Je m'appelle Franck j'ai 35 ans et je suis en couple depuis 15 ans avec Olivier 32 ans. Nous sommes un couple uni, fidèle et heureux.
Dans notre entourage nous avons un couple d'amis, Julie et Guillaume, que nous voyons assez souvent.
Guillaume est un pur beau gosse d'une trentaine d'années, brun, sportif et plein d'humour.
Olivier et moi fantasmons beaucoup sur lui en plaisantant.
L'histoire que je vais vous raconter s'est déroulée cet été. Alors que je me baladais près de chez moi, je croise Guillaume qui faisait son footing.
Lui : "Salut Franck ça va ?"
Moi : "Très bien merci et toi ? Pas trop chaud ?"
Lui : "Si très chaud, il me tarde de boire un coup, ma gourde est vide."
Moi : "Tu veux monter boire un verre avant de reprendre ton footing ?"
Lui : "Avec plaisir !"
Nous voilà en route pour chez moi. Je le regardais marcher devant moi, en sueur. Il était vraiment magnifique. Ses biceps saillants épousaient parfaitement son t-shirt col v d'où sortaient quelques poils bruns. Son short mettait en valeur ses fesses musclées et rebondies. Ce mec est un délice pour les yeux ! Une fois dans l'appartement, nous nous installons dans le salon et je lui sers un grand verre d'eau fraiche. Il a très soif et en buvant il renverse une bonne quantité d'eau sur son t-shirt. Entre la sueur et l'eau, le pauvre t-shirt est imbibé et lui colle à la peau laissant apparaitre des formes splendides et deux tétons dressés.
Je ne peux m'empêcher de le regarder.
Lui : "Merde je m'en suis foutu partout !" En disant ces mots, il ôte son t-shirt et laisse apparaitre son torse parfait.
J'avais les yeux rivés sur son torse. Un torse parfait : des tétons dressés, des abdominaux parfaitement dessinés, des poils bruns qui brillaient sous l'effet la sueur.
Puis je repris mes esprits et lui dis :
Moi : "Tu veux prendre une douche et que je fasse tourner tes vêtements en machine en attendant ?"
Lui : "C'est une bonne idée !"
Et en disant ça, il se déshabilla en deux temps trois mouvements. Il se trouvait devant moi dans mon salon nu comme un ver.
Je ne savais plus où poser mon regard. Il avait de belles cuisses galbées par beaucoup de sport, des pieds larges et une queue superbe ! Elle était épaisse et longue et elle reposait sur une belle paire de couilles velues. J'en avais l'eau à la bouche... Je me demandais à quoi elle devait ressembler en action.
Il me fixait avec un regard malicieux et pris la parole :
Lui "Au lieu de la mater de loin, pourquoi tu ne t'approcherais pas pour la voir de plus près ?"
Moi "De quoi tu parles ?" balbutiais-je...
Lui "De ma bite que tu as envie de prendre en bouche"
J'étais stupéfait de l'entendre dire une chose pareille même si je dois avouer qu'il avait tout à fait raison.
Lui "Tu crois que je n'ai pas vu ton manège, ça fait des mois que je sais que tu me mates dès que tu en as l'occasion. Alors maintenant on arrête de jouer, tu vas te mettre à genoux et tu vas me sucer bien comme il faut !"
Son ton avait changé. Il était directif et décidé. Je me suis approché presque de façon automatique et je me suis agenouillé devant cette magnifique queue. Je l'ai prise dans ma main, je l'ai décalottée et très vite elle s'est mise à durcir. Son gland était luisant de mouille. Je n'ai pas pu résister, j'ai donné un coup de langue pour tout récupérer.
Lui "Humm j'en étais sûr, tu aimes la queue toi ! Vas-y régale toi !"
Et en disant cette phrase il enfonça d'un coup toute sa bite dans ma gorge. J'avoue que j'ai eu un haut-le-coeur pendant quelques secondes. Il a mis ses mains de part et d'autre de ma tête et a commencé à me limer la gueule avec force. Il entrait et ressortait son chibre en rythme. Je bavais beaucoup, j'avais parfois un peu de mal à respirer, mais je prenais un pied d'enfer !
Lui "Oh putain tu encaisses bien, tu aimes vraiment ça être dominé par une bite ! Je ne sais pas si Olivier se doute de la chienne que tu es, en tout cas moi c'est bien la première fois qu'on me suce comme ça".
Moi "Elle ne te suce pas aussi bien Julie ?"
Lui "Ah non clairement ça n'a rien à voir. Elle me fait des pipes pour me faire plaisir, mais je vois bien qu'elle n'aime pas vraiment ça, alors que toi on voit bien que tu es fait pour ça ! Je suis sûr qu'en plus tu aimes le jus, je me trompe ?"
Non, il ne se trompait pas. J'adore le jus. Je pouvais sucer Olivier 10 fois par jour juste pour avoir ma dose de protéines masculines.
Moi "Oui c'est vrai j'aime avaler"
Lui "Je l'aurais parié ! Tu vas être servi, car je ne vais pas tarder à te remplir la bouche. Je suis un bon juteur et là en plus je ne me suis pas vidé depuis plusieurs jours alors prépare-toi à être nourri !"
J'étais tellement excité que je me tortillais comme une chienne. Je redoublais d'efforts sur sa queue tendue. Je léchais, je suçais, je pompais, j'aspirais... Je le regardais droit dans les yeux pour le chauffer encore davantage. Soudain, il se raidit, enfonça sa bite au fond de ma gorge et déversa un flot ininterrompu de foutre tiède et sucré. J'avalais avec délice ce précieux nectar. Je prenais un tel pied que, sans même me toucher, je jouissais à mon tour. La tâche sur mon pantalon en attestait.
Guillaume s'en aperçut et dit :
Moi "Je vois petit cochon que tu as juté aussi, allez déshabille toi, tu ne vas rester souillé"
(la suite dans quelques jours)
Franck84
Autres histoires de l'auteur : Le jouet d'un hétéro
