J'ai 18 ans aujourd'hui, je m'appelle Julien. J'espérais un truc spécial pour mon anniversaire. J'ai toujours aimé les livres de fantasy, les chevaliers, la magie, les créatures fantastiques. Oui, spécial comme ça. Je pensais à l'éveil de pouvoir, ou à un évènement sortant de l'ordinaire. Mais bon, il faut croire que c'est un jour banal comme tous les autres. Je me lève vers 6h30, complètement à poil et bandé comme d'habitude, je prends un moment pour me regarder dans le miroir sur le chemin de la salle de bain. Il me permet de m'admirer sous toutes les coutures. Je ne suis pas particulièrement narcissique, je pense juste que c'est bon pour mon estime de moi de me dire que je suis plutôt pas mal. Je manque un peu de confiance parfois. Enfin bref, me voir la queue turgescente me donne un frisson. Je ne suis pas si mal que ça en vrai. 1m76, 70 kg, sec. Je fais courir ma main le long de mes abdos avant d'aller flatter un peu ma teube. Je vois bien dans mon expression que j'ai terriblement envie de me branler, mais je n'aurai pas le temps ce matin. Ma petite tête blonde prend un air déçu avant que je ne lâche mon paquet, et que je ne me dirige à nouveau vers la douche. L'eau chaude, ça fait tellement du bien. Là j'espère encore, sentir un changement en moi, même infime. Toujours rien. Pas grave, j'ai encore toute la journée devant moi non ? Je sors de la douche, et je me demande ce que je vais mettre... pull, T-shirt, jeans. Pour ce qui est du calebut... en général je ne me trimbale en slibard que dans mon kot. J'adore me voir là-dedans, ça m'excite vraiment beaucoup. Mais jour spécial dit sous vêtements spécial. Je sors un slip rouge, un peu moulant. Ce sera parfait.
Je regarde mon gsm, il est 7h15. Je déjeune, prends mon sac et pars en direction de mon auditoire. Et mes cours se passent. Comme tous les jours. Bon je banalise un peu tout, j'exagère. Je dois passer par un parc pour aller en cours et les couleurs d'automne dont se parent les arbres le rendaient magnifique. Et comme il avait plu, l'odeur de la terre humide m'a rappelé la campagne où j'ai grandi. Et puis j'ai croisé Antoine aussi. Mon crush du moment. C'est une tête ici. Moi, je suis dans le haut de la moyenne, et j'ai toujours un peu admiré les gens particulièrement doués dans les études. Il est super mignon aussi. Cheveux brun, des yeux verts, des lunettes rectangles qui lui donnent ce petit côté intello sexy. Il est aussi particulièrement gentil, ou en tout cas super cool avec tout le monde. Il a sa bande de potes et ils ont l'air d'être vraiment proches. Je suis content, je sais que se fier aux apparences, ce n'est pas toujours la meilleure des idées, mais il a l'air heureux. Et c'est le plus important. Je pense que je suis un peu trop compliqué pour être en couple. Je réfléchis trop. Alors même s'il était bi ou gay et même si je lui plaisais, je ne me mettrais pas avec lui. Rien ne garantit qu'il soit potentiellement plus heureux avec moi et... voilà moi 100 % je recommence les prises de tête. Bref.
Je rentre, je me fais à manger, et je revois un peu ce qu'on a appris aujourd'hui et dodo. Je me déshabille lentement et m'arrête quand il ne reste que le slip. C'était vraiment pour le fun. Demain on retourne à la routine. Oh, un message de mes parents, ils s'en sont souvenus finalement. C'est vrai que le 13 septembre c'est dur à retenir quand on n'a qu'un seul enfant. Bah je suis quand même content d'avoir reçu le sms. Oh un message Facebook. Et bien, 22h et les gens se souviennent que c'est mon anniversaire ? Alors qui est-ce que... Antoine ?! Il me demande si je veux venir à une fête chez un de ses potes. Il a appris pour aujourd'hui... je suppose que c'est par sympathie. Ou par pitié peut-être. C'est plus que probable. Je pense qu'il vaut mieux que je reste ici. Mais alors que je commence à écrire ma réponse, je commence à me dire qu'on ne vit qu'une fois. Bon Julien, message court et concis, ai l'air normal. J'écris que j'arrive.
Je me rhabille, j'hésite. Je garde mon slip ou je mets un caleçon ? S'il y a des jeux où on perd nos vêtements comme ça fait un peu vieillot je vais avoir l'air bizarre. Rah tant pis, je ne jouerai pas s'il y a. Je sors la lune est pleine et éclaire presque comme le soleil. Je n'aime pas particulièrement me balader la nuit, cependant cette fois tout semble calme et relaxant. J'arrive à l'adresse qu'Antoine m'a donnée. J'entends la musique, mais il n'y a pas l'air d'avoir beaucoup d'ambiance. Autant les foules me stressent, autant les petits groupes de potes c'est pire. Je ne pourrai pas passer inaperçu dans ce cas. Enfin, je m'approche du porche puis m'arrête une nouvelle fois. Maintenant j'ai peur. En plus du stress, j'envisage la possibilité que ce soit juste pour s'amuser et que ce ne soit pas Antoine qui ait envoyé le message, quelqu'un a très bien pu... STOP. Voilà je vais encore chercher trop loin. J'avance et je m'apprête à toquer.
Pour qu'un Antoine torse nu m'ouvre la porte. Il est tellement beau, je sens que je vais bander, mais le stress et la surprise suffisent à me stopper net. Un sourire ravageur sur le visage, il me lance en passant son bras autour de moi :
- Hey Julien !! Joyeux anniversaire mec. 18 ans, c'est trop cool ça.
