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Au gnouf !

Je me suis fait pincer par le MDL de garde en rentrant dans ma chambre � 4 h du mat (je venais de finir un plan bien cho avec Julien). Avec lui pas de piti�. Direct 2 jours de gnouf. En fin de journ�e, j'arrive donc au poste de garde avec mon sac � dos contenant le paquetage autoris�. Le lieutenant de permanence un grand mec rouquin de 30 balais me regarde froidement et me sort " allez direction la taule ". Il me pousse dans le dos (et pas une petite bourrade) je manque de peu de me r�tamer la gueule. La cellule est bien crade comme je le craignais. Il me sort alors d'une voix bizarre " Vire tes fringues ". Je lui lance un regard perplexe ne sachant pas s'il me charrie, mais sa tronche me laisse deviner que j'ai int�r�t � me d�saper illico sans perdre une seconde. Je lance mon cale�on sur le haut de la pile que forment mes fringues. Il me lance un regard cinglant et, animal bien dress�, je me fige les mains bien � plat le long des cuisses. Comme il me mate vraiment, et avec un regard dirig� pas vraiment sur mon visage, je sens que ma teub commence doucement � prendre du volume.

Merde il va le voir et je ne sais pas comment il risque de r�agir. En fait, je crois que je vais halluciner car il avance tout en ouvrant sa braguette, il me sort sa bite hyper massive, ouuummf je pensais bien qu'un mec de sa carrure �tait bien �quip� mais � ce point c'est presque un salami ! Comme je suis un soldat bien ob�issant, je sais flatter mon chef en anticipant ses ordres. Je me mets direct � genoux et j'ouvre la bouche en prenant un air bien servile. Sans un mot, il enfonce sa teub bien profond. Je commence ma pipe de suite en m'appliquant bien. Si je le fais juter en le su�ant, je pense �viter le bourrage de cul que je redoute �tant donn�e la taille de l'engin. Manque de peau, j'avais oubli� un facteur, et ce facteur, c'�tait le 1er classe qui tenait le poste de garde avec le rouquin. Tout � coup il rapplique sans bruit (le petit pervers) il est d�j� � poils la bite enti�rement ras�e et en semi-�rection. Il passe derri�re moi et il me rel�ve le cul, je suis maintenant � 4 pattes.

Le contact chaud et doux de sa langue sur mes fesses est vraiment ce qu'il me faut pour me d�tendre la rondelle, le petit fourbe, il prend vraiment mon cul pour un magnum. Puis il commence � mettre un premier doigt. Pendant tout ce temps moi je continue de bien pomper mon lieutenant qui pousse de petit grognement de satisfaction. Mais sans piti� pour moi il retire brusquement son chibre de ma bouche devenue orpheline, et il passe derri�re moi, Lucas le 1er pompe lui ne perd pas le nord et il m'enfonce son pieu direct il me prend la t�te et il pilonne sec (bon d'accord nous sommes dans l'artillerie, mais quand m�me un peu de douceur, c'est pas possible, bon bon). Comme le volume de la teub de Lucas me comble parfaitement je peux � peine pousser un " arrgghh " lorsque je me sens envahir la rondelle par le sexe vraiment turgescent de mon lieutenant qui voulait, je pense jouir rapidement vu la cadence infernale de ses AR.

Et puis pour bien me ruiner le fion il sort compl�tement sa teub il la renfonce bien � fond. Bon j'ai compris le sens de l'expression se faire bourrer le cul. Je vois tout � coup les abdos bien durs de Lucas se contracter, je peux dire sans me tromper que c'est la partie du corps d'un mec qui me fait craquer, 10 centim�tres autour du nombril. Heureusement que Lucas me projette dans la gueule une grosse lamp�e de sperme bien chaud. C'est ma petite r�compense. Apr�s un dernier r�le une fois m'avoir rempli le trou de son jus le lieutenant se tire sans m�me une petite tape sur le cul en guise de contentement. Lucas lui me chuchote � l'oreille " cette nuit pas la peine de te coucher, je t'am�ne deux mecs qui sont puni depuis 5 jours ils ont les couilles pleines, tu vas me les vider ". Je lui l�che les abdos il y a deux trois gouttes de sperme que je ne voulais pas voir perdre.

Lucas n'avait pas menti, ils avaient r�ellement les burnes full up.

Une fois tes mains lav�es (la jute colle au clavier) tu peux m'envoyer un petit message sur

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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