des regards envieux, approbateurs, surpris, libidineux ou admiratifs quand � la moindre occasion je me fous torse nu.

Je vais pour embrasser mon motard torse nu, mais il d�tourne la t�te : qu'� cela ne tienne mon gaillard, tu ne veux pas faire ce que je veux ? C'est ce qu'on va voir, je reviens � ton " cazzo " et on va bien voir si je ne fais pas de toi ce que je veux. Je l'engouffre encore plus goulument, il geint et se tortille encore plus langoureusement : ces 15 � 20 bons cm de braquemart palpitant et ces 70 � 80 kg de muscles en sueur sont � la merci de ma bouche et de mon petit bout de langue ! Je lui en remets une couche en me branlant de plus belle, car je sens bien qu'il ne va pas tenir tr�s longtemps, le jus de sa bite d�gouline dans ma bouche tandis que la mienne suinte � fond dans ma main, �a lui coule sur le bras, j'acc�l�re les mouvements de t�te et de main, et soudain je sens sa queue se contracter sous ma langue, au m�me instant je ressens une d�charge qui me part du cul, me parcourt tout le p�rin�e, puis me remonte le long du braquemart, et je d�charge une bonne dose de foutre sur le torse nu de mon motard - qui en profite pour me qualifier encore de " mascalzone " et de " porco ", juste avant que sa queue ne se mette � enfler et ne me l�che dans le gosier une g�n�reuse ration de jus de mec, bien savoureux, bien �cre comme j'aime. Avant d'avaler, je me d�p�che de me jeter sur sa bouche pour partager le suc avec lui, je ne lui laisse pas le choix et lui roule cette bonne pelle au foutre en lui attrapant la t�te � deux mains avant qu'il n'ait eu le temps de comprendre ce qui lui arrive ; et il faut croire qu'il ne d�teste pas parce qu'apr�s un grognement pour la forme, il me rend mes coups de langue, se d�gage de mon baiser en m'attrapant la t�te par les cheveux, me saisit la queue � pleine main, m'�tale sur la joue le foutre qu'il a r�colt� sur ma bite et me l�che la bouche, puis la joue. On se regarde au fond des yeux : les siens sont d'un noir profond, magnifique, il a de longs cils qui soulignent encore son regard et de beaux sourcils bien fournis et bien dessin�s. On se sourit, il me caresse encore un coup le torse, je fais de m�me, soupesant avec gourmandise ses beaux muscles galb�s, on se roule un patin vite fait et je me l�ve pour remballer mon mat�riel et repartir.

G.

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
Pour plus d'info :