Il m'attire à l'intérieur tout en continuant. Il sent le rhum, et son corps émet une de ses chaleurs... en tout cas je commence à transpirer. Qu'est ce qui m'a pris de venir ici bon sang. Je me sens vraiment mal à l'aise. Alors que je cherche à trouver une excuse pour m'éclipser, on pénètre un grand salon avec des coussins et des fauteuils partout. Une table au fond avec des rafraichissements. Il doit y avoir 15 personnes, lascivement allongées là par petit groupe. Et tout le monde est en sous-vêtements. Là je rougis et marque un temps d'arrêt. Antoine le sent et me regarde droit dans les yeux. Il a un peu perdu son sourire, il a l'air pensif. Puis redevenu lui-même il m'annonce
- Voilà Julien, le mec dont je vous parlais plus tôt (il leur a parlé de moi ?!) Je crois qu'il est un peu mal à l'aise. Cassandre je peux l'emmener dans ta chambre ?
Une jeune fille aux longs cheveux blonds bouclés se tourne vers lui et lui sourit en rigolant. Il a l'air de prendre ça pour un oui parce qu'il me traine en haut. Je suis tellement perdu que je me laisse conduire sans rien dire. Une fois dans la chambre de Cassandre, il ferme la porte et le clic de la serrure me ramène à la raison. Je fais volteface et m'apprête à lui dire ma façon de penser.
- Antoine, mais qu'est ce qui te prend ?! Je m'en vais je n'aurais jamais dû... venir.
Il me regarde avec un air un peu prédateur et je ne peux pas m'empêcher de voir la bosse proéminente dans son jean. Je pense que si je n'étais pas aussi pétrifié ça m'aurait beaucoup excité.
- je dois dire que je suis impressionné Julien. Je voulais juste m'amuser à te dépuceler et faire de toi mon bon petit soumis, mais tu sembles résistant à l'hypnotisme. J'aime les challenges cependant, on va voir si tu peux résister à ça longtemps aha.
Il arrache littéralement son jean et je le vois presque à poil, un jockstrap en cuir un peu clouté ne cachant rien de l'état de sa teube qui doit faire 21 cm. Je m'entends déglutir et sans que je sache exactement comment il est derrière moi à commencer à me caresser et me déshabiller. Alors que sa main gauche me maintient le torse en place, l'autre flatte la bosse qui s'est formée dans mon pantalon. Il me chuchote à l'oreille alors qu'il rentre sa main entre le slip et le pantalon.
- On dirait que tu mouilles Julien, je t'excite vraiment beaucoup hein ? Tu as vu que j'ai pensé à toi ? Un beau jockstrap en cuir bien moulant.
Il se colle davantage à moi et je sens son membre dur derrière. Il sent bon, une odeur pomme cannelle... et ses mots, ses gestes tout m'excite au plus haut point.
- mmmh tu as l'air de beaucoup apprécier. Garde ton slibard et mets-toi à genoux, c'est un ordre !
J'ai tellement envie d'obéir, d'être à ses pieds, j'ai envie qu'il me baise comme animal. Mais je résiste et il le sent. Et à mon grand damn je sens que ça le fait durcir davantage.
- haha tu n'imagines pas à quel point tu es divertissant. On n'avait encore jamais résisté à mon charme vampirique. En 130 ans tu t'imagines ?! Mais une fois que je t'aurai mordu n'espère plus avoir de libre arbitre, tu seras ma chose jusqu'à ce que je te libère.
Je n'arrive pas à réfléchir correctement, je sens ma queue pulser, je sens la sienne et je me cambre pour me frotter contre. Son parfum me rend fou, ses mains me rendent fou. Et puis je sens un pincement et je comprends que c'est terminé. Sa langue lèche déjà la trace de morsure que j'ai dans le cou.
- maintenant à genoux Julien... oh et jouis devant moi histoire que tu comprennes qui est le maitre.
Je le sens j'en ai envie, de toute façon, mais jouir comme ça devant lui je... je vire mon jean complètement, je me mets à genoux, le visage au niveau de son monstrueux entrejambe et là je me penche un peu en arrière, et je sens 6 énormes jets de foutre sortir tapisser l'intérieur de mon slip rouge. J'ai joui devant lui sans me toucher, rien que parce qu'il l'avait ordonné. Et il se marre. Surtout que je n'ai pas débandé. Je suis toujours au garde à vous.
Il ramène ma tête contre le cuir et m'ordonne de renifler et de lécher. Je suis dans un état second et j'adore ça.
- Alors, mon beau, on bande toujours ? Ahah et tu t'es vu jouir comme ça, tu n'as vraiment aucune pudeur Julien. Sous tes airs de grand sage, tu es un vrai démon aha. Je sais que tu vas aimer ça alors vire la loque pleine de foutre que tu portes et enfiles mon jockstrap.
Avant que j'aie pu commencer à me changer, il faire descendre son sous-vêtement et je me prends sa queue en pleine face. J'étais persuadé d'être actif et là il me fait agir comme un vrai passif. J'obéis à l'ordre et enfile le jockstrap. La sensation du cuir m'électrise et sentir mon cul à l'air me fait me sentir vraiment humilié jusqu'au bout. Et le pire, c'est qu'il me fait aimer ça. Il prend mon menton en main et oblige mon regard devenu vitreux à regarder dans ses yeux. En même temps il utilise son pied pour frotter ma teube à travers le jock, et il place ses grosses couilles sur mon visage, son énorme chibre couvrant la moitié de mon visage.
- Tu es à moi maintenant, et tu aimes ça mec. On va passer aux choses sérieusement, hein que tu la veux ma queue ?
Pour seule réponse, la mienne tressaute et tend davantage le cuir. La nuit semble loin d'être finie.
Virgo1999
